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Exclusif MARIANNE: affaire Tapie. Des fonctionnaires soupçonnés de falsification!
31/03/2011 15:58
Exclusif: affaire Tapie. Des fonctionnaires soupçonnés de falsification!
Emmanuel Lévy - Marianne | Jeudi 31 Mars 2011 à 15:00 | Lu 1601 fois
Le rapport de la cour des comptes sur l'affaire Tapie que Marianne a pu consulter est accablant. La Commission des Finances de l'Assemblée s'appréte à le rendre public. Pour toucher ses millions Tapie aurait profité d'un faux en écriture de la part de hauts fonctionnaires. Une falsification qui pourrait être télécommandé depuis Bercy.
Capture d'écran europe1.fr
Nouveaux rebondissements dans l’affaire Adidas qui oppose Bernard Tapie au Crédit Lyonnais. Suite à la décision rocambolesque d’un tribunal d’arbitrage l’homme d’affaire est reparti avec un chèque de 260 millions d’euros. Marianne a pu consulter un rapport explosif de la première chambre de la Cour des comptes. Nos confrères du Nouvel Obs en ont déjà fait mention. Ils ont révélé, dans leur édition du 24 mars, que deux hauts fonctionnaires Jean-François Rocchi, le président du CDR, l’établissement public en charge des dettes du Crédit Lyonnais, et Bernard Scemama, le président de l'EPFR, qui chapote le CDR, étaient renvoyés devant la cour de discipline budgétaire. L’affaire devait donc être grave. Elle l’est bien puisque Marianne peut aujourd’hui donner le motif de l’accusation: falsification.
Si le mot n’est pas inscrit en toute lettre dans le document, les magistrats ne disent rien d’autres avec leurs pincettes légendaires. « Le compromis est signé le 16 novembre 2007. Sa version diffère de celle approuvée par le Conseil d’administration (NDLR : du CDR) du 2 octobre sur un point important tenant à la qualification de la demande d’indemnisation des époux Tapie. »
Kesako ? L’explication vient plus loin. Le compromis est la base sur laquelle le CDR, était prêt à passer un deal avec les époux Tapie. Ce texte a été voté lors d’un conseil d’administration du 2 octobre. Dans sa version initiale, note la cour, il est ainsi rédigé :
«Les parties b (NDLR : CDR et EPFR) limitent le montant de l’ensemble leurs (NDLR : des époux Tapie) demandes d’indemnisation à 50 millions d’euros. »
Mais, comme « la rédaction (…) a été remplacée » ce qui donne dans sa version modifiée :
« Les parties b limitent le montant de l’ensemble leurs demandes d’indemnisation, d’un préjudice moral, à 50 millions d’euros. »
Autrement dit, quelqu’un aurait ajouté les mots « d’un préjudice moral ». Ce qui n’est plus du tout la même chose….puisque l’on passe d’un plafond sur le montant global engageant l’Etat, à une limite sur le seul préjudice moral, une des nombreuses demandes des époux Tapie…. La Cour des comptes rappelle la volonté de limiter les traces. En effet, après avoir distribué aux cinq autres administrateurs du CDR un projet de compromis, François Rocchi, le président du CDR, a ramassé les copies, comme le note malicieusement les magistrats : « un projet de délibération est remis aux administrateurs, il est restitué en fin de réunion »
C’est le principal des multiples « cafouillages » que note la cour, et qui constitue, sans doute, le chapitre le plus important du rapport qui en compte 5. Il s’intitule d’ailleurs : « De nombreux dysfonctionnements affectent les processus décisionnels impliquant le CDR et l’EPFR. » Pudique, les autres chapitres évoquent des points déjà abordés par Marianne de l’affaire : « III./Le compromis d’arbitrage présente des risques », « IV./ La validité juridique du recours a l’arbitrage est incertaine », « V./ Un recours en annulation de la sentence arbitrale n’était pas à exclure. »
Marianne avait déjà évoqué les doutes de la cours des comptes sur la procédure choisie par le CDR. En lieu et place de la justice ordinaire, l’organe en charge des dettes du Crédit Lyonnais avait préféré se placer dans les mains d’un tribunal arbitral. Mais après enquête des magistrats de la rue Cambon, le scandale est bien plus important. Non seulement, les administrateurs de cet établissement public n’avaient pas le droit d’aller à l’arbitrage sans un vote de l’Assemblée nationale, mais ceux-ci semblent avoir de plus avoir été manipulés.
Décidemment, Bernard Tapie, pour obtenir ses 260 millions d’euros, aura bénéficié d’un incroyable enchainement de maladresses, de cafouillages, et autres dysfonctionnements, dont chacun pris individuellement étonne mais qui pris ensemble font finalement système.
La balle est à présent dans le camp de Jean-François Bénard. C’est à lui, le procureur général qui excerce le ministère public près de la cour des comptes, qu’on été déféré les deux fonctionnaires. Ils sont lestés d’un épais dossier, mais ont pour eux les ordres de missions de Christine Lagarde, la ministre de l’économie. Bonne nouvelle : Jean-François Bénard est totalement indépendant. Mauvaise nouvelle, il ne rend de compte à personne et peut très bien classer l’affaire, sans pour cela avoir à se justifier auprès de qui que se soit.
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Serbie : 10.000 « faux demandeurs d’asile » dans l’Union européenne .Quant aux albanophones et bosniaques ...
31/03/2011 15:49
Serbie : 10.000 « faux demandeurs d’asile » dans l’Union européenne
Traduit par Persa Aligrudić
Sur la Toile :
Publié dans la presse : 6 mars 2011
Mise en ligne : lundi 28 mars 2011
L’Union européenne a fait face en 2010 à une très forte hausse de demandeurs d’asile originaires de Serbie. Cet afflux inquiète Belgrade, qui redoute que la libéralisation du régime des visas puisse être remise en cause. Zorana Vlatković, conseillère du ministre de l’Intérieur pour l’intégration européenne, dénonce les « faux demandeurs d’asile » et rappelle les actions menées par la Serbie pour lutter contre ce phénomène.
Propos recueillis par Lidija Valtner
Danas (D.) : Quelles sont les données dont dispose le ministère de l’Intérieur serbe (MUP) sur le nombre de demandeurs d’asile en Allemagne, en Suède, en Belgique, en Autriche ?
Zorana Vlatković (Z.V.) : D’après les statistiques d’Eurostat, plus de 10.000 citoyens de Serbie ont demandé l’asile dans les pays membres de l’UE e 2010. La première vague, en mars, a déferlé surtout sur la Belgique mais, grâce à une collaboration efficace avec les autorités belges, nous avons pu la réfréner. La plupart des demandeurs étaient des réfugiés économiques issus de la minorité albanaise du sud de la Serbie. Il faut souligner que le droit d’asile est accordé comme une mesure de protection en cas d’expulsion systématique d’individus ou de groupes par des régimes non démocratiques. Il était donc évident que ce n’était pas le cas pour nos citoyens et c’est pourquoi nous utilisons le terme de « faux demandeurs d’asile ». Ce sont des personnes qui se sont renseignées, et ont appris que la procédure d’admission à l’asile durait plusieurs mois pendant lesquels les demandeurs bénéficiaient de l’assurance sociale, du logement, de la nourriture et d’autres prestations sociales de l’État... La plupart des demandes ont été refusées, certains demandeurs sont revenus volontairement et d’autres ont été renvoyés selon la procédure prévue par l’Accord de réadmission. La deuxième vague s’est manifestée à l’automne 2010 avec des demandes d’asile adressées à la Suède, l’Allemagne et la Belgique. Cette fois, ce sont surtout nos ressortissants rroms qui ont demandé l’asile à ces pays car ils accordaient les plus grands privilèges pendant la procédure d’admission. De nouveau, la plupart des demandeurs ont été renvoyés et les pays intéressés ont modifié leurs règlements et supprimé les prestations pécuniaires. Les premières données disponibles pour 2011 montrent une nette baisse des demandes d’asile soumises par des citoyens de Serbie.
Retrouvez notre dossier : Visas : les portes de l’Europe s’ouvrent pour les ressortissants des Balkans
Découvrez notre cahier : Migrants des Balkans
D. : Ces chiffres représentent un sérieux problème, ces pays ont-ils demandé aux autorités serbes de prendre des mesures à ce sujet ?
Z. V. : Bien sûr, le nombre de demandeurs d’asile dans l’Union est inquiétant et, dès le premier signal d’avertissement de l’UE, la Serbie a pris des mesures pour stopper ce phénomène. Nous ne sous-estimons pas le problème, mais nous pensons pour le moment que la libéralisation des visas n’est pas menacée. C’est un phénomène qui touche tous les pays qui ont obtenu la libéralisation des visas. La Roumanie est également confrontée à ce problème, mais nous croyons qu’avec la mise en place d’actions systématiques de l’État, avec l’aide des institutions de l’UE, et surtout une bonne collaboration avec les pays concernés, nous pourrons remédier significativement à cette situation.
D. : Quelles sont les principales tâches de la Commission de suivi des obligations liées à la libéralisation des visas ?
Z. V. : En raison de l’importance de ce problème, cette Commission, dirigée par le MUP (ministère de l’Intérieur, NdT), réunit des membres provenant des divers ministères et institutions. Le MUP est en principe chargé des conséquences, c’est-à-dire du retour de nos citoyens qui ont abusé du droit à l’asile. Il faut mettre l’accent sur la prévention, expliquer aux gens quels sont leurs droits, ce que signifie la libéralisation des visas, en leur rappelant que l’asile n’est pas une solution à leurs problèmes économiques.
D. : Le contrôle des frontières sera-t-il à l’avenir plus rigoureux et de quelle manière ? Les citoyens peuvent-ils s’attendre à des changements au passage des frontières ?
Z. V. : Le régime du passage des frontières restera inchangé, mais un contrôle plus sévère sera instauré pour déterminer le but du voyage et vérifier si les voyageurs ont suffisamment de ressources pour séjourner à l’étranger, ce qui est d’ailleurs contrôlé par la police des pays membres de l’UE lors de l’entrée dans ces pays.
D. : Comme le problème des faux demandeurs d’asile s’est manifesté quelques mois après la suppression des visas, est-ce que le MUP a enquêté sur les agences qui organise les voyages de ces demandeurs d’asile ? Ces actions se poursuivent-elles ?
Z. V. : Naturellement, les services du MUP vérifient constamment ces demandes et si les départs de nos citoyens à l’étranger sont organisés. Les entreprises de transport et les agences de voyages sont particulièrement contrôlées et, à cette fin, une collaboration efficace a été établie avec les polices d’Allemagne, de Belgique et de Suède, et surtout avec celle de Macédoine, car il s’agit souvent d’agences qui organisent le transport de Serbie et de Macédoine jusqu’à la même destination en Europe occidentale. Nous échangeons réciproquement nos informations qui sont constamment vérifiées.
D. : Comment fonctionne le système intégré aux frontières avec les pays de l’UE voisins de la Serbie ?
Z. V. : L’une des principales conditions pour entamer les discussions avec l’UE sur la suppression des visas était de modifier complètement le système de gestion des frontières, des visas, de l’asile et des migrations : le MUP devait mettre en oeuvre les réformes les plus importantes. Actuellement, nous pouvons dire que nous sommes en avance sur l’UE. Par exemple, la Serbie est, avec l’Allemagne, le seul pays qui a introduit dans les passeports biométriques un composant de deuxième génération. Il prend en compte les empreintes digitales, un critère qui sera introduit ultérieurement comme norme européenne. En fait, nous avons dû faire de gros investissements pour produire les documents biométriques et, comme le matériel devient rapidement obsolète, nous avons dû aller au-delà des normes européennes, pour ne pas devoir plus tard acheter encore un nouveau matériel. La mise en place d’un système de gestion intégré aux frontières implique une coordination de tous les services frontaliers au niveau central, régional et local, ainsi qu’une collaboration avec les frontières des pays voisins tout en respectant les normes et les procédures européennes. Après plusieurs missions d’experts européens effectuées en Serbie en 2009 afin de vérifier la mise en application des normes en ces domaines, l’UE a décidé d’instaurer la libéralisation des visas.
http://balkans.courriers.info/article17042.html
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Lampedusa inizia a svuotarsi: via i primi 2300 Maroni: "Ma la Tunisia non vuole collaborare" .Naturalmente et inviate gli piu maligni
31/03/2011 15:46
Lampedusa inizia a svuotarsi: via i primi 2300 Maroni: "Ma la Tunisia non vuole collaborare"
Inziano a partire i primi clandestini dall'isola siciliana, ma il ministro dell'Interno lancia l'allarme: "C’era l’impegno della Tunisia per il contrasto dei flussi illegali, ma finora ciò non è avvenuto, così come non c’è disponibilità ad accettare i rimpatri degli 19mila tunisini identificati"
Lampedusa comincia a svuotarsi, ma il presidente del Consiglio, Silvio Berlusconi, ammonisce: il governo tunisino non sta mettendo in atto gli accordi sull’immigrazione stipulati con l’Italia, e ancora: ci sono 5 mila cittadini tunisini che non sono "particolarmente accettabili" da parte dell’Italia e, quindi, vanno rimpatriati. Secondo l’Ue per procedere al rimpatrio degli immigrati clandestini è necessario l’accordo con i Paesi d’origine, lo ha ribadito il portavoce della commissaria Ue agli Affari interni, Cecilia Malmstrom: "Bisogna distinguere fra i rifugiati che hanno diritto alla protezione internazionale, che non rappresentano più del 15/20 per cento di chi è sbarcato a Lampedusa nelle ultime settimane, e quelli che invece sono immigrati irregolari senza titoli per restare in Europa".
"C’era l’impegno della Tunisia per il contrasto dei flussi illegali, ma finora ciò non è avvenuto, così come non c’è disponibilità ad accettare i rimpatri degli 19mila tunisini identificati. Ho chiesto quindi a Berlusconi di sollecitare il primo ministro, se necessario andando a Tunisi". Lo ha detto il ministro dell’Interno, Roberto Maroni, la termine del COnsiglio dei ministri.
Intanto, i 50mila profughi previsti saranno equamente distribuiti nel territorio nazionale in ciascuna regione, escluso l’Abruzzo. In giornata non si sono registrati nuovi sbarchi di migranti a Lampedusa, dove mercoledì erano giunti a più riprese 500 tunisini. Dopo il trasferimento di 1.700 tunisini, sull’isola restano comunque più di 4 mila immigrati che continuano a bivaccare sulla collinetta sovrastante il porto vecchio. Nel centro di accoglienza di contrada Imbriacola procedono le operazioni di fotosegnalamento e prelievo delle impronte digitali necessarie a identificare i migranti che devono essere trasferiti. C’è da registrare che un gruppo di tunisini ha inscenato questa mattina a Lampedusa una protesta per sollecitare trasferimento dall’isola. Gli immigrati hanno bloccato la circolazione in via Roma, nel centro del paese. La manifestazione è stata di breve durata, perchè i tunisini sono stati dispersi dall’intervento dei carabinieri. Attrezzature mediche e altro materiale sanitario è stato rubato dalla tenda allestita dalla Regione siciliana nel porto di Lampedusa per prestare la prima assistenza all’arrivo dei migranti in banchina. Lo ha reso noto l’assessore regionale alla Salute, Massimo Russo, il quale ha sottolineato che era stata richiesta alle forze dell’ordine una vigilanza della struttura, ma che nessun servizio di tal genere è stato predisposto. A seguito del furto, la tenda della Regione è stata disattivata. http://www.ilgiornale.it/interni/lampedusa_inizia_svuotarsi_via_primi_2300_maroni_ma_tunisia_non_vuole_collaborare/lampedusa-clandestini-rimpatri-berlusconi-maroni-tunisia-sicilia-immigrati/31-03-2011/articolo-id=514691-page=0-comments=1
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Estafa al Bundesbank con la ayuda de azafatas de Lufthansa
31/03/2011 15:41
Estafa al Bundesbank con la ayuda de azafatas de Lufthansa
El Bundesbank, el banco central alemán, ha sido víctima de una estafa con un coste mínimo de 20 millones de euros mediante la recompra de monedas que habían sido previamente sacadas de la circulación para reciclar su metal debido a su deficiente estado.
31 Marzo 11 - Berlín - Efe
Miembros del departamento de lucha contra el crimen organizado de la Oficina Federal de Investigación Criminal (BKA) han detenido a seis personas implicadas en la estafa, entre las que figura personal de la compañía aérea Lufthansa, confirmó hoy la fiscalía de Fráncfort. Añadió que cuatro de los detenidos en la operación policial, de edades comprendidas entre los 28 y los 45 años, son de nacionalidad china a los que se acusa de haber manipulado entre 2007 y 2010 unas 29 toneladas de chatarra de monedas con un valor nominal de seis millones de euros. La fiscalía redujo así apreciablemente el daño económico sufrido por el Bundesbank, que el rotativo Bild había cifrado en al menos 20 millones de euros. La fiscalía explicó que agentes de la policía practicaron este miércoles las detenciones y realizaron numerosos registros en viviendas y oficinas de la región del Rin-Meno en torno a la ciudad de Fráncfort. Aunque las monedas de uno y dos euros desechadas eran desmontadas por el Bundesbank, que separaba el aro exterior del núcleo interior, estas volvían a ser montadas en China, desde donde retornaban a Alemania en maletas de azafatas de Lufthansa, que luego las cambiaban en el banco central germano por billetes. La fiscalía de Fráncfort señaló que en la red estaban implicados al menos cuatro miembros del personal de cabina de Lufthansa que volaban regularmente a China y hacían de correos para el retorno del dinero a Alemania. La compañía aérea señaló en un escueto comunicado "haber sido informada por las autoridades competentes sobre la investigación abierta contra distintos empleados" y que no tiene intención de pronunciarse mientras el caso este abierto. La fiscalía encargada del caso subrayó igualmente que ni un solo empleado del Bundesbank es sospechoso de pertenecer a la trama y desmintió así informaciones en ese sentido divulgadas por el tabloide Bild. La estafa comenzaba ya con la compra por parte de una banda organizada de la chatarra que el Bundesbank ponía a la venta para el reciclado del metal de las monedas desechadas, que suponen varias toneladas al año. Los compradores de las monedas desmontadas las enviaban seguidamente en cargamentos declarados como chatarra a China, donde se volvían a montar y se preparaban para su retorno a Alemania en envíos que no superaban los 10.000 euros, el máximo no declarable ante las aduanas germanas. La investigación de la red se inició en 2010 cuando funcionarios de aduanas alemanes en el aeropuerto internacional de Fráncfort observaron a una azafata de Lufthansa que tenía dificultades, debido a su peso, para manipular su equipaje de cabina y que al ser inspeccionado resultó estar lleno de monedas de uno y dos euros. En declaraciones al diario, la fiscal superior de Fráncfort, Doris Möller-Scheu, confirma que los sospechosos han sido acusados, entre otros, cargos, de "poner en circulación dinero falso", toda vez que las monedas habían perdido su legalidad en el momento en que fueron desmontadas por el Bundesbank.
http://www.larazon.es/noticia/6689-estafa-al-bundesbank-con-la-ayuda-de-azafatas-de-lufthansa
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Devine qui vient déjeuner à l’Elysée !, par Philippe Bilger
31/03/2011 15:34
Posté par Novopress dans France, Politique, Société le 31 mars 2011 |
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Les déjeuners du président de la République ne peuvent pas laisser indifférent au point que Raphaëlle Bacqué a consacré à l’un d’eux une pleine page passionnante du Monde. Nicolas Sarkozy avait invité Eric Zemmour, Yann Moix, Denis Tillinac et Alain Carignon. Apparemment, comme il était prévisible, Eric Zemmour qui connaît le président depuis 20 ans a été le plus spontané et le plus direct en face de celui-ci.
Je n’irai pas m’offusquer, comme Claude Askolovitch dans Le Journal du Dimanche, du fait que Zemmour récemment condamné – mais relaxé pour l’essentiel – ait été convié à ce repas. Je ne comparerai pas non plus sa personnalité et sa liberté d’expression à ceux de Tariq Ramadan. Ce qui m’étonne – mais sans doute suis-je un puritain en voie de disparition – est que le président ait confié à Alain Carignon la charge de lui sélectionner pour ces déjeuners quelques intellectuels de droite. Quel dommage à ce titre qu’une femme comme Chantal Delsol, d’une autre pointure évidemment, ait été oubliée. Dans les tribunes libres qu’elle écrit régulièrement pour Le Figaro, qu’on soit d’accord ou non avec elle, à chaque fois elle parvient à donner des lettres de noblesse à la pensée conservatrice parce qu’elle fuit l’outrance comme le simplisme.
Alain Carignon se voit investi de cette mission qui n’est pas négligeable. J’avoue être surpris de ce que lourdement condamné le 9 juillet 1996 par la cour d’appel de Lyon à 5 ans d’emprisonnement dont 1 avec sursis, 5 ans d’inélégibilité et 400 000 francs d’amende pour des infractions de corruption, abus de biens sociaux et subornation de témoins, il soit si bien rentré en grâce que lui revienne ce privilège de la part du président. On peut se rappeler qu’en 2002, lors de la formation de l’UMP, Alain Juppé s’était opposé à son intégration.
Alain Carignon, repris de justice et… intellectuel ?
Le puritanisme que j’évoquais s’étonne qu’au plus haut niveau on tienne pour si peu un passé même purgé. Il est vrai que Nicolas Sarkozy l’a toujours soutenu au nom d’une amitié qu’il revendiquait. Alain Carignon dispose aussi de relais prestigieux comme celui de Bernard-Henri Lévy qui n’a jamais hésité à parler de lui dans son Bloc-notes du Point.
Ces rituels que tous les présidents ont pratiqués laissent un sentiment d’insatisfaction, de frustration. Plus que jamais, en ces temps troublés, on ose se dire que dans chacun des domaines qui structurent la vie démocratique, on rêverait d’avoir un droit à la parole en face du président, déjeuner à la clé ou non. Parce que les officiels qui l’entourent ne brillent pas par la franchise et sont plus enclins à l’approuver qu’à le dissuader…
Pour ma part, et sans vanité, je me serais bien vu lui exprimer à quel point le président n’a pas tenu les promesses du candidat. On est toujours à la recherche d’une politique pénale avec ce que celle-ci impliquerait de réflexion, de cohérence et de continuité. Les mesures éparpillées, fragmentaires, précipitées – au gré de l’actualité, de l’émotion ou d’un décret présidentiel improvisé – sont loin de répondre à ce que la justice et les citoyens attendent. J’avoue que je ne détesterais pas lui montrer que les magistrats ne sont pas « des petits pois » et qu’il n’est pas obligé de les aimer pour les écouter et peut-être les approuver (Le Figaro).
On a le droit de croire à l’impossible.
Texte repris du blog de Philippe Bilger
http://fr.novopress.info/81532/devine-qui-vient-dejeuner-a-lelysee-par-philippe-bilger/
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Italie : chaos et crise au gouvernement sur l’immigration.Les cladestins ,donc ,délinquants car sans visas,ruinent l'ITalie
31/03/2011 15:33
Posté par Novopress dans Europe, Politique, Société le 31 mars 2011 |
< scrolling="no" frameborder="0" style="border: medium none ; overflow: hidden; width: 580px; height: 25px;" allowtransparency="true" src="http://www.facebook.com/plugins/like.php?href=http://fr.novopress.info/81505/italie-chaos-et-crise-au-gouvernement-sur-limmigration/&layout=standard&show_faces=false&width=580&action=recommend&font=verdana&colorscheme=light&locale=fr_FR">>
30/3/2011 – 11h35 ROME (NOVOPress) : Après que le premier ministre Silvio Berlusconi a annoncé que 1 450 Tunisiens supplémentaires arriveraient aujourd’hui au camp de Manduria dans les Pouilles, le sous-secrétaire d’Etat à l’Intérieur, Alfredo Mantovano, a démissionné en signe de protestation, en même temps que le maire de la ville, Paolo Tommasino. Tous deux sont membres du Pdl (parti de Berlusconi). Tant le ministre de la Défense, Ignazio La Russa, que le maire de Rome, Gianni Alemanno, demandent qu’il y ait une « clarification » au gouvernement. « Il faut écouter Mantovano », avertit La Russa.
Pour les clandestins de Lampedusa, Umberto Bossi, le chef de la Ligue du Nord, a la solution : « Cassez-vous ! »
Mantovano, originaire des Pouilles, avait garanti aux habitants que le camp n’accueillerait pas plus de 1 500 immigrés au maximum. Avec les 1 450 embarqués aujourd’hui sur le navire Excelsior en partance de Lampedusa, on approche en réalité le chiffre de 3 000 persones. Ce n’est pas tout. Le camp de Manduria était prévu à l’origine pour accueillir des réfugiés venant de Libye. Jusqu’à présent, pourtant, la majorité des clandestins qui ont envahi Lampedusa est arrivée de Tunisie. Il s’agit donc de clandestins, qui devraient être retenus dans des centres d’identification pour être ensuite expulsés ou rapatriés. Un centre d’identification suppose de garantir la surveillance et la sécurité, absentes jusqu’à présent du camp de Manduria.
Il n’y a pas de chiffres officiels mais plus de 500 étrangers se sont déjà enfuis du camp. Et il est fort probable que les 1 500 Tunisiens supplémentaires qui vont arriver ont l’intention d’en faire autant. Les carabiniers ont dû intervenir la nuit dernière à la gare d’Orio, qui a été littéralement prise d’assaut par les Tunisiens, sortis du camp sans aucune difficulté avant de rejoindre le Nord. Hier, on en a arrêté 23 qui étaient déjà arrivés à Turin. Certains ont été transférés dans un centre d’identification, une dizaine ont été remis en liberté avec l’ordre de quitter l’Italie dans les cinq jours.
[cc] Novopress.info, 2010, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine [http://fr.novopress.info]
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Faux papiers: un réseau démantelé .les cadidats payaient jusqu'à 10 000€.Des damnés de la terre ?
31/03/2011 15:15
Faux papiers: un réseau démantelé
AFP 31/03/2011 | Mise à jour : 14:31 Réactions ()
Sept personnes accusées d'être à la tête d'un des plus gros réseaux français de falsification de papiers d'identité ont été arrêtées en Ile-de-France et mises en examen au terme d'une enquête de plus d'un an, a-t-on appris jeudi de source judiciaire. Centralisée par la Juridiction inter-régionale spécialisée (Jirs) de Nancy et menée par l'Office central pour la répression de l'immigration irrégulière et de l'emploi d'étrangers sans titre (Ocriest), l'enquête a permis de remonter la filière et d'interpeller huit personnes soupçonnées d'être à la tête du réseau, toutes domiciliées en Ile-de-France. Sept ont été mises en examen lundi pour aide à l'immigration irrégulière et association de malfaiteurs, et six d'entre elles ont été placées en détention provisoire. Les bénéficiaires, environ 200 personnes quasiment toutes de nationalité algérienne, ont effectué leur demande de papiers dans toute la France, a précisé à l'AFP le procureur de la Jirs de Nancy, Rémi Coutin. "Les gens se présentaient en mairie avec de fausses factures EDF, de faux actes de naissance et de fausses déclarations de perte de carte d'identité: ils obtenaient ainsi un renouvellement d'une carte d'identité française", a expliqué à l'AFP le capitaine Vincent Graceffa, de la police aux frontières de Metz, selon qui il s'agit "de la plus grosse affaire de ce type en France". Les faussaires se présentaient dans des petites communes relevant de sous-préfectures en espérant que leur supercherie serait moins facilement découverte, a indiqué le policier. "L'obtention des faux documents leur coûtait entre 3.000 et 10.000 euros", a-t-il indiqué.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/03/31/97001-20110331FILWWW00583-faux-papiers-un-reseau-demantele.php
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Parlons Vrai :Mayotte, un Lampedusa français
31/03/2011 01:32
Un nouveau département au large de l’Afrique.
Mayotte, un Lampedusa français
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Ce 31 mars, l’île de Mayotte est devenue le cent unième département français. Un département qui vivra au rythme de l’islam, religion de la quasi-totalité d’une population dont plus de 60 % ne parlent que le malgache ou le swahili. Cette décision a pour origine une promesse électorale du candidat Sarkozy, appliquée par une loi organique et une loi ordinaire promulguées le 7 décembre 2010. À aucun moment, on n’a demandé aux Français s’ils voulaient de ce nouveau département peuplé de 200 000 musulmans et payer de leurs deniers le coût de cette insolite opération.
C’est d’ailleurs parce que l’issue d’une telle consultation risquait d’aller dans un sens contraire à la volonté présidentielle que l’opération a été faite en cachette. En 1962, quand il fut décidé de donner l’indépendance à l’Algérie et donc d’amputer le territoire français des départements algériens, un référendum sollicita l’accord du peuple français ; de même quand on changea le statut de la Nouvelle-Calédonie. Pour Mayotte, rien de semblable : seuls les Mahorais ont été consultés par référendum. Le 29 mars 2009, ils ont ainsi répondu à 95 % “oui” à la départementalisation, 39 % du corps électoral s’étant abstenu.
Les Français vont donc découvrir avec stupéfaction qu’à Mayotte, les fêtes musulmanes sont chômées, que les horaires de travail sont alignés sur ceux du ramadan et que leurs compatriotes mahorais qui le demanderont conserveront leur statut personnel, la justice devant alors leur être rendue par des magistrats français, non selon le droit français, mais conformément au droit coutumier ! Certes, celui-ci est appelé à disparaître, mais de manière progressive, et qui sait combien de temps le droit français devra composer avec un statut personnel dérogatoire au code civil et à la laïcité, très proche de la charia, qui prévoit la polygamie ainsi que la répudiation des femmes ? D’autant qu’à Mayotte, il n’y a ni état civil, ni cadastre ; noms et dates de naissance y sont incertains, ce qui va évidemment favoriser l’obtention de faux papiers et donc l’immigration-naturalisation.
Les Français vont rapidement constater que Mayotte est une pompe aspirante pour l’immigration régionale. L’immigration clandestine y est en effet considérable et incontrôlée, puisque, pour une population estimée à 200 000 personnes, on compte au moins 60 000 clandestins. En 2010, le nombre des reconduites à la frontière y a atteint le chiffre effarant de 26 405, dont 6 000 enfants qu’il ne sera plus possible d’expulser après la départementalisation. Durant les vingt premiers jours de janvier 2011, 40 bâteaux ont été interceptées avec au total 2 000 personnes à bord.
Les Comoriennes viennent accoucher à Mayotte d’enfants devenant automatiquement citoyens français, ce qui rend la famille inexpulsable. La maternité de Mamoudzou est ainsi la plus importante de France, avec 7 000 naissances annuelles, 65 à 75 % d’entre elles étant issues de l’immigration clandestine. Les avantages sociaux dont jouissent les Mahorais exercent déjà un attrait irrépressible pour les Comoriens ; or, la départementalisation, qui va progressivement aligner les droits sociaux des Mahorais sur ceux des métropolitains, ne fera qu’augmenter cette attirance.
À ces migrants de proximité s’ajoutent désormais ceux venant de la région des Grands Lacs et de toute l’Afrique orientale. Mayotte va donc servir de porte d’entrée vers la métropole, d’autant plus que les associations de soutien aux immigrés vont désormais y exiger le respect des procédures. Les expulsions de masse vont donc devenir impossibles. C’est donc un gigantesque Lampedusa que nos responsables politiques viennent de créer.
Parlons vrai : pour beaucoup, la départementalisation, c’est d’abord l’alignement sur les prestations sociales françaises, puis l’attente des retombées de la manne européenne dès que l’île sera devenue Rup (région ultrapériphérique). Déjà, les revendications se font jour parmi les fonctionnaires et les enseignants d’origine mahoraise, qui exigent la départementalisation du système éducatif au plus tard au mois d’avril, avec l’indexation des salaires, la prime de résidentialisation, comme pour leurs collègues métropolitains détachés, la titularisation des contractuels, la reconstitution des carrières pour l’intégration dans le corps des professeurs des écoles. À terme, le coût annuel de Mayotte pour la France est estimé à environ un milliard d’euros. Le seul budget de l’éducation dépasse les possibi-lités locales de financement. En 2010, 81 506 élèves, dont les clandestins, étaient ainsi scolarisés. Dans le seul domaine éducatif, l’effort annuel de l’État atteint déjà plus de 260 millions d’euros et les besoins ne feront que croître.
L’idée de faire de Mayotte un département français est donc totalement irresponsable. D’autres solutions existaient pourtant, qui permettaient de sauvegarder les spécificités mahoraises et de garantir l’appartenance de l’île à la France. Désormais, il est trop tard. Bernard Lugan, directeur de la revue “l’Afrique réelle”
L’Afrique réelle, consultable sur www.bernard-lugan.com
http://www.valeursactuelles.com/parlons-vrai/parlons-vrai/mayotte-un-lampedusa-fran%C3%A7ais20110331.html
 Hauts-de-Seine, le symbole du camouflet, par Josée Pochat. "Dérives écologistes", entretien avec Jean-Frédéric Poisson. Guilhem Xerri, le social à mains nues, par Guillaume Desanges. Lybie : la ruée vers l'Ouest, par Frédéric Pons. Deux années pour Nétanyahou, par Nathalie Harel. "Le Japon ne sera plus le même", entretien avec Pierre-François Souyri. Immobilier : sous la menace des taux, par Marie de Greef-Madelin. La complicité des frères Caillebotte, par Valérie Collet. Des jardins nommés désir, par Virginie Jacoberger-Lavoué.
Hollande à l'abordage ; L'armée dans le prétoire ; Edouard François, l'archi vert ; et bien d'autres chose encore...
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Parangons de vertu par Catherine Nay (“Yes, we Kahn”. & Johnny)
31/03/2011 01:30
Parangons de vertu
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Si vous avez regardé le documentaire consacré à Dominique Strauss-Kahn sur Canal Plus, et si vous lisez la longue interview que Johnny Hallyday donne à Paris Match, où il pose en couverture avec sa femme Laeticia, vous comprenez que leurs communicants jouent des mêmes ressorts. Pour séduire les électeurs comme pour vendre un album – celui de Johnny, Jamais seul, vient de sortir –, ils doivent montrer le politique ou la vedette le plus en proximité avec l’ordinaire des vraies gens.
Dominique Strauss-Kahn occupe un poste prestigieux, vit au milieu des chefs d’État de la planète, il rédige des ordonnances pour des économies en péril, il parle l’anglais aussi bien que le français. Il incarne l’élite. L’essentiel du film était consacré à l’homme privé : conduisant lui-même sa berline pour se rendre à un match de foot soutenir l’équipe du FMI, qui arborait des T-shirts siglés : “Yes, we Kahn”. Beau clin d’œil ! On a entendu le bon époux, avouant que, sans Anne, il ne serait pas grand-chose. C’est un couple qui s’aime comme au premier jour ! Bon père aussi, qui évoque ses petits-enfants l’air attendri. On l’a aperçu dans sa cuisine immaculée faire cuire des steaks tandis que son épouse tourne la salade. Il crie “à table !”, comme vous et moi, lorsque nous sommes en famille. Il nous donne aussi sa recette pour défroisser un costume sortant de sa housse après huit heures d’avion : il faut l’accrocher au rideau de la baignoire remplie d’eau chaude. Et voilà ! Une vraie fée du logis. Un homme très simple donc !
Johnny, lui, vit entre la Californie, Saint-Barth et son chalet à Gstaad. Il est l’archétype de l’univers bling-bling, du show-biz et du shopping. Il s’est ravagé l’organisme avec l’alcool, la drogue, la cigarette. Ce qui fait sa légende. Il a failli mourir l’an dernier. Le voilà ressuscité. Mince, à peine bronzé, comme neuf. Les photos sont prises sur la plage à Los Angeles. Les petites Joy et Jade gambadent à côté de Johnny et Laeticia, vêtus de cuir du haut jusqu’en bas. Ah ! ce n’est pas la Laeticia de l’été qui ne nous cachait rien de ses tatouages au ras du pubis. Voilà un jeune couple rangé, qui s’aime comme au premier jour lui aussi. On en apprend de belles : Johnny ne boit plus, ne se drogue plus et ne fume plus qu’un jour sur deux. Et il a retrouvé sa voix. Il déclare son amour et sa fidélité à sa femme, à ses petites filles. Il aimerait qu’elles soient plus tard « droites en amour et en amitié, et qu’elles sachent que l’argent se mérite ». L’illustration d’un univers clos fait de sérénité et de beaux sentiments. Édifiant !
La société Sociovision, qui ausculte depuis des années les goûts, le moral, les désirs et les peurs des Français, nous le révèle : nos compatriotes rejettent aujourd’hui tout ce qui est loin d’eux : l’élite, les dirigeants, les vedettes. Ils n’ont plus confiance. Pour se rassurer, ils se replient sur la cellule familiale dans ce qu’elle a de plus circonscrit. Le couple est devenu la valeur refuge. C’est ce que l’on appelle le micro-social chaleureux. L’heure n’est plus au laisser-aller déjanté du bourgeois bohème. Aujourd’hui, le bourgeois se veut popote, rangé, fidèle, aimant. Les communicants ne peuvent être sourds et aveugles devant ces nouvelles tendances. Et ça peut marcher ? Si le public y croit… Catherine Nay A lire également sur valeursactuelles.com : Y a-t-il une vie après le FMI ?, par Basile de Koch
Photo © Valmonde
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Immigration : quand la droite était (très) à droite
31/03/2011 00:36
jeudi, 31/03/2011
Par Arnaud Folch
“Valeurs actuelles” a retrouvé les propositions chocs des états généraux de l’opposition RPR-UDF sur l’immigration. Pour la plupart “oubliées”.
La France ne peut plus être un pays d’immigration, elle « n’est pas en mesure d’accueillir de nouveaux immigrants »… Voilà, entre autres, ce à quoi s’engageaient la droite et le centre, en cas de retour au pouvoir, à l’occasion de ses “états généraux de l’opposition” (RPR et UDF, transformés en UMP) consacrés à l’immigration, des 31 mars et 1er avril 1990 à Villepinte.
Parmi les participants : Valéry Giscard d’Estaing, Jacques Chirac, Michèle Alliot-Marie, Roselyne Bachelot, Alain Juppé, Gérard Longuet, mais aussi… François Bayrou. Coresponsable, au nom du RPR, de cette convention, c’est Nicolas Sarkozy lui-même qui a cosigné (avec Alain Madelin) la préface du compte rendu de 39 pages publié à cette occasion.
Affirmant que « la France ne doit pas être considérée comme un simple espace géographique sur lequel plusieurs civilisations pourraient coexister » et dénonçant le « faux antiracisme militant », ce qui est depuis devenu l’UMP en appelait alors clairement à « la fermeture des frontières » et à la « suspension de l’immigration ». Loin, très loin, du “contrôle régulé” et de “l’immigration choisie” aujourd’hui défendus…
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jeudi, 31/03/2011
Par Fabrice Madouas
“Qu’il se taise !” disent les socialistes. Parce qu’ils veulent éviter le débat sur la place de l’islam en France.
L’une parle de « cynisme venimeux ». C’est Cécile Duflot, porte-parole des Verts. L’autre évoque un « délire maladif ». C’est Razzy Hammadi, l’un des secrétaires nationaux du Parti socialiste. Tous les deux, à quelques jours d’intervalle, ont renoué avec une phraséologie quasi soviétique pour tenter de discréditer leur adversaire et d’interdire tout débat sur les sujets qui les dérangent. Pourquoi ? Parce que le ministre de l’Intérieur, Claude Guéant, a osé dire ce que pensent bon nombre d’électeurs et qu’ils répètent d’ailleurs depuis des mois à leurs députés.
« Les Français, à force d’immigration incontrôlée, ont parfois le sentiment de ne plus être chez eux », a-t-il donc déclaré le 17 mars sur Europe 1. La veille, il avait dit aussi dans le Monde que « les Français veulent que les nouveaux arrivés adoptent le mode de vie qui est le leur » et ne leur imposent pas « des pratiques qui ne correspondent pas aux règles de notre vie sociale ».
Propos qu’il illustrait la semaine suivante par des exemples concrets, tirés de l’expérience des enseignants et des soignants : « Les agents des services publics ne doivent pas porter de signes religieux, ni manifester une quelconque préférence religieuse, mais les usagers du service public ne le doivent pas non plus. […] À l’hôpital, un certain nombre de personnes refusent, pour des femmes, des soins prodigués par des hommes. Eh bien, ce n’est pas admissible. » Le tout prononcé sur le ton calme et serein que l’on connaît à Claude Guéant.
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