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A vos poches :Kosovo : un trou de 370 millions d’euros dans le budget de l’État
02/03/2011 13:04
Kosovo : un trou de 370 millions d’euros dans le budget de l’État
Sur la Toile :
Publié dans la presse : 28 février 2011
Mise en ligne : mardi 1er mars 2011
Le Kosovo a - enfin - un gouvernement, mais toujours pas de budget. Selon les prévisions, le budget public pourrait accuser un déficit de 200 millions d’euros sur un budget de 1,1 milliards. En cause, notamment, la privatisation des PTT qui se fait toujours attendre, et la baisse des donations internationales. De fait, le nouveau gouvernement Thaçi a déjà annoncé qu’il ne tiendrait pas les promesses du candidat Thaçi d’une hausse substantielle des salaires des fonctionnaires...
Le Kosovo est entré en 2011 sans budget formel. Celui-ci n’avait pas pu être adopté en raison de la dissolution du Parlement en novembre 2010. Les représentants du gouvernement passé avaient déclaré avoir préparé un projet de budget pour l’année 2011.
Selon le projet en question, les recettes totales de 2011 devraient se monter à près de 1,1 milliards d’euros et les dépenses dépasser la somme de 1,3 milliards d’euros.
Selon Haki Shatri, analyste économique, le principal problème résiderait dans les carences en moyens matériels qui avaient été prévus dans le projet de budget, ainsi qu’il l’a expliqué à la radio Free Europe.
Haki Shatri mentionne l’absence éventuelle de 70 millions d’euros promis par des institutions financières internationales, et de 300 millions d’euros attendus du côté du processus de privatisation de la poste et des télécommunications kosovares.
Mimoza Kusari-Lila, vice Première ministre du Kosovo, estime que ces déficits pourraient être minimisés par les produits de l’administration fiscale et douanière. « Pour cela, nous devons faire preuve d’une réelle volonté quant à une gestion droite et à une réforme politique générale. Ceci afin de montrer à aux organismes internationaux qu’ils peuvent nous faire confiance et soutenir le budget du Kosovo », a déclaré la vice-Première ministre.
http://balkans.courriers.info/article16992.html
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La submersion migratoire libyenne ne sera pas plus repoussée que les autres & tout est bon dans le cochon (de payant)
02/03/2011 13:01
BRUXELLES (NOVOpress) – Cette fois, c’est officiel : l’Union Européenne n’a pas l’intention de protéger les frontière du vieux continent contre l’impressionnant flux migratoire risquant de résulter des événements secouant l’Afrique du Nord.
En effet, le commissaire en charge de l’immigration et de la sécurité, Cecilia Malmström, a précisé qu’ «un fonds d’urgence de 25 millions d’euros est à disposition».
«En cas de crise humanitaire majeure, nous devrons trouver des fonds supplémentaires», a-t-elle ajouté en affirmant clairement que les dizaines et dizaines de milliers de personnes fuyant la Libye «ne seront pas repoussées».
La commissaire a en revanche reconnu que les États de l’UE étaient en désaccord sur le partage de la prise en charge des éventuels arrivants, dont le statut devra être déterminé.
Dans un tel contexte, la récente réédition du livre prophétique de Jean Raspail « Le Camp des Saints » apparaît plus que jamais d’une tragique actualité.
http://gaelle.hautetfort.com/archive/2011/03/01/la-submersion-migratoire-libyenne-ne-sera-pas-repousee.html
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Il y eût Air-America au Laos :Coke en stock (X) : CIA = « Cocaine Import Agency »
02/03/2011 12:59
Coke en stock (X) : CIA = « Cocaine Import Agency »
Arrivés à ce stade, on se rend compte de l’ampleur du système. Et encore, ce n’est qu’un petit bout d’un gigantesque iceberg comme nous allons le découvrir dans les jours à venir encore. La côte Ouest de l’Afrique voit arriver encore en 2010 des avions chargés de drogue toutes les semaines ou presque. A l’autre bout, d’autres pays servent de nouveaux terrains d’atterrissage intermédiaires pour arroser le Mexique, en proie à une violence inouïe, qui va jusqu’à l’assassinat de ministre en exercice déguisé en... accident d’avion. Tuant Juan Camilo Mouriño, le ministre de l’intérieur (le 5 novembre 2008) ! Celui qui s’attaquait aux cartels ! Bref, c’est bien ce que je vous dis depuis plusieurs épisodes : on en est à nouveau au stade des grandes heures de Pablo Escobar, qui n’avait pas non plus hésité à faire sauter des avions en vol. Tous les jours, les scandales apparaissent, dont certains parfois grotesques. Sans que l’opinion mondiale ne s’en émeuve, habituée désormais à l’usage de la cocaïne comme drogue domestique, grâce à un relais de médias ventant partout son usage parmi les gens des plus hautes sphères médiatiques. Le système s’entretien tout seul. Pas une seule fête « réussie », à Paris comme à Bruxelles, Londres ou Milan sans cocaïne ! Et ce n'est pas le présentateur de télévision Delarue, débarqué de l'antenne pour usage de coke qui me démentira... à 10 000 euros mensuels de consommation, on finit par comprendre la noria d'avions que je vous décris depuis douze épisodes maintenant...
On l’a vu ces dernières années, on a pu le constater à maintes reprises. Les avions de la CIA ont souvent fait coup double, on le sait : ils servaient aussi bien au trafic de drogue qu’à balader les détenus de Guantanamo. Les trajets des appareils renseignent sur ces liens. Le 19 Septembre 2007 le Beechcraft Super King Air 350 (N675BC) d’ Aviation Enterprises, Inc. de Wilmington, dans le Delaware, est aperçu sur l’aéroport de Medellin’s Enrique Olaya Herrera en Colombie. Le 20, il est déjà auJuan Santamaria International Airport de San Jose au Costa Rica. Il sera vu plus tard à Houston. Le 22 Octobre le même appareil décolle de Tampa en Floride pour… Guantanamo Bay. L’appareil avait été vu entre temps aux côtés d’un Antonov 124 en Colombie… De 2002 à 2006, le King Air appartenait à Prewitt Leasing Inc de Bedford au Texas. Une simple boîte aux lettres ; comme c’est l’habitude dans ce système.
Un autre avion des « renditions flights » s’écrase au Dominica’s Melville Hall Airport on le 11 aout 2007 C’est un Learjet bien connu (N500ND), de World Jet, du Delaware, en provenance de St. John dans les Iles Vierges. Pour les inspecteurs venus sur place, l’avion était visiblement « trop chargé« . En quoi, certainement pas en passagers. A t-on fait en même temps les vols de tortures de Guantanamo et le transfert de la drogue ? Très certainement, et ce sont les trajets qui le démontrent. Ils suivent les deux schémas, et visitent tous les pays concernés par letrafic de drogue. C’est un peu un remake de la guerre du Viet-Nam : à cette époque, un vendeur de drogue, Leslie Keith Atkinson, envoyait la drogue à Fort Bragg, caché sous les uniformes des soldats américains. Ou pire encore, comme l’affirme ce récit terrifiant.
Le 9 décembre 2009, on arrête Gregory D. Smith. L’homme est un vieux participant de la lutte anti-drogue, ayant travaillé avec et pour le FBI, la DEA et la CIA. On apprend qu’il était le pilote de l’avion du Yucatan, venu de St. Petersburg en Floride et qu’il faisait partie d’une opération spéciale, parait-il de la CIA, intitulée “Mayan Express« . L’avion appartenait à Reginald « Don » Whittington,un ancien pilote de voitures ayant gagné aux 24H du Mans en 1979 (avec Klaus Ludwig sur une Porsche 935), propriétaire de WorldJet Inc à Fort Lauderdale (et très actif aux courses d’avion de Reno et dans les Warbirds également !). On reparlera ici de son cas, sans nul doute. L’information, exfiltrée d’une réunion importante de la DEA devait rester secrète parait-il. Manque de chance, l’info est sortie : la CIA a bien joué double jeu au Yucatan. Au prétexte de lutter contre la drogue, on l’importait en fait en Floride ! Avec un avion à double usage : celui des « renditions flights » honteux et celui de transport de drogue ! L’avion du Yucatan, le Gulfstream N987SA avait décollé de Guantanamo le 23 juin 2003. Le 14 juillet, il décollait de New York pour l’islande, la France, l’Italie, et l’Irlande. Du 16 au 20, du Canada à l’Angleterre, l’Irlande, à nouveau l’Irlande, le Canada, et retour aux USA. En avril 2004, du 7 au 12, il fera à nouveau le Canada, l’Angleterre, le retour au Canada, puis retour à.. Guantanamo « again ». Le 21 avril, il visite le Canada, la France, l’Angketerre et le Canada et retour à Guantanamo. Le 21 janvier 2005, il rédécolle de Guantanamo. Le 24 septembre 2007 il s’écrasait au Yucatan avec 4 tonnes de coke à bord. Dans la presse, Baruch Vega, un colombien qui travaille lui aussi pour le FBI, la DEA, et la CIA affirme tout de suite au journal Narco News que le pilote qui a réussi à s’échapper est bien Gregory D Smith. On mettra deux ans à l’inculper.
Selon des documents fort intéressants d’un juge de Miami, une opération appellée « Cali-Man » aurait donc été montée par la CIA, utilisant des moyens « illégaux » avec le photographe Baruch Vega et Roman Suarez comme informateurs, inclus dans une plus vaste opération anti Medellin appellée « Opération Millenium. Le but étant de capturer Orlando Sanchez Cristancho, baron colombien de la drogue. Et accessoirement au passage Fabio Ochoa, ancien leader du Cartel de Medellin. Le 17 novembre 1999, la firme Aero Group Jets d’Orlando avait reçu 23000 dollars pour le rapatrier vers la Floride en Learjet. L’opération avait été supervisée par Vince Mazzili du SAC. L’explication était trop belle pour être vraie, car elle avait oublié les « autres » avions. Au total, on en dénombre en effet onze, pas moins. Et Orlando Sanchez Cristancho a bien fini par être arrêté, mais n’a été condamné qu’à 63 mois de détention pour « blanchiment d’argent » et il est ressorti en 2004…
Derrière tout ça se cachait un homme, en effet. Pedro Benavides Natera, 48 ans, un vénézuélien, celui qu’on retrouve derrière les achats d’appareils. Arrêté lui auss i à Miami en février 2008. On recense en effet pas moins de 11 avions achetés par lui depuis 2003 qui ont servi à transporter de la drogue, des appareils obtenus chez deux sociétés seulement : Skyway Aircraft Inc. de Clearwater, près de St. Petersburg, Floride, et Planes and Parts Enterprises LLC de Doral, en Floride également, près de Miami également ! On sait que la plaque tournant du trafic de drogue aux Etats-Unis est la Floride, chaque jour qui passe on en en a confirmation supplémentaire. Le compte bancaire de Benavides n’avait pas bougé de janvier 2005 à mai 2006, avec seulement 1500 dollars de déposés. Or il se retrouve quelques mois après dotés de 430 000 dollars en provenance du Mexique… pour acheter les avions. Le N12DT, notamment, un autre Conquest 441 acheté à Skyway le 13 décembre 2006. Ambulance volante en Alaska en 1996, chez Write Stuff Aviation en 2003. Ou bien les deux avions achetés par Pedro Benavides Natera, enregistrés sous les numéro N1100M et N391SA, qui se retrouvent saisis en République Dominicaine et au Nicaragua pour… trafic de drogue. Le Beech King Air N1100M saisi à l’aéroport de Puerto Plata’s International Airport avait été lui aussi acheté à Planes and Parts LLC.
C’est Planes and Parts qui a vendu également à Pedro Benavides Natera le Cessna 441 marqué N195FW. Or nous l’avons vu, ce n’est pas un inconnu : c’est justement l’avion qui s’est posé dans la nuit du du 1er au 2 mai 2007 à Nouadhibou ! Un seul homme à un bout et deux sociétés de Floride à l’autre pour lui vendre des avions servant tous à transporter de la drogue : on ne peut faire plus simple. Et on ne peut être plus clair : l’origine du fonctionnement n’est pas seulement celle des cartels de la drogue. La CIA et la Floride y jouent un rôle primordial. Plus un autre état américain. Gary Webb, qui y a perdu la vie « suicidé de deux balles dans la tête » le savait bien...
Car toute cette organisation de petits avions ou de plus gros en rappelle une autre, tournant autour de deux sociétés de Floride de St Petersburg, liées directement aux fameux pilots du 11 septembre, celle du petit aéroport de la Mena, situé au beau milieu de l’Arkansas, dans les années 90. Le fief électoral du président de l’époque, Bill Clinton. Un document assez extraordinaire nous en compte l’histoire : or c’est exactement la même que celle que nous venons de lire, avec ces transferts de gros à petits avions, le mélange militaires et civils et l’omniprésence de la CIA. Le film,« The Mena Connexion », de Jerry Hughes, détient une bonne partie des clés du mystère des avions légers sillonnant l’atlantique : c’est exactement le même fonctionnement et les mêmes liens, 10 ou 15 ans après. Derrière le trafic de drogue, il y a bien la CIA qui tire les ficelles !

Ce film choc commence par une des journalistes les plus talentueuses des Etats-Unis : Sarah McClendon, ancienne Women’s Army Auxililiary Corps en 1942, disparue en 2003, qui ce jour-là, le 7 octobre 1994 pose la question qui fâche au président Clinton. A voir sa tête se mettre en berne, on comprend tout de suite qu’elle a fait mouche. Elle ne s’intéresse pas à ces frasques sexuelles, notre Sarah. Non, elle lui pose une question claire et simple : est ce que la base de Mena, en Arkansas, créé par Georges Bush Senior, abrite des opérations illégales ou non, et si elle sert à transporter des armes ou de la drogue ou pas. Clinton blêmit. Et répond comme à son habitude : en mentant (une marque de fabrique chez lui). « Nous n’avons rien à voir avec, zéro« , répond-t-il. Mon œil. Une enquête poussée d’une autre journaliste têtue, Theresa Dickie, venait de démontrer le contraire dans le détail ! La Mena était au centre de l’affaire des Contras, cette fourniture de matériel de guerre aux opposants au Nicaragua. Via l’intermédiaire d’Israël, qui a fourni les armes à l’Iran, grâce notamment à son espion David Kimche, qui vientjuste de disparaître. Trois présidents avaient couvert ses opérations délictueuses : Reagan, Bush père et Clinton. Un des anciens pilotes impliqués, Terry Reed, avait tout raconté dans son livre « Compromised« . Clinton ne faisait que poursuivre quelque chose initié par ses prédécesseurs. Mais sans non plus chercher à l’arrêter, bien au contraire. Le pouvait-il ? Rien n’est moins sûr : on n’arrête pas la CIA aussi facilement que ça !

Les scènes décrites dans le reportage sont typiques. Les armes étaient envoyées limées, livrées donc sans marque distinctives, et envoyées à bord de C-123 Provider, pilotés par de vrais as, des anciennes gloires du Viet-Nam. De vieux DC-3 ou des C-130 plus récents et plus gros participaient également aux transports secrets. Ils étaient payés en liquide, via tout un système complexe de machine bancaire de Floride à laver l’argent sale. La base de Mena, aux hangars peints aux couleurs de Rich Mountain Aviation.Inc, minuscule, était en fait le siège d’un trafic intense, d’arrivées et de départs de gros porteurs, dont des 727, comme ceux vus un jour en provenance de l’Afghanistan ! Pour surveiller et protéger ces activités, la petite base avait un complexe système de vérifications d’entrée avec cartes magnétiques et mercenaires surveillants : c’est ce qui avait mis la puce à l’oreille de la journaliste Theresa Dickie. Les contraintes étaient disproportionnées : dans la base, il n’y avait pas que les avions qui avaient de la valeur ! Et à la tête de la base et des surveillants il y avait un homme : Adler Berriman Seal, dit Barry Seal. Avec lui, certain qu’il y avait de la drogue de présente !

Seal était en effet le pivot de la base de la Mena. Ancien béret vert portant désormais costume trois pièces. Pilote dans l’âme, il avait débuté chez TWA, mais avait eu maille à partit avec la justice en 1972 déjà , pour avoir transporté dan son avion des explosifs pour les contre-révolionnaires cubains, entraînés par la CIA : il en avait été acquitté à l’époque, mais avait dû révéler sa participation à la CIA… En 1978, rebelote, il avait déjà été mêlé à un trafic de drogue entre l’Amérique Centrale et les Etats-Unis. L’occasion de perdre définitivement son travail chez TWA. En 1979, il fera neuf mois de prison pour trafic de drogue au Honduras. Il y avait rencontré un autre pilote, William Roger Reaves, qui l’avait introduit dans le clan Ochoa, qui avait à sa tête Jorge Luis Ochoa Vasquez : le leader de ce qu’on appelait alors le Cartel de Medellin. C’est avec lui qu’il avait commencé des vols d’importation de coke vers la Louisiane. Avant de passer à l’Arkansas.
En 1981, en effet se sentant surveillé par la DEA, il était venu s’installe dans une planque véritable : un aéroport perdu au milieu des Etats-Unis, en Arkansas. Seal avait un très lourd passé : il avait été photographie en compagnie de conspirateurs dits de ’l’Operation 40 » qui souhaitait envahir Cuba. Un bon nombre de présents ce jour-là participera à l’invasion de la Baie des Cochons. Très lié donc à la faune interlope qui gravite autour des exilés anticatristes contrôlés par la mafia de Floride. Finalement accusé pour un autre trafic plus bénin, il devient informateur et travaille alors pour la seconde fois avec la CIA, réalisant de beaux coups avec son Provider bourré de caméras cachées filmant à leur insu les membres du Cartel de Medellin.
Hélas, en 1984, il est trahi par un article assez ahurissant du Washington Times et du Wall Street Journal, qui annonce qu’il joue les agents double contre le Cartel : c’est Oliver North qui a fait répandre l’information, pour simplement prouver que les sandinistes font ce que feront les Farcs plus tard : à savoir d’alimenter leur lutte avec les revenus de la drogue. Seal est obligatoirement condamné par ce lâchage immonde. En mars 1986, le président Reagan montrera fièrement à la télévision une des photos prises par Seal d’un sandiniste chargeant de la drogue dans son avion. On s’apercevra après que ce n’était pas un ponte sandiniste. Entretemps, Barry Seal s’est fait volveriser à bout portant dans sa Cadillac à Bâton Rouge le 19 février 1986. Abattu de 6 coups portés à bout portant. Les déclarations intempestives de North l’ont condamné ! Trois assassins seront arrêtés peu après. Tous trois colombiens. Mais a leurs avocats, ils diront clairement que le commanditaire était… Oliver North !, Toutes les affaires personnelles de Seal avait été embarquées par le FBI dès son décès : ils cherchaient en priorité un simple bout de papier : dessus un numéro de téléphone. Celui de Georges Bush senior. En 1985, à la comission d’enquête sur le Crime Organisé, Barry Seal avait déclaré candidement » basiquement, trafiquer était si simple, si anonyme et si lucratif »…L’affaire pue, et fort.
Dans son livre, « Compromise : Clinton, Bush and the CIA »,Terry Reed, ancien de l’Air Force Intelligence a témoigné des détails de l’opération. Il l’a raconté à Alex Jones de cette manière : « j’ai rencontré Olvet North en 1982, il était à la tête du National Security Council. Il est est celui qui m’a recruté en tant que civil pour être impliqué dans l’organisation des fourniture aux contras . Il m’a dit que ça se passerait dans un lieu obscur appelé Mena Arkansas, à l’époque où Bill Clinton était gouverneur et George Bush Senior était président. J’ai été personnellement témoin de la complicité entre ces deux hommes en termes de transport de la cocaïne aux États-Unis dans le but de générer des fonds pour faire une guerre. La guerre était à l’époque du conflit en Amérique Centrale, impliquant les Sandinistes et le Nicaragua. En 1970 déjà, il était bien connu que l’ organisation qui était aux commandes de matériaux classés secrets livrés par Air America avait pour nom de code « scat-bag ». Cet ensemble de flotte d’avions et de pilotes avaient été recrutés pour le transport déguisé de la cocaïne, une affaire classée secrète. Avec comme trajet au retour par Hawaii. Si vous pouvez allez jusqu’à Hawai, c’est un tour gratuit vers les États-Unis, parce qu’Hawai, c’est les États-Unis. » Hawaï, ou… d’autres îles alentour. Nous repasserons un peu plus loin à Hawaï pour le vérifier, soyez en sûr.
Seal utilisait deux C-123 et non pas un, son préféré étant son « Fat Lady » immatriculé 54-679 , avec sur la queue l’immatriculation N4410F. L’autre était le 54-674 : modifié avec deux réacteurs et des freins anti patinage, il trône aujourd’hui au Valiant Air Command Museum, celui de la Air America Foundation. L’avion avait été retiré discrètement du service pour le Viet-Nam et avait été immatriculé N674JK. Le crash de l »avion d’Eugène Hassenfus, le N°4410F mettra fin à l’usage des Providers. Le 54-674 existe encore en raison d’un erreur mémorable : à Tegucigalpa au Honduras ; son réacteur J-85 jet ayant démarré inopinément, le pilote s’est trompé de commande et à éjecter les deux réservoirs largables directement sur le tarmac, rendant l’avion indécollable. L’avion fut alors saisi par l’armée hondurienne, et resta sur place jusqu’en 1990 où les américains le retrouvèrent intact. Retourné en état de vol aux Etats-Unis, on le vit sur des shows aériens et dans le film consacré à Barry Seal, « Double Cross ». L’autre C-123 est devenu… un restaurant. Seal utilisait aussi des Beechraft King Air, les modèles N-160B et N-6308F débusqués grâce à leurs polices d’assurances. Anecdote amusante, l’un des Beechcraft de Jacques Brel, le Twin Bonanza N4950B appartenant à un texan le plus connu « JOJO » (en hommage à son ami Georges Pasquier), avait été refait à neuf à la Mena ! Le N6308F a une autre histoire, car il sera utilisé plus tard par David R. Hinson, le pilote privé du gouverneur du Texas George W. Bush… et sa firme Flightcraft. L’homme devint plus tard le responsable de la FAA, l’organisme chargé… d’enregistrer les avions : on comprend nettement mieux avec ça les appellations changeantes des « renditions flights » (cette histoire est bien un tout, complet !) ! L’avion avait un enregistrement plus que tortueux, puisqu’il était censé appartenir à une société d’autocars, Greyhound Bus Lines appellée aussi Greycas, liée à une mystérieuse firme de Phoenix située à côté de la société de John Singlaub, Systems Marketing, Inc. Lié lui aussi à Southern Air Transport, la société qui masquait les avions des Contras… Greykas, appartenant à Sheldon Player fut impliqué dans un scandale à plusieurs millions de dollars qui valut à ce dernier cinq années de prison. Son adjoint, Robert Bertrand, n’alla pas en prison. Il devint President and Chief Executive Officer de Finalco Inc, installée à McLean, Virginia : l’endroit où est installée depuis toujours la CIA. Le 27 janvier 1992, Hinson était devenu vice-président de McDonnell Douglas…
Les petits avions privés de Barry Seal, surnommés le « troupeau d’éléphants » dans les conversations secrètes au téléphone, servaient aussi à autre chose : Pour "conduire le troupeau d’éléphants" Barry Seal n’est pas le seul. Lorsque les petits avions privés ont commencé à bombarder la capitale du Nicaragua, ce dont on s’est aperçu avec l’écrasement d’un Cessna 404 à l’aéroport de Managua, on commença à raconter dans la presse comment trois Cessna avaient été secrètement transporté de La Garde nationale de New York en Amérique centrale pour le raid sur Managua. On apprit plus tard de la Garde qu’un certain nombre d’avions supplémentaires avaient été déplacés de l’US Air Force pour des opérations secrètes au nom de code « Elephant Herd », pour la CIA, via une compagnie aérienne du Delaware, où ils étaient armés, et où ils étaient ensuite transférés vers leur destination finale, les Contras ».
Et comme le monde est tout petit, on retombe sur les mêmes sur le trajet. Kyle “Dusty” Foggo, mais si, celui que je vous ai décrit comme le troisième au plus haut de la hiéarchie de la CIA ! Le disciple de John Negroponte ! Et bien ce bon “Dusty”installateur de prisons détournées en Europe (et détournant au passage l’argent pour les construire, ce qui lui coûtera au final son poste) a bien connu Seal, lui aussi ! C’était quand Foggo était au Honduras, qui servait de base arrière anti-nicaraguaienne, à Tegucigalpa exactement. La base de la CIA était installée à l’’hôtel Maya. Selon le Chicago Tribune de 1993, » l’hôtel était le quartier général officieux pour ceux qui venaient aider ou regarder les américains purger le Nicaragua et le Salvador de la peur communiste ». « Le Honduras, c’était le trampoline » sur lequel « on rebondissait » pour mieux fondre sur le Nicaragua nous apprend David Hopsicker. Et à l’Hôtel Maya, Foggo avait déjà commencé le même train de vie que celui qu’il mènera en Allemagne. A savoir, « sex, drug and rock’n’roll ». Prostituées, alcool, drogue : la complète. Son patron, Porter Goss sera obligé de démissionner de la direction de la CIA, après le scandale Foggo. Son règne a été un désastre pour la CIA. Ils se croyaient toujours tous dans la Baie des Cochons…
Sur l’assassinat de Barry Seal :
Mena Barry Seal Assassination Investigation 2 20 1986 NBC
sur la Mena :
In Search of the American Drug Lords - The CIA and The Mob
et en 5 épisodes :
1) US Government dealing Cocaine in Mena Arkansas Part 1
2) US Government dealing Cocaine in Mena Arkansas Part 2
3) US Government dealing Cocaine in Mena Arkansas Part 3
4) US Government dealing Cocaine in Mena Arkansas Part 4
5) US Government dealing Cocaine in Mena Arkansas Part 5
par morice mercredi 2 mars 2011 - 3 réactions
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/coke-en-stock-x-cia-cocaine-import-88730
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CULTURE - 500 ans d'histoire entre la Thaïlande et l'Europe en une journée
02/03/2011 12:56
Des premiers Portugais à Ayutthaya aux hordes de touristes de Pattaya, le symposium des NMV consacré jeudi aux relations vieilles de 500 ans entre la Thaïlande et l'Europe, a tenté d’analyser les échanges culturels et économiques entre ces deux parties du monde. Une douzaine d'intervenants, écrivains de renom, historiens et ancêtres de personnalités importantes de Thaïlande ont questionné l'apport de la culture européenne dans le développement du Siam
En quoi les Européens ont-ils influencé le développement du Siam durant 500 ans à son contact ? Telle était la grande question à laquelle a tenté de répondre un panel d’une douzaine d’experts et témoins privilégiés de l’histoire de Siam, jeudi dernier lors du symposium organisé par les Volontaires du Musée National de Bangkok. L'arrivée de ces "peaux blanches" a bien évidemment attisé la curiosité des habitants du Siam. A travers les archives du royaume et les différentes fresques dépeignant les moments importants du pays, Chris Baker, écrivain reconnu pour ses ouvrages sur l'histoire et la vie politique thaïlandaise, a néanmoins tendu à démontrer le peu d'impact qu'ont eu selon lui ces étrangers sur les Siamois. Toujours représentés avec des chapeaux, les Européens ont souvent été selon lui perçus comme une menace pour le bouddhisme, et comme des personnes sans politesse dont il était bon de se moquer.
De la mode anglaise au dessert portugais En rupture avec ce constat, Chakrarot Chitrabongs et Chittawadi Chitrabongs, tous deux membres de la famille royale thaïlandaise, ont tour à tour rappelé que la mode britannique fut très importante sous le règne du roi Chulalongkorn qui avait institué à ses vassaux l'obligation de s'habiller correctement en cachant certaines parties du corps. L’amour du roi pour les vêtements anglais, en particulier les chapeaux, l'a en partie incité à envoyer ses enfants étudier en Angleterre. Depuis, la plupart des élites thaïlandaises vont faire leurs études en Grande-Bretagne, cette éducation leur fournissant une ouverture d'esprit qu'ils n'auraient sûrement pas eu avec un enseignement dans leur pays natal. Les Portugais, officiellement les premiers Européens à être entrés en contact avec les Siamois, semblent eux aussi avoir entretenu des relations étroites avec le royaume. "Des relations d'amitié uniques sans équivalent avec aucun autre pays européen", selon l'écrivain portugais Miguel Castelo-Branco, qui s’est attaché jeudi à défendre la validité des traités entre les deux pays. Un état de fait illustré en douceur par l’experte en histoire du Siam, Bulong Srikanog, qui a consacré une conférence toute entière au Foi Thong, spécialité portugaise présente en Thaïlande de longue date et que l’on retrouve dans les cérémonies les plus importantes de la société thaïlandaise, dont les mariages.
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Lesquels ont été les premiers ?
Les Portugais ont-ils oui ou non été les premiers Européens à avoir établi un contact avec le royaume de Siam ? C’est la question épineuse à laquelle s’est attaché de répondre Giacomo Mauri, ancien homme d'affaires italien féru d’histoire. En 1511, Alfonso de Alboquerque s'empare de la ville de Malacca, pénétrant ainsi pour la première fois dans le royaume de Siam afin de faciliter le transport des épices. Un émissaire, Duante Fernandez, est envoyé à Ayutthaya pour établir un contact avec le roi. Les premiers échanges commerciaux sont arrangés et le Portugal s'engage à fournir des armes à feu au royaume ainsi que des mercenaires chargés d'enseigner l'utilisation de ces armes. Homme d'affaire à la retraite et historien amateur, Giacomo Mauri a mis en lumière deux explorateurs Italiens, présent au Siam avant les Portugais, alimentant ainsi la polémique. Ludivico de Varthema et Nicolo De Conti, voyageurs incognitos en Orient, ont en effet foulé le sol thaïlandais à la fin du 15eme et au début du 16ème siècle.
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La France et le Siam Arrivée plus tardivement, la présence française en Thaïlande a néanmoins été importante, bien que ponctuée de conflits et de malentendus, a fait remarquer Claire Keefe lors de son intervention d’une vingtaine de minutes. Obnubilé par l'idée de convertir le pays au christianisme, le roi Louis XIV n'a cessé d'envoyer des missionnaires qui se sont heurtés à une religion bouddhiste très bien ancrée dans la culture du pays. Après une disparition progressive des Français en Thaïlande jusqu’à la fin du 18e siècle, la directrice de l'Alliance Française, auteure de romans historiques sur la Thaïlande, note un net retour au 19ème siècle, à la faveur de la colonisation de la péninsule indochinoise, ce qui a été sujet à de nouveaux rapports de force.
Des figures importantes Bien que l’influence des nations était à l'honneur, les organisateurs du symposium ont aussi tenu à mettre l'accent sur les personnalités européennes qui ont marqué la civilisation thaïlandaise, telles que Constantin Phaulkon, conseiller particulier du roi Narai d'Ayutthaya qui a fait l’objet d’une lecture disponible sur disque, réalisée par Alain Forest, professeur d'histoire. L'historien John Toomey a d’ailleurs proposé au public de voter afin d'élire le "farang" perçu comme ayant le plus pesé dans l'histoire de la Thaïlande. Dix Européens étaient présentés parmi lesquels le chevalier de Chaumont, premier ambassadeur français au Siam, Constantin Phaulkon, conseiller politique du roi Narai, la fameuse Anna Leonowens, tutrice à la Cour du Roi Mongkut, qui a inspiré le film interdit "Anna et le roi", ou encore Mario Tamagno, architecte du nouveau Bangkok. Le gagnant a finalement été le belge Gustave Rolin-Jaequemyns, conseiller juridique du roi Chulalongkorn. Ancien ministre de l'Intérieur belge, Gustave Rolin-Jaequemyns a été le conseiller politique et juridique du roi Chulalongkorn - recruté par ce dernier - de 1892 à sa mort en 1902. Ses réformes du système judiciaire et l'ouverture des premières écoles de droit sur le sol thaïlandais en ont fait une personnalité majeure dans le monde moderne thaïlandais. Avec des documents d’archives familiales à l’appui, son descendant, le comte Gerald van der Straten Ponthoz a relaté avec passion, jeudi, la vie de son ancêtre. Cette journée riche en anecdotes historiques aura été très instructive, même si, curieusement, de grandes marques d’influence extérieures comme la politique de grands travaux de Chulalongkorn, le modèle constitutionnel, ou encore le modèle administratif inspiré de la France, ont été peu ou pas évoqués. M.B. (http://www.lepetitjournal.com/bangkok.html) mercredi 2 mars 2011
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Les périls du triangle creusois ...Un Mirage 2000 porté disparu au Sud d'Aubusson
02/03/2011 12:52
Un Mirage 2000 porté disparu au Sud d'Aubusson
Un Mirage 2000 porté disparu à Aubusson. © Idé.
Un Mirage 2000 de la base aérienne de Luxeuil-les-Bains, en Haute-Saône, a disparu des écrans de contrôle hier soir, vers 21h20, alors qu'il survolait le sud d'Aubusson, dans la Creuse. On est sans nouvelles depuis des deux personnes à bord de l'appareil, le pilote et un navigateur. Une centaine de gendarmes et militaires a ratissé la zone toute la nuit sans succès. Le commandant Eric Trihoreau, le chef du département médias di Sirpa (service d'informations et de relations publiques des armées) Air, a précisé que les conditions météorologiques (un "très fort brouillard") rendaient les recherches difficiles. "Un hélicoptère de l'armée de l'air chargé des recherches a dû se poser", a-t-il déclaré. Les recherches reprendront ce matin avec des renforts. Jusque-là, elles ont été concentrées près du village de Saint-Avit-de-Tardes, à une soixantaine de kilomètres de Guéret.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/03/02/1026016-Un-Mirage-2000-porte-disparu-au-Sud-d-Aubusson.html
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Bidonage et inconséquences grünen (suite):Pas si écolos les ampoules "vertes"
02/03/2011 12:48
Pas si écolos les ampoules "vertes"
consommation
Pas si écolos les ampoules "vertes"
Plus écologiques, plus économiques que les ampoules à incandescence, les « LCB » les remplaceront à l'horizon 2012. Mais chaque ampoule contient en moyenne 3 mg de mercure. À manipuler donc avec précaution. Et respecter les consignes de tri.
oins gourmandes en électricité, avec une durée de vie plus longue, et exigées par les nouvelles normes européennes, les LBC, LFC et autres LED envahissent nos maisons et lieux de travail. En remplacement des ampoules à incandescence jugées trop boulimiques en énergie, qui devraient totalement disparaître de notre environnement d'ici la fin 2012.
Les LBC consomment ainsi quatre à cinq fois moins d'énergie pour des performances équivalentes en termes d'éclairage et d'après les fabricants, leur durée de vie oscille entre 6 000 et 10 000 heures contre 1 000 heures pour une ampoule classique. Oui mais voilà. Ces LBC dont on met en avant ces vertus écologiques, sont aujourd'hui sur le banc des accusées parce qu'elles contiennent du mercure et émettent des ondes électromagnétiques.
Une « éventuelle nocivité » jugée suffisamment sérieuse pour que la Commission de Sécurité des Consommateurs (CSC) édicte quelques précautions à prendre lors du choix ou de l'utilisation de lampes à basse consommation. « En l'état actuel des connaissances », elle conseille aux consommateurs de « privilégier l'achat de lampes affichant les quantités de mercure les plus faibles possibles », et de se tenir à une distance minimale de 30 centimètres d'une lampe de ce type en cas d'exposition prolongée. « En cas de bris » d'une de ces lampes, elle recommande de ventiler longuement la pièce et de la quitter, puis d'éviter surtout de récupérer les débris à l'aide d'un aspirateur « qui contribue à mettre en suspension dans l'air des particules de mercure ». Mais plutôt de les ramasser soigneusement avec des gants et du papier absorbant et de les placer dans des sacs en plastique…
La CSC demande d'ailleurs aux pouvoirs publics de « déterminer les valeurs maximales d'exposition aux vapeurs de mercure acceptables dans l'air ambiant ». Elle souhaite que « la directive européenne relative à la limitation de l'utilisation de certaines substances dangereuses dans les équipements électroniques soit révisée » pour abaisser « le niveau maximal de teneur en mercure de cinq à moins de deux milligrammes par lampe ». Enfin, la Commission incite les fabricants à remédier à l'électropollution. En attendant l'avènement de la LED, annoncée comme l'éclairage d'avenir…
Le chiffre : 9 %
Éclairage > Facture d'électricité. 9 % de notre facture d'électricité est consacrée à l'éclairage. Sur un an, 2 heures d'éclairage par jour représentent 40€ avec une halogène ; 5-6€ avec une ampoule classique de 75w et 1-2€ avec une LBC de 18 W.
Une durée de vie entre 1 000 et 50 000 heures selon l'ampoule
Lampes à incandescence traditionnelles : les moins chères mais aussi celles qui ont la durée de vie la plus courte (1 000 heures environ). Elles convertissent 95 % de l'électricité en chaleur et seulement 5 % en lumière ! Elles auront totalement disparu fin 2012.
LBC, lampe à basse consommation dites aussi lampes fluo-compactes (LFC) : plus chères à l'achat, elles consomment 4 à 5 fois moins d'énergie et durent 6 à 8 fois plus longtemps que les ampoules traditionnelles, soit 8 000 heures environ. Mais elles contiennent du mercure et émettent des ondes électromagnétiques.
LED, lighting emitting diode, les diodes électroluminescentes : elles peuvent durer jusqu'à 50 000 heures mais sont susceptibles de provoquer des éblouissements car elles ont des intensités lumineuses jusqu'à 1 000 fois plus élevées qu'une ampoule classique. Elles présentent aussi des risques liés aux effets photochimiques de la lumière bleue. Ce risque-là est généralement dû à des expositions peu intenses, mais répétées sur de longues durées. Les plus sensibles étant les enfants, les personnes atteintes de certaines maladies oculaires (DMLA) ou certains professionnels soumis à des éclairages de forte intensité.
"La lampe du futur, c'est la LED"
Franck Chatelain, responsable communication de l'Ademe Midi-Pyrénées (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie)
Pourquoi doit-on éliminer les lampes à incandescence ?
Ce sont des lampes qui consomment beaucoup d'énergie et surtout, elles chauffent davantage qu'elles n'éclairent : ce sont des mini-radiateurs ! C'est l'Union européenne qui, dans le cadre du plan climat-énergie, a décidé de les éliminer d'ici 2012.
Pour les remplacer par les lampes à basse consommation…
Oui. Ce sont des lampes qui consomment 4 à 5 fois moins d'énergie et qui durent 6 à 8 fois plus longtemps. C'est un net progrès.
Mais on en évoque aujourd'hui la nocivité…
Elles ont deux inconvénients. Le premier est lié à la gestion de la LBC en tant que déchet. Une fois qu'elle a fait son temps, il est important de ne pas la jeter n'importe où et surtout pas dans une poubelle classique car elle contient du mercure, en quantité infime, mais qu'il faut gérer correctement. Il faut donc rapporter l'ampoule usagée chez le distributeur où l'on va en acheter une nouvelle. Ils se sont équipés de bornes de récupération spécifiques, les LBC sont ensuite recyclées à 93 % et le mercure récupéré et conditionné. Le deuxième problème est lié aux ondes électromagnétiques, mais les études ont montré qu'en usage courant, le champ électromagnétique était insignifiant à partir d'une distance de 30 cm. Ce que préconise l'Ademe est d'éviter de mettre des lampes sur les tables de chevet et bureaux.
Ce n'est pas encore la panacée alors…
Non. La lampe du futur, c'est la LED. Avec des ampoules qui durent encore bien plus longtemps. C'est l'éclairage d'avenir, mais on n'a pas encore réussi à créer une filière industrielle. Actuellement ce sont surtout des éclairages d'ambiance et on trouve encore peu de LED qui éclairent une pièce entière. Quant au danger pour les yeux, il suffit de prendre les précautions d'usage, comme ne pas regarder directement la source lumineuse…
http://www.ladepeche.fr/article/2011/03/02/1025985-Pas-si-ecolos-les-ampoules-vertes.html
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par L'abbé Tymon de Quimonte :« tout changer pour que rien ne change » dans le monde arabe
02/03/2011 12:44
§- Dans toute l’Arabie la Foule hurle, la foule gronde, houle à l’assaut des régimes moribonds aux ordres de l’Impérialisme.
Incontestablement une lame de fond de la Révolution Arabe s’est levée, qui ne refluera pas de sitôt.
Mais cette marée énorme balaiera-t-elle le Léviathan pétrolier ou s’échouera-t-elle dans un nouvel ordre hideux au fond des golfes bruns ?
§- Qui peut le dire ?
Pour faire le point, la radio-navigation s’avère insuffisante.
Car, le plus insoutenable en cette mer houleuse arabe ce sont toutes ces morues spécialement dé-pêchées dans ces eaux troubles, et qui ne se font pas rejeter par-dessus bord .
§- Ce grouillis de "Milfs-cougar" sentant le poisson, agglutinées dans leurs luxurieux viviers, après avoir dilaté leurs tripes au lit à Tripoli avec leurs toy-boys pubères berbères, à heure fixe lèvent lourdement leurs culs corrompus pour aller égrener dans les perches, de leurs voix au timbre suraigu, des chapelets de mots impossibles à nouer ensemble.
§- On n’en peut rien saisir :
Impossible de suivre à cause de ces grognasses
Hystériques, la foule à l'assaut décisif
Sans savoir si enfin là-bas les populaces
Eussent forcé le mufle aux poussahs répressifs
§ - Tout ça pour nuire à la navigation en haute mer, empêcher de respirer le vent du large. Les voix femelles excitent uniquement l’aire auditive primaire, la zone cérébrale du cortex réservée à la stricte audition : sur des sujets comme les révolutions ou les guerres, si l’on reçoit leurs sons, trilles qui vrillent, on ne les entend guère !
« La femme parle, on ne l’écoute pas.» dit la sagesse antique.
Seules les voix masculines peuvent activer dans le lobe occipital, l’aire de la compréhension dite "œil de l'esprit."
§- Cette perpétuelle humidité femelle a moisi les anciennes disciplines, réservées naguère aux seuls mâles, tout part à vau-l’eau dans un grand marécage, la cage du marais.
Certains n’en sont pas affectés ? Ils sont eux-mêmes mouillés.
§- Il nous faut alors puiser à la dandinette quelques informations ailleurs, ici, là, n'importe où : petits poissons pris dans le haveneau de Toile, et qui deviendront grands pourvu qu’Esprit leur prête sens.
« C'est la vraie marche. En avant, route ! »
§- Au dessus de l’unité tumultueuse de la mer, les vagues. Sur la vague les friselis distincts, arabesques compliquées, qui ne se ressemblent pas .
§- Cap sur l’Égypte
L’Egypte est la clé de voûte de l’ordre sionisto-américain au Moyen Orient. C’est pourquoi, tous, de l’Union européenne aux Etats Unis, cherchent à préserver l’essentiel, à protéger le régime en place, avec ou sans Moubarak.
Ce qui revient à soutenir l’Armée, colonne vertébrale du régime. La caste militaire jouit de privilèges inouïs et tient dans sa main de fer la part la plus juteuse de l’économie du pays.
Or c’est le maintien de ce régime militaire, haï de la population, qui est aujourd’hui le facteur de chaos et de détérioration de la situation.
§ Cap sur la Libye.
Le sanglant Kadhafi, depuis le 11 sept. 2001 et l’invasion de l’Iraq en 2003, s’est servilement subordonné à l’administration américaine, dont il devenu un des piliers dans la région.
And why ?
Parce qu’il a privatisé l’économie libyenne, ouvrant largement ses cuisses aux investisseurs étrangers; aussi il devait impérativement, pour encaisser le pactole des exportations pétrolières, obtenir son retrait de la liste rouge des « États-voyous. »
L’an dernier, le 15 avril dans un discours à Syrte, Kadhafi appelait à soutenir Obama.
Mais il est en passe d’être lâché par ce même mou Barack de la maison Blanche, car la coalition militaro-tribale qui vertébrait son régime se défait.
§ -Cap sur l’Algérie
Là, ce n’est nullement un soulèvement populaire, mais un nouvel avatar des révolutions colorées à l’agent Orange ou autre toxique qui est à l’œuvre. Aventuriers, agents sionistes de tout poils, qui s’agitent comme des poux du pubis pour concocter une pseudo-révolution « pour le changement démocratique », financée par le FMI et les principaux centres impérialistes.
Ils tentent de jouer sur les mécontentements sociaux réels, pour organiser des manifestations factices et manipulées. Telle cette "marche" du 12 février, vers l'ambassade américaine et les locaux de l’Union Européenne pour les implorer de faire pression sur « le régime d’Alger.»
Pourquoi ? La clique du flic Bouteflika est jugée trop « nationale », pas assez soumise aux mondialistes.
Une note du FMI en date du 5 février vocifère contre les augmentations salariales dans les dépenses publiques qui " rendent le climat pour les opérateurs étrangers " insuffisamment "attractif." (Et c'est le directeur du FMI que la gôche veut faire élire en France !)
Dans le collimateur : le plan de relance économique qui a injecté 250 milliards de dinars d’investissement public dans l’agriculture et l’industrie.
La marche du 12 février était d’ailleurs ouverte, entre autres serviles, par Ahmed Benbitour (du monde), ex-chef du gvnment, consultant du FMI et de la banque mondiale. Fermez le ban .
(Cependant, il demeure impossible à un français sous-chien de bonne race, de soutenir, même du bout des lèvres, la clique actuelle au pouvoir à Alger. Qui n’a de cesse de traîner la France dans la fange, exigeant toujours plus de repentance, et de réparations en espèces sonnantes et trébuchantes, pour les « crimes de la colonisation ». Gouvernement qui finance les "indigènes de la République" et qui déverse son trop plein de misère et de délinquance dans notre vieux pays, considéré comme une décharge municipale; avec la complicité intéressée de tous les gvnements french depuis 1962.)
§- Telle est, un peu, de l’écume diverse des événements qui bouillonnent à la surface, non pas sa lame de fond. Pour voir le fond il faut notre bathyscaphe : Derrière la multiplicité des situations, se cache une certaine simplicité fondamentale, la Loi d’unité des phénomènes.
« La question est de savoir si, sous le tumulte qui règne à la surface, ne s'accomplit pas une œuvre silencieuse et secrète dans laquelle sera conservée toute la force des phénomènes. Ce qui nous gêne, c'est la grande variété, le contraste de ce contenu. » écrit le Titan de la philosophie.
§- Certains seront tentés de voir comme unité, dans cette Onde qui moutonne, un panurgisme pan-arabe : c'est dire que ce soulèvement ressortit à des topiques propres au « monde arabe ».
Tel n’est pas notre avis.
L’unité c'est le vent de révolte qui souffle, soufflera, sur tous les peuples du monde en butte à l’insupportable domination du capital financier et de sa race d’élection .
§- Pour le Moyen-Orient, la clef de la situation est entre les mains de la classe ouvrière arabe, dont les principales positions de force sont en Egypte, et dans une moindre mesure, en Syrie.
Évidemment une révolution de la classe ouvrière égyptienne sonnerait le glas de la Domination Israélienne dans la région.
Aussi, pour l’impérialisme, il faut en urgence tout rafistoler, et « tout changer pour que rien ne change ».
§ - félix le chat
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Que m'importe que ma banque soit mongole ?L’incroyable hold-up ! où tout le monde mange ...
02/03/2011 12:40
L’incroyable hold-up !
4 589 milliards d’aide publique ont été injectés en Europe dans le système financier et bancaire pour qu’il survive à la crise !
Cette information, révélée par Arnaud Montebourg dans un entretien sur BFM-TV[1], m’indigne. Elle s’affiche quelques jours après celle divulguée par la Confédération syndicale Force Ouvrière indiquant que 25% de travailleurs gagnent moins de 750 euros par mois, soit plus de 6,25 millions de travailleurs en France.[2]
D’un côté les nantis, (ne confondez pas avec les fonctionnaires), ceux qui veulent assurer leur surnuméraire, celui de leurs enfants, petits-enfants et arrières petits-enfants, et de l’autre les plus de 10 millions de Français qui galèrent pour trouver un boulot, un toit, ou pour manger, lorsque ce n’est pas tout à la fois.
Nos dirigeants nationaux seraient bien inspirés de ne pas trop vanter les mérites de la démocratie en marche dans les pays du Maghreb, lorsqu’en Europe ils s’assoient sur le vote des Français[3], des Irlandais et de tous les européens.
Dès avant le vote du 29 mai 2005, au vu du comportement de la classe dirigeante, Anne-Marie Le Pourhiet[4] a pu se demander si nous n'allions pas vers une forme de « post-démocratie ». « Ce mépris inouï de la démocratie est d'autant plus provocant que l'on se pique de donner des leçons aux Etats candidats en les soumettant à d'humiliants examens de passage. A quoi sert-il d'élire démocratiquement un parlement national dont la tâche ne se borne plus qu'à transposer les directives élaborées par des instances oligarchiques ? »[5]
La course aux profits devient le seul objectif. En vingt ans la part des salaires dans le produit intérieur brut français a baissé de 9,3 %. Cette affirmation vient d’un article de la Banque des règlements internationaux (BRI), une institution qui réunit chaque mois à Bâle (Suisse), les banquiers centraux afin de « coordonner les politiques monétaires et d’édicter des règles prudentielles ». Ce n’est pas vraiment un repaire de marxistes.
Le produit intérieur brut de la France, soit le total des richesses produites en une année, s’élève en 2009 à plus de 1 800 milliards d’Euros. C’est donc un pays riche. Lorsque ces économistes disent que la part des salaires dans cette richesse a perdu 9,3%, il s’agit de 167 milliards qui sont passés de la poche des salariés dans celle des banquiers, fonds de pensions, etc.
Lorsqu’on veut s’attaquer au système, une grande confusion est entretenue par les profiteurs et les professeurs d’économie orthodoxe. Ils veulent imposer la pensée selon laquelle, lorsqu’on s’attaque aux riches, on s’attaque aux entreprises. Or il n’y a rien de plus faux. Les riches actuels, sont les prédateurs des entreprises et du monde du travail. D’ailleurs n’est-ce pas aujourd’hui la bourse qui impose la cadence alors qu’elle a été créée pour aider l’entreprise et son investissement ?
C’est un système mafieux qui est entretenu par les partisans de la mondialisation, de la concurrence libre et non faussée, par ceux qui nous expliquent que la libéralisation des marchés est un bienfait tout en augmentant de 20% le prix du gaz et de l’électricité libérés !
C’est donc un choix politique du gouvernement actuel et de sa bande de supporters qui font payer la crise à ceux qui en ont le moins !
Enfin il est un fait qui doit nous rassurer. Les Tunisiens, les Egyptiens et tous les habitants des pays du Maghreb ne se battent pas pour imposer l’islam, mais pour conquérir leur liberté, un emploi et un revenu décent !
Ne nous trompons pas de cible !
C’est une lutte internationale qui est le fruit d’un mal international. La mondialisation des pertes et la concentration des profits.
Et si nous prenions le chemin de la Bastille ?
[2] FO hebdo février 2011 repris dans Marianne du 3 février 2011
[3] Votre traité constitutionnel Européen : Résultat du Congrès (sénateurs et députés) : 560 pour, 181 contre et 167 abstentions ce qui ne correspond en rien au 55% de votes contre exprimés par les Français le 29 mai 2005.
[4] Anne-Marie Le Pourhiet-politologue - Professeur de Droit Public à l'université Rennes-I. Le Monde - 12 mars 2005
[5] Le Monde du 11 mars 2005-Qui veut de la post-démocratie ? par Anne-Marie Le Pourhiet - Professeur de Droit Constitutionnel.
par Gardarist mardi 1er mars 2011 - 70 réactions
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Boris BOILLON...Ambassadeur de France!
27/02/2011 19:33
20 février 2011
Lettre ouverte à Monsieur Boris Boillon, Ambassadeur de France en Tunisie
Salah HORCHANI
Monsieur l’Ambassadeur,
Tout d’abord, Monsieur l’Ambassadeur, permettez-moi de vous dire que, comme bon nombre de mes compatriotes avisés, j’ai été choqué par la manière dont vous avez été nommé Ambassadeur dans notre pays. En effet, contrairement à la procédure adoptée par tous les pays du Monde pour de telles nominations, procédure qui constitue l’abc des Protocoles Diplomatiques, votre Gouvernement a préféré suivre, pour votre nomination, un chemin bien singulier, pour le genre, qui s’apparente, plutôt, à la désignation des Hauts Fonctionnaires opérant à l’intérieur des frontières, tels que, par exemples, les Préfets ou des Dirigeants des Grandes Institutions Etatiques : vous avez été nommé comme Ambassadeur de France en Tunisie par décision du Conseil des Ministres du 26 janvier 2011, dans la précipitation et sans aucune consultation préliminaire des Autorités tunisiennes ; étant donné qu’à cette date, il y avait vacance de Gouvernement en Tunisie et les tractations étaient à leur comble pour constituer un Cabinet consensuel. Alors que la déontologie en la matière exige qu’un Ambassadeur ne soit jamais désigné sans avoir, au préalable, consulté le Ministère des Affaires étrangères du Pays d’accueil ; et l’on attend l’agrément du dit Pays, avant de proposer au Conseil des Ministres ladite désignation ; qui plus est, dans l’Histoire de la Diplomatie, il existe bien des cas où le Pays d’accueil a émis des réserves sur le nom proposé.
Ensuite, Monsieur l’Ambassadeur, depuis votre arrivée à Tunis, le mercredi 16 courant, vous avez multiplié, tous azimuts les apparitions médiatiques (France 24, Nessma Tv, radios …), jonglant entre le français et un arabe parfait, en tant que diplômé de l’Institut National des Langues et Civilisations Orientales, et se montrant, bienveillant, coopératif et très ouvert ; à tel point que nous avons oublié votre réputation de « néoconservateur à la française » et vos prises de position légitimant la Stratégie de G.W.Bush dans son intervention en Irak, et ce jusqu’à affirmer : « L’Irak est le vrai laboratoire de la Démocratie dans le monde arabe, c’est là que se joue l’avenir de la Démocratie dans la région. Potentiellement, l’Irak peut devenir un modèle politique pour ses voisins et qu’on le veuille ou non, tout cela a été obtenu grâce à l’intervention américaine de 2003 » et juger « que le bilan de la guerre en Irak est globalement positif ».
Cette réussite de vos premiers pas en Tunisie a été renforcée par les visites que vous avez rendues, dans la foulée, à la Ligue Tunisienne des Droits de l’Homme et à l’Association Tunisienne des Femmes Démocrates.
Puis vint le fameux déjeuner que vous avez offert à un groupe de journalistes à votre Résidence de la Marsa. Juste après ce déjeuner, une vidéo a circulé sur Face book retraçant quelques échanges que vous avez eus avec vos invités, principalement avec deux dames-journalistes tunisiennes.
Monsieur l’Ambassadeur, je tiens à vous informer que, comme bon nombre de mes compatriotes, l’examen de cette vidéo nous a bouleversés et, au vu de vos déclarations et de votre gestuelle qui y sont contenues, il faut être prévenu pour arriver à croire qu’il s’agit d’une vidéo tournée lors d’un premier contact d’un Ambassadeur, fraîchement nommé, avec un groupe de Journalistes du Pays d’accueil. Monsieur l’Ambassadeur, permettez-moi de vous dire que vous avez perdu, complètement, votre self-control quand, d’abord, au milieu du repas, l’une de ces dames-journalistes vous a posé une question sur « l’Affaire Michèle Alliot-Marie ». Et ce fut alors de votre part un cocktail de répliques, certainement, inédit dans les Annales Diplomatiques : « N’essayez pas de me faire tomber sur des sujets débiles. Je ne suis pas prêt à me mettre dans des situations comme ça », « Franchement, franchement… Vous croyez que je suis de ce niveau là ? Vous croyez que je suis dans la petite phrase ? », « Moi je suis là pour exposer une philosophie »(sic), « Je ne suis pas là pour me mettre dans des citations : il a dit ça, il a dit ça »,…Ensuite, vous l’avez re-perdu ( votre self-control), juste à la fin du repas, quand l’autre dame-journaliste, probablement abasourdie par ce premier cocktail, vous a posé une question sur votre âge (41 ans) « qui pourrait inspirer quelque inquiétude aux Tunisiens » a-t-elle-dit ( Ah ! ces tunisiennes, qu’est ce quelles sont perspicaces !). Et ce fut alors le bouquet. Votre réponse fut : « Laissez-moi débuter ma mission. Je suis un Ambassadeur. Respectez-moi. Stop, c’est fini… C’est lamentable ! », avant que vous poussiez, agressivement, de votre main le micro que vous tendait, gentiment, ladite dame et que vous partiez, furieux et excité, sans un mot d’au revoir pour vos hôtes. Puis-je me permettre, Monsieur l’Ambassadeur, de vous rappeler que l’un des mots d’ordre de notre « Révolution de Jasmin » est « Dignité » et que, par votre comportement, vous n’avez pas respecté celle des dites dames-journalistes.
Avec le sacrifice de la composante Droits de l’Homme, dans les relations qu’a entretenues votre Ministre de tutelle avec le Régime Ben Ali et ses suppôts, et ce jusqu’à son agonie, et avec vos impairs rapportés ci-dessus, permettez-moi , Monsieur l’Ambassadeur, sans vouloir vous faire de la peine, de vous avouer, sincèrement, que je ressens une profonde nostalgie du temps où l’occupant de la Résidence de la Marsa s’appelait Eric Rouleau ou Jacques Lanxade, et du temps ou le responsable du Quai d’Orsay s’appelait Dominique de Villepin (et pourtant je suis de sensibilité de gauche !).
Je vous prie de croire, Monsieur l’Ambassadeur à l’expression de mon profond respect.
HORCHANI Salah
Professeur à la Faculté des Sciences De Tunis
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DSK mis en cause devant le TGI de Paris
27/02/2011 16:33
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DSK mis en cause devant le TGI de Paris
27/02/2011 16:17
Communiqué de Presse
Politique de Vie - 18 février 2011
Dominique Strauss-Kahn mis en cause devant le TGI de Paris pour son implication dans une escroquerie internationale à 22 milliards de dollars
Le 20 septembre 2010, Maître Dominique Kounkou, avocat de Christian Basano, assignait l’Agent Judiciaire du Trésor (AJT) pour faute lourde de l’État devant le TGI de Paris, dans une affaire complexe d’escroquerie internationale, dans laquelle M. Dominique Strauss-Kahn fut un acteur particulièrement impliqué comme Ministre de l’Industrie du gouvernement Cresson en 1991.
L’on trouvera ci-dessous les premières pages de l’assignation, actuellement en instance devant la Première Chambre du TGI de Paris. Une enquête approfondie devra être diligentée par ce Tribunal dans les prochains mois. Les conclusions en réponse de l’AJT dans cette affaire sont attendues à la prochaine audience du 16 mars prochain. Texte complet de l’assignation en téléchargement ci-dessous.
Christian Cotten, Président de Politique de Vie.
politiquedevie@orange.fr - Tél. : 06 89 52 06 41
Christian Basano : 06 13 25 37 66 - basa888@gmail.com
ASSIGNATION DEVANT
LE TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE DE PARIS
L’an deux mille dix
Et le : 20 septembre 2010
À la requête de :
Christian BASANO, né le 12/07/1957 à NICE, demeurant 19 avenue Albert 1er - 81100 CASTRES. Expert-comptable diplômé, ancien commissaire aux comptes. Tél. : 06 13 25 37 66 basa888@gmail.com
Ayant pour Avocat constitué :
Maître Dominique Kounkou - SCM Avocap - 11 quai de Conti - 75006 PARIS Tél. : 01.82.01.74.41 - Pl : 06.80.65.92.37 - cabinetkounkou@yahoo.fr Palais : E 1108
Auprès de qui domicile est élu pour les présentes et ses suites.
Nous, huissiers, Florence Alévêque, Paris
Assignons :
M. l’Agent Judiciaire du Trésor, demeurant au 6 rue Louise Weiss 75703 PARIS CEDEX 03,
À COMPARAITRE À QUINZAINE FRANCHE, délai de la loi, par-devant le :
TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE de Paris, 4 bd du Palais – 75001 PARIS
aux heures habituelles des audiences et à toutes audiences suivantes et utiles au besoin.
Lui déclarant qu'il devra constituer avocat inscrit près ledit Tribunal, dans les quinze jours des présentes et que, faute de constitution dans ce délai, un jugement pourra être pris contre lui.
Lui indiquant en outre que faute de comparaître, il s'expose à ce qu'un jugement soit rendu contre lui sur les seuls éléments fournis par son adversaire.
OBJET DE LA DEMANDE
Condamner l’État français à réparer le préjudice causé à M. Christian BASANO des faits de déni de justice et faute lourde de l’État dont il est victime depuis bientôt dix ans.
M. Christian BASANO a été victime d'usurpation d'identité, faux et usage de faux, vol et recels dans l'affaire dite KUWAIT Gate, de 1991 à ce jour.
En substance :
1991 : M. BASANO travaille avec le Koweït sur un projet d'extinction des puits de pétrole en feu, suite à la guerre du Golfe, dont le concepteur est M. Joseph FERRAYÉ.
À cause de ses origines libanaises, le concepteur ne peut obtenir de visa pour le Koweït. M. BASANO et ses associés doivent le représenter dans la négociation. Ils se rendent donc au Koweït. Une fois sur place, ils remettront leurs passeports, qui seront gardés par les autorités pendant tout leur séjour.
Arrivés au Koweït, M. BASANO et ses associés découvrent qu'une autre société française a obtenu le marché d'extinction des puits de pétrole. Cette société était fortement recommandée par M. Dominique STRAUSS-KAHN, qui écrit le 26 juillet 1991 à M. Hammoud Abdallah AL RAQBAH, Ministre du pétrole de l’Émirat du Koweït.
M. Dominique STRAUSS-KAHN était à l'époque des faits le Ministre délégué à l'Industrie et au Commerce Extérieur du gouvernement de Mme Edith Cresson. Il écrit le 26 juillet 1991 alors que les brevets utilisés ont été déposés à l'INPI 3 mois auparavant, les 11 avril 91, 16 avril 91 et 2 mai 91 par M. Joseph FERRAYÉ.
14 juin 1991 : M. Christian BASANO et ses associés envoient un devis au directeur de Kuwait Bank pour un montant de 22 milliards US $. Maître MOTU, célèbre notaire de nationalité suisse, légalisera des comptes pour 23 005 341 300 US $ le 16 novembre 1995.
Août 1995 : M. LEVAVASSEUR, ancien agent de la DST, informe M. BASANO que celui-ci est titulaire de plusieurs comptes sur les livres des banques étrangères sur lesquels ont transité plus de 8 milliards de dollars américains, dont il a été désigné A.D.E.R. (Ayant Droit Économique Réel).
Des comptes que M. BASANO n'a jamais demandé d'ouvrir à quiconque, pourtant ouverts avec les noms des bénéficiaires et des montants qui correspondent au devis établi par M. BASANO.
Les virements ont été effectués à partir d'un contrat légalisé par l'Ambassade de France, signé entre une société P.B.E. OIL inconnue de M. Christian BASANO, qui en est pourtant désigné comme associé, shareholder, et le Ministère des Affaires Étrangères du Koweït.
Vraie fausse société qui, selon Infogreffe, a cessé toute activité le 7 avril 1989.
L’identité usurpée de M. Christian BASANO aura servi à transférer 23 milliards US $ destinés à celui et ceux qui ont utilisé pour leur propre enrichissement illicite les dysfonctionnements des services de l'État français (INPI, IFP, Horwell et les services de l'ambassade de France au Koweït).
Usurpation d'identité, faux, usages de faux, vol et recels auront permis aux acteurs impliqués de monter une vaste escroquerie internationale dont M. BASANO est une des victimes.
Plusieurs procédures ont été entreprises par M. BASANO, notamment une plainte déposée le 5 mai 2008 par-devant M. le Procureur de la République du Tribunal de Grande Instance de Paris, classées sans suite. Plusieurs courriers ont été expédiés aux Ministres de finances et d'Economie respectifs, sans aucune réponse consistante.
Depuis ces évènements, aucune autorité politique, administrative ou judiciaire n’a pu, su ou voulu lui indiquer une voie de recours, en violation de l’article 6 de la CEDH et ce, malgré de multiples démarches et procédures qui ont en permanence interrompu toute prescription.
FAITS ET PROCÉDURES
1. Attendu que le 11 avril 1991, le 16 avril et 2 mai 91 M. Joseph FERRAYÉ, chercheur français d'origine libanaise, dépose auprès de l'Institut National pour la Protection Industrielle (ci-après INPI) plusieurs brevets sur l'extinction des puits de pétrole en feu sans utilisation de la dynamite.
(Pièce n°1 : trois brevets enregistrés par l'INPI).
Qu'il charge de mission de gestion de ses brevets M. Christian BASANO à l'époque Expert-Comptable et Commissaire aux Comptes à Nice. Celui-ci devait discuter les conditions financières d'intervention sur les champs des puits de pétrole en feu et finaliser le contrat.
Que dans le cadre de cette mission, M. BASANO entreprendra de négocier un contrat avec les autorités de Koweït.
Que dans ce contexte, M. BASANO et ses collaborateurs furent invités au Koweït.
Qu'une fois arrivés au Koweït, ils réalisèrent qu'une filiale de l'Institut Français du Pétrole, Horwell, s'était emparée du marché en exploitant sans licence les procédés brevetés par le mandant de M. BASANO, l'inventeur Joseph FERRAYÉ.
2. Attendu qu'une telle situation ne peut s'expliquer que par un dysfonctionnement des services de l'État français et notamment de l'INPI.
Qu'alors que toutes les vérifications nationales et internationales sur l'antériorité ont été effectuées avant la validation des brevets de M. Joseph FERRAYÉ, il est curieux de constater que l’Agence Horwell est une filiale de l'Institut Français du Pétrole (I.F.P.), contrôlée à 33% par la holding Isis contrôlée par l'I.FP. à 60%.
Que le dysfonctionnement devient compréhensible lorsqu'on sait que l'Institut Français du Pétrole est placé sous autorité du Ministère de l'Industrie et du Commerce Extérieur et que l'on découvre que c'est ce ministère qui a recommandé Horwell auprès de la Kuwait Petroleum Company pour une négociation de contrat d’utilisation des procédés des brevets dont il n'avait en aucun cas obtenu la moindre licence de la part de l’inventeur.
3 - Attendu que pour comprendre le lien entre le dépôt des brevets à l'INPI et l'exploitation frauduleuse qu'en fait l'Agence Horwell, il faut savoir d'une part que le 26 juillet 1991, M. Dominique STRAUSS-KAHN est Ministre délégué à l'Industrie et au Commerce Extérieur en plein exercice dans le Gouvernement de Mme Édith CRESSON, alors Premier Ministre sous la Présidence de M. François MITTERRAND.
Que d'autre part, c'est bien M. Dominique STRAUSS-KAHN, en sa qualité de Ministre délégué à l'Industrie et au Commerce Extérieur, qui écrivait à M. Hammoud Abdallah AL RAQBAH, Ministre du pétrole de l'Émirat du Koweït, une lettre qui engageait l'État français et dans laquelle il recommandait l'Agence Horwell.
Qu'enfin le détournement par l'Agence Horwell des brevets enregistrés à l'INPI a été particulièrement facilité par le Décret n° 91-432 du 13 mai 1991, signé Michel ROCARD, Premier Ministre de l'époque, qui a mis l'INPI sous l'autorité directe du Ministre de l'Industrie qui était Dominique STRAUSS-KAHN.
(Pièce n° 2 : décret pris par Michel ROCARD)
Qu'il est clair, à partir de tout ce qui précède, que M. le Ministre Dominique STRAUSS-KAHN fut très bien informé du dépôt de ces brevets, puisque l'INPI, dépositaire, était l’un de ses services et qu'il a très simplement affecté l'exploitation des brevets nouvellement déposés à la société Horwell qui n'était à l'époque des faits qu’une coquille quasiment vide, comme l'atteste le relevé du registre de commerce (R.C. Nanterre B 317385433).
(Pièce n° 3 : relevé Infogreffe Horwell).
Que dans ce contexte cette lettre du 26 juillet 1991 de M. Dominique STRAUSS-KAHN, Ministre Délégué auprès du Ministre d'État chargé de l'Industrie et du Commerce Extérieur engage totalement la responsabilité de l'État français.
M. le Ministre,
J'ai été informé de l'intention de la Kuwait Petroleum Company de conclure un contrat avec le consortium français conduit par Horwell en vue d'éteindre des puits sur certains champs pétroliers de votre pays.
Le gouvernement français est très sensible à cette intention.
Il souhaite vous confirmer toute la confiance qu'il a dans les capacités de ce consortium de mener à bien une telle mission.
En espérant que les négociations en cours pourront aboutir aussi vite que possible, et en vous remerciant pour votre aide, je vous prie de croire, M. le Ministre, à l'expression de mes sentiments les meilleurs.
(Pièce n° 4 : courrier de Dominique STRAUSS-KAHN)
Que cette responsabilité sera totale d'abord dans ce détournement des procédés d'extinction des puits de pétrole en feu au Koweït.
Qu'elle le sera ensuite, dans l'attribution illicite du marché d'extinction des puits de pétrole en feu au Koweït à Horwell en lieu et place de l'équipe conduite par M. BASANO.
Que cette responsabilité sera enfin pleine et entière dans l'usurpation des identités qui finira toute la manoeuvre frauduleuse et le détournement des fonds, dont celle de M. Christian BASANO pour ouvrir des comptes, sans avis des titulaires, où transiteront des sommes dont les concernés ne seront jamais les bénéficiaires.
4. Attendu que ces sommes seront strictement conformes aux devis établis par M. Christian BASANO.
Que les comptes avaient pour titulaires exactement les partenaires de M. Christian BASANO.
Que l'exposant montrera qu'une société, dont M. Christian BASANO sera porté associé à son insu, déjà liquidée en France, sera utilisée pour signer le contrat de transfert des fonds dans les comptes à identités usurpées légalisés en pleine conscience par l'Ambassade de France au Koweït.
Qu'il ressort de tous ces éléments que l'État français a commis des fautes lourdes.
5. Attendu que dès l’envoi de cette lettre précédemment reproduite, un mécanisme de nuisance et de répression contre M. BASANO s'est mis en place.
Qu'ainsi il fallait déstabiliser M. Christian BASANO, témoin gênant d’une vaste escroquerie financière internationale. Il sentira la menace de mort peser sur lui et ses collaborateurs pendant tout leur séjour au Koweït. L'ambassadeur de France en poste, M. Jean BRESSOT, les recevra avec des menaces verbales.
Que quelques années plus tard, il sera radié du tableau de l'Ordre des Experts-Comptables sous le prétexte d’un retard de paiement de 1 913,12 € puis sera soumis à un contrôle fiscal injustifiable.
Qu'on se rappellera que la France a déjà maintes fois a été condamnée par la C.J.E. pour des radiations similaires et des pratiques semblables.
Qu'il est aussi à noter que sur le contrôle fiscal, la Direction Générale des Impôts refusera de donner des réponses attendues par les autorités administratives américaines et que la Banque Royale du Canada, qui s'est proposée en témoin de l'enquête, n'a eu de la D.G.I aucune interrogation.
Qu'ainsi ce contrôle fiscal n'avait d’autre but que de nuire à M. BASANO.
6. Attendu qu'en sa qualité d'épouse de M. Dominique STRAUSS-KAHN, Mme Anne Sinclair, haute personnalité de TF1, a fait annuler le reportage sur l'extinction des puits de pétrole en feu au Koweït préenregistré dans l'émission « Sans aucun doute » du 12 mai 2000.
Que la journaliste Sophie COIGNARD dans son livre Le rapport OMERTA 2002 interroge le journaliste Bernard NICOLAS qui avait fait un reportage sur cette affaire et était présent sur le plateau de l'émission du 12 mai 2000.
Que celui-ci (page 261), à la question : Vous avez été victime de censure dans l'exercice de votre métier ? répondra :
Plusieurs fois. Dès qu'il était question de personnage politique de premier plan, les ennuis commençaient à TF1...
Une fois, j'avais fait un reportage sur une histoire politico-financière compliquée qui devait passer dans l'émission de Julien COURBET.
Dans la journée une auto-publicité annonce le thème de mon enquête. La direction de TF1 s'inquiète : cette affaire peut-elle être gênante pour Dominique STRAUSS-KAHN ?... J'étais interloqué : rien n'indiquait dans mon enquête que DSK fut mêlé en quoi que ce soit à cette affaire. Soit on se trompait en haut lieu, soit on en savait plus long que moi... Les téléspectateurs qui ont vu la bande-annonce n'ont jamais vu la suite... »
Que dans l'article de la revue Entrevues, ce reportage est visible.
(Pièce n° 5 : Entrevues : Reportage censuré Affaire étouffée)
Que M. Christian BASANO figurait dans ce reportage censuré.
Que de son côté M. Denis ROBERT, qui a dénoncé les mécanisme de corruption du système Clearstream écrira dans son deuxième livre sur l'affaire Clearstream, La boîte noire au chapitre 13 :
L'expert-comptable niçois, Christian BASANO, est un héros malheureux d'une histoire très complexe liée à l'affaire du Golfe. Au lendemain du conflit, des Koweitiens aidés par des complices occidentaux auraient détourné 16 milliards de dollars provenant de l'aide internationale (et donc des banques de plusieurs pays). Ces fonds devaient en principe financer l'extinction des puits de pétrole koweitiens, selon une méthode imaginée par un chercheur génial ayant déposé un brevet. Christian BASANO était alors un proche de ce chercheur. Avec lui, il avait créé une société et envoyé des photocopies de son passeport pour obtenir un visa koweïtien.
L'affaire BASANO a commencé quand ce dernier s'est rendu compte, quelques années plus tard, qu'on s'était servi de son identité et de ses papiers pour transférer, via une banque hollandaise, des fonds provenant du Koweït. Ces fonds sont investis en titres grâce à un compte non publié de Clearstream. Christian BASANO se déplacera jusqu'à Luxembourg et livrera ses documents aux autorités grand-ducales. On y trouve la liste des références précises de tous ces comptes.
(…).
Texte complet de l’assignation à télécharger ici en pdf
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