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Emplois verts : eldorado ou vaste couillonnade ? Ou ,qunad poser la question c'est y répondre .

05/04/2011 22:05



Emplois verts : eldorado ou vaste couillonnade ?

Pour les plus optimistes, les emplois verts devraient représenter à terme de 600 à 650 000 emplois. Le tout est d'en définir le terme. Et surtout de savoir, vraiment, ce que sont les emplois verts !


Emplois verts : eldorado ou vaste couillonnade ?

Si on a beaucoup parlé (déliré diront certains) des emplois verts, durant le Grenelle de l'environnement, il faut dire que ces derniers temps, à part quelques idéologues et politiciens en mal de solutions pour l'emploi, le nombre de ceux qui nous expliquent que l'ensemble des postes supprimés en France seront très largement compensés par la création d'emplois verts... diminue à vue d'œil !

Et pourtant rappelons-nous des chiffres lancés en janvier 2010 par Valérie Létard, alors secrétaire d'Etat au Développement durable qui considérait à l'époque que : « (...) 600 000 emplois était (...) une hypothèse basse (....) Il s'agit de faire en sorte que les 600 000 emplois verts identifiés par le Boston Consulting Group (BCG) sur 2009-2020 deviennent une réalité (...) »

Certes mais pour l'étudiant, le salarié ou le chômeur qui seraient intéressés par ce « gisement d'emplois » comme aiment à le répéter en boucle nos politiques, c'est quoi un emploi vert ?

Première difficulté : trouver une définition ! Nous en avons trouvé deux qui, vous pourrez le constater, sont assez... évasives !

Blog In Tree - L'actualité emploi, croissance et RH :

« (...) Présent dans de nombreux secteurs de l’économie et à tous les niveaux de qualification, il tend à réduire la consommation d’énergie, minimiser les formes de pollution, et ce, tout en restant décent (...) Un conducteur de Bus propre rémunéré convenablement est-il "plus vert" qu’un ouvrier précaire chargé de recycler, sans protection, des métaux ? (...) »

Dictionnaire environnement :

« (...) L’emploi vert regroupe les fonctions directement liées à l’environnement (protection de la nature, biodiversité, paysages...) et celles associées à la Responsabilité Sociétale de l’Entreprise (RSE). Le secteur des énergies renouvelables est la locomotive de l’emploi vert (...) »

De façon plus prosaïque, Le Figaro avait dans son édition du 28 janvier 2010, essayé de nous donner, une liste des filières créatrices d'emplois verts, à l'horizon 2020. Et Le Figaro de citer celles qui affichaient le plus grand enthousiaste en termes de recrutement :

« - La filière bâtiment est la plus porteuse. A horizon de 2020, elle devrait créer 300 000 nouveaux emplois

- La filière agriculture et forêts prévoit : 10 000 créations nettes d'emplois dont 7 600 pour l'agriculture biologique


- La filière Construction électrique, électromécanique et réseaux prévoit une évolution linéaire des emplois sur une période 2010-2015 et la création de 225 000 emplois sur la période.

- La filière Transports table sur : 100 000 emplois créés à l'horizon 2020, à partir d'une prévision de départs à la retraite de 92 000 salariés d'ici 2017

- La filière Biodiversité et services écologiques programme : 30 000 professionnels en 2015 et 40 000 à l'horizon 2020 dans le secteur de la gestion, protection, valorisation et restauration de la biodiversité

- La filière Raffinage, carburants et chimie verte programme : 400 000 emplois directs créées dont 10 000 dans la raffinage, 126 000 dans le secteur des carburants et 250 000 en chimie pharmacie


- La filière Biodiversité et services écologiques programme : 30 000 professionnels en 2015 et 40 000 à l'horizon 2020 dans le secteur de la gestion, protection, valorisation et restauration de la biodiversité


- La filière Eau, assainissement, déchets, air (EADA) prévoit d'ici 2015 la création de 40 000 emplois. 70 à 80% de ces emplois correspondent à des niveaux de qualification VI, V avec une nette prédominance masculine (...) »

Oui, mais faisait remarquer le Conseil d’orientation pour l’emploi (COE) à la même date : « (...) La prévision de 600 000 créations d’emploi ne prendrait pas en compte les emplois détruits dans les secteurs de l’automobile ou de la sidérurgie par exemple. Selon la CFDT, le solde net de création d’emplois pour 2020 serait plus proche de 60 000 que de 600 000 (...) »

Et de plus, en se rendant sur la page que Pôle Emploi a consacré à ces métiers, que peut-on constater ?

« (...) Beaucoup de métiers ont simplement été labellisés "verts" : agent d’entretien des espaces verts, ingénieur des eaux et forêts, agent de déchetterie... Rien de nouveau, sauf le classement de ces emplois (...) » écrivait, à juste titre 20Minutes dans son édition du 8 juin 2010.

Bon d'accord, mais si ce secteur est vraiment dynamique, les cabinets de recrutement et les candidats potentiels doivent s'en réjouir !

Laissons la parole à Nicolas Leroy, directeur de la division Ingénieurs et Techniciens du cabinet de recrutement Michael Page. Celui-ci a été interviewé par le site techniqueingenieur.fr, le 30 mars 2011

Extraits :

Techniques de l’ingénieur : quelles sont les perspectives d’emploi dans les énergies renouvelables ?

On constate un fort ralentissement par rapport à l’an dernier. Notamment en raison de la dépendance de la filière à l’État, qui décide de la soutenir, ou non (...) Les EnR constituent une filière très perfusée (...)

S’agit-il de créer des emplois ou d’adapter des métiers qui existent déjà ?

Il s’agit plus d’adapter des métiers qui existent déjà. Par exemple, un prospecteur foncier qui cherchait auparavant des terrains pour établir des carrières va désormais réfléchir à l’installation d’éoliennes (...)

Le Grenelle de l’Environnement a-t-il eu une influence sur le recrutement ?

Il s’agit surtout d’un effet d’annonce… Les demandes continuent d’affluer car l’activité était assez dynamique il y a deux ans. Mais aujourd’hui, le recrutement est nettement ralenti.

Donc, il y a eu un véritable changement ces derniers temps ?

Oui, on a eu deux années très dynamiques en termes de recrutement mais aujourd’hui, c’est l’expectative complète. Je ne dis pas que le marché s’écroule. Les gens s’arrêtent et regardent (...)

Les 600 000 emplois annoncés entre 2009 et 2020 par Jean-Louis Borloo sont surestimés selon vous ? 

Bien sûr. La réalité n’est pas celle-là.

Pensez-vous qu’un changement soit à prévoir ?

(...) Il y a un décalage entre ce qui a été annoncé et la réalité des faits. Ces métiers étaient recherchés il y a deux ans, mais depuis six mois ce n’est plus le cas. Il s’agit d’acteurs très jeunes, de structures qui peuvent difficilement se permettre de recruter par anticipation (...) » Intégralité de l'interview

En clair peu d'élus, et ce, dans des métiers hyperspécialisés ou dont la fonction a été retoquée, un peu à la manière de la « femme de ménage » devenue « technicienne de surface ». Ainsi, plus de « cantonniers » mais des « agents d'entretien de la nature ».

Néanmoins, les égoutiers, agents de tri des déchets, techniciens de désinfection, désamianteurs, agents de collecte des déchets... qui existent de puis bien longtemps, pourront tirer une légitime fierté de côtoyer, dans les métiers verts les : animateurs d'écomusée, animateurs d'initiation à la nature, zoologistes de la recherche scientifique, animateurs en hygiène sécurité environnement et autres Rudologues de l'industrie ! - Source Pôle Emploi

Alors, eldorado ou vaste couillonade ? Le débat reste ouvert pour 2012 et plus si affinités !

Crédit image

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Rédigé par J-C Slovar le Mardi 5 Avril 2011 à 12:03
http://slovar.blogspot.com/





Le bon coup en Libye: l'acquisition de missiles sol-air par AQMI inquiète les services de renseignement français

05/04/2011 22:02



Rien de ce qui est kaki, bleu marine ou bleu ciel ne nous sera étranger

Libye: l'acquisition de missiles sol-air par AQMI inquiète les services de renseignement français



Libye: l'acquisition de missiles sol-air par AQMI inquiète les services de renseignement français
Jusqu'à la semaine dernière, les services de renseignement occidentaux étaient très inquiets quant à la présence éventuelle de combattants d'Al-Qaïda au sein des insurgés libyens, comme nous l'indiquions dans un post précédent. L'amiral américain Stavridis, commandant de l'Otan en Europe, s'en est fait l'écho devant le Sénat des Etats-Unis.

Côté français, il semble que des rapports datant du milieu de la semaine dernière aient rassuré les responsables politiques, même si la DGSE et la DRM ne partagent pas complètement les mêmes analyses. Pour l'heure, aucun membre d'Al-Qaïda ne participe aux combats (qui n'en sont pas vraiment, mais c'est une autre histoire...) et n'est présent dans l'entourage du Conseil national de transition -, le "gouvernement" de Benghazi. Cela ne signifie pourtant pas l'absence d'ex-djihadistes dans les rangs de l'insurrection.

En revanche, les services de renseignement sont nettement plus inquiets sur le devenir d'armes pillées par les insurgés dans les arsenaux du colonel Kadhafi. En particulier des missiles sol-air portables de type SA-7. Selon leurs informations, des membres d'AQMI (Al Qaïda au Magreb islamique) ont en effet acheté de tels engins à des pilleurs libyens. Selon un proche du dossier, la crainte des responsables français est de les retrouver demain "au Sahel, en Afghanistan ou à La Courneuve".

Les missiles sol-air à très courte portée (SATCP), à guidage infrarouge, sont des engins redoutables qui permettent à de simples fantassins de menacer les avions et hélicoptères évoluant à basse altitude. On se souvient de leur rôle essentiel dans l'arsenal des moudjahidines afghans contre les Soviétiques. Leur point faible est leur alimentation électrique : une batterie dont la durée de vie est limitée et sans laquelle il est impossible de tirer ses missiles.

Mardi 5 Avril 2011
Jean-Dominique Merchet
***********
Jean-Dominique Merchet
Jean-Dominique Merchet
Jean-Dominique Merchet
Jean-Dominique Merchet, journaliste à Marianne, je m'occupe des questions militaires depuis une vingtaine d'années. C'est une passion dans laquelle je suis tombé tout petit... Né en 1959, franc-comtois et versaillais, je suis un auditeur de l'Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN 49). J'ai créé ce blog en 2007.
http://www.marianne2.fr/blogsecretdefense/Libye-l-acquisition-de-missiles-sol-air-par-AQMI-inquiete-les-services-de-renseignement-francais_a211.html






Une voiture de police attaquée au cocktail Molotov à Viry-Châtillon .Aux assises les incendiaires ou en stage de ski?

05/04/2011 21:54



Une voiture de police attaquée au cocktail Molotov à Viry-Châtillon

Une voiture de police a été totalement détruite par un cocktail Molotov à Viry-Châtillon dans l'Essone, lundi soir. Un incident qui survient dans un climat de tension extrême dans cette ville.

Une voiture de police a été totalement détruite par un cocktail Molotov lundi soir
Une voiture de police a été totalement détruite par un cocktail Molotov lundi soir MaxPPP
Lundi soir, vers 20 heures, une patrouille de police a été attaquée par une dizaine d'individus cagoulés et gantés, dans le quartier de la Grande Borne à Viry-Châtillon, petite ville de l'Essone, à vingt kilomètres au sud-est de Paris. La voiture a été la cible de nombreux projectiles : jets de pierres,  de boules de pétanques, de parpaings et finalement d'un cocktail Molotov, qui a totalement détruit le véhicule.

Les trois policiers étaient en train de procéder à un banal contrôle d'identité lorsqu'ils ont été violemment attaqués par surprise par un groupe non-identifié. Deux des agents ont été blessés durant l'attaque : l'un par une pierre et l'autre par l'incendie. Ce nouvel incident survient dans un climat de tension extrême à la Grande-Borne où depuis plusieurs semaines, les agents de police sont la cible de caillassages intempestifs. Le Parisien a dénombré pas moins de six incidents le week-end qui a précédé l'attaque au cocktail Molotov. Les policiers avaient cette fois-là reçu des bouteilles en verre et même un extincteur, là encore lancés par des individus cagoulés et gantés.

Jean-Claude Borel-Garin, le directeur départemental de la sécurité publique de l’Essonne, présent sur les lieux de l'aggression, expliquait que : « De deux choses l’une, soit c’est de l’inconscience, soit c’est une volonté de tuer, dans les deux cas, c’est très grave. On a franchi un cap. »

Les fonctionnaires ont dû faire appel à des renforts pour se dégager. Les agresseurs ont réussi à s'enfuir en se scindant en deux groupes. Aucune interpellation n'a eu lieu pour le moment.
http://www.francesoir.fr/actualite/faits-divers/une-voiture-police-attaquee-au-cocktail-molotov-viry-chatillon-88776.html




Pierre Soum avait tenté de rafler la caisse. Le boulanger écrase un braqueur. Accident ou vengeance ?

05/04/2011 21:45



Escalquens. Le boulanger écrase un braqueur. Accident ou vengeance ?

enquête

Le 4x4 Chevrolet qui a écrasé le voleur, lors de la reconstitution à Escalquens hier soir./Photo DDM, Thierry Bordas
Le 4x4 Chevrolet qui a écrasé le voleur, lors de la reconstitution à Escalquens hier soir./Photo DDM, Thierry Bordas
Le 4x4 Chevrolet qui a écrasé le voleur, lors de la reconstitution à Escalquens hier soir./Photo DDM, Thierry Bordas

Plus de trois ans après les faits, la justice a procédé hier à la reconstitution de l'affaire d'Escalquens. En mars 2008, un boulanger qui venait de subir un braquage a poursuivi et écrasé un garçon de 20 ans. Accident ou acte délibéré ?

Que s'est-il réellement passé dans la soirée du 18 mars 2008 à Escalquens ? Lancé à la poursuite de l'auteur d'une tentative de vol à main armé dans sa boutique, un artisan boulanger à bout de nerf a écrasé l'homme qu'il poursuivait. Le suspect, Pierre Soum, âgé de 20 ans, n'a pas survécu au choc. Le conducteur du véhicule, placé en garde à vue dans la foulée du drame a ensuite été mis en examen pour « violence volontaire ayant entraîné la mort sans intention de la donner ». Il n'a jamais été placé en détention.

Hier soir, la justice est revenue à Escalquens. La juge d'instruction Dorothée Juillan, qui a pris la suite du juge Fabrice Rives dans la conduite de ce dossier délicat où est posée en filigrane la question de l'autodéfense, a fait procéder à la reconstitution. D'abord autour de la boulangerie « Louis et Madeleine » où Pierre Soum avait tenté de rafler la caisse. Face à ce voleur qui brandissait une arme ancienne, la jeune employée avait d'abord cru à une farce. Revenue à la réalité, elle avait alors utilisé une bombe lacrymogène pour précipiter la fuite du voleur.

Ensuite le mis en examen, les avocats, la procureur Brigitte Lanfranchi se sont déplacés plus haut, dans le lotissement « Grand Sud ». Là où au volant de son puissant 4x4 Chevrolet, Éric Verdier, le patron de la boulangerie, a percuté Pierre Soum.

Depuis le début de cette affaire, l'automobiliste adopte la même défense. « Une fausse manœuvre… Il a confondu frein et accélérateur et dans le virage, tout d'un coup face à celui qu'il poursuivait, il a paniqué », reprend son défenseur Me Georges Catala. Les avocats de la famille de la victime ne partagent pas cette analyse. Pour Mes Marie-Hélène Pibouleau et Alain Mila, cet accident n'a rien de fortuit. « Cet homme n'était pas en danger dans son puissant 4x4 face à un garçon qui courait depuis plus d'un kilomètre. Il a voulu se venger et c'est inacceptable », soulignent les conseils.


Quelle suite ?

La reconstitution est intervenue hier alors que le travail de l'instruction touche à sa fin. Les expertises qui étaient très attendues « ne sont ni pour ni contre », regrette Me Simon Cohen, également avocat de la famille de Pierre Soum. Et les questions sur la responsabilité d'Éric Verdier restent toujours aussi difficiles à préciser. Dans ces conditions, que va décider le parquet ? Renvoyer l'artisan boulanger devant la cour d'assises et des jurés populaires ? Ou en correctionnel ? Une autre question à enjeu.

http://www.ladepeche.fr/article/2011/04/05/1051723-Escalquens-Le-boulanger-ecrase-un-braqueur-Accident-ou-vengeance.html






Quand les couillons voleront...Un apiculteur soignait les malades du sida de la sclérose en plaques, du sida, de la maladie d'Alzheimer ou de Parkinson par les piqûres d'abeilles

05/04/2011 21:43



Roanne (42). Un apiculteur soignait le sida par les piqûres d'abeilles

Photo DDM
Photo DDM
Photo DDM
Un apiculteur de 55 ans prétendait soigner des personnes atteintes de sclérose en plaques, du sida, de la maladie d'Alzheimer ou de Parkinson par des piqûres d'abeilles. Lundi 4 avril, il a été condamné à six mois de prison avec sursis par le tribunal de Roanne, pour exercice illégal de la médecine
L'homme se définissant lui-même comme apithérapeute aurait utilisé ses abeilles pour piquer plus d'une centaine de patients au niveau des points d'acupuncture.
Qualifié de « charlatan » par le procureur, le quinquagénaire devra également régler un euro symbolique de dommages et intérêts à l'Ordre des médecins, seule partie civile au procès.

http://www.ladepeche.fr/article/2011/04/05/1051838-Roanne-42-Un-apiculteur-soignait-le-sida-par-les-piqures-d-abeilles.html




Guyane: saisie de 13 kg de cocaïne

05/04/2011 21:39



Guyane: saisie de 13 kg de cocaïne

AFP
05/04/2011 | Mise à jour : 21:07

Près de 13 kg de cocaïne ont été saisis hier soir lors de l'arrestation d'un Colombien en situation régulière en Guyane, sur le seul axe routier reliant la frontière du Brésil à Cayenne, a-t-on appris mardi auprès de la gendarmerie.

En outre, deux plaques de 8 à 10 kilos chacune de substance gélatineuse soupçonnées d'être de nature stupéfiante ont également été trouvées, selon la même source. Il pourrait s'agir de cocaïne noire, mais ces deux plaques ne pourront être expertisées qu'à Paris, a-t-il été précisé.

La saisie a été l'oeuvre de gendarmes mobiles d'Orléans affectés sur ce barrage routier permanent situé à 80 km de Cayenne et à 120 km de la frontière du Brésil, a dit cette source, ajoutant que les plaquettes de cocaïne étaient cachées dans une valise.

"Les gendarmes ont d'abord été intrigués par des vêtements qu'ils soupçonnaient être des contrefaçons. Dans des ourlets et poches de ces vêtements, ils ont trouvé 160 plaquettes de cocaïne soit exactement 12,819 kg", a relaté la gendarmerie à l'AFP. "Le Colombien aurait été pris en stop par le conducteur du véhicule, un homme de nationalité française contre lequel, pour l'heure, aucun élément n'a pu être retenu". Le véhicule arrivait de la frontière brésilienne et se dirigeait vers Cayenne.

Eu égard notamment à la quantité saisie, l'enquête a été confiée par le parquet à la police judiciaire de Cayenne, où le ressortissant colombien se trouvait toujours en garde à vue aujourd'hui.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/04/05/97001-20110405FILWWW00688-guyane-saisie-de-13-kg-de-cocaine.php




Colonies: Moscou appelle Israël à se raviser

05/04/2011 21:34



Colonies: Moscou appelle Israël à se raviser

Dossier: Le conflit au Proche-Orient

Jérusalem
20:35 05/04/2011
MOSCOU, 5 avril - RIA Novosti

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Multimédia

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Moscou qualifie de "mauvais signal" la récente décision israélienne de construire de nouveaux logements dans les territoires palestiniens occupés et appelle Israël à revenir sur cette décision, a indiqué mardi Alexandre Loukachevitch, porte-parole de la diplomatie russe.

"Moscou considère comme inadmissible toute démarche (au Proche-Orient), susceptible de prédéterminer l'issue des négociations sur le statut définitif du futur Etat palestinien. La colonisation israélienne dans les territoires palestiniens, notamment à Jérusalem-Est est illégale", a souligné le diplomate.

La municipalité israélienne de Jérusalem a approuvé lundi un projet de construction de 942 nouveaux logements à Jérusalem-Est. Le principal négociateur palestinien, Saëb Erakat, a fermement condamné cette décision qui, à ses yeux, "prouve une nouvelle fois qu'Israël a choisi les colonies plutôt que la paix".

Dans ces conditions, la Russie exhorte Israéliens et Palestiniens à s'abstenir de toute démarche susceptible de menacer le retour de la paix au Proche-Orient.

Le processus de paix est au point mort en dépit des efforts de la communauté internationale visant à le relancer. Le contentieux de la colonisation constitue la principale pierre d'achoppement à la reprise des négociations.

Les Palestiniens conditionnent leur retour à la table des négociations à un arrêt total de l'extension des implantations juives en Cisjordanie (dont Jérusalem-Est annexée en juin 1967).

Israël s'y refuse. Le gouvernement de l'Etat hébreu, dirigé par Benjamin Netanyahu, insiste sur la reprise sans préalable du dialogue avec les Palestiniens.

http://fr.rian.ru/world/20110405/189080684.html






Chevardnadze: les dirigeants de l’URSS ont tout fait pour détruire l’Union

05/04/2011 21:33



Cet article ainsi que ceux de cette rubriques sont, aussi et actuellement, visibles sur "Wordpress - Aviseur international " (http://aviseurinternational.wordpress.com/ ) à la rubrique "Revue de Presse de l'Aviseur".

 

 

 

Chevardnadze: les dirigeants de l’URSS ont tout fait pour détruire l’Union

Dossier: 20 ans sans l'URSS

Edouard Chevardnadze
13:51 05/04/2011
Interview accordée par Edouard Chevardnadze

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La voie vers la formation d’un Etat-nation a été tragique. Etait-il possible de sauver l’URSS et pourquoi vingt ans plus tard la situation en Géorgie ne s’est-elle toujours pas apaisée? Edouard Chevardnadze (ministre des Affaires étrangères de l'Union soviétique de 1985 à 1990. Président de Géorgie de 1992 à 2003) répond aux questions au correspondant de Moskovskie novosti (Nouvelles de Moscou) Mikhaïl Vignanski.

Le 31 mars 1991, 89,9% des électeurs géorgiens se sont prononcés pour la sortie de la république de l’Union soviétique lors du référendum. Deux semaines auparavant, la Géorgie avait refusé de participer au plébiscite sur la préservation de l’URSS. Le 17 mars, le vote s’est tenu seulement en Ossétie du Sud qui à l’époque luttait depuis deux ans pour la sécession de la Géorgie. En Ossétie du Sud, seulement 9 personnes sur 44.000 ont voté contre l’URSS. Mais plus de 60% des électeurs en Abkhazie ont participé au référendum géorgien, et pratiquement tous ont soutenu l’idée de la souveraineté de la Géorgie. Cependant, l’année suivante le conflit entre la Géorgie et l’Abkhazie a éclaté, suite auquel Tbilissi a perdu le contrôle de cette république autonome également. Avant cela, en décembre 1991, des actions armées de l’opposition ont commencé dans la capitale géorgienne contre Zviad Gamsakhourdia (premier président de la Géorgie indépendante, du 26 mai 1991 au 6 janvier 1992) qui s’est enfui en Tchétchénie en janvier 1992. En mars 1992, l’ancien ministre soviétique des Affaires étrangères Edouard Chevardnadze est revenu de Tbilissi à Moscou. Il est resté à la tête de la Géorgie les onze années suivantes.

- Pouvait-on sauver l’Union Soviétique, ou cette idée était-elle condamnée?

- Les dirigeants de l’URSS de l’époque ont tout fait pour détruire l’Union au lieu de la sauver. Principalement en raison de la rivalité entre deux dirigeants: Mikhaïl Gorbatchev et Boris Eltsine. On a longtemps débattu pour décider s’il était possible de laisser Mikhaïl Gorbatchev au poste présidentiel avec des pouvoirs limités. On a négocié avec lui ce qu’il serait capable de faire ou non, comment restreindre ses compétences, et en fin de compte tout cela a provoqué l’effet inverse. J’étais déjà à la retraite, mais je pensais beaucoup à l’avenir éventuel de l’URSS, j’en parlais surtout avec Alexandre Iakovlev (l'un des principaux architectes de la perestroïka, ndlr). Quatre ans avant l’effondrement de l’Union soviétique, j’étais convaincu que cela arriverait, car tout empire est condamné à s’effondrer tôt ou tard, mais je me suis trompé dans les délais. Je pensais que l’Union soviétique demeurerait encore 11 ou 12 ans. En fait, toutes les conditions subjectives et objectives évoluaient de telle manière, qu’il était impossible de préserver l’URSS.

En dépit de tous ces événements survenus à une époque fatale pour la Géorgie du début des années 1990, le référendum de 1991 s’est déroulé sans complications, la majorité des électeurs d’Abkhazie y ont même participé. Et ce référendum, et ses résultats sont historiquement justifiés. A cette époque, la Géorgie visait l'indépendance et menait une politique ferme sur cet axe. Il a été donc possible de refléter la volonté du peuple. Mais il est difficile de dire comment la participation au référendum de toute l’Union aurait pu influer sur le sort de la Géorgie. Désormais, on ne peut que théoriser sur ce sujet.

- Quel a été le rôle de l’Occident dans l’effondrement de l’URSS?

- Je me souviens d’une rencontre dans ma maison à Moscou, j’avais invité Henry Kissinger. Il avait la parole la plupart du temps. Voici ce qu’il a dit: aux Etats-Unis on a toujours estimé que l’URSS était un Etat hostile, nous voulions contribuer à tout prix à son effondrement, mais aujourd’hui que c’est un fait accompli, nous ne savons pas quoi faire.

- Autrement dit, ils n’étaient pas prêts à des processus aussi rapides?

- Non.

- Pourrait-on dire qu’à partir d’une certaine période l’effondrement de l’URSS était inévitable?

- Avant Nikita Khrouchtchev, dans toute l’Union soviétique on vivait mieux qu’actuellement. Il a tout détruit. La population a commencé à souffrir de faim en Russie, en Géorgie et dans toutes les autres républiques. Voici le résultat de son travail "brillant." Si une personne normale avait été à sa place, l’URSS aurait encore certainement existé autant qu’avant Khrouchtchev. Prenons l’exemple de son interdiction frappant les lopins de terre privés, le bétail en propriété privée. Même les chèvres ont été interdites! Et c’était précisément le début de l’effondrement de l’URSS. Le dirigeant de l’époque du parti communiste géorgien Vassili Mjavanadze avait réussi à défendre le droit des paysans à la propriété. Car on vivait principalement grâce à la culture du lopin de terre situé près du domicile. Je sais ce que c’est, j’ai vécu moi-même à la campagne.

- Vous n’avez donc pas la nostalgie de l’Union soviétique?

- Non. Probablement Gorbatchev a la nostalgie. Mais je sentais de toute manière que cela se produirait.

- Gorbatchev dit que l’Occident lui a menti en promettant de ne pas élargir l’OTAN vers l’Est. La diplomatie soviétique s’est-elle trompée?

- Personne n’a dupé personne. Tout a résulté des négociations.

- Quelques jours après le référendum du 31 mars, le 9 avril 1991, la Géorgie a adopté l’Acte de l'Independance. Mais en août Zviad Gamsakhourdia a soutenu, en fait, les décisions du Comité d’Etat pour l’état d’urgence de l’URSS en abrogeant la Garde nationale, ce qui a conduit à des manifestations armées de l’opposition contre lui. Gamsakhourdia a-t-il eu tort?

- Oui. C’était une décision fatidique. Mais ce n’est sa principale erreur. En septembre 1993, lorsque nous défendions Soukhoumi, il y avait beaucoup de ses partisans parmi nous. C’était des gens bien qui savaient combattre. Chaque soir je me réunissais avec le commandement, on se concertait au sujet de la situation, et le matin je me levais à six heures et examinais les positions personnellement. Un soir, on me dit: rien de grave, on continue à se battre. Et le matin je m’aperçois qu’il n’y a aucun partisan de Gamsakhourdia sur les positions! Gamsakhourdia était revenu à cette époque de Tchétchénie en Géorgie occidentale, s’était installé dans la ville d’Otchamtchira et avait appelé ses partisans à le rejoindre. Nous avons perdu Soukhoumi, puis l’Abkhazie. Cela a été une tragédie aussi bien pour nous que pour lui.

- Quel est l’erreur du président géorgien actuel Mikhaïl Saakachvili?

- Je ne sais pas.

- Et quelle est votre principale erreur?

- D'avoir laissé Saakachvili devenir président (rire).

- Est-ce que le rêve d’Edouard Chevardnadze d’il y a 20 ans s’est réalisé?

- Le fait que la Géorgie soit aujourd’hui indépendante est une bonne chose. Malgré tous les défauts. Mais il est question de savoir comme le pays est dirigé, quelles erreurs et quelles questions sont réglées ou non.

- Au cours des dernières années, la situation n’a toujours pas été stabilisée dans le Caucase. Quel sort attend la région, disons, dans vingt ans?

- C'est très difficile à dire. D’autant plus qu’une partie importante de la Géorgie est occupée par la Russie. Je suis convaincu que tôt ou tard l’Abkhazie et l’Ossétie du Sud seront restituées à la Géorgie. Je ne peux pas dire quand cela se produira. Tout dépend de la Russie. En reconnaissant l’indépendance de l’Abkhazie et de l’Ossétie du Sud, la Russie a commis une grave erreur, en créant un dangereux précédent pour la Russie elle-même. Si l’Abkhazie et l’Ossétie du Sud ont ce droit, pourquoi la Tchétchénie, le Daguestan et le Tatarstan ne l’ont-ils pas? Ce sont pourtant des Etats.

- En Géorgie, les chansons russes ont été interdites. Est-ce également un moyen de lutter contre les "occupants"?

- C’est une idiotie.

- Comment est-on arrivé à la guerre entre la Russie et la Géorgie? Qui est le premier responsable?

- Il existe une déclaration officielle d’une commission mandatée par l’Union européenne et présidée par la diplomate suisse Heidi Tagliavini. Selon elle, les troupes géorgiennes étaient les premières à entrer à Tskhinvali et à ouvrir le feu, puis les Russes sont entrés en Ossétie du Sud via le tunnel de Roki et ont chassé les nôtres. Mais les actions ultérieures de la Russie n’étaient pas justifiées, à mon avis. En ce qui concerne l’avenir des relations avec Moscou, il faut absolument rétablir le dialogue. La Russie est notre voisin le plus grand et le plus puissant qui pourrait attaquer à tout moment, il faut donc apprendre à trouver un terrain d’entente. C’est la raison pour laquelle je salue les visites de certains politiques géorgiens à Moscou et le début des négociations, mais cela ne suffit pas pour régler le problème. En fait, j’avais des relations conviviales avec Vladimir Poutine. Lors que nous nous sommes rencontrés en 2003 à Sotchi, j’ai été d’accord pour remettre en fonction le chemin de fer de Sotchi à Samtredia, et à son tour il a accepté le retour des réfugiés géorgiens dans la région de Gali en Abkhazie. A l’époque beaucoup de personnes sont revenues, car la décision de Poutine leur assurait la sécurité du retour, qui avait porté jusqu’à alors un caractère spontané.

- Alors pourquoi êtes-vous contre l'arrivée des habitants du Caucase du Nord en Géorgie sans visas? Saakachvili a récemment rappelé les paroles de Poutine lors de la dernière rencontre avec lui en 2008. Il a déclaré qu’il "écraserait les opposants [armés] dans le Caucase du Nord comme des cafards." Or, le président géorgien a déclaré qu’au cours des cinq mois suivant l’abolition du régime des visas, 95.000 habitants du Caucase du Nord étaient arrivés en Géorgie, et tous se comportaient correctement et personne n’enfreignait la loi.

- Mais qui peut garantir qu’un groupe ne se formera pas en Tchétchénie, au Daguestan ou en Ingouchie et ne viendra pas en Géorgie avec un but précis?! La décision d’annuler les visas précisément pour ces régions de la Russie n’était pas très prudente.

- En tant qu’ancien ministre soviétique des Affaires étrangères, pouvez-vous dire quelle sera la conséquence de la série des manifestations dans le monde arabe?

- Pour l’instant, il est difficile faire des prévisions. Ces révolutions pourraient encore se poursuivre. Je crains le plus une révolution en Iran. C’est pratiquement notre voisin. Récemment, je me suis prononcé contre les projets de certains sénateurs américains de déployer des radars en Géorgie. Si un conflit éclatait entre l’Iran et les Etats-Unis, et que des radars soient déployés en Géorgie, cette dernière serait susceptible d’être attaquée.

- Vous avez récemment fêté vos 83 ans, mais vous travaillez toujours activement.

- Je prépare la sortie de mon sixième livre. Il s’agit d’un recueil d’interviews, les plus intéressantes depuis la seconde moitié du siècle dernier.

http://fr.rian.ru/discussion/20110405/189075369.html






"Nous avons créé un Etat mafieux et ne nous soucions que de dissimuler cette vérité", a dit l'eurodéputé. Kosovo: la plus grave erreur de l'Occident depuis 12 ans

05/04/2011 21:30



Kosovo: la plus grave erreur de l'Occident depuis 12 ans (eurodéputé)

Dossier: Indépendance du Kosovo

Kosovo
18:58 28/03/2011
SARAJEVO, 28 mars - RIA Novosti

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L'ingérence dans le conflit kosovar (1998-1999) est la plus grave erreur de la communauté internationale des 12 dernières années, a estimé dimanche l'eurodéputé Pino Arlacchi.

"La communauté internationale évite de voir les problèmes et refuse de reconnaître que le Kosovo a constitué notre plus grave erreur des 12 dernières années", a notamment déclaré M.Arlacchi dans une interview accordée à l'Agence Tanjug, alors que le monde marque le 12e anniversaire des bombardements de la Serbie par l'Otan.

A l'époque, les pays de l'Alliance se sont ingérés dans le conflit aux côtés des Albanais du Kosovo qui ont unilatéralement proclamé l'indépendance de leur province le 17 février 2008.

"Nous avons créé un Etat mafieux et ne nous soucions que de dissimuler cette vérité", a dit l'eurodéputé.

Et d'ajouter que la situation politique au Kosovo, où prédomine le crime organisé, représentait une menace sérieuse pour l'Europe, mais aussi et surtout pour les pays de la région, notamment pour l'Albanie".

M.Arlacchi a aussi qualifié d'échec total le travail de la mission européenne de justice et de police (Eulex) au Kosovo.

Depuis décembre 2008, les pays européens ont financé l'Eulex à hauteur de 300 millions d'euros sans que la mission obtienne de résultats quelque peu tangibles, a-t-il dit.

Les pays d'Europe déclarent leur soutien au gouvernement kosovar et essaient de ne pas voir qu'une élite mafieuse s'est approprié le pouvoir, a déploré l'eurodéputé.

http://fr.rian.ru/world/20110328/189005535.html








Dans la série "yes we can..." mais jamais "how much?" :Renflouement de l’épave d’Air France aux frais de l’Etat : injuste, dangereux, scandaleux

05/04/2011 21:23



Renflouement de l’épave d’Air France aux frais de l’Etat : injuste, dangereux, scandaleux

Le gouvernement français annonce qu’il va renflouer, aux frais de l’État pour cinq millions de dollars, les morceaux d’épave de l’Airbus A330-220 du vol 447 Air France Rio-Paris, crashé dans l’Atlantique le 1er juin 2009 dans l’océan Atlantique.

C’est injuste, dangereux, et donc scandaleux.

1. 1. C’est une injustice sociale

Le transport aérien de passagers pour les vacances ou les affaires, ce n’est pas le métro : il ne concerne pas les plus pauvres, et pourtant le gouvernement décide de faire payer les plus pauvres. La mère de famille célibataire, caissière à mi-temps dans un supermarché de province, ne prendra pas l’avion pour Rio avec ses enfants, mais elle paie la TVA, et le carburant pour aller au travail et conduire ses enfants à l’école (deux activités obligatoires), taxé à environ 400 %. Pensons en plus au fait qu’à l’opposé des carburants pour voiture, le kérosène des avions est sous-taxé, encourageant ce mode de transport polluant et rapide (900 km/h) pour riches pressés, au détriment de transports moins polluants (train de nuit longue distance qui permettrait de faire 2000 km, bateau, dirigeable qui consomme six fois moins).

2. 2. C’est dangereux

En payant une partie des effets des accidents, l’État externalise une partie des coûts de sécurité, ce qui encourage les compagnies aériennes et par conséquent les constructeurs d’avions à anticiper des économies sur le budget de sécurité, puisque la prise de risque ne sera pas totalement à leurs frais. Ce n’est plus leur affaire, le gouvernement les dédouanant et l’État finançant une partie des effets de l’insécurité. Le gouvernement augmente donc la probabilité d’accidents futurs. Si Air France est obligé de payer le renflouage, les compagnies aériennes augmenteront les précautions sur la sécurité afin d’éviter de payer trop souvent ce genre de conséquences.

En conclusion, exigeons que la totalité des coûts des accidents et de la pollution de tout type de transport soit internalisé à ses bénéficiaires, c’est-à-dire aux compagnies aériennes, aux constructeurs d’avions et aux voyageurs dans le prix des billets. Pollueur tueur payeur.

Documents joints à cet article

Renflouement de l'épave d'Air France aux frais de l'Etat : injuste, dangereux, scandaleux Renflouement de l'épave d'Air France aux frais de l'Etat : injuste, dangereux, scandaleux Renflouement de l'épave d'Air France aux frais de l'Etat : injuste, dangereux, scandaleux





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