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& pendant ce temps là...Colonies: feu vert à 942 logements à Jérusalem-Est

05/04/2011 00:58



Colonies: feu vert à 942 logements à Jérusalem-Est

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le 04.04.11 | 18h06

La municipalité israélienne de Jérusalem a approuvé lundi un projet de construction de 942 nouveaux logements dans le quartier de colonisation juive de Gilo, dans Jérusalem-Est occupée et annexée, a indiqué à l'AFP un conseiller municipal.
La municipalité israélienne de Jérusalem a approuvé lundi un projet de...

La municipalité israélienne de Jérusalem a approuvé lundi un projet de construction de 942 nouveaux logements dans le quartier de colonisation juive de Gilo, dans Jérusalem-Est occupée et annexée, a indiqué à l'AFP un conseiller municipal.
"La commission de planification urbaine a comme prévu approuvé le projet de construction de 942 logements dans le quartier de Gilo", a déclaré le conseiller municipal Elish Peleg, du parti Likoud (droite, au pouvoir).
M. Peleg a précisé que ce feu vert "constitue seulement la première des six étapes administratives" nécessaires avant le début des constructions.
Le principal négociateur palestinien, Saëb Erakat, a "fermement condamné" la décision de la municipalité de Jérusalem qui, à ses yeux, "prouve une nouvelle fois qu'Israël a choisi les colonies plutôt que la paix".
M. Erakat a exhorté le Quartette pour le Proche-Orient (Etats-Unis, Union européenne, Russie et ONU), qui doit se réunir bientôt à Berlin, à faire pression pour qu'Israël respecte le droit international.
Le ministre israélien de la Défense Ehud Barak a donné son feu vert à un plan de développement de quatre colonies en Cisjordanie ce qui va permettre la construction de nouveaux logements, a annoncé lundi la radio publique.
Cette décision, qui concerne les colonies de Nofim, d'Eshkolot, de Hemda et de Rotem, va légaliser des projets de construction de logements déjà entrepris sans autorisation, a indiqué dans un communiqué le mouvement anti-colonisation la Paix Maintenant.
Le gouvernement israélien avait donné le 13 mars son feu vert à la construction de 400 à 500 logements dans des colonies de Cisjordanie au lendemain du meurtre de cinq membres d'une famille de colons israéliens, dont trois enfants, dans une implantation de cette région.
Le processus de paix israélo-palestinien, au point mort, achoppe sur la poursuite de la colonisation israélienne à Jérusalem-Est et en Cisjordanie.
Les pourparlers de paix directs entre les deux parties ont brièvement repris début septembre 2010 avant de s'interrompre presque aussitôt à la suite de l'expiration d'un moratoire israélien de dix mois sur la colonisation en Cisjordanie.
Les dirigeants palestiniens réclament un arrêt complet de la construction en Cisjordanie occupée et à Jérusalem-Est avant de reprendre les négociations, ce que le gouvernement de Benjamin Netanyahu refuse.

AFP
 
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Tous les titres d'El Watan

Actualité

El Bayadh : L'ancien chef de cabinet du Wali se suicide par pendaison

L'ancien chef de cabinet de la wilaya d'El Bayadh, Chttit Mohamed, âgé d'une quarantaine d'années, s'est donné la mort, dimanche à 17 H 30, dans son domicile en se pendant avec une corde, a appris lundi elwatan.com. Le suicide de ce père de trois enfants a provoqué une terrible onde de choc dans toute la ville d'El Bayadh dont les habitants s'interrogent sur les raisons qui ont poussé cet ancien commis de l'Etat à commettre un tel acte de désespoir. 






Yémen: poussée de violence, Washington redoute qu'Al-Qaïda profite du chaos

05/04/2011 00:56



Yémen: poussée de violence, Washington redoute qu'Al-Qaïda profite du chaos

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le 03.04.11 | 19h39

Dix-sept manifestants hostiles au président Ali Abdallah Saleh ont été tués par balles lundi à Taëz, au Yémen, où la Maison Blanche craint qu'Al-Qaïda ne profite d'un "vide politique".
Dix-sept manifestants hostiles au président Ali Abdallah Saleh ont été tués...

Dix-sept manifestants hostiles au président Ali Abdallah Saleh ont été tués par balles lundi à Taëz, au Yémen, où la Maison Blanche craint qu'Al-Qaïda ne profite d'un "vide politique".
Les victimes sont tombées sous les balles des forces de l'ordre mais aussi de civils armés postés sur des toits lors d'une marche sur le siège du gouverneur de province.
"On a désormais 17 morts" et 86 personnes ont été blessées, ont indiqué à l'AFP Sadok Choujaa, un médecin qui dirige un hôpital de campagne soignant les protestataires, et des sources médicales.
A la cour du siège du gouverneur, les manifestants ont été accueillis par des salves de tirs d'hommes armés dont certains étaient postés sur des toits, ce qui a alourdi le bilan des victimes, selon les protestataires.
Des blindés ont ensuite été déployés autour du siège et le calme a été rétabli avec le retour des manifestants sur leur lieu de sit-in, selon des témoins.
L'agence officielle Saba, citant des témoins, a annoncé que "10 manifestants avaient été tués et des dizaines blessés dans des affrontements et par des tirs" à Taëz.
Le gouverneur, Hammoud al-Soufi, avait fait état de 3 morts et de 8 blessés, et dénoncé sur la télévision d'Etat la présence d'hommes armés parmi les manifestants. Une enquête sera ouverte sur les incidents, a-t-il dit.
A Sanaa, des militaires ralliés à l'opposition ont empêché sans violence quelque 200 policiers de s'approcher de la place du Changement, près de l'Université, où campent les contestataires depuis le 21 février, selon un journaliste de l'AFP.
En début de soirée, des dizaines de personnes ont convergé de différents quartiers de Sanaa vers la place pour exprimer leur solidarité avec les protestataires à Taëz et Hodeida, sur la mer Rouge, selon des témoins.
A Hodeida, des manifestants ont observé lundi soir un sit-in devant le siège du gouvernorat après des accrochages avec les forces de sécurité, qui ont fait quelque 300 blessés, dont 4 par balles et 26 par des jets de pierres, les autres ayant été indisposés par du gaz lacrymogène, selon des protestataires.
Les heurts avaient débuté dimanche lorsque des dizaines de milliers de manifestants avaient commencé à marcher sur le palais républicain de cette ville de 400.000 habitants, aux cris de "A bas le régime", selon des témoins.
Face à ce regain de violences, la Maison Blanche a dit lundi son inquiétude de voir Al-Qaïda profiter d'un "vide politique" et appelé au dialogue en vue d'une transition pacifique du pouvoir au Yémen, un allié de Washington dans la lutte anti-terroriste.
"Nous sommes évidemment inquiets de voir Al-Qaïda et d'autres groupes essayer de profiter d'un vide politique en cette période de violences", a déclaré le porte-parole de la présidence américaine, Jay Carney.
"C'est l'une des raisons pour lesquelles nous plaidons pour le dialogue et le lancement du calendrier de transition dont le président Saleh a parlé", a-t-il ajouté.
Alors que le New York Times a affirmé dimanche que le gouvernement américain était en train de retirer son soutien au président Saleh et de faciliter son départ, M. Carney a déclaré: "Nous pensons pouvoir travailler avec le gouvernement yéménite sur ces questions importantes. Nous ne nous concentrons pas sur un individu".
De leur côté, les monarchies arabes du Golfe ont proposé leur médiation entre l'opposition et le pouvoir au Yémen, lors d'une réunion à Ryad.
"Le gouvernement yéménite est prêt à examiner toutes les idées que proposeraient nos frères du Conseil de coopération du Golfe pour surmonter la crise actuelle", a réagi le ministre des Affaires étrangères, Abou Bakr Al-Kourbi.

AFP
http://www.elwatan.com/depeches/yemen-poussee-de-violence-washington-redoute-qu-al-qaida-profite-du-chaos-03-04-2011-119091_167.php




Maha B., 34 ans, aide ménagère, vole 6 000 € à des retraités

05/04/2011 00:52



L'aide ménagère vole 6 000 € à des retraités

tribunal

Me Van Driel ( à gauche) a tenu à souligner que sda cliente n'avait rien d'une voleuse./Photo DDM.
Me Van Driel ( à gauche) a tenu à souligner que sda cliente n'avait rien d'une voleuse./Photo DDM.
Me Van Driel ( à gauche) a tenu à souligner que sda cliente n'avait rien d'une voleuse./Photo DDM.

Elle a trahi leur confiance et ne l'explique que par le fait qu'elle aurait été forcée par une relation de sa famille (en situation irrégulière) qui la pressait comme un citron pour avoir de l'argent. Maha B., 34 ans, aide ménagère, a comparu jeudi dernier devant le tribunal correctionnel pour escroquerie. De février à mars 2010, elle a subtilisé la carte bancaire des personnes âgées qu'elle avait en charge et a effectué des achats pour 2 600 € et retiré 4 000 € d'argent liquide. Soit un préjudice de plus de 6 000 €.

C'est la curatrice des époux, âgés de 78 ans, qui s'est aperçue de ces retraits suspects. Les soupçons se sont vite portés sur l'aide ménagère qui a aussi été repérée par un commerçant lors de ses achats répétés et chers. Maha avait même fait remplir sa carte de fidélité pour acheter des boucles d'oreilles ! Vêtements, CD, DVD, bijoux, jeux vidéo, aucun produit de première nécessité. Pour Me Éric Soulans, « ce sont des faits désagréables commis par une professionnelle lors de ses gardes de nuit. Elle a dépensé 1 600 € par semaine. » Il réclame le remboursement de la somme et 1 500 € pour le préjudice moral. Le procureur de la République, Pascal Suhard, requiert une peine de 4 mois avec sursis et mise à l'épreuve (SME) avec obligation de rembourser le couple. « C'est une trahison qui mérite d'être soulignée », explique-t-il. L'aide ménagère a démissionné de son association et se retrouve sans revenus avec deux enfants.

Son défenseur, Me Lise Van Driel, précise « qu'elle s'engage à rembourser les victimes. Elle n'a pas le profil d'une voleuse, ajoute-t-elle. Elle a fait tout cela par peur de représailles de ce clandestin qui s'est immiscé dans sa vie et l'a menacée. » Mais la nature de ses achats, effectués en dehors de toute contrainte, n'a pas plaidé en sa faveur, relayant l'existence de son tortionnaire moral, au fin fond du dossier.

Le tribunal a suivi les réquisitions du procureur. La prévenue devra rembourser 6 689,03 € et régler 1 500 € pour le préjudice moral.






AIR FRANCE - De retour à Phnom Penh après 37 ans d'absence ;Phom Pehn dont l'homme fort fut Khmer Rouge ...

05/04/2011 00:47



Air France a rouvert la semaine dernière la ligne Paris-Phnom Penh qu'elle avait dû fermer il y a 37 ans après la montée au pouvoir des Khmers Rouges. Accueilli avec tous les honneurs, un Airbus 340 de la compagnie aérienne française a atterri jeudi à l'aéroport de Phnom Penh lors de son vol d’inauguration, là où les derniers avions français avaient dû fuir les bombes en 1974

Le 30 mars dernier, un Airbus 340 de la compagnie aérienne Air France atterrissait à l'aéroport de Phnom Penh lors du vol inaugural de la ligne Paris Phnom Penh rouverte 37 ans après sa fermeture en 1974 (Photo DR)

Un Airbus A340 de la compagnie Air France a atterri jeudi à Phnom Penh, marquant la réouverture d'une ligne fermée 37 ans auparavant, lorsque les bombes pleuvaient sur la capitale et que les Khmers Rouges s'apprêtaient à s'emparer du pouvoir. La compagnie aérienne, qui avait lancé ses premiers vols vers Phnom Penh en 1947 quand le Cambodge faisait encore partie de l'empire colonial français, est le premier transporteur européen à faire le vol vers un pays qui a accueilli près de deux millions de touristes l'année dernière. Trois vols par semaine relieront l'aéroport Paris-Charles de Gaulle et Phnom Penh, avec une brève escale à Bangkok.

 

LIRE AUSSI

THIERRY MARIANI - "La France n'est jamais partie du Cambodge"
Cambodge lundi 4 avril 2011
Thierry Mariani, secrétaire d’Etat aux transports, est arrivé jeudi dernier à bord du vol inaugural d’Air France. Développement des transports en commun, sécurité routière, élections des députés des français de l’étranger, rencontre avec un responsable politique qui pourrait être candidat sur la zone Asie et Océanie... Lire la suite

 
Un retour attendu, un accueil chaleureux
Le directeur général d'Air France Pierre-Henri Gourgeon a déclaré que la reprise des vols vers le Cambodge faisait parti de la stratégie de croissance de la compagnie aérienne, mais était également importante d'un point de vue historique. "C'est vraiment émouvant", a déclaré Pierre-Henri Gourgeon aux journalistes présents à l'Aéroport International de Phnom Penh où le vol Air France 274 a été reçu avec le tapis rouge.
Roulant sur le tarmac pour atteindre sa destination, l'Airbus 340, qui transportait près de 275 passagers dont le Secrétaire d’Etat chargé des Transports Thierry Mariani (lire aussi l'article du jour de l'édition Cambodge), est passé sous une arche d'eau générée par deux pompes à incendie, l'accueil traditionnel pour un voyage inaugural.
La princesse Sylvia Sisowath, une cousine de l'ancien roi du Cambodge Norodom Sihanouk, a fait part de ses souvenirs, lorsqu'elle se précipitait pour accompagner les derniers passagers jusqu'à l'avion alors que les bombes pleuvaient à proximité sur les combattants Khmers Rouges. "Nous avons dû mbarquer très rapidement car il y avait des bombardements autour de la ville mais pas sur l'aéroport", a-t-elle déclaré à l'AFP, ajoutant qu'elle était "très heureuse" de voir la compagnie aérienne française de retour dans son pays.
Un ancien steward cambodgien qui a travaillé sur l'un des derniers vols à destination de Paris assistait également à la cérémonie officielle d'inauguration.
Le dernier vol Air France avait quitté la capitale cambodgienne en juin 1974, quelques mois avant la fermeture des frontières par les Khmers Rouges et le lancement d'une révolution qui a plongé le pays dans l'une des périodes les plus sombres du 20ème siècle. Les Khmers Rouges ont vidé les villes, supprimé l'argent et les écoles dans le but de créer une utopie agraire. Plus de deux millions de personnes sont mortes d'épuisement au travail, de faim ou ont été exécutées entre 1975 et 1979 sous ce régime sanguinaire.
(http://www.lepetitjournal.com/bangkok.html avec AFP) lundi 4 avril 2011

Hun Sen :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Hun_Sen





Les risques du métier chez les déglingués à mes frais .Ils enfument leur fournisseur d'herbe

05/04/2011 00:40



Ils enfument leur fournisseur d'herbe

Pour la défense, Me Alary, les jeunes n'étaient pas les seuls à tourner autour de la maison.  D'autres auraient pu mettre le feu./Photo archives.
Pour la défense, Me Alary, les jeunes n'étaient pas les seuls à tourner autour de la maison.  D'autres auraient pu mettre le feu./Photo archives.
Pour la défense, Me Alary, les jeunes n'étaient pas les seuls à tourner autour de la maison. D'autres auraient pu mettre le feu./Photo archives.

Il s'en passe des drôles dans le monde des consommateurs et dealers de stups. Le tribunal correctionnel d'Albi a jugé deux compères, prévenus de destruction de biens d'autrui par un moyen dangereux. Arnaud M., 25 ans, (4 condamnations au casier pour des vols, des violences et un viol sur mineure) et son pote d'un soir, Wilfried P., 25 ans, (12 condamnations pour des vols, infractions routières, stups et violences), sont soupçonnés d'avoir mis le feu, le 14 octobre 2010, à un appentis ainsi qu'à une voiture, au Bourg, sur la commune de Vieux. Sur place, après le sinistre, les gendarmes ont retrouvé une sacoche accrochée au portail et trois jeunes, ivres, qui dormaient dans une voiture, non loin du lieu-dit. L'enquête a permis de déterminer qu'une des relations du propriétaire de la maison (hospitalisé) recevait pas mal de visites pour son petit trafic d'herbe maison. Dans l'après-midi, il a d'ailleurs reçu deux jeunes qui lui ont pris pour 70 € de cannabis.

« L'herbe était extrêmement bonne, explique Wilfried à la barre. On a décidé d'y revenir le soir ». Il branche son copain Arnaud pour subtiliser le stock d'herbe. Tous deux sont passablement ivres. Ils frappent à la porte. Pas de réponse. Ils décident alors d'incendier l'appentis pour faire sortir leur fournisseur. Mais le feu se propage au véhicule et embrase une partie de la maison. Panique à bord et les deux compères s'enfuient.

Dans un état second

Wilfried ne se souvient de rien. Me Rimaillot, pour la partie civile (le curateur du propriétaire) réclame plus de 5 000 € de dédommagements. Le procureur, Pascal Suhard, requiert, pour « cette idée saugrenue » entre 8 mois et un an, plus ou moins assortis de sursis, pour les deux.

« Ce n'est qu'un dossier d'apparence, lâche Me Jean-Baptiste Alary qui assure leur défense. Est-ce qu'ils étaient seuls à tourner autour de la maison ? Ils étaient dans un état second. Ils auraient mis le feu et seraient restés dormir dans la voiture, à proximité, contrôlée par les gendarmes, c'est ridicule. » Le tribunal les a reconnus coupables et les a condamnés à 1 an de prison dont 4 mois assortis du sursis avec mise à l'épreuve et obligation de soins. Ils devront débourser 5 600 € de dommages et intérêts.

Depuis les faits, la maison a été cambriolée à trois reprises !

http://www.ladepeche.fr/article/2011/04/04/1050516-Vieux-Ils-enfument-leur-fournisseur-d-herbe.html






Parag Khanna, l’homme qui pense la politique étrangère de l’Empire

05/04/2011 00:37



Parag Khanna, l’homme qui pense la politique étrangère de l’Empire
Bien rares sont, en France, ceux qui connaissent ne serait-ce que le nom de Parag Khanna. Et pourtant ce trentenaire est sans doute actuellement le géopoliticien le plus écouté à Washington et son dernier livre, How to Run the World?, pourrait bien expliquer tant l’intervention occidentale en Libye que certaines décisions américaines récentes en Irak et les troubles qui agitent actuellement le Machrek.

Né en 1977 dans une petite ville du Nord de l’Inde, ayant acquis la citoyenneté américaine par naturalisation, Parag Khanna a fait un parcours sans faute de surdoué jusqu’à devenir un intellectuel organique de l’hyper-classe nomade et sans racines. Après des études de relations internationales à l’université de Georgetown et un doctorat à la London School of Economics effectués grâce à des bourses de plusieurs fondations yankees, notre homme est engagé, à seulement vingt-deux ans !, comme analyste par le Council on Foreign Relations. Cette première expérience décide de toute sa carrière et Parag Khanna n’a jamais cessé depuis d’être un analyste et un consultant pour des think tanks et des ONG mondialistes. Ainsi sera-il successivement employé par le Forum mondial économique de Genève et par la Brookings Institution où il aura en charge la prospective concernant la « gouvernance globale ». Il quittera ce poste pour devenir conseiller en géopolitique de l’United States Special Operations pour l’Irak et l’Afghanistan en 2007 avant d’intégrer l’équipe de campagne de Barack Obama comme conseiller pour les relations internationales.

En parallèle Parag Khanna, par ailleurs devenu membre de la direction du Council on Foreign Relations, sera aussi un des animateurs des Independent Diplomat, une ONG dont une des fonctions est de « fournir des diplomates free-lances à des États non-internationalement reconnus ». À ce titre, il jouera un rôle dans l’accession à l’indépendance du Kossovo, ainsi que dans l’évolution de la situation diplomatique du Somaliland, de la république turque de Chypre et du Sahara occidental. Dans le même temps, il publia The Second World: Empires and Influence in the New Global Order où il annonçait un monde dominé par trois grandes puissance – les USA, la Chine et l’Europe – rivalisant entre elle pour le contrôle des ressources de la planète.

Ces multiples activités et engagement firent que, toujours en 2008, le magazine Esquire le cita parmi les soixante-quinze personnalités les plus influentes au monde et que le mensuel libertarien Wired l’inclut, quant à lui, dans sa liste des quinze hommes de l’année. En 2009, c’est le Forum mondial économique de Genève qui le distingua en le nommant Young Global Leader…

En janvier 2011, l’éditeur Random House a publié son deuxième livre : How to Run the World? Parag Khanna y explique comment le nombre d’État représentés à l’ONU devrait croître à court terme de manière très importante (passant de 200 à 300) par la remise en cause des accords diplomatiques qui ont décidé de la partition du Proche-Orient (accords Sykes- Picot de 1916) et de l’Afrique (traité de Berlin de 1884). De la nouvelle carte du monde devraient disparaître les États artificiels au profits de territoires uniformes d’un point de vue ethnique ou religieux.

Si l’hypothèse n’est pas réellement nouvelle et recycle beaucoup d’idées déjà présentes dans les diverses stratégies suivies ces dernières décennies par le Département d’État, elle a cependant l’avantage de les formaliser clairement. Quant à sa mise en œuvre, elle a débuté au Soudan avec sa partition et en Irak avec les diverses tentatives de le « libaniser » (voir notre article sur l’Assyristan dans Flash n° 54). Rien ne dit qu’elle ne va pas continuer avec un éclatement de la Libye, et pourquoi pas du Machrek tout entier comme l’ont évoqué très récemment aussi bien Aluf Benn, le chroniqueur diplomatique du quotidien israélien Haaretz, que Thomas Friedman, du New York Times, qui tous les deux évoquent l’explosion de la Syrie, de la Jordanie, de Bahrein et de l’Arabie saoudite, tandis qu’aux États-Unis certains lobbies soutiennent l’idée d’une possible autonomie pour les coptes d’Égyptes.

Dans l’immédiat cependant les avis sont très partagés parmi les officiels et nombre de diplomates et politiques, tant yankees qu’israéliens, freinent des quatre fers craignant que du renversement des gouvernements forts actuellement existants naisse un chaos politique et religieux similaire à la situation irakienne et plus dangereux que positif au final, tant pour la survie d’Israël que pour les intérêts de l’Oncle Sam.

Cela étant, dans The Second World Parag Khanna se fait aussi l’apôtre de la mega-diplomacy situation où la fonction diplomatique n’est plus l’apanage des États mais est prise en charge aussi par les ONG, les célébrités mondiales, les groupes activistes internationaux, etc. dans une optique qui ressemble comme deux gouttes d’eaux à la gouvernance mondiale… Tout ceci permet de comprendre que Parag Khanna n’est pas qu’un brillant agent de l’impérialisme américain, mais qu’il est aussi, comme nous l’annoncions précédemment, un intellectuel organique de l’hyper-classe. Cela a une conséquence : il défend des thèses qui sont favorables à celle-ci, même si elles peuvent nuire aux États-Unis - pays dont il n’a, somme toute, que la nationalité… - qui ne sont pas, à terme et comme l’Europe, à l’abri d’un éclatement sur des bases ethniques et qui ont eux aussi beaucoup à perdre de la montée de la notion de gouvernance.
Christian Bouchet

http://www.voxnr.com/cc/a_la_une/EFpEAuEkVpDDBoFzfN.shtml

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Notes : Tout s'explique! Dominique Ouattara, femme fatale à la Côte d’Ivoire. Les secrets de l’ascension des Ouattara enfin révélés !


Dominique Nouvian, d’origine juive sépharade, nait le 16 décembre 1953 à Constantine (Algérie), elle est de nationalité française et épouse, en 1973, un professeur au lycée technique d’Abidjan, très âgé, le Pr Folleroux.
Il est l’ami du ministre de l’enseignement professionnel et technique, Bamba Vamoussa (il a été ensuite ministre de l’éducation nationale de 1990 à 1993), avec lequel elle commence une relation forte, elle est son 2e bureau. Elle rentre alors en contact avec le gouverneur de la BCEAO, Abdoulaye Fadiga, dont elle est également le 2e bureau. Elle se partage simultanément entre les trois lits. Son ascension dans les circuits de pouvoir en est facilité et, dès 1979, elle crée AICI (société immobilière), structure qui gère le patrimoine présidentiel ivoirien, qu’elle détourne à son profit au fil des ans.


Par Fadiga, elle connaît ADO (Alassane Ouattara), dont elle devient la maîtresse. Il est à cette époque vice-gouverneur de la BCEAO à Dakar, pour le compte de la Haute Volta (Burkina Faso), poste qu’il occupe de janvier 1983 à octobre 1984. De novembre 1984 à octobre 1988 il est directeur Afrique du FMI à Washington. Après la mort de Fadiga (le 11 octobre 1988), il rentre en Côte d’Ivoire où, sur la pression insistante de Dominique, il est nommé gouverneur de l’institution bancaire pour la Côte d’Ivoire (octobre 1988 à décembre 1993).


Pendant ce temps, notre Dominique nationale part à la conquête de l’Europe en créant une agence AICI à Paris, dans le 16ème arrondissement. Cette agence, située avenue Victor Hugo, devient rapidement la vitrine de ce qui est devenu le Groupe AICI en Europe. La même année, elle est élue présidente d’honneur de la Chambre Syndicale des Agents Immobiliers de Côte d’Ivoire (CSDAIM). Suivent, en 1991, la création d’une agence à Cannes, et en 1993, un cabinet de gestion de Syndic de copropriétés à Paris qui gère plus de 200 immeubles parisiens.


Entretemps, le président Houphouët-Boigny, tombe sous l’influence de Dominique Ouattara (ses adversaires, déjà nombreux la surnomment « la putain dangereuse »). Il nomme ADO président du Comité interministériel de relance de l’économie ivoirienne (avril à novembre 1990).C’est alors,
en octobre 1990, qu’elle épouse ADO. C'est déjà Nicolas Sarkozy qui célèbre leur mariage dans sa mairie de Neuilly! Ensuite la « femme fatale » pousse le président Houphouët-Boigny, qui ne dispose déjà plus de toutes ses facultés, à nommer ADO premier ministre,fonction qu’il occupe du 7 novembre 1990 au 9 décembre 1993 . Elle obtient, du président Houphouët-Boigny, à l’arrivée d’ADO à la Primature, qu’il soit chargé de lancer le processus de privatisation des structures étatiques de l’économie ivoirienne.


ADO et son épouse lancent alors une gigantesque opération de prédation du patrimoine de la Côte d’Ivoire. Après la mort du président Houphouët-Boigny, ADO devient directeur général adjoint du FMI (1er juillet 1994 au 31 juillet 1999). Il en profite pour fonder à Washington,, le 10 Juin 1999, l’Institut International pour l’Afrique (IIA) à Washington.


Puis, le 1er août 1999, le RDR (Rassemblement Des Républicains), dont il prend la présidence.Dominique profite des fonctions internationales de son époux pour faire prospérer ses affaires. En 2001, une nouvelle agence AICI voit le jour au Gabon, à Libreville. En février 2006, AICI International s’installe à Ouagadougou, au Burkina Faso.


Parallèlement à la poursuite de ses activités dans le domaine immobilier, Dominique Ouattara devient, en 1996, la patronne d’EJD Inc., société qui gère l’Institut Jacques Dessange basé à Washington. Celui-ci est aujourd’hui un des endroits les plus fréquentés de la capitale américaine.
Dominique Ouattara acquiert, en 1998, les franchises Jacques Dessange aux Etats-Unis. Elle devient alors la présidente de la compagnie French Beauty Services à Washington,regroupant toutes les franchises Jacques Dessange du pays : salons de coiffure, instituts de beauté, école de coiffure, distribution des produits Jacques Dessange. Le Groupe se développe et représente aujourd’hui un des actifs les plus prometteurs du groupe Jacques Dessange.


Le cumul des activités très rémunératrice d’ADO et l’empilement de « pompes à fric » de Dominique supposent des moyens de réintégration « légale » sur des comptes en banques des fortunes ainsi dégagées. Il faut donc couvrir cela sous une apparence inattaquable. C’est donc l’humanitaire qui devient la priorité. Tout d’abord, à partir 1980, elle effectue des missions « humanitaires » en Côte d`Ivoire. Les flux financiers prenant de l’ampleur, elle décide, en 1998, de créer la fondation Childrenof Africa. Quoi de plus imparable ? Qui croirait que les enfants d’Afrique sont la couverture d’un gigantesque système de prédation et de transferts de fonds. Cosa Nostra en a rêvé, Domnique Ouattara l’a fait !
http://www.toutsaufsarkozy.com/cc/article02/EFpElyZuEZyyUMthPN.shtml





Un collaborateur de la CIA pour commander les rebelles libyens

05/04/2011 00:29

Un collaborateur de la CIA pour commander les rebelles libyens


Un collaborateur de la CIA pour commander les rebelles libyens
inv
Le Conseil National Libyen, l’organisation basée à Benghazi qui parle au nom des forces rebelles qui luttent contre le régime de Kadhafi, a désigné un collaborateur de longue date de la CIA pour diriger ses opérations militaires.


Les insurgés libyens, malgré l’assistance occidentale, sont à nouveau repoussés par les troupes de Kadhafi
Le choix de Khalifa Hifter, un ancien colonel de l’armée libyenne a été signalé jeudi par McClatchy Newspapers, et le nouveau chef militaire a été interviewé par un correspondant d’ABC News dimanche soir.
Hifter, dont l’arrivée à Benghazi avait été rapportée pour la première fois le 14 mars par Al Jazeera, a fait l’objet le 19 mars d’un portrait flatteur dans le Daily Mail, un tabloïd britannique farouchement belliciste. Le Daily Mail présentait Hifter comme une des « deux étoiles militaires de la révolution » qui « est rentré récemment d’exil en Amérique pour apporter une certaine cohérence tactique aux troupes rebelles au sol. » Le journal n’évoquait pas ses liens avec la CIA.


McClatchy Newspapers a publié un profil d’Hifter ce dimanche. Intitulé Le nouveau chef rebelle a passé une bonne partie des 20 dernières années dans une banlieue en Virginie, l’article note qu’il avait été auparavant un officier supérieur du régime de Kadhafi jusqu’à « une aventure militaire désastreuse au Tchad à la fis des années 1980. »


Hifter avait ensuite rejoint l’opposition à Kadhafi puis finalement émigré aux États-Unis où il a vécu jusqu’à ces dernières semaines qui ont vu son retour en Libye pour prendre le commandement de Benghazi.
Le profil par McClatchy concluait, « Depuis son arrivée aux États-Unis au début des années 1990, Hifter a résidé dans une banlieue de Virginie aux environs de Washington DC. ». Il citait un ami qui « disait ne pas trop savoir comment Hifter subvenait à ses besoins, et qu’Hifter s’occupait d’abord d’aider sa grande famille. »


Pour ceux qui savent lire entre les lignes, c’est une indication à peine voilée du rôle d’Hifter en tant qu’agent de la CIA. Comment en effet, un ancien officier supérieur de l’armée libyenne a-t-il pu entrer aux États-Unis au début des années 1990, seulement quelques années après l’attentat de Lockerbie, puis s’installer près de la capitale fédérale, sans l’accord et l’aide active des services de renseignements US ? Hifter a vécu en fait pendant une vingtaine d’années à Vienna en Virginie, à seulement une dizaine de kilomètres du siège de la CIA à Langley.


La CIA était bien au courant des activités militaires et politiques d’Hifter. Un article du Washington Post du 26 mars 1996 parle d’une rébellion armée contre Kadhafi en 1996 et écrit son nom dans une transcription différente. L’article cité des témoins selon qui la rébellion a pour « chef le colonel Khalifa Iftar [et est] une organisation du type "contra" basée aux Etats-Unis et appelée Armée Nationale Libyenne. »
La comparaison est faite avec les forces terroristes "contra" financées et armées par le gouvernement des États-Unis dans les années 1980 contre les autorités sandinistes au Nicaragua. Le scandale Iran-Contra, qui avait secoué l’administration Reagan en 1986-87, concernait la mise au jour de ventes illégales d’armes US à l’Iran, dont le produit servait à financer les contras au mépris d’une interdiction par le Congrès. Les parlementaires démocrates avaient couvert le scandale et rejeté les appels à une procédure d’impeachment contre Reagan pour avoir financé les activités d’une illégalité flagrante ourdies par une brochette d’anciens agents des services secrets et de conseillers à la maison Blanche.


Un livre publié par Le Monde Diplomatique en 2001, Manipulations africaines, fait remonter la relation avec la CIA encore plus loin, en 1987, signalant qu’Hifter, alors colonel de l’armée de Kadhafi, avait été capture au Tchad où il combattait avec une rébellion soutenue par la Libye contre le gouvernement d’Hissène Habré, soutenu par les États-Unis. Il fit défection pour le Front National de Salut Libyen (FNSL), la principale force d’opposition à Kadhafi, qui avait le soutien de la CIA. Il organisa sa propre milice qui opéra au Tchad jusqu’à la déposition d’Hissène Habré en 1990 par Idriss Déby, son rival appuyé par la France.
Selon ce livre, « la force de Haftar, créée et financée par la CIA au Tchad, disparut dans la nature avec l’aide de la CIA peu de temps après le renversement du gouvernement par Idriss Déby. » Le livre cite aussi un rapport du service de recherche du Congrès daté du 19 décembre 1996, selon lequel le gouvernement des États-Unis apportait une aide militaire et financière aux membres du FNSL qui avaient été repositionnés aux États-Unis.


Ces informations sont accessibles à tous ceux qui se livrent à une recherche même superficielle sur Internet, mais elles n’ont pas été relayées par les médias contrôlés par les grands groupes, hormis une dépêche de McClatchy qui évite toute référence à la CIA. Les chaînes de télévision, trop occupées à faire l’éloge des "combattants de la liberté" de l’Est libyen, ne se sont pas fatiguées à signaler que ces forces étaient désormais commandées par un collaborateur de longue date des services de renseignements des États-Unis.
Pas plus que n’en ont tenu compte ceux qui parmi les libéraux ou la "gauche" s’enthousiasment pour l’intervention des Etats Unis et de l’Europe en Libye. Ils sont trop occupés à saluer l’administration Obama pour son approche multilatérale et « consultative » de la guerre, présumée être différente de l’approche unilatérale à la "cowboy" de l’administration Bush en Irak. Que le résultat soit le même - mort et destruction qui s’abattent sur la population, la souveraineté et l’indépendance d’un pays anciennement colonisé foulées aux pieds - ne signifie rien pour ces thuriféraires de l’impérialisme.


Le rôle de Hifter, présenté à juste titre il y a 15 ans comme le chef d’une "organisation du genre contra", montre quelles sont les véritables classes sociales à l’oeuvre dans la tragédie libyenne. Quelle que soit l’authenticité de l’opposition populaire qui s’est exprimée dans la révolte initiale contre la dictature corrompue de Kadhafi, la rébellion a été détournée par l’impérialisme.


L’intervention de l’Europe et des États Unis en Libye n’a pas pour but d’apporter la "démocratie" et la "liberté" mais d’installer au pouvoir des pantins de la CIA qui dirigeront le pays aussi brutalement que Kadhafi, tout en permettant aux puissances impérialistes de piller les ressources pétrolières du pays et de se servir de la Libye comme base d’opérations contre les révoltes populaires qui soufflent sur le Moyen Orient et l’Afrique du Nord.
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World Socialist Web Site
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http://www.info-palestine.net/article.php3?id_article=10391
inv
Notes :
Tout s'explique! Dominique Ouattara, femme fatale à la Côte d’Ivoire. Les secrets de l’ascension des Ouattara enfin révélés !


Dominique Nouvian, d’origine juive sépharade, nait le 16 décembre 1953 à Constantine (Algérie), elle est de nationalité française et épouse, en 1973, un professeur au lycée technique d’Abidjan, très âgé, le Pr Folleroux.
Il est l’ami du ministre de l’enseignement professionnel et technique, Bamba Vamoussa (il a été ensuite ministre de l’éducation nationale de 1990 à 1993), avec lequel elle commence une relation forte, elle est son 2e bureau. Elle rentre alors en contact avec le gouverneur de la BCEAO, Abdoulaye Fadiga, dont elle est également le 2e bureau. Elle se partage simultanément entre les trois lits. Son ascension dans les circuits de pouvoir en est facilité et, dès 1979, elle crée AICI (société immobilière), structure qui gère le patrimoine présidentiel ivoirien, qu’elle détourne à son profit au fil des ans.


Par Fadiga, elle connaît ADO (Alassane Ouattara), dont elle devient la maîtresse. Il est à cette époque vice-gouverneur de la BCEAO à Dakar, pour le compte de la Haute Volta (Burkina Faso), poste qu’il occupe de janvier 1983 à octobre 1984. De novembre 1984 à octobre 1988 il est directeur Afrique du FMI à Washington. Après la mort de Fadiga (le 11 octobre 1988), il rentre en Côte d’Ivoire où, sur la pression insistante de Dominique, il est nommé gouverneur de l’institution bancaire pour la Côte d’Ivoire (octobre 1988 à décembre 1993).


Pendant ce temps, notre Dominique nationale part à la conquête de l’Europe en créant une agence AICI à Paris, dans le 16ème arrondissement. Cette agence, située avenue Victor Hugo, devient rapidement la vitrine de ce qui est devenu le Groupe AICI en Europe. La même année, elle est élue présidente d’honneur de la Chambre Syndicale des Agents Immobiliers de Côte d’Ivoire (CSDAIM). Suivent, en 1991, la création d’une agence à Cannes, et en 1993, un cabinet de gestion de Syndic de copropriétés à Paris qui gère plus de 200 immeubles parisiens.


Entretemps, le président Houphouët-Boigny, tombe sous l’influence de Dominique Ouattara (ses adversaires, déjà nombreux la surnomment « la putain dangereuse »). Il nomme ADO président du Comité interministériel de relance de l’économie ivoirienne (avril à novembre 1990).C’est alors,
en octobre 1990, qu’elle épouse ADO. C'est déjà Nicolas Sarkozy qui célèbre leur mariage dans sa mairie de Neuilly! Ensuite la « femme fatale » pousse le président Houphouët-Boigny, qui ne dispose déjà plus de toutes ses facultés, à nommer ADO premier ministre,fonction qu’il occupe du 7 novembre 1990 au 9 décembre 1993 . Elle obtient, du président Houphouët-Boigny, à l’arrivée d’ADO à la Primature, qu’il soit chargé de lancer le processus de privatisation des structures étatiques de l’économie ivoirienne.


ADO et son épouse lancent alors une gigantesque opération de prédation du patrimoine de la Côte d’Ivoire. Après la mort du président Houphouët-Boigny, ADO devient directeur général adjoint du FMI (1er juillet 1994 au 31 juillet 1999). Il en profite pour fonder à Washington,, le 10 Juin 1999, l’Institut International pour l’Afrique (IIA) à Washington.


Puis, le 1er août 1999, le RDR (Rassemblement Des Républicains), dont il prend la présidence.Dominique profite des fonctions internationales de son époux pour faire prospérer ses affaires. En 2001, une nouvelle agence AICI voit le jour au Gabon, à Libreville. En février 2006, AICI International s’installe à Ouagadougou, au Burkina Faso.


Parallèlement à la poursuite de ses activités dans le domaine immobilier, Dominique Ouattara devient, en 1996, la patronne d’EJD Inc., société qui gère l’Institut Jacques Dessange basé à Washington. Celui-ci est aujourd’hui un des endroits les plus fréquentés de la capitale américaine.
Dominique Ouattara acquiert, en 1998, les franchises Jacques Dessange aux Etats-Unis. Elle devient alors la présidente de la compagnie French Beauty Services à Washington,regroupant toutes les franchises Jacques Dessange du pays : salons de coiffure, instituts de beauté, école de coiffure, distribution des produits Jacques Dessange. Le Groupe se développe et représente aujourd’hui un des actifs les plus prometteurs du groupe Jacques Dessange.


Le cumul des activités très rémunératrice d’ADO et l’empilement de « pompes à fric » de Dominique supposent des moyens de réintégration « légale » sur des comptes en banques des fortunes ainsi dégagées. Il faut donc couvrir cela sous une apparence inattaquable. C’est donc l’humanitaire qui devient la priorité. Tout d’abord, à partir 1980, elle effectue des missions « humanitaires » en Côte d`Ivoire. Les flux financiers prenant de l’ampleur, elle décide, en 1998, de créer la fondation Children
of Africa. Quoi de plus imparable ? Qui croirait que les enfants d’Afrique sont la couverture d’un gigantesque système de prédation et de transferts de fonds. Cosa Nostra en a rêvé, Domnique Ouattara l’a fait !
http://www.toutsaufsarkozy.com/cc/article02/EFpElyZuEZyyUMthPN.shtml




Par Morice :Coke en stock (XXXIV) : le souvenir de George Doole Jr et ses « Shy Airlines », le bombardier pour VIPs

05/04/2011 00:19



Coke en stock (XXXIV) : le souvenir de George Doole Jr et ses « Shy Airlines », le bombardier pour VIPs

Et puis il y a eu derrière tout cela une énigme véritable. Un seul homme, resté inconnu très longtemps et mort fort discrètement en 1985. George Arntzen Doole, celui qui est à l’origine, entre autres, d’Air America. Son nom est aujourd’hui gravé sur une plaque, fixée à un hangar en plein désert de l’Arizona, à 90 miles de Phoenix. L’inventeur de la « Shy Airline », la compagnie d’aviation qui n’ose pas dire son nom : le surnom donné aux avions de la CIA. Ses avions ravitailleront les 30 000 hommes luttant contre le Pathet Lao, largueront d’altitude les fameux paras vus dans l’épisode précédent au dessus de la Chine ou aideront les séparatistes indonésiens en toute discrétion. Ce n’est qu’avec l’article paru dans Time le 7 avril 1986 qu’on s’apercevra de son existence et du rôle vital qu’il a joué pour les Etats-Unis. Bienvenue au roi de l’ombre et des coups bas de tout un système qui, sous couvert de démocratie, s’est permis bien des excés.

Doole avait en réalité tout inventé : la dilution dans un nombre conséquent de petites sociétés se refilant les avions entre elles, pour éviter d’en retrouver le propriétaire véritable en cas de crash, par exemple, et les camouflages récurrents avec changement régulier de numéros de queue des appareils : Doole, en ce sens, était tout simplement le précurseur de Viktor Bout, qui lui doit donc tout. « Officiellement », raconte Time dans ce passionnant article, « la CIA affirme qu’il n’a pas de casier comme quoi Doole a déjà travaillé chez eux, mais parmi les anciens de l’agence, il est une légende. Opérant à partir d’un petit bureau quelconque sur Connecticut Avenue, il a fondé et dirigé un vaste réseau de compagnies aériennes que l’agence utilisés pour mener à bien ses opérations secrètes partout dans le monde. Appartenant à une société holding, Pacific Corp, elle-même une façade de la CIA, l’empire Doole a inclus Air America, Civil Air Transport, Southern Air Transport, Air Asia et des dizaines de toutes petites lignes « pour sauter au dessus des flaques d’eau ». Ensemble, à leur apogée dans le milieu des années 60, ces société liées à la CIA formaient une compagnie aérienne qui avait presque la taille de la TWA, employant près de 20 000 personnes au total (autant que la CIA elle-même) et exploitait quelque 200 avions. Même la CIA n’était pas sûre exactement de combien elle en possédait. Interrogé un jour par le directeur adjoint Richard Helms de savoir le nombre d’avions tous la direction de Doole, un membre du personnel a passé trois mois sur le projet avant d’avouer qu’il ne pouvait être sûr que pour 90% d’entre eux seulement. Doole était constamment en train de louer ses propres avions entre ses sociétés, de changer leur noms et leurs numéros de queue ». Il n’y a pas : Viktor Bout a bien tout appris de lui !

Pour réussir son entreprise, il lui faudra réunir des têtes brûlés de talent, qui finiront par se créer un petit monde entre eux, avec leurs expressions particulières. « Les pilotes de Doole, qui entraient et sortaient de la jungle au dessus de champs minuscules dans les conditions météo épouvantables et parfois sous le feu ennemi, utilisaient un langage particulier. Ils se référaient à la CIA comme étant « le client », les munitions transportées étaient du « riz dur » et d’être sous un feu nourri était considéré par eux comme étant « sportif ». Cotoyer la mort était décrit comme « fascinant ». Pour eux, être « absolument fasciné » signifiait avoir « une peur stupide ».

Après avoir été à l’origine d’Air America, George Arntzen Doole avait été le premier en 1971 à créer sa société privée : Evergreen, qui a racheté en 1975 Intermountain Aviation (Pacific Corporation, la société privée paravant de la CIA ayant créé Southern Air dès 1947). Les deux sociétés de Doole étaient situées en Arizona. En 2009, on se souvient soudain de ce qu’elles ont pu faire durant les années précédentes. « CBS News, dans un reportage diffusé dimanche, a déclaré que des compagnies aériennes du Delaware,de Floride et d’Arizona ont effectué des missions de la CIA en Amérique centrale à plusieurs reprises. Le réseau a effectué une mission le 9 avril 1983, lorsque Southern Air Transport de Miami a transporté 22 tonnes d’armes légères à une base militaire du Honduras sur un avion de transport Hercules à hélice avec un équipage spécial ». Au Nicaragua, Evergreen, avait effectivement été bien présent, pour servir de relais aux forces spéciales déployées discrètement et les rapatrier, souvent en deux étapes. « Au moment même où le travail des hélicoptères a commencé au Salvador, deux anciens pilotes d’Evergreen ont affirmé, qu’on leur a demandé de voler au Nicaragua pour ramasser certaines personnes pour les ramener à Houston. Comme l’indique Smith, un ancien pilote de Learjet privé, le plan prévu était de voler à bord d’un DeHaviland Twin Otter (un avion de type STOL) sur une piste en herbe au Nicaragua vers environ 5 h du matin, puis d’emporter les personnes vers une route où un Lear 24 pourrait les attendre, toujours à l’intérieur du Nicaragua, et de les faire monter ensuite dans le jet pour leur retour à Houston « .

L’avion décrit, dûment « spotté » était le Twin Otter N301EH (ici à Athènes) fabriqué en 1975, le 454ème exemplaire construit par DeHavilland. C’est lui qu’on retrouvera dans la surveillance des baleines de Greenpeace, en 1990, qui a dû servir aussi à d’autres surveillances discrètes. Les Twin Otter de l’Air Branch de la CIA étant aujourd’hui toujours visibles en Afghanistan ou comme ici à Malte le 3 août 2005 avec le N6161QUn appareil souvent vu au Canada comme appartenant à Aviation Specialties, Inc, une des nombreuses sociétés écran de la CIA. On le verra évidemment à….Shannon. L’avion sera également photographié à Desert Rock /Camp Atom, au fameux « Lazy G Ranch » dans le Nevada (aux côtés du N379P et du N313P ainsi que du N85VM, appareil acheté aux Boston Red Sox… pour les vols de renditions flights)… Au même endroit, ce n’est pas un hasard, des parachutistes recrutés chez Aero Contractors feront des tests de largage à partir du N196D, un Casa C-295 : Aviation Specialties, Inc étant une subdivsion d’Aero Contractors. Bizarrement encore, il faut savoir que les De Havilland DHC-3 d’Air America été appelés « Otters » et non Twin Otters, alors que c’étaient bien des avions à deux moteurs : une occasion de plus de brouiller les pistes des enquêteurs du Congrès, peut-être bien.

En tout cas, les avions de Southern Air comme ceux d’Evergreen ne se sont pas contentés de larguer des paras. « Périodiquement au cours de la guerre contre le Nicaragua, des histoires avaient fait surface sur la connexion avec la drogue. Dans certains cas, des avions volant vers l’Amérique du sud avec des armes revenaient avec de la marijuana ou la cocaïne. Les rumeurs ont suggéré que la CIA au pire utilisait l’argent de la drogue afin de promouvoir une guerre que le Congrès avait refusé de financer, et au mieux que la CIA semblait parfaitement ignorante du fait qu’un certain nombre de ses agents contractuels contre avaient t été signalés ou étaient impliqués dans le commerce de la drogue. Au moment des audiences Iran-Contra, en 1987, il était clair qu’un certain nombre des responsables du réseau d’ Oliver North étaient au courant du trafic de drogue depuis un certain temps. Les agents de la DEA et les procureurs qui sont allés voir certains revendeurs auraient découvert qu’ils disposaient d’une « sorte de carte blanche » avec leurs connexions de la CIA, et en 1985, deux journalistes qui avaient déposé une histoire sur la drogue et les Contras avaient vu leurs textes pour l’Associated Press fortement modifiés. En 1989, trois ans après avoir commencé son enquête, le Senate Subcommittee on Terrorism, Narcotics, and International Operations dirigé par John Kerry (D-MA), publiait un rapport de 144 pages qui confirmait la plupart des soupçons. Les « Cocaine Politics » présentées dans ce rapport sont les preuves supplémentaires de ce trafic et représentent le tableau le plus complet qui n’ait jamais encore été publié à ce jour sur la question ». Le 5 octobre 1986, le crash d’un Provider C-123 au Nicaragua confirmait amplement les doutes de John Kerry : l’avion appartenait à…Southern Air Transport.

La CIA avait eu recours à d’autres appareils chez Air America. En 1966, elle possédait déjà 6000 employés, et réalisait près de 30 000 vols par mois dans les années 70 ! On a noté qu’elle possédait deux douzaines d’avions de transport lourd, deux douzaines de d’avion à décollage court, dont des Twin Otter, des Buffalos et des petits « Helio » (ici le Stallion à turbine, arrivé plus tard), sans oublier les fameux Turbo Porter Pilatus immortalisés par le fil de Mel Gibson (« Air America« , avec la séquence où le sénateur apprend que ses avions transportent l’opium ! ) ou le non moins fameux C-123 Provider. On pense que 12 000 personnes étaient emmenées par moi au Laos ; à partir de 40 avions basés au Viet-Nam. Parmi ces appareils, un bien étrange engin : le BLue Goose. Un B-26 modifié par Mark Marksman, construit à 8 exemplaires seulement. L’engin, un petit bombardier rapide utilisé par les français en Indochine et en Algérie, et présenté comme avion de "contre insurrection" avait été grandement et habilement modifié pour en faire une cabine arrière présentable : à l’origine, son aile traversait l’avion. Grâce à un ingénieux arceau en acier, l’espace central était libéré, permettant une hauteur d’1,85m, idéal pour les paras, dans un environnement pressurisé permettant de voler à 21 000 pieds (6100 m). La cabine de pilotage avait une allure de DC-3 (sur le Marksman et non sur le Markeeter), et l’avion pouvait emporter entre 6 et 8 passagers, et une porte oléo-pneumatique sur le côté oinstallée… une fois la cabine depréssurisée, en dehors du cockpit étanche, on pouvait larguer les fameux parachutistes d’altitude ! Le bombardier pour Vips sera en fait un échec complet. A noter que ce sont les ateliers Marskman qui feront le premier Guppy.

Pour tromper le Congrès sur l’usage de ses engins si particuliers, tout un circuit d’achat et de revente avait pourtant été mis au point. Le Mark 26 par exemple a tout d’abord été acheté par Intermountain Aviation en avril 1967, en échange d’un DC6A/B N90784 refilé à Intermountain, et son patron, Hugh Grundy, via une transaction tordue faite par Pan Aero Investment Corporation, une firme installée à Reno. L’engin avait avec lui pour 40 000 livres de pièces détachées, et devait être en service administrativement au premier avril. Les avions volaient au nom du 609th Air Commando Squadron puis du 56th Air Commando Wing installés à Nakhon Phanom, mais les pilotes d’Air America étaient le plus souvent aux commandes : il y avait bien confusion civil-armée.

Les avions vendus l’avaient été au nom de « réassortiment d’avions, et pénétration à basse altitude », officiellement : avec une cabine pressurisée, il y avait de quoi se moquer du monde ! Finalement utlisés pour larguer des parachutistes à basse altitude, l’avion se révélera trop rapide pour le faire : les paras rateront trop souvent leur cible ! Et toujours avec la CIA comme commanditaire les mêmes transactions tordues pour qu’on perde sa trace administrative. Ainsi pour un B-26B, ancien bombardier dans l’USAF sous le numéro 44-35698 , qui devint le N5001X, acheté chez Gulf Air Inc, Miami, en FLoride, en juillet 1962, puis vendu une première fois à Intermountain Aviation, (en Arizona) en 1963 ; et revendu à On Mark Engineering Corp., Van Nuys, en Californie,, en juin, pour y être converti chez On Mark Marksman, puis revendu à nouveau à Intermountain Aviation, à Marana en Aroizona, et, enregistré là sous le numéro N800V le 16 janvier 1964 pour y être équipé d’un radar de suivi de terrain en 1966. C’est en quelque sorte l’ancêtre du non moins fameux Dash 8 CrazyHawk ! Tout avait déjà été écrit quelque part dans ses opérations de « cover-up » de la CIA ! Le coup des numéros changeant au gré des nouvelles couches de peinture, si cher à Viktor Bout, c’est bien la CIA qui l’a inventé !

Mais l’avion très « spécial » se trouvera une autre spécialité : le transport de drogue. De même que les bateaux rapides des contrebandiers vont apparaître, les « fast movers », les avions rapides vont attirer les vendeurs de drogue : et là, le B-28 de Marksman était tout indiqué.« Bon nombre des aéronefs utilisés dans le trafic de drogue dans les années 70 et 80 ont été des avions militaires excédentaires. Avec le B-25 Mitchell, B-18 Bolo et DC-3 Dakota, Le Mark Invader a été un de ces appareils et en particulier le Marketeer et le Marksman étaient convoités par des trafiquants de drogue en raison de leur grande vitesse, leur long rayon d’action et leur faible coût d’acquisition. Les pilotes qui ont volé ces appareils étaient souvent d’anciens militaires et ont su piloter ces avions rapides de manière à éviter la détection par radar. »

Par eux , de vrais as et de vrais mafieux. « Frederick « Rik » Luytjes était un trafiquant de drogue ayant utilisé le Marksman comme un avion pour ce trafic qui à l’époque (en 1980) a été décrit comme la conspiration la plus grande la cocaïne dans l’histoire des États-Unis, en plus avec le blanchiment d’argent, réalisé par son associé Joseph P. Donahue. Luytjes, qui venait d’Air America, Inc était à la tête d’un réseau de contrebande de la cocaïne qui opérait à partir de l’aéroport de Wilkes-Barre/Scranton, il a été arrêté et il a plaidé coupable d’avoir fait voler 7,5 tonnes de cocaïne au nord de la Pennsylvanie de 1980 à 1984 – pour une valeur marchande de 150 millions de dollars. Le commerce de la drogue des années 70 et 80 en Amérique du Nord a été fondée en grande partie autour des importations en provenance d’Amérique centrale et du Sud. L’avion nécessaire devait avoir la capacité de voyager sur des distances non-stop, afin de s’acquitter de ces fonctions et comme les coûts d’achat de ces accessoires anciens était négligeable, ils étaient souvent abandonnés après que leur mission fut terminée » : c’est tout le schéma que nous venons de voir avec les Cessna Conquest ou les Beech Air d’occasion. » On peur dire aujourd’hui qu’avec le Marksman B-26 on avait l’ancêtre des Cessna Conquest si prisés par les trafiquants actuels !

Les appareils des trafiquants des années 60-80 ont en effet été sériés : or parmi eux, on a retrouvé une très forte proportion de B-26, souvent dans la version civile. On trouve ainsi le N115RG de R.G. Letourneau Inc, Longview, TX (la société de forage de Nouvelle-Orleans), découvert en 1975 au Brésil , à Brasilia avec de la drogue à bord le 21 juin 1975. L’HK-1247P de J. R. Acosta & L. C. H. Lizcano, crashé au décollage à Bogota-El Dorado, le 21 septembre 1988. Le N202PP, ancien français de l’Armée de l’Air 44-34568, 1955. vendu à Purolator Products puis devenu pakistanais pour M. Anwar Khan, Karachi, et pris lui aussi dans un trafic de drogue à Karachi en 1985. Et encore le N240P, d’Aircraft Holdings, Miami, en 1976 et d’Earl Parks, Amarillo, (Texas), en 1976, pris avec de la drogue par le shérif T.L. Baker de Potter Co. Sheriffs Dept à Amarillo le 10 janvier 1977… dans d’étranges circonstances…

« Après qu’un pilote ait posé l’avion sur un seul moteur et s’était aussitôt éloigné de l’avion, les autorités l’avait trouvé plus que suspect. Un témoignage sur cette question est que, il y a quelques années deux messieurs cachés derrière l’obscurité de leurs lunettes de soleil semblaient plutôt intrigué par l’avion, revendu à un musée et disposé lord d’un meeting aérien, et qu’à la fin l’un des messieurs avait approché un membre d’équipage et a demandé de quelle couleur était l’avion avant que Ranger Wing, le dernier propriétaire l’avait acquis. Lorsqu’on lui a dit qu’ il était blanc avec du gris, il s’écria : « Mon Dieu, c’est le » Grey Ghost « ! Nous avons chassé ce connard le long de la côte du Golfe ! Nous n’avons jamais pu l’attraper, il avait sauté sur les commandes mis les moteurs à fond et nous avait laissé debout sur place ! Les deux messieurs aux lunettes noires étaient des agents de la DEA ! »

Et ce n’est pas fini : le N320, ayant appartenu à Rik Luytjes in 1984, il avait disparu tout à coup dans les années 70 pour réapparaître en Floride en 1981, à Opa Locka, Florida, sous le numéro N99426. Il sera partiellement détruit le 24 août 1992 par l’Ouragan Andrew puis reconstruit et acheté par un australien : mais trop corrodé, il ne pouvait plus voler. Il a servi à transporter la coke de Rik Luytjes. Le N4815E de Tallmantz (pour filmer pour Hollywood) puis de Rose Diehl, à Chino sera retrouvé de retour d’Amérique du Sud avec de la drogue, lui aussi, et revendu ensuite à un musée. Le N507WB de Tradewinds Aircraft Supply, San Antonio, puis à Milt Stollak, Burbank, CA, qui sera aussi découvert avec de la drogue à bord. Le N60XX d’Occidental Chemical Corp, Los Angeles, devenu N60XY, fera le trajet Beyrouth-USA le 13 février 1974 avant d’être découvert au retour plein de drogue… Le N600WB, qui a été vu en France au 10th Reconnaissance Technical Wing (USAFE) deToul-Rosiere AB, France, en juillet 1952 et au 737th Maintenance Group (USAFE), de Chateauroux AB, en France, en mars 1954… sera vendu à Oklahoma Aircraft Corp, à Yukon en 82, et sera ramené à Travis par les douanes après avoir transporté de la Marijuana le 17 mars 1983… Mais aussi le N6836D de Aircraft Associates, Long Beach, CA, soupçonné lui aussi de trafic, le N71Y de Jeremiah S. Boehmer, Grants Pass, OR,devenu N71Y. resté planté au décollage, vide, à Bogota-El Dorado AB, en Colombie. Le N61B vendu à Miami en 1984 et reporté comme crashé durant une opération de trafic. Le N9682C, l’actuel plus vieil Invader (construit le 18 août, 1944), déclaré surplus en 1958, devenu pompier volant, puis revendu… et aussitôt saisi par la DEA pour trafic ! Il vole aujourd’hui dans tous les meetings !

La « génération suivante » de « Shy Airline », des énormes cargos Boeing 747, sera découverte en Irlande, à Shannon par des « spotters » attentifs. Sous le nom de Polar Air Cargo, notamment, une des trois compagnies ayant obtenu de mirifiques contrats avec le Pentagone en septembre 2006 notamment. L’US Defence Department qui a accordé pas moins de 2,3 milliards de dollars (oui, vous avez bien lu, c’est en milliards ! ) au programme CRAF, celui de la « Civilian Reserve Air Fleet » un programme de transports de l’armée pour l’année 2007. Atlas Air Worldwide Holdings, Polar Air Cargo et Federal Express, s’étaient goinfrés la moitié du budget à elles trois. « Il ne fait aucun doute, cependant, que les avions du CRAF font dans le transport d’armes. Dans une récente lettre obtenue par le bureau du sénateur David Norris, le Ministre des Transports, Martin Cullen a donné cinq exemples de vols de Polar Air Cargo ou le gouvernement à accordé des exemptions pour voler avec des armes ou des munitions à travers l’espace aérien irlandais »

Le système des poupées russes d’entreprise inauguré par Doole fonctionne toujours, et dans des proportions inimaginables : Polar Air n’est que le paravent de Southern Air ! « Edwin « Ned » Wallace, un ancien dirigeant de Flying Tigers et d’Evergreen , des compagnies de fret aérien, a agi comme chef de la direction et s’est chargé du marketing et les ventes. Mais Polaris Holding de San Francisco, une filiale de General Electric Capital Aviation Services, est propriétaire de l’avion. Les pilotes ne travaillent pas pour Polar directement. A côté de cela, c’est Southern Air Transport, une société de service de fret aérien basée à Miami, qui s’occupait du côté opérationnel de l’entreprise. En effet, selon Aviation Daily, une publication de l’industrie aéonautique, a indiqué que avait étendu ses opérations en faisant affaires avec Polar Air Cargo. Southern Air -une entreprise ayant eu des liens avec le passé Central Intelligence Agency – devrait continuer à voler sous la bannière de Polar pour plus d’un an, et débarque chaque semaine à Shannon ». Pour mémoire, la société « Flying Tigers » cité avait été fondé par Robert Prescott, qui avait servi en 1940 dans l’ American Volunteer Group (AVG) en Chine, le groupe de mercenaire de Claire Lee Chennault appelé, justement “The Flying Tigers.” Ceux qui feront voler un Zero capturé et en feront un compte-rendu détaillé des capacités de vol que ne lira jamais l’Air Force (je vous en parlerai une autre fois). A Shannon, les C-17 de l’Air Force et même les Galaxy transvaseront régulièrement leur contenu vers Polar Air, et inversement. Le 8 mars 2008, à Shannon, un visiteur particulier sera vu sur place près du hangar Polar Air : le Gulfstream IV, numéro N478GS, un des fameux avions de « renditions », en visite de chargement de kérosène. Le 5 qui précédait c’était le N475LC. Le Boeing N313P transitera aussi par Shannon le 16 janvier 2004, avec à bord l’infortuné Binyam Mohammed lors de son vol vers Rabat puis Kaboul du 22 janvier. Le Gulfstream IV N85VM transportant Abu Omar deRamstein au Caire le 17 février 2003…

Or, comme le note le site, Southern avait auparavant bel et bien été accusé de faire dans le trafic de drogue. « … le 23 Février 1991, la DEA (Drug Enforcement Administration) a relié SAT (Southern Air Transport) au trafic de drogue. Le lien signalait que la SAT a bien été « dans les ’archives » de la base de DEA de Janvier 1985 à Septembre 1990 pour son implication présumée dans le trafic de cocaïne. En août 1990 une entrée dans la base de la DEA aurait affirmé que 2 millions de dollars avaient été livrés à des sites commerciaux de l’entreprise, et plusieurs pilotes de l’entreprise et les cadres ont été soupçonnées de contrebande « de monnaie et de stupéfiants. » … Dans l’aveu de la CIA, la DEA avait déclaré que les pilotes et les cadres de Southern Air Transport – une entreprise ayant des liens avec l’agence datant de 1960 – étaient soupçonnés de blanchiment d’argent et de trafic de cocaïne plus de deux ans avant que l’entreprise ne lance ses services à destination vers Shannon l’aéroport en partenariat avec Polar Air Cargo. » Une firme soupçonnée de trafic de drogue dès 1990 hérite de contrats du Pentagone seize ans après, et deux années seulement après qu’elle ne vole vers l’Irlande, via une société intermédiaire qu’elle contrôle entièrement, et personne ne tique. Le système inauguré par Doole continue à fonctionner parfaitement. Derrière les vols de « renditions » se cachent bien d’autres secrets inavouables.

Une belle brochette d’avions d’Air America ici :

http://napoleon130.tripod.com/id611.html

les avions de Renditions de la CIA :

http://www.statewatch.org/news/2006…

http://www.air-america.org/Articles…

http://onlinejournal.com/artman/pub…

http://napoleon130.tripod.com/id495.html

par morice lundi 4 avril 2011 - 3 réactions
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/coke-en-stock-xxxiv-le-souvenir-de-91590





LA GUERRE DU CACAO.Déstabilisation de la Côte d'Ivoire par la CIA et ses larbins français: "L'opération Hydre" en marche

05/04/2011 00:16



Déstabilisation de la Côte d'Ivoire par la CIA et ses larbins français: "L'opération Hydre" en marche
inv
Les attaques armées contre les positions des FDS, depuis lundi dernier (28 Mars 2011) sur tous les fronts, confirment les informations qui nous été confiées par des ressortissants français vivant à Abidjan, quelques heures avant le rassemblement historique des patriotes à la Place de la République le week-end dernier.


Au détour d’échanges tenus à « Sikasso », un sous-quartier de « Koweït » dans la commune de Yopougon, cible de la prochaine d’attaque des hommes de Dramane Ouattara, nos informateurs soutiennent que ces manœuvres pilotées par la Licorne et l’ONUCI, ont été inspirées par les services secrets américains. Elles ont été baptisées, ‘’L’OPERATION HYDRE’’.


Chaque levé de soleil est porteur de sa charge et de son contingent de révélations sur les sortilèges des impérialistes et des françafricains travaillant à la déstabilisation de la Côte d’Ivoire, lancée par la France. «Nous sommes des ressortissants français. Aujourd’hui les informations dont nous disposons selon nos sources internes aux forces étrangères, car nous y avons des amis et parents ; nous font savoir, depuis jeudi 24 Mars dernier à 16 heures, que la mission des forces des Nations Unies appuyées de la force française Licorne a changé d’attitude.


N’eut été les hostilités en Lybie qui ont recommandé une forte mobilisation des forces de l’OTAN, la communauté internationale aurait déjà décidé d’une guerre ouverte aux ivoiriens. L’action lancée actuellement a été baptisée « l’opération hydre » et doit pouvoir aboutir avant fin Avril ». C’est par ces propos que commencent nos informateurs, qui avouent avoir fait fortune en Côte d’ivoire et comptent continuer de « vivre dans ce havre de paix » c’est pourquoi ils décident de se confier.


«Cette opération se traduira par des attaques sporadiques dans les communes et quartiers des différentes communes d’Abidjan, avant qu’elle ne passe à la vitesse supérieure dans toutes les autres villes par des actions relayées par les Forces Nouvelles. Elles ont pour instructeurs des éléments du Centre des Opérations Spéciales de France et de l’ECOMOG. C’est la CIA qui a été à la base du plan.


Depuis l’asphyxie financière jusqu’aux opérations militaires, c’est le service secret des Etats-unis qui pilote cette opération. Il nous a été confié par nos sources que les américains ont recommandé l’élimination de la menace dans cette situation et pour eux, c’est le Président Laurent Gbagbo. Une option qui n’a pas encore enregistré la totale adhésion de l’Elysée », révèlent les informateurs.


Ouvrir plusieurs fronts : «Ceci pour étouffer les forces loyalistes » avec pour objectif de les rendre fragiles autour de la protection du pouvoir, afin qu’« atteindre le cœur du pouvoir » ne devienne qu’une simple « balade » pour les théoriciens de la conception des plans de la rébellion. Ce sont toutes ces choses qui se déroulent actuellement mais ont pour nom « l’opération Hydre ». L’Hydre est cette espèce de monstre de la mythologie grecque, serpent ou dragon à plusieurs têtes : l’Hydre de Lerne avait sept têtes dont chacune renaissaient dès qu’on la coupait. C’est ce nom qui a été choisi par les comploteurs et concepteur de la fatidique attaque contre la Cote d’Ivoire et le pouvoir du Président Laurent Gbagbo.


NOUVELLES STRATEGIES D’ATTAQUES


Pilotée par les USA, les opérations coordonnées sont prévues se terminer avant la fin du mois d’Avril et les heures d’attaques des différents fronts changeront d’une zone à une autre, et ce, sur toute l’étendue du territoire. « Depuis le jeudi 24 Mars dernier, la force impartiale de l’Opération des nations unies en Côte d’Ivoire a revue sa capacité de réaction envers les Forces de Défenses et de Sécurité ivoiriennes. Les heures de combats et d’attaques ont été changées. Les jeunes qui tiennent les corridors et autres points de contrôles ou de surveillance des quartiers dans les différentes communes sont, dès cette date considérés comme étant des miliciens et non des civils et devront donc être traités comme tels », expliquent nos sources qui poursuivent :


«Dans le plan, une attaque sera lancée à un endroit donné et lorsque les FDS croiront la neutraliser, un autre foyer naitra ailleurs. Il en sera ainsi jusqu'à gagner tout le ‘’corps’’ de sorte à perturber le système de défense de l’état, au point que les autorités doutent de sa capacité de réaction. Mais il s’agit en réalité de tester le temps de réaction de l’armée ivoirienne à travers ces attaques ».


L’objectif du plan est de créer un embrasement total dans la capitale économique et dans les autres villes de l’intérieur du pays qui sont encore favorables au Président Laurent Gbagbo, confient nos sources. « Tout peut partir d’une simple provocation des forces extérieures en direction des patriotes ou des FDS pour que les attaques se mettent en exécution, indiquent-elles. « Que l’armée régulière ivoirienne, dont nous reconnaissons la bravoure et le mérite devant les assauts des forces extérieures, continuent la vigilance et la mobilisation face à cette attaque de la communauté internationale.


INSPIRE DU « SENTIER LUMINEUX »


Le plan des attaques de la rébellion des Forces Nouvelles à Abidjan et dans les villes sous le contrôle des terroristes de la communauté internationale a été inspiré de l’histoire du « sentier lumineux ». Une l'histoire marquée par le massacre d’innocentes personnes qui ont lutté toute leur vie pour dénoncer ces atrocités d'Ayacucho, au Pérou en Amérique du sud, expliquent nos informateurs. Et de revenir brièvement sur l’histoire du « Sentier Lumineux » : un mouvement révolutionnaire des années 80 au Pérou, actif dans la région d'Ayacucho.


Ledit mouvement qui s’est dit lutter contre l’injustice faite à la région oubliée d’Ayacucho et s’est radicalisé au début des années 1980 en se muant en lutte armée. Ses membres ont commi leur premier grand attentat en 1982 à Lima capitale du Pérou dans le riche quartier de Mira flores, puis libéré les prisonniers de la prison d'Ayacucho. Ce moment décisif marquera le début de la guérilla urbaine au Pérou.


À partir de là, les années qui suivront seront marquées par des affrontements permanant entre le « Sentier Lumineux », comparé en côte d’Ivoire par les Forces Nouvelles et l'armée régulière : les FDS. Pendant les 12 années de guerre, de nombreux crimes vont être commis par le « sentier lumineux » qui n’assassinera que les seules personnes n’adhérant pas à son idéologie, comme le font les tueurs de Dramane Ouattara en Côte d’Ivoire. « Mais, vint l’arrestation de son leader, Guzmán en 1992, sous la présidence de Fujimori. Malgré tout ce qui s'est passé, Ayacucho reste un endroit pauvre et oublié du Pérou. Nous espérons que cette histoire ne se répètera pas la Côte d’Ivoire », notent nos informateurs.


LES RUMEURS COMME MOYENS


« Les rumeurs qui ont été distillées partout font parti du plan, comme cela s’est fait pour la déstabilisation des Etats de l’Amérique du sud à travers les pratiques du mouvement ‘’Le Sentier Lumineux’’. Pousser les populations à l’exode pour bombarder les endroits stratégiques de la défense nationale, tels que les poudrières, les camps militaires, afin d’avoir le champ libre et éviter le maximum de pertes en vies humaines. Une technique pure de la CIA », indiquent nos interlocuteurs.


« Ici il est question d’effrayer les étrangers et vider les quartiers de ses habitants pour qu’il n’en restent que les proches de l’ennemi à abattre. C’est la même technique que les américains appliquent partout, lorsqu’ils veulent mener des assauts. Quelques fois ils suscitent des affrontements religieux. C’est ce qui a expliqué les attaques contres des édifices musulmans en vue de faire glisser sur le terrain religieux. Malheureusement pour eux, la communauté musulmane, fortement sunnite en Côte d’Ivoire s’est aperçu de la supercherie et est restée silencieuse », font savoir nos informateurs.


LA GUERRE DU CACAO IVOIRIEN MENEE PAR LA CIA


L’ultimatum donné par le gouvernement aux exportateurs de cacao pour écouler leurs stocks avant le 31 Mars 2011, contribuerait selon les informations à accroitre l’anxiété au sein du cartel mafieux que représentent les multinationales américaines ARMAJARO, ADM ou encore CARGILL. Aussi sont-elles prêtes à tout mettre en œuvre pour la mise en exécution expressive de « l’opération Hydre ».


Le cartel est décidé selon nos informateurs, à faire obstacle au projet du groupe chinois de négoce Noble qui s’est désolidarisé de la fronde contre le Président Laurent Gbagbo et aurait décidé d’exporter le cacao qu’il a sous les bras. Le marché international du cacao utilisant des termes de trois mois en général et donc le temps jouant terriblement contre eux, les multinationales précédemment citées ont décidé de passer à l’offensive de la pire des manières.


« Le cacao ivoirien ne s’exporte plus depuis le mois de Janvier et cette sanction arrive à terme le 31 Mars.


Malheureusement pour eux, l’état ivoirien est désormais directement présent sur le marché du négoce de cacao et cela inquiète sérieusement les gros négociants qui règnent en maitres absolus sur le marché ; chose que les Etats-Unis ne sont pas prêts d’accepter. Il faut éviter que cette situation se produise en Côte d’Ivoire parce qu’il s’agit pour le plan des ennemis de faire durer cette situation hors-la loi pour piller au maximum les richesses du pays. Car pendant ces années de guérilla entre « le Sentier Lumineux » et l'armée, des innocents ont été massacrés et les régions pillées de leur richesses.


« La rébellion tente l’offensive à l’Ouest dans le but de prendre le port de San-Pedro. Mieux, ils prévoient aussi une action militaire de l’ONUCI et de la Licorne pour prendre le contrôle du port d’Abidjan, c’est d’ailleurs l’une des raisons pour laquelle ils veulent faire passer la résolution qui va interdire aux FDS de déployer tout armement lourd dans Abidjan ». Young Ji Choi et d’autres diplomates sont ceux qui pilotent cet autre projet contre le peuple de Cote d’Ivoire.


L’ECOMOG EN PASSE DE LANCER UNE ATTAQUE CONTRE LA BASE DE LA MARINE DE YOPOUGON


« Nous avons pu repérer des éléments militaires de l’ECOMOG dans divers communes de la capitale Abidjan. Les quartiers précaires ou ceux à proximité des camps militaires ou de polices sont les endroits propices pour lancer les attaques. Ils agissent sous les ordres des officiers français de la force Licorne. C’est ainsi que nous avons pu espionner des individus trop suspects mais qui ne pourraient attirer l’attention de tous dans les communes comme Marcory, Treichville et Yopougon. Cette commune sera selon les recoupements des informations de plus en plus fortes, la cible d’une terrible attaque dans les prochains jours ou mêmes prochaines heures », révèlent nos sources et d’indiquer :


« Plusieurs hommes suspects sont actifs dans le sous secteur du quartier Koweït dans la commune de Yopougon en vue de la préparation de l’attaque de la base militaire marine d’Abobodoumé ; avec pour objectif le contrôle de tous les secteurs stratégiques dans l’arrière base qui ouvre sur le port d’Abidjan. Nous avons pu localiser des mercenaires de l’ECOMOG : trois instructeurs, Sénégalais, Togolais et Burkinabés se faisant passer pour des marins car, ceux-ci ont des activités saisonnières, justificatifs qui leur permettraient de loger tranquillement dans n’importe quel endroit sans s’attirer le moindre soupçon ».


Selon nos informateurs, qui assistent à la mise en œuvre de l’opération, la CIA et d’autres services secrets très actifs à Abidjan, prévoient « qu’il faut arriver dans le plan, à tuer des soldats blancs de l’ONUCI, de sorte à ne pas donner une alternative à Laurent Gbagbo : le Président accepté par les ivoiriens. Car tuer un soldat de l’ONUCI ou de la Licorne française, c’est déclarer ouvertement la guerre à une armée internationale ». Elles précisent que des ressortissants européens seront dans le viseur des tueurs pour la cause de la France.


« À côtés des attaques des soldats de la force étrangère, des civiles de nationalité française seront assassinés notamment dans les communes de Marcory où résident des damnés, des escrocs et reclus qui sont venus s’exiler en terre africaine selon l’Elysée. Pour atteindre un objectif précis, nous pouvons vous dire que des français sont toujours assassinés sans conséquences dans le monde. Ce sont des mafieux qui agissent en Côte d’Ivoire. Les autorités politiques et militaires ivoiriennes devront prendre ces informations très au sérieux ». Toutefois, indiquent nos sources :


«Pour parvenir à neutraliser les têtes de l’opération Hydre, avant l’attaque massive d’Abidjan, il faudra que les FDS ivoiriennes parviennent en capturer quelques éléments de l’ECOMOG et fort heureusement, des techniques existent en la matière. Mais, les ivoiriens devront retenir que, l’Hydre de Lerne, ce monstre de la mythologie grecque représenté comme un serpent à plusieurs têtes, et dont le nom porte la dernière opération de déstabilisation de la Côte d’Ivoire, a été tué par Héraclès, ce héro grec identifié au héro romain Hercule », terminent, nos informateurs.
Opinion d'Hervé Makre*
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http://infoscotedivoire.net/fr/articles/30032011/article1.php
inv
Notes :
La Résistance irakienne pilonne les trous des gangsters US à Bagdad.*


Des sources dignes de confiance de l'Irak occupé, affirment aujourd'hui, que la Résistance irakienne a pilonné le 31 mars 2011, par un déluge de missiles, la Zone Verte, dans la capitale irakienne occupée, où se terrent les gangsters assassins US.
Le Comité Patriotique irakien pour soutenir la Révolution indique que, le soir du 31 mars 2011 à 11h00, des dizaines de missiles, une centaine selon les sources, ont pilonné la Zone Verte à Bagdad où se concentrent et se cachent tels des rats les forces d'Occupation US et où sont installées les ambassades des gangsters US et britannique et les bureaux du gouvernement fantoche imposé par l'Occupant nazi, depuis maintenant huit ans.


Les missiles qui ont pilonné la Zone Verte, selon les mêmes sources, avaient été lancés simultanément et de plusieurs arrondissements de la capitale irakienne occupée, tels al Hurrya et al A'mel.


Les Bagdadis ont confirmé le bombardement de la Zone Verte, tandis que des témoins déclaraient avoir vu des nuages de fumée et des colonnes d'incendie se lever dans le ciel de la capitale et entendu hurler les sirènes de secours, des ambulances et de la police qui se dirigeaient vers les localités ciblées par les bombardements.


Il est de notoriété publique qu'il ne se passe pas un seul jour sans que les combattants irakiens, qui luttent pour libérer leur pays du joug de la barbarie, ne bombardent les bases ou ne ciblent les convois des Occupants fascistes US.


En outre, et comme d'habitude, les fascistes US, qui veulent faire croire, au travers de leur machine médiatique nauséabonde et de celle de leurs mercenaires, que la situation en Irak va s'améliorant, que l'Irak s'installe dans l'apaisement, et qu'il n' y a plus de Résistance irakienne, ne soufflent mot quant à leurs pertes en matériel ou en personnel.


Aussi il est utile de rappeler que le Commandant de la Résistance Irakienne, le Moujahid Izzat Ibrahim al Duri, le Commandant du Jihad, de la Libération et du Salut National (JLSN) avait affirmé à plusieurs reprises qu'il n'y aura, nulle part en Irak, une rémission ou un abri pour les voyous mondialistes US, et que la Résistance irakienne les poursuivra partout et transformera leurs bases et leurs terriers, en tombes où ils seront ensevelis.

Dieu est le plus grand ! Dieu est le plus grand !


Avilis soient-ils les envahisseurs assassins US !

Gloire et victoire à la Révolution irakienne !

http://www.albasrah.net/ar_articles_2011/0411/sawarikh_020411.htm
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http://assurbanipal-banipal.blogspot.com/




Côte d'Ivoire: oui à la protection de la communauté française, non à une intervention militaire aux côtés des rebelles

05/04/2011 00:10



Côte d'Ivoire: oui à la protection de la communauté française, non à une intervention militaire aux côtés des rebelles

Face à la guerre civile qui s’installe en Côte d’Ivoire, le Front National soutient sans réserve les décisions visant à protéger la communauté des Français vivant en Côte d’Ivoire.

Le gouvernement français qui a pris le risque de s’ingérer dans les affaires intérieures d’un État souverain se retrouve désormais en première ligne. Sans prendre fait et cause pour l’une ou l’autre des parties dans le conflit qui les oppose, le FN s’interroge sur les conséquences de la politique du gouvernement français en Côte d’Ivoire.

Quelles interprétations pouvons-nous donner aux récents propos de Monsieur Juppé lorsqu’il annonce que « Monsieur Gbagbo vit ses derniers jours de chef d’État » et qu’il ajoute « nous faisons tous nos efforts pour que le président Ouattara puisse véritablement s’installer au pouvoir » ?

Ces propos viennent corroborer des informations de plus en plus persistantes qui tendent à prouver que les forces françaises interviendraient au soutien de l’armée rebelle favorable à Monsieur Ouattara.

Cette armée rebelle, composée de combattants étrangers et semble-t-il armée par des pays étrangers, s’est pourtant rendu coupable de crimes de masse dans la ville de Duékoué comme viennent de le révéler plusieurs organisations internationales ainsi que l’Onuci.

La France participe-t-elle militairement à la guerre civile qui sévit actuellement en Côte d’Ivoire ? Si oui, sous quel mandat ? Conformément à l’article 35 de la Constitution française, le parlement français s’est-il prononcé sur cette question d’une importance capitale pour la paix dans cette région ainsi que pour la préservation de nos intérêts stratégiques en Afrique ?

Le Front National demande au Président de la République de s’expliquer sur le soutien sans réserve qu’il apporte à Monsieur Ouattara dans ce conflit y compris contre les intérêts de la France et s’interroge sur la nature des relations qu’il entretient avec celui-ci.

Le FN enjoint l’ONU à prendre ses responsabilités et à privilégier la voie diplomatique dans la crise ivoirienne, seule à même de sortir ce pays du chaos.

Enfin, très inquiet de la situation explosive qui règne en Côte d’Ivoire, le Front National appelle à l’arrêt des combats, à la négociation et dans un futur proche au retour aux urnes conformément aux engagements pris et au respect des accords de Ouagadougou jamais appliqués jusqu’à présent (notamment dans l’exigence de l’article 5 du 4e accord complémentaire) !

La France intervient avec l'ONU contre Gbagbo pour une offensive finale

La France a autorisé, lundi, ses unités présentes en Côte d'Ivoire à intervenir aux côtés de la force de l'ONU dans le pays (Onuci) pour neutraliser des armes lourdes de l'armée du président sortant Laurent Gbagbo utilisées contre des populations civiles. Les hélicoptères de Licorne visent des armes lourdes et des détachements de blindés "utilisés contre la population civile", selon l'état-major des armées à Paris.

En fin d'après-midi, l'Onuci, la force des Nations-Unies en Côte d'Ivoire, a constaté "des actions de forces par armement lourd utilisé contre la population civile", a précisé le porte-parole de l'état-major, le colonel Thierry Burkhard.

 A la demande du secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, et après accord du président de la République, Nicolas Sarkozy, la force française Licorne a "engagé plusieurs hélicoptères en appui des opérations déclenchées par l'Onuci", a-t-il indiqué. Ces actions "visent à neutraliser des armes lourdes positionnées dans des casernes et des détachements de véhicules blindés équipés de canons et de lance-roquettes" dans différents quartiers de la ville, a déclaré le porte-parole.

Dans la soirée, des hélicoptères de l'Onuci, soutenus par les forces françaises, ont attaqué le palais présidentiel et la résidence de Laurent Gbagbo, ainsi que deux camps de l'armée favorable au président sortant. Deux hélicoptères de l'ONU ont tiré des missiles sur le camp d'Akouédo. Un journaliste a indiqué, par ailleurs, que quatre hélicoptères de la force Licorne avaient tiré sur le camp de gendarmerie d'Agban.

Cette action intervient alors que, lundi, les combattants d'Alassane Ouattara, reconnu internationalement comme le nouveau président de Côte d'Ivoire, sont passés de nouveau à l'offensive pour réduire les derniers bastions des troupes de Laurent Gbagbo, le chef d'État sortant qui refuse de quitter ses fonctions.

Le camp d'Alassane Ouattara avait réclamé durant le week-end une "forte implication de la France" et de l'ONU. "Il y a des accords de défense entre la Côte d'Ivoire et la France, nous pouvons invoquer ces accords. Alassane Ouattara pourrait demander que la France intervienne plus massivement", a ainsi déclaré Ally Coulibaly, son ambassadeur à Paris.

Lundi, l'état-major des armées a annoncé l'envoi de 150 soldats supplémentaires en Côte d'Ivoire pour protéger les civils, portant à quelque 1 650 hommes l'effectif de son dispositif Licorne sur place.

Source Le Point- 04/04/11






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