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Modifié : 10/06/2011 13:27

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La légion qu’on dort tunisienne

04/03/2011 10:30

La légion qu’on dort tunisienne


La légion qu’on dort tunisienne

 

Qui se souvient, parmi les anciens, et qui a appris parmi les jeunes et moins jeunes de l’utilisation de ce que l’on a appelé « la légion Condor »

Qui se souvient du fameux terrain de manœuvre « en vrai » qui permit de mettre au point des stratégies de terreur, bien utiles ailleurs et au delà de ces dits « champs de manœuvre grandeur nature » et dont les Français eurent à souffrir dans leur chair et leur sang, quelques années après.

Parlez en aux « Pupilles de la Nation de 39/45 »

Il est vrai que rien ne vaut la réalité à « balle réelle » que les exercices « bidons » où « tout le monde il est beau, tout le monde il est parfait » suivi du pot de l’amitié réunissant « attaquants » et « défenseurs », tous vainqueurs de ces exercices « blitzkrieg »

 

Parlez à Picasso de la « légion Condor », il vous répondra « Guernica »

 

En proposant les services imminents de notre force anti-émeute à la Tunisie, La France s’est élevée toute seule, au prix de prises de participations dans des sociétés tunisiennes pour le compte d’un papa (et pour son seul compte. Cochon qui en doute) au rang des souteneurs de régimes Honnis et ce au nom d’intérêts supérieurs (pétrole, ventes d’armes et d’armements, nucléarisation « civile » du pays, ……)

Pas mal pour le pays d’où est parti « le flambeau de la Liberté guidant les Peuples » sensé éclairer tous les Peuples de la terre, comme la flamme olympique traversant le monde pour donner un message de paix, même tenue par les chinois !

Silences inquiétants du « Quai » et de plus haut, quand au remue-ménage chez les voisins où des milliers de morts sont recensés, dans ce qu’il est sage maintenant de nommer « guerres civiles » et contre lesquelles l’Occident s’indigne.

 

Où sont les « Brigades internationales » ?

Sommes nous tombés si bas dans nos égoïsmes que nous n’ayons plus la moindre dignité vis à vis des « horreurs » dont nous nous repaissons au quotidien, le ventre bien rempli dans nos pavillons douillets.

« Guernica » pardonne nous !

 

Méditez belle jeunesse et inspirez vous de la « révolution islandaise » de Novembre 2010 qui sans violence a renversé le pouvoir en place pour mettre en place une constituante.

Tout cela dans le plus grand silence médiatique….. (allez voir sur Google à « révolution islandaise »)

Qu’attendez vous pour faire de même avec vos dirigeants dont apparemment tout le monde semble mécontent ?

A moins que ce ne soient ceux que vous avez désignés, mais même parmi ceux qui les ont portés au pouvoir, certains « regrettent » leur choix. Mais que faire au dé là des regrets qui ne règlent rien !

 

Kelly-Eric Guillon






Les riches niches fiscales à exploiter, afin de soulager le Peuple….

03/03/2011 22:03

Les riches niches fiscales à exploiter, afin de soulager le Peuple….


(réactivé au 10/03/2011)

 dessin tiré de :

http://reiss.over-blog.com/article-35356535.html

Les Députés de Droite renoncent à la traque aux niches fiscales.Le président s'est vraisemblablement adressé à eux (dessin*).

 

Il manque de l’argent,….. !

Question : Où en trouver, afin de boucher les trous des budgets à venir, diminuer la dette publique, supprimer les déficits, revenir aux règles de fonctionnement européen imposées par Maastricht (Dette = 60% du PIB et déficit public = 3% du PIB?)

 

 

Réponse : mais tout simplement, dans les comptes des 393 formations politiques recensées et analysées par la CNPPFP depuis 1997 (dont 225 en 2008 et 119 formations présentes chaque année).

 

 

En effet depuis 1997, ce sont environ, sur 12 ans :

  • 939 millions d’euros, au titre du financement public (inutile et donc gaspillé, quand on voit que ce financement public instauré pour éviter les magouilles politico financières d’antan, conduit aux affaires Bettencourt-Woerth et celles inconnues aujourd’hui)
  • 440 millions, le coût de la déduction fiscale de 66% des cotisations et dons versés aux formations politiques (pour un total de 745 millions perçus effectivement par les formations)
  • 64 millions le coût du manque à gagner des bénéfices annuels non imposés (correspondant aux 140 millions de bénéfices engrangés par 119 formations, base 45%) :
    • En 2008 17 millions pour 119 formations soit 155 000 € par formation
    • En 2005 13 millions pour 143 formations soit 108 000 € par formation
    • Bénéfice moyen annuel de 98 000 €
  • 5 millions le coût du profit non taxé des placements financiers et éventuelles spéculations faites (pour un total de 26 millions de capitaux placés sur une base de 25% de taxation).

Soit une économie globale d’environ 1,5 milliards d’euros (environ 25% du coût de fonctionnement des formations)

Dont :

 

 

 

 

Economie possible

 

 

(millions)

 

 

Compte de résultat

 

 

(millions)

 

 

% économie à récupérer

 

 

Rang %

 

 

UMP

 

 

424

 

 

407

 

 

69%

 

 

2

 

 

PS

 

 

318

 

 

427

 

 

50%

 

 

6

 

 

PC

 

 

110

 

 

248

 

 

30%

 

 

8

 

 

FN+

 

 

72

 

 

93

 

 

52%

 

 

4

 

 

verts

 

 

37

 

 

45

 

 

56%

 

 

3

 

 

MPF

 

 

21

 

 

19

 

 

75%

 

 

1

 

 

LO

 

 

19

 

 

29

 

 

44%

 

 

7

 

 

LCR

 

 

15

 

 

19

 

 

51%

 

 

5

 

 

TOTAUX

 

 

1 015

 

 

1 929

 

 

53%

 

 

 

(voir le fichier « Comminges partis.xls »    

 

 

 

 

Il n’est pas normal que le citoyen soit contraint de payer cette « rançon collective » aux formations politiques (qui s’apparente à un racket), sous couvert soit disant de lutter contre le principe des magouilles, dont on découvre qu’il est apparemment vain de lutter contre lui..

Avant c’étaient les sociétés qui payaient (les emplois fictifs, les grosses affaires Urba et autres), maintenant, sans l’avoir consulté, c’est le Peuple qui est ainsi pris en otage par les formations politiques (grandes et petites, dont certaines ne sont là que pour financer les grandes), sans pour autant éviter les « magouilles » dont les affaires Bettencourt-Woerth ne sont qu’un exemple, combien illustre aux ramifications multiformes (combien d’affaires similaires ou pire sont bien au chaud, n’attendant ou ne redoutant que leur éventuelle éclosion !)

 

 

La politique et son financement est choix personnel de chacun et ne doit nullement devenir « obligation et imposition citoyenne ».

 

 

La seule obligation incombant au citoyen, selon la déclaration des droits de l’Homme et du citoyen de 1789, Art 13 : « Pour l’entretien de la force publique et pour les dépenses d’administration (du pays et non des composantes politiques), une contribution commune est indispensable, elle doit être également répartie entre tous les citoyens (y compris ceux de condition modeste) en raison de leurs facultés (fussent-elles de 10€ symbolique pour les plus modestes)»

Les partis sont-ils indispensables au fonctionnement de la vie harmonieuse du pays ?

Non si l’on voit la dichotomie qu’ils entraînent…. Et le délabrement qui s’en suit

 

 

Que ceux qui soutiennent telle ou telle idée, se chargent de la financer par eux même.

 

 

Le Peuple est déjà pris en otage via le financement des politiques et parlementaires, doit-il aussi être pris en otage par les formations politiques dont 51%, d’ente elles, ne « vivent », pour l’essentiel (véritables « pompes à fric ») que par les dons et 14% sont des « officines » de « blanchiment » d’argent, soit 65% des formations sont ainsi hors du circuit classique de la seule fonction politique…..

 

 

Que dire des « anomalies » acceptées par les présidents de formations, par la CNCCFP, et par l’organisme officiel d’information de l’Etat qu’est le Journal officiel.

Quel nom donner à des  « anomalies » étalées et officialisées sur la place publique, via le J.O :

 

 

  • Principe de continuité des comptes de bilan, d’une année sur l’autre, non respecté
  • financement public 1ère tranche : 1 €uro déclaré quand on sait qu’une voix rapporte 1,60 €….. (à affiner)
  • Financement public 2nde tranche : le nombre de député étant de 577, on trouve parfois 1332,8 députés financés, le 80% d’un député restant, étant très intéressant pour celui a qui échoit cette fraction de lui même – (à affiner), plus du double des élus en 2004
  • Les 1 € essaimant, deci-delà, dans les comptes de résultats ou bilan, au gré des années, en vu de boucher d’éventuels trous.
  • Que penser de « Présidents-trésoriers » cumulards en association, comme le sont des  parlementaires en rentes de situation de mandats et d’indemnités…. (720 des 920 parlementaires cumulant les écharpes et surtout les indemnités……)

 

 

Voici ce que l’analyse des comptes de partis politiques permet de découvrir, dont la synthèse se trouve dans le tableau joint, intitulé « Digest pluriannuel.xls ».

Les sources utilisées sont les « publication générale des comptes des partis et groupements politiques au titre de l’exercice : 1997 – 2002 – 2003 – 2004 – 2005 – 2006 – 2007 – 2008 », faites au journal officiel, après « contrôle » de la CNCCFP.

L’étude globale est basée sur les 8 années analysées et la règle de trois a été appliquée pour la continuité d’analyse des 12 années prises en compte (faute d’avoir pu trouver les documents des années 2000 et 2001 ainsi que 1998 et 1999).

Que donnera l‘analyse par grandes familles politiques que l’on peut aisément appeler « Cosa Nostra  politique » dont les allers et retours financiers entre membres semblent vouloir noyer l’investigateur le plus déterminé que devrait être la CNPPFP, enchevêtrement opaque qui ne dit sa réalité.

 

 

Cela ajouté aux diverses études d’économies totales (dont plus de 740 milliards d’euros ont déjà été énoncés dans divers articles) à réaliser au niveau du financement des hommes et femmes politiques aux échelons national, régional et départemental permettrait de supprimer la dette publique en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, mais encore faut-il en avoir la réelle volonté.

Au lieu de s’acharner sur les retraites dont on sait, par avance, que ce qui est imposé, ces jours-ci, ne réglera en rien le problème soulevé, il serait plus intéressant de s’attaquer aux problèmes majeurs des divers « avantages » accordés aux partis, aux politiques, aux riches…..

Méditer sur « celui qui veut, trouve les moyens; celui qui ne veut pas, trouve les excuses ».

Les conclusions, chacun des lecteurs les tirera pour lui même.

Se souvenir de la loi de Pareto dite « loi des 20-80 » qui stipule que 20% des gens conditionnent 80% des problèmes, encore faut-il vouloir s’attaquer à ces 20% d’entités qui cumulent 80% des problèmes que les petites gens se voient chaque fois contraints de financer….. (Bouclier fiscal, taxe carbone, déremboursements, taxes et obligations diverses, ….) .

En somme, c’est devenu : le Peuple au secours forcé des nantis et des grosses entités !

 

 

Kelly-Eric Guillon

 

 

PJ : un fichier intitulé « Comminges partis.xls » et la signification des items est adressable sur demande, via mail.






Juppé super-star: les médias ont la mémoire qui flanche

02/03/2011 13:43



Juppé super-star: les médias ont la mémoire qui flanche

Jack Dion - Marianne | Mardi 1 Mars 2011 à 18:01 | Lu 8848 fois

Les médias ont réussi le tour de force de faire passer Alain Juppé, habitué des hautes sphères du pouvoir, pour une quasi révélation politique. Jack Dion rappelle que le consensus réuni autour d'Alain Juppé - qui fut honni du temps où il était Premier ministre - n'est peut-être qu'un signe de plus de la décrépitude du pouvoir sarkozyste.



Juppé super-star: les médias ont la mémoire qui flanche
A en croire ce qui s’écrit dans les gazettes, la révélation politique de l’année s’appelle… Alain Juppé. Le Figaro l’a même catalogué du titre d’ « homme providentiel ».
 
Un peu partout, on entend des hommages dithyrambiques et des commentaires flatteurs, comme si le nouveau ministre des Affaires étrangères avait, tout au long de sa (déjà longue) carrière, effectué un sans faute, ou qu’il incarnait une relève en forme de rupture fantasmatique. Certains vont même déjà jusqu’à le présenter comme une alternative éventuelle à un Sarkozy incapable de trouver un quelconque second souffle.
 
Cette vision digne d’un conte pour enfants confirme simplement que les commentateurs n’ont pas de mémoire, à moins qu’ils ne réécrivent le passé afin d’occulter leurs propres turpitudes.

Nul ne doute que le maire de Bordeaux ait une stature qui fera oublier les frasques de ses prédécesseurs, qu’il s’agisse de Bernard Kouchner et de ses compromissions, ou de Michèle Alliot-Marie et de ses amitiés particulières en Tunisie. Juppé est déjà passé par la case Quai d’Orsay, et il y a fait montre d’un professionnalisme certain, à une époque où la France n’avait pas encore rejoint le camp atlantiste et faisait entendre une petite musique originale sur la scène internationale. Il y revient alors que Paris a réintégré la direction de l’Otan et brille par ses ratés diplomatiques, avec pour mission de rattraper une partie du temps et du terrain perdu. Vaste défi.

En attendant de juger le successeur de MAM aux actes, on peut au moins rappeler qu’il n’est pas vraiment un nouveau venu. Le maire de Bordeaux (et qui entend le rester, au nom du droit au cumul qui est l’une des tares de la caste politicienne) a même un passé qui devrait inciter ses laudateurs à un peu plus de circonspection.
 
Passons sur l’ancien Premier ministre de Jacques Chirac, en 1995, empêtré dans une histoire de logement assez obscure, et qui disait : « Je suis droit dans mes bottes ». Oublions celui qui proposait, en 1996, de céder Thomson pour 1 franc symbolique au sud-coréen Daewo, en lançant à la télévision, geste à l’appui : « Thomson, ça ne vaut rien ! ». Laissons de côté l’affaire des emplois fictifs de la ville de Paris, où il a payé pour d’autres, curieusement oubliés par la justice. Retenons seulement le Juppé qui dut affronter un mouvement social massif en novembre/décembre 1995, et qui en est sortie par la porte de la déroute. Du 24 novembre au 15 décembre, Alain Juppé symbolisa une intransigeance totale, avant de retirer le plan qui portait son nom sur les retraites et la sécurité sociale, à la suite d’un mouvement massif.

A l’époque, Juppé personnifia des comportements que l’on retrouvera dans d’autres circonstances, notamment à l’occasion du référendum sur le projet de constitution européenne : l’arrogance des dominants, sûrs d’eux et dominateurs ; le mépris du peuple ; le refus de prendre en compte tout avis contraire et l’expression systématique d’une bien pensance considérée comme la Bible des temps modernes.
 
Durant ce mouvement, il était de rigueur de dire au vulgum pecus qu’il n’y avait pas d’alternative – antienne reprise par tous les penseurs alors bien en cour, et qui le sont encore aujourd’hui (le monde des éditorialistes se renouvelle très peu). Face aux grévistes, aux syndicalistes et aux manifestants, de doctes esprits dénonçaient le « corporatisme » des opposants, incapables de comprendre qu’il n’y avait pas d’autres choix politiques possibles, et que le plan Juppé était forcément la bonne réponse puisque c’était la seule envisageable.
 
On peut d’ailleurs penser que si le ministre des Affaires étrangères garde aujourd’hui une certaine notoriété médiatique, c’est parce qu’il disait tout haut ce que l’élite pensait tout bas.
 
En vérité, un autre phénomène explique le retour en gloire de Juppé : la décrépitude avancée du sarkozysme. Du coup, des hommes que l’on croyait enterrés à jamais retrouvent des vertus insoupçonnées. C’est une ruse de l’histoire qui peut réserver d’autres surprises.

http://www.marianne2.fr/Juppe-super-star-les-medias-ont-la-memoire-qui-flanche_a203376.html





Boycotteur de suidés :Le gérant du Quick d'Avignon mis en examen .Souhaitons une peine drastique pour ce brillant & visionnaire merchandiseur ,qui ressort d'un office public ,savoir ,la Cais

02/03/2011 13:39



Le gérant du Quick d'Avignon mis en examen

Une information judiciaire est en cours après le décès d'un adolescent qui avait mangé deux hamburgers dans ce restaurant.

Le gérant du Quick d'Avignon mis en examen

Un adolescent de 14 ans est mort le 22 janvier. Il avait mangé, la veille, deux hamburgers au Quick d'Avignon Cap Sud. Photo d'illustration. © Chamussy / Sipa


Click here to find out more!
Source Reuters

Le gérant du restaurant Quick d'Avignon dans lequel un adolescent de 14 ans a mangé en janvier avant de décéder d'une toxi-infection alimentaire a été mis en examen pour "homicide involontaire", a-t-on appris mercredi de source judiciaire.

Benjamin Orset est mort le 22 janvier. Il avait mangé la veille deux hamburgers au Quick d'Avignon Cap Sud. Le parquet d'Avignon a ouvert le 18 février une information judiciaire contre X pour homicide involontaire en invoquant d'importants manquements aux règles d'hygiène. Les expertises ont mis en évidence "la présence de staphylocoques dorés dans le liquide gastrique de Benjamin Orset", ainsi que sur cinq des huit employés présents ce soir-là et sur le sol carrelé du stand d'emballage des denrées alimentaires.

Le groupe Quick a rompu le contrat de franchise qui le liait au gérant de trois restaurants du Vaucluse, dont celui d'Avignon Cap Sud. La société a repris en gestion directe deux de ces restaurants mais n'a pas trouvé d'accord avec le franchisé du restaurant incriminé, qui est propriétaire des murs et du fonds de commerce. Le fast-food, fermé par arrêté préfectoral le 22 janvier, avait rouvert ses portes le 11 février mais il a été de nouveau fermé dès le lendemain pour travaux.


 

http://www.lepoint.fr/societe/le-gerant-du-quick-d-avignon-mis-en-examen-02-03-2011-1301304_23.php






Tony Blair(& son agence de conseils...), l'ami anglais de Kadhafi .L'homme de toutes les farces et la farce de tous les hommes .

02/03/2011 13:34



Tony Blair, l'ami anglais de Kadhafi

La tentative de Tony Blair de persuader le leader libyen de démissionner pourrait paradoxalement le mettre dans l'embarras.

Tony Blair, l'ami anglais de Kadhafi

Tony Blair et le colonel Kadhafi en 2007 © leon neal / AFP

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Michel Colomès

Il est probablement le seul dirigeant occidental, depuis que la révolution libyenne prend un méchant tour de guerre civile, à avoir parlé au colonel Kadhafi. Tony Blair, ancien Premier ministre britannique, a téléphoné vendredi à deux reprises au dirigeant libyen, aux abois, pour lui conseiller de se retirer sans délai et sans doute lui proposer une solution de repli. Car entre ses deux appels, Blair avait joint la secrétaire d'État américaine Hillary Clinton pour vérifier - même s'il s'en défend - la faisabilité des solutions de retraite (le Venezuela d'Hugo Chavez ?) qu'il proposait au dictateur allumé de Tripoli.

Mais le colonel libyen s'est montré aussi buté que déconnecté de la réalité. Dans une interview accordée au Times, Tony Blair reconnaît que ses coups de téléphone ont fait chou blanc. Non seulement Kadhafi a refusé toute idée de démissionner, mais il a répété qu'il combattrait jusqu'à la mort s'il le fallait. L'ancien Premier ministre britannique a eu beau lui dire qu'il avait "le coeur soulevé" en voyant le nombre de victimes déjà provoqué par son entêtement, Kadhafi, désespérément aveugle à la réalité de la situation, lui a rétorqué qu'il ne s'agissait là que de quelques activistes d'al-Qaida.

Blair, ambassadeur de bonne volonté...

Tony Blair est très certainement le dirigeant occidental qui connaît le mieux le colonel Kadhafi. Tous deux s'appellent par leur prénom depuis que Blair, en avril 2004, en se rendant à Tripoli, avait servi d'ambassadeur de bonne volonté auprès du dictateur libyen pour le faire revenir dans le droit chemin et lui faire abandonner le projet de se doter d'armes de destruction massive, aussi bien nucléaires que chimiques. Et surtout en lui arrachant la promesse de ne plus céder au terrorisme dans lequel il s'était si tragiquement illustré en commanditant l'attentat de Lockerbie et celui du DC1O français d'UTA.

Kadhafi avait alors livré à la justice britannique les responsables de l'attentat de Lockerbie, abandonné ses recherches sur le nucléaire militaire et obtenu, du coup, de ne plus figurer dans l'annuaire infamant des pays terroristes avec lesquels tout commerce international est prohibé. Le Britannique avait évidemment l'espoir, bien illusoire, qu'en devenant un pays fréquentable, la Libye serait aussi un régime un peu moins dictatorial et sanguinaire.

... et dindon de la farce

En 2007, déjà, l'affaire des infirmières bulgares menacées de mort sous l'accusation absurde d'avoir introduit le sida en Libye était signe que la folie régnait toujours dans la Jamahiriya kadhafienne. L'ordre qu'il a donné de réprimer les manifestations en tirant et en bombardant au mortier et à la roquette son propre peuple, cette brutalité aveugle que l'on n'avait heureusement pas connue jusqu'alors dans les autres révolutions arabes, montre que Kadhafi est bien resté celui que Ronald Reagan taxait de "chien fou".

Et le dindon de la farce pourrait bien être le malheureux Tony Blair, déjà critiqué par la presse de son pays pour une démarche que certains jugent douteuse. Car Saïf al-Islam, fils de Kadhafi, a voulu le mettre un peu plus en porte-à-faux en glissant à l'oreille de journalistes anglo-saxons que la démarche de l'ancien Premier ministre britannique était loin d'être désintéressée. Il y aurait même eu, selon lui, des millions d'euros à la clé, car il était, disait-il, en affaires avec la LIA, autorité d'investissement libyenne en Afrique. Blair a vigoureusement démenti. Mais, on le sait trop, à notre époque, il faut dix démentis pour tuer un mensonge.


 

http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/michel-colomes/tony-blair-l-ami-anglais-de-kadhafi-01-03-2011-1301047_55.php






Grazie mille balordo !PROFUGHI, ARRIVA L'ONDATA

02/03/2011 13:30



PROFUGHI, ARRIVA L'ONDATA


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Il ministro dell'Interno parla sui recenti sviluppi della situazione nel Mediterraneo, davanti alle commissioni Affari costituzionali e Affari esteri riunite alla Camera: "In Libia ci sono 1,5 milioni di clandestini, entrati dai confini a sud. Non appena la situazione lo consentirà questi riprenderanno la direzione nord verso l’Europa: sarebbe lo scenario peggiore possibile, che prevede movimenti di forse 200.000 persone in fuga"

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Roma - Mentre la comunità internazionale discute sulle mosse per accelerare l'uscita di scena di Gheddafi, scongiurando nuove possibili stragi di civili, una moltitudine di disperati dalla Libia preme ai confini con la Tunisia cercando la salvezza. In una sola giornata, lunedì, 14mila persone hanno varcato la frontiera a Ras Al Jedir. Le Nazioni Unite parlano di "situazione al punto di non ritorno". Una vera e propria emergenza umanitaria. I trafficanti di uomini sono pronti, sulle coste, a lucrare sulla fame e la disperazione, organizzando i loro "viaggi della speranza" e riversando, sulle nostre coste, una moltitudine di persone in fuga. Dalla Libia ma non solo. Nella notte le motovedette hanno bloccato e accompagnato in porto, a Lampedusa, un peschereccio di 15 metri con a bordo 347 magrebini.  Con loro c'erano anche due giornalisti tedeschi: con una telecamerina filmavano il viaggio dalle coste del nordafrica. Sono stati tutti accompagnati al centro d'accoglienza. Intanto il ministro Maroni lancia l'allarme: duecentomila persone in fuga, l'impatto sarà enorme.

Maroni: l'Ue deve intervenire subito L’Europa deve "intervenire con azioni concrete" per rispondere alla "grave e tragica emergenza umanitaria degli oltre 120.000 profughi attualmente accampati al confine tra la Libia e la Tunisia". Il ministro dell’Interno riferisce sulla situazione nel Mediterraneo alle Commissioni riunite Affari costituzionali e Affari esteri. "Preoccupa la pressione sulle coste della Tunisia", ha spiegato il ministro, "a poche decine di miglia dall’Europa e non solo dall’Italia. Cosa che spesso sfugge ai colleghi ministri dell’Interno europei". E ha insistito: "C’è una massa umana che preme e che urge di assistenza umanitaria, cui la comunità internazionale non ha dato e non sta dando risposte adeguate. Non bastano le sanzioni, approvate anche dall’Onu, ma serva portare subito assistenza umanitaria e sanitaria perché le autorità tunisine, la Croce rossa e la Mezzaluna rossa da sole non ce la fanno". Da qui, ha spiegato maroni, la decisione del governo italiano di inviare una missione umanitaria "per la costruzione di un campo profughi provvisorio al confine per accogliere chi fugge dalla guerra".

I numeri della crisi "Stimiamo che in Libia ci siano circa 1,5 milioni di clandestini, entrati dai confini a sud, dal deserto. Mi aspetto che non appena la situazione lo consentirà questi riprenderanno la direzione nord verso l’Europa: sarebbe lo scenario peggiore possibile, che prevede movimenti di forse 200.000 persone in fuga". "Noi ci stiamo preparando - ha detto il responsabile del Viminale - a subire il rischio di un impatto senza precedenti sulle nostre coste".

Rischio infiltrazione al Qaeda In Libia c’è il rischio "che l’instabilità favorisca l’infiltrazione del terrorismo internazionale. Un report di Europol parla di futuri scenari in questo senso e io esprimo preoccupazione che quanto sta avvenendo in Libia possa portare a un governo del paese molto più simile all’Afghanistan e alla Somalia, piuttosto che a un governo amico dell’Italia", ha detto Maroni. "È un rischio grave e reale", ha continuato Maroni: "Attualmente la Libia è divisa in due tra rivoltosi e lealisti, una situazione di stallo che nessuno è in grado di sapere quando si risolverà".

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#11 Ronny (71) - lettore
il 02.03.11 alle ore 11:35 scrive:
3Deluso: sei proprio deludente. Secondo il tuo punto di vista dovremmo imporci con la forza. Voglio ricordarti che gli accordi non li ha presi B.
#10 mannaggia71 (5) - lettore
il 02.03.11 alle ore 11:34 scrive:
ma basta fare sempre le vittime e minacciare crisi apolattiche. Tutti i paesi europei hanno accettato profughi in numero maggiore di noi in passato e in tutte le crisi umanitarie precedenti (balcani). Solo il Belgio ne ha presi molti più di noi avendo una popolazione molto inferiore rispetto a quella italiana. Se l'europa non ci considera è perchè noi non abbiamo mai dato quanto gli altri, che in più non si lamentavano in continuazione.
#9 fransisco2 (363) - lettore
il 02.03.11 alle ore 11:31 scrive:
spero che la decisione che adotterà l'Italia senza aspettare l'avallo della Ue sia quella del respingimento in acque internazionale di chi vuole sbarcare in Italia. Una cannonata davanti alla prua per non danneggiare e poi trainati fino alle acque internazionali, non permettendo lo sbarco. E' previsto il rimpatrio di 4 tunisini ogni giorno; ma ci hanno proprio presi per fessi? E non ci facciamo intenerire ne da bagnasco ne dal vaticano ne da famiglia cristiana ne da quelle organizzazioni che quadagnano su ogni immigrato che arriva in Italia.
#8 baldas67 (126) - lettore
il 02.03.11 alle ore 11:20 scrive:
l'Europa se ne frega????Allora noi facciamo come la Spagna dove le regole sugli sbarchi sono severissime,pattugliamenti in mare e respingimenti,filo spinato sulle coste spagnole,ritorno alla propria patria di moltissimi clandestini,e se lo fanno in Spagna che è nella comunità europea non vedo perchè non possiamo farlo pure noi.

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Service fret de l’aéroport d’Alger :Mouvement de protestation des douaniers hier

02/03/2011 13:22



Service fret de l’aéroport d’Alger

Mouvement de protestation des douaniers hier

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le 02.03.11 | 01h00 2 réactions


Les douaniers du service fret de l’aéroport d’Alger Houari Boumediène ont enclenché, dans la matinée d’hier, un mouvement de protestation «spontané».

La centaine d’agents qui ont suivi l’action entendaient ainsi dénoncer leurs conditions socioprofessionnelles de plus en plus précaires. Et ils en ont gros sur le cœur. «Je suis agent des Douanes depuis 20 ans, et je perçois un salaire de
20 000 DA. Comment voulez-vous que je fasse vivre mes trois enfants avec cette paie ?» s’indigne Nacer. Et il semblerait qu’il ne soit pas le plus à plaindre parmi cette corporation. Certains douaniers sont ainsi rémunérés, au bout de 13 ans de service à 18 000 DA, d’autres 15 000 DA après 4 ans de travail. «Nous demandons donc une revalorisation de la grille des salaires ainsi que la finalisation d’un statut pour les 14 000 douaniers, qu’ils nous rendent nos prérogatives et les mêmes droits que ceux des policiers.

Nous ne comprenons pas qu’un inspecteur général puisse toucher le même salaire, soit 40 000 DA, qu’un agent de l’ordre public, qui est l’échelon le plus bas du corps policier», surenchérit Hamid. Et, en dépit de leurs années d’exercice, les promotions sont pour eux inespérées. «Je suis agent de contrôle depuis 16 ans. Mais je n’ai jamais été promu. Tout simplement à cause du favoritisme et du régionalisme qui a cours dans nos services», affirme, à bout de nerfs, Djamel. Il est interrompu par Ahmed qui lui lance : «Tu sais très bien que les grades ne sont pas accordés méritoirement. Ils sont donnés au plus offrant. Et c’est un douanier avec des années d’expérience qui vous le dit : les postes-clés se monnaient très cher.» Car, bien plus que leur «salaire de misère», les contestataires s’insurgent contre leurs conditions de travail et l’environnement dans lequel ils évoluent.

«Abus de pouvoir, mutations abusives, injustice, sanctions disciplinaires et administratives injustifiées et non réglementaires, etc. La direction n’hésite d’ailleurs pas à suspendre ou à porter plainte contre ceux qui n’abondent pas dans le même sens qu’eux», s’échauffent les douaniers. Ce qui pourrait peut-être expliquer que le secrétariat du divisionnaire général de l’inspection générale des Douanes, joint hier, affirme qu’aucun arrêt de travail ou autre protestation n’a été enregistré.  «Nous n’avons même pas le droit d’avoir des tenues neuves ou des conditions d’hébergement dignes. Aujourd’hui, exercer ce métier n’est plus une fonction. C’est une souffrance», s’apitoie, les yeux embués, une jeune douanière de 28 ans. Et elle sait de quoi elle parle : en liberté provisoire, elle a été condamnée à 9 ans de prison ferme dans «l’affaire des colis postaux». Et c’est d’ailleurs l’un des autres motifs de cette journée de protestation : apporter leur soutien indéfectible à leurs collègues, condamnés à de lourdes peines de prison ferme dans cette affaire.
«Solidarité avec les condamnés dans l’affaire des colis postaux»


C’est d’ailleurs la présence de leurs familles qui a mis le feu aux poudres dans le service fret. «Le divisionnaire et le syndicat s’en lavent les mains et n’ont rien fait pour les aider. Il n’y avait pourtant aucune preuve contre eux», accusent les épouses des douaniers condamnés. «Et tout le monde sait très bien, ici, qu’ils étaient tous des modèles de probité et d’honnêteté», jurent les autres douaniers aux femmes éplorées, l’un d’eux ajoutant : «C’était un procès pour l’exemple, un verdict politique.» «D’ailleurs, même la présidente de la cour a déclaré que notre dossier était vide. Pourtant nous avons été condamnés à 9 ans de prison ferme !» s’exclame Ahmed, lui aussi en liberté provisoire. Les condamnés ont fait appel du jugement, mais ils avouent ne plus nourrir grand espoir quant à un dénouement heureux. «Nous n’avons plus aucune confiance en la justice», souffle Ahmed, en haussant les épaules d’impuissance. Tentant de le réconforter, son collègue assure que la contestation paiera. «Nous poursuivrons notre action si la situation ne s’améliore pas. Nous n’avons plus peur des sanctions ou des représailles. Et nous ne voulons plus être des boucs émissaires»,
promet-il.

 
 

Ghania Lassal

http://www.elwatan.com/actualite/mouvement-de-protestation-des-douaniers-hier-02-03-2011-114215_109.php




Le crépuscule du fou?un camion-citerne en feu à Tripoli, près de la résidence de Kadhafi /

02/03/2011 13:20



Libye: un camion-citerne en feu à Tripoli, près de la résidence de Kadhafi

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le 02.03.11 | 08h23

Un camion-citerne a explosé mercredi dans le centre de Tripoli, près de la résidence du colonel Mouammar Kadhafi, sans toutefois faire de victimes.
Un camion-citerne a explosé mercredi dans le centre de Tripoli, près de la résidence du colonel Mouammar Kadhafi, sans toutefois faire de victimes.

Un camion-citerne a explosé mercredi dans le centre de Tripoli, près de la résidence du colonel Mouammar Kadhafi, sans toutefois faire de victimes, a indiqué sur place un journaliste de l'AFP.
Le camion-citerne, couché sur le flanc, était éventré et des flammes de plusieurs mètres s'élevaient créant un panache de fumée noire. Aucune victime n'était visible sur place, l'explosion -d'origine inconnue- s'étant produite dans un endroit dégagé.
Le bâtiment le plus proche, une mosquée, n'a pas été touché.
Des centaines de partisans du colonel Kadhafi se sont rassemblés près du camion-citerne pour crier leur allégeance au "guide de la révolution" libyenne. Autour, des policiers, des militaires et des civils en armes, surveillaient la manifestation.
L'hôtel Rixos al-Nasser, qui abrite actuellement de nombreux correspondants de la presse internationale présents dans la capitale libyenne, se trouve également à proximité.
La Libye est en proie à une insurrection populaire. L'Est du pays, dont la deuxième ville du pays Benghazi, est aux mains des insurgés alors que le dirigeant Mouammar Kadhafi, au pouvoir depuis bientôt 42 ans, contrôle encore la capitale Tripoli et sa région.
L'ONU a lancé un "appel urgent" à la communauté internationale en vue d'une évacuation humanitaire massive de dizaines de milliers de personnes qui tentent de fuir la Libye et attendent actuellement du côté libyen de la frontière avec la Tunisie de pouvoir entrer dans ce pays.
Après avoir pris le contrôle de l'Est et de secteurs à l'Ouest, l'opposition a créé à Benghazi un conseil militaire, embryon d'une future armée contre M. Kadhafi, même si certains de ses représentants envisagent une possible demande de frappes aériennes de l'étranger pour faire tomber le régime.
Déterminée à mettre M. Kadhafi hors d'état de nuire, la communauté internationale, qui a gelé les avoirs de son clan, a dit ces derniers jours envisager une interdiction de l'espace aérien libyen pour empêcher un bombardement du régime de civils et opposants.
L'établissement d'une telle zone d'exclusion nécessiterait la destruction préalable des défenses anti-aériennes libyennes, a estimé le Pentagone, après le déploiement de forces navales et aériennes américaines autour de la Libye et alors qu'un navire de guerre américain, l'USS Kearsarge, avec à son bord des centaines de Marines, se rapprochait de ce pays d'Afrique du Nord.

AFP

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Libye: les forces de Kadhafi à Brega, théâtre de combats, à 200 km de Benghazi

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le 02.03.11 | 10h09

Les forces du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi sont entrées mercredi à Brega, jusqu'alors contrôlée par les insurgés, où se déroulaient de violents combats, à 200 km au sud-ouest de Benghazi, selon des témoins et des sources de la rébellion.
Les forces du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi sont entrées mercredi à Brega, jusqu'alors contrôlée par les insurgés, où se déroulaient de violents combats, à 200 km au sud-ouest de Benghazi, selon des témoins et des sources de la rébellion.

Les forces du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi sont entrées mercredi à Brega, jusqu'alors contrôlée par les insurgés, où se déroulaient de violents combats, à 200 km au sud-ouest de Benghazi, selon des témoins et des sources de la rébellion.
"Dans la nuit les forces de Kadhafi ont attaqué l'aéroport de Brega où elles ont affronté les rebelles", a déclaré à l'AFP Aymane al-Moghrabi, un médecin qui participe au soutien médical des combattants à Ajdabiya, à 160 km au sud-ouest de Benghazi.
Un travailleur de la raffinerie de Brega, près de la ville, joint par téléphone a indiqué ne pas pouvoir quitter sa maison.
"Les employés ont reçu instruction de ne pas sortir", a-t-il précisé.
Les forces de l'armée régulière sont entrées à Brega avec plusieurs chars et de l'artillerie lourde et ont occupé un quartier d'habitation, selon un témoin, ajoutant que des combats intenses se déroulaient au port.

AFP
in :
http://www.elwatan.com/

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Journal du 02/03

El Watan week-end

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Au pays de l'herbe qui fait rire :MANIFESTATIONS A TANGER :Dérapages incontrôlés

02/03/2011 13:17



MANIFESTATIONS A TANGER :Dérapages incontrôlés Contrairement à Casablanca, Rabat et Laâyoune où les manifestations pacifiques du 20 février courant, à caractère économique et social, parfaitement encadrées par les organisateurs, n’ont donné lieu à aucun débordement négatif, la ville de Tanger a connu de graves dérapages marqués par des actes de vandalisme perpétrés par des manifestants à forte dominance d’adolescents, ayant occasionné des dégâts matériels très importants dans des biens publics et privés pillés et saccagés,

Les incidents ont eu lieu à la suite de l’arrivée au centre ville de quelques dizaines de hooligans, en provenance du stade de Marshan , à l’issue du match de football qui a opposé l’IRT à l’équipe de Hilal Nador, que les locaux ont battue 1 -0
Les supporters, parmi lesquels s’étaient glissés des fauteurs de troubles, ont descendu le boulevard Mohamed V où quelques dizaines de militants d’Attac-Tanger continuaient à manifester Place des nations. Au lieu de se joindre à eux, ils ont mis cap sur le front de mer. Ils se sont attaqués à jets de pierres aux balnéaires et à un hôtel sur la corniche. Un restaurant a été pillé, tandis que plusieurs enseignes et devantures ont été cassées…
Les éléments antiémeutes, dépêchés sur les lieux ont réussi à refouler les émeutiers vers le centre ville. Rejoints par d’autres groupes d’adolescents des quartiers périphériques, ils ont attaqué à plusieurs reprises le commissariat central, défendu par les unités antiémeutes de la CMI et des FA. Ces derniers réussissaient à les faire replier jusqu’à la place des nations sans plus car leur nombre était devenu important et un déluge de pierres repoussait chaque charge, dans une véritable bataille rangée, jusqu’à l’occupation de la Place des nations par les jeunes manifestants, qui allaient dresser des barricades pour empêcher tout accès aux véhicules des forces de l’ordre.
Les vandales ont aussitôt brûlé une voiture, après l’avoir renversée, non loin du commissariat central, puis une autre à hauteur de la Banque du Maroc. Les deux agents armés de mitraillettes qui surveillent cette banque s’étaient enfermés à l’intérieur…
Et le pillage commença tout au long du boulevard Mohammed V. Le siège de la Banque Populaire, incendié et saccagé, des succursales bancaires, des commerces, des centres de distribution de téléphonie mobile, une agence de la Western Union, plusieurs bars…, sans oublier le siège d’Amendis qui a failli être incendié.
Pendant plus de deux heures les pilleurs étaient maîtres de lieux jusqu’à l’arrivée des renforts antiémeutes blindés de la Gendarmerie royale qui ont réussi à rétablir l’ordre.
Nous apprenons en ces moments que cinq membres du Groupe Tanger d’Attac-Maroc viennent d’être arrêtés : il s’agit de Amrane Nafihi, Reda Nafihi, Hassan Nariddah, Mohammed Tadlaoui et Nizar Ouchen. Cherche-t-on à leur faire porter le chapeau des troubles de l’ordre public ?
Une source bien informée nous confirme l’arrestation d’une soixantaine de jeunes manifestants qui se trouveraient, selon un proche de l’un d’entre eux, dans les geôles du commissariat central. On ignore si parmi eux se trouvent des personnes impliquées dans les actes de vandalisme, sachant que plusieurs locaux disposent de systèmes de vidéosurveillance.

Nous y reviendrons plus en détail.
Abdel Ilah Abbad

Dernière minute :

Les cinq militants d’Attac Maroc ont été relâchés. Le Journal de Tanger a pu prendre contact avec deux d’entre eux, en l’occurrence Reda Nafihi et Mohamed Tadlaoui.
D’autre part, nous avons pu confirmer l’arrestation de plus de 70 personnes, des jeunes pour la plupart, impliqués dans les actes de vandalisme. Nos sources nous ont confirmé qu’ils ont été, soit remis aux autorités par les riverains de commerces et établissements pillés qui les ont arrêtés, soit interceptés par la police en possession d’objets pillés.
Aucune information sur d’éventuels blessés quoi que nous ayons été témoins, Place des nations, au moins d’un cas, celui d’un élément des forces antiémeutes qui s’est écroulé devant nous, atteint de plein fouet par un jet de pierre. Il a été soulevé par ses camarades qui l’ont aidé à monter dans l’un des véhicules avant que les hordes des hooligans ne les mettent en fuite.

http://www.lejournaldetanger.com/article.php?a=3294








Indépendants certes mais...Plus de 500.000 Kirghizes travaillent illégalement en Russie

02/03/2011 13:08



Plus de 500.000 Kirghizes travaillent illégalement en Russie

Plus de 500.000 Kirghizes travaillent illégalement en Russie
12:44 02/03/2011
MOSCOU, 2 mars - RIA Novosti

Sur le même sujet

Seuls 17.000 des 580.000 ressortissants kirghizes travaillant en Russie ont un permis de travail, a déclaré mardi à Moscou le président du parlement kirghiz Akhmatbek Keldibekov, cité par l'agence AKI-Presse.

"Les autres ressortissants du Kirghizistan résidant en Russie travaillent illégalement, ce qui aggrave leur situation notamment en matière de protection sociale. Il nous faut œuvrer afin de légaliser le séjour des travailleurs migrants sur le territoire russe", a annoncé M.Keldibekov lors d'une rencontre avec le chef du Service russe des migrations (FMS), Konstantin Romodanovski.

La protection des droits des travailleurs migrants en provenance du Kirghizstan a constitué le thème principal des entretiens de M.Keldibekov au cours de sa visite à Moscou.

Ainsi, le président du parlement kirghiz a reconnu la nécessité d'accords interparlementaires et intergouvernementaux destinés à faciliter l'octroi des permis de travail pour les immigrés en Russie.

Fin décembre dernier, le ministère russe de la Santé publique a annoncé que la Russie délivrerait plus de 1,7 millions de permis de travail à des travailleurs étrangers en 2011.


 

http://fr.rian.ru/world/20110302/188752268.html

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