Homo-horribilis-prognathus est un mâle ombrageux jaloux de ses prérogatives.
Il a raison : toute la société s’est coalisée afin de lui livrer de la sous-chienne en vrac, en rut, et à profusion, dont il fait ses délices.
C’est dans l’ordre.
Mais Bobo le gentil sous chien-chien mâle à sa mémère, n’a pas compris que l’injonction du métissage n’est qu’un mot tape à l’œil, un travestissement idéal, pour une nécessité plus triviale : la livraison gratuite, string en main, des plus savoureux spécimens du cheptel femelle à l’envahisseur.
Mais si l'on peut manipuler les fondements, on ne peut pas violer les fondations anthropologiques, dont la clé de voûte est la compétition sexuelle entre mâles.
Et ce n’est pas notre temps de basse civilisation et de ressingeation qui risque de les remettre en cause.
Or donc, il a suffit d’élire tels ou tels, super-mâles dominants, pour que la femelle par conformité intra-utérine à l’intramondain, s’en éprenne.
Elle n’a pas que son connil qui soit élastique.
D’où ce spectacle constant mais consternant de l’élite féminine, puisque la Beauté et la mise en valeur de la beauté, sont la seule grandeur de ce sexe infâme, entrelardée avec la lie biologique des plus inadmissibles abrutis.
Il a fallu de longs millénaires à la grande nature pour peaufiner Blandine.
Il suffira de trois générations pour la voir disparaître
On sait par exemple que la blondeur et la blancheur de la peau féminine sont un signe d’élection sexuel.
Dans toutes les populations de la terre, la peau féminine (ces peaux de vaches), est plus claire que la peau des messieurs. Un même visage paraît plus féminin lorsqu’on éclaircit sa photographie, plus mâle si on la fonce.
Le taux important de variation dans la couleur des cheveux et des yeux est spécifique à une seule espèce; plus on descend ailleurs, plus la couleur devient uniformément brune ou noire.
La dépigmentation des zindo-européens est un résultat, non pas de l’acclimatation, idée reçue mais fausse, mais de la sélection sexuelle propre aux Néandertaliens.
Ainsi « notre » femelle néandertalienne vient de prouver à une échelle jamais atteinte, que l’individuation chez elle est pure fiction.
Son existence propre, loin de représenter une exceptionnalité ontique n’est qu’un avatar existentiel de l’existential du ON.
L
’hâmur qui est pourtant l’unique affaire de sa vie, on voit qu’aucun libre arbitre ne préside à son choix, la femelle s’accouple avec qui on lui dit de le faire. ON étant l’Impératif catégorique social, la Convention, la publicité, le catalogue LaRedoute des idées reçus; plus encore : le
Dasein de la quotidienneté ou si l’on veut faire encore plus allemand, la
Durchschnittlichkeit triomphante.
Elle est surdéterminée par les journaux féminins qu’elle dévore.
Avez-vous déjà observé une femelle absorbée dans ( j’allais dire la lecture, mais non c’est autre chose) l’absorbation d’un morceau de ces ordures imprimées qu’on lui sert en sauce ?
Une ride soucieuse barre son joli front, rien, pas même une explosion nucléaire ne pourrait l’arracher à sa délectation extasiée et morose, à l’écoute captivée de cette voix comme intérieure et qui lui dit tout : comment aimer, comment se faire aimer, qui aimer, comment l’aimer, que lui faire pour se l’attacher à jamais. «
Comment rendre son mec fou de plaisir ? » ai-je aperçu en titre chez mon ORL préféré.
Or donc, disais-je, comme à son habitude bobo-sous-clebs n’a rien compris au film, faute de sous-titres.
Il a décidé lui aussi de se tisser des amours sur des nattes métisses avec des filles exotiques, capiteuses et joliment lippues, crépues et callipyges, pour faire chic.
Le niais. Il n’a pas la cote de prognathus auprès de sa blondine.
Il ne lui reste plus qu’à attendre que Monsieur Prognatus, ait terminé, pour aller bouffer ses restes dilatés.
Mais ce dernier ne l’entend pas de cette verge : il châtie durement quiconque lui ravit sa proie, même postopératoire.
Entre parenthèse, il faut vraiment avoir le cœur bien accroché pour accepter de manger dans certaines gamelles après que certains ramapithèques les ont lapés de leurs lippes immondes.
Les femmes sont comme la légion d’honneur affirmait Baudelaire. On n’en veut plus quand on les a vu pendues à de certains zommes.
En outre, horribilis-prognathus vit comme un désaveu essentiel, une castration symbolique, qu’une, qui était leur, eût l’heur de s’émanciper de leur attraction gravitationnelle, pour retourner, comme la sous-chienne de l’Évangile, à son vomissement originel.
C’est la mésaventure qui vient d’arriver à un pauvre petit diable pâle, transi d’amour, à la gare de Moisi-le-Numide où il attendait sa colombe à la blancheur suspecte.
Hélas, il est tombé sur une meute d’Horribilis, quasi invisibles sous leurs cagoules, hormis les invraisemblables lippes qui sortent et leur donnent cet air inimitable à la fois méchant et boudeur, meute qui les apercevant entrelacés, fut pris d'une haine raciale qui ne connaissait plus de bornes.
Et quand les bornes sont dépassées il n’y a plus de limites.
La suite est un air connu, mille fois entendu, faut il vous en faire la partition ?
L’un est à l’hôpital sur un lit de douleur, les autres dans la nature, rigolards, impunis, en train de perpétrer d’autres méfaits sanglants.
Renseignements pris, 18 ans, entre la vie et la morgue, le foie éclaté, infarctus splénique de la rate, atteintes du collagène des reins, les hanches et des côtes brisées, énuclée à gauche, les mâchoires en miettes avec les dents arrachées ou branlantes, le nez fracturé, en proie à des cauchemars de sang.
Et les flics impuissants, les journalistes complices : identités soigneusement tues, descriptions des tueurs absente.
La routine quoi.
Le croirez vous, cela renforce encore mon aversion récente pour la Fifille à son Papa.
Parce que je comprendrais à la rigueur que l’on put passer des alliances tactiques, à la condition de défendre la Vie de nos enfants.
Les jeunes français blancs sont menacés de meurtre sur le territoire national en raison de leur couleur de peau, chaque jour apporte son lot d’agressions dont le mobile évident, criant, est le racisme primaire.
Ici encore les informations sont données au compte-goutte.
Non seulement prendre le parti des bourreaux, ailleurs, pas loin d’ici, sur les rives du Jourdain peut-être, mais ne plus dénoncer ici l’immigration, cette catastrophe épouvantable, notre Nakba, mais l’Islamisme, cela pour moi, passe la mesure.
Mais, dans les deux cas, n‘est-ce pas prendre le parti des envahisseurs ?
Et qu’on ne vienne pas encore me reprocher je ne sais quel attrait pour des « faits divers. »
Et m’accabler de la propre bassesse morale de nos ennemis mortels : je serais "braqué" contre les immigrés, par pur préjugé ! Alors que la Raison et l’amour de la vérité sont mes maîtres.
Et qu’eux sont aveuglés par leur l’hystérie de passion antiraciste, ce racisme à rebours, remplis de tous les clichés, pétris d’inauthentique.
Assez.
félix le chat