"Art" dégénéré/L'Eglise -conciliaire-demande le retrait de la photographie blasphématoire "Piss Christ" de l'exposition Lambert ainsi que celui des affiches sur les murs d'Avignon
L'archevêché d'Avignon a demandé jeudi le retrait d'une photographie de l'artiste américain Andres Serrano, mettant en scène un crucifix trempé dans son urine et présentée dans le cadre d'une exposition célébrant les dix ans de la collection d'art contemporain Yvon Lambert.
"Devant le côté odieux de ce cliché qui bafoue l'image du Christ sur la croix, coeur de notre foi chrétienne, je me dois de réagir. Toute atteinte à notre foi nous blesse, devant le côté odieux de ce cliché tout croyant est atteint au plus profond de sa foi", a déclaré dans un communiqué l'évêque d'Avignon, Mgr Jean-Pierre Cattenoz.
La photographie sous-titrée "Piss Christ", réalisée en 1987 par l'artiste new-yorkais d'origine haïtienne, est présentée dans le cadre de l'exposition "Je crois aux miracles", inaugurée le 12 décembre et qui doit s'achever le 8 mai. Le cliché figure également sur l'affiche.
"Devant la gravité d'un tel affront, j'ai essayé de joindre en urgence le responsable de l'exposition pour lui demander de retirer le cliché mis en cause ainsi que les clichés affichés dans la ville, je n'ai encore aucune réponse de sa part", a-t-il ajouté.
"Je me dois d'alerter publiquement les autorités de mon pays qui se targuent avec beaucoup de gesticulations de défendre une laïcité positive", a ajouté l'évêque.
Le directeur de la collection Lambert, Eric Mézil, qui a affirmé ne pas être au courant de la réaction de l'archevêché, a démenti tout caractère "blasphématoire" de l'oeuvre offerte par l'artiste.
Il a par ailleurs fait état de plusieurs centaines d'appels téléphoniques et de courriels "virulents" reçus depuis cinq jours.
Riche d'environ 350 oeuvres, la collection Lambert est accueillie dans un hôtel particulier du XVIIIe siècle appartenant à la ville.
La municipalité, la région et l'Etat subventionnent ce centre d'art contemporain.
La grande promesse de campagne du Premier ministre Hashim Thaçi d’augmenter de 30 à 50% les salaires des fonctionnaires a été adoptée par le Parlement le 31 mars, dans le cadre du budget annuel. Cette mesure spectaculaire est en totale contradiction avec le programme négocié en 2010 avec le FMI. Celui-ci a donc décidé de suspendre son aide au Kosovo. L’État kosovar est aujourd’hui menacé de banqueroute.
Par Pierre Bonifassi
En mai 2009, le Kosovo remportait une première étape dans son processus d’indépendance en adhérant conjointement au FMI et à la Banque mondiale. Un an plus tard, le FMI décidait d’accorder à Pristina un prêt de 109 millions d’euros sur trois ans, et la possibilité de l’étendre à 210 millions supplémentaires pour la période suivante. Une première tranche de 22 millions d’euros a été versée au cours de l’été 2010.
Si l’adhésion aux instances économiques internationales constitue une certaine victoire diplomatique pour Pristina, elle doit surtout permettre à la très faible économie kosovare de se développer plus rapidement. Avec plus de 45% de chômage, selon les chiffres officiels, un PIB par habitant culminant à 1759€ (en 2009) et un salaire moyen d’à peine 300€ mensuels, le prêt du FMI offre au Kosovo une précieuse bouffée d’oxygène.
Un pays en pleine crise politique
Depuis l’automne 2010, le pays est plongé dans une crise politique aussi profonde qu’inattendue. La Cour constitutionnelle a jugé fin septembre, que le Président avait violé la Constitution en conservant la tête de la Ligue démocratique du Kosovo (LDK) après son élection à la tête de l’État. Contraint à la démission, Fatmir Sejdiu a emporté le gouvernement dirigé par Hashim Thaçi dans sa chute. Des élections législatives anticipées ont donc été convoquées pour le 12 décembre.
Deux axes contradictoires ont dominé la campagne électorale du Premier ministre sortant. D’un côté, la privatisation de la très lucrative entreprise de télécommunication PTK, mesure impopulaire imposée par le FMI dans l’objectif de restriction budgétaire. De l’autre, la promesse d’augmenter de manière substantielle les salaires de la fonction publique, afin de « relancer la machine économique ».
Après les nombreuses fraudes qui ont émaillé le scrutin du 12 décembre, deux nouvelles journées de vote ont dû être réorganisées les 9 et 23 janvier. Malgré les accusations de trafic d’organes pesant sur Hashim Thaçi, sa formation, le PDK, a finalement assez largement remporté les élections avec près d’un tiers des voix. Mais, isolé sur l’échiquier politique, le PDK a eu toutes les peines à former une coalition lui permettant de gouverner le pays.
Le ralliement âprement négocié de l’AKR du sulfureux homme d’affaires kosovaro-suisse Bexhet Pacolli a finalement permis la constitution d’un fragile gouvernement de coalition, également soutenu par les partis de la minorité serbe. C’est dans ce contexte très tendu que le 31 mars l’Assemblée a adopté le budget 2011, actant la privatisation de PTK comme la hausse des salaires de la fonction publique. Le vote a été pour le moins houleux et des échauffourées ont éclaté entre les députés.
Vendre les meubles pour sauver les salaires
Pour 2011, le budget du Kosovo atteindra 1,264 milliards d’euros dont 383 millions - 30 % - dévolus aux salaires des fonctionnaires, contre 311 millions l’année précédente. Au passage, le gouvernement mise sur un ambitieux taux de croissance, supérieur à 5%. Afin de financer cette mesure, la majorité a fait passer la privatisation de PTK dans les lignes budgétaires. Une mesure qui « n’est pas conforme à la Constitution et qui devrait être supprimée du budget », estime Arben Gashi, élu de la Ligue démocratique du Kosovo (LDK).
Au-delà de la question de la légalité de ce budget soulevée par l’opposition, le problème est qu’il est prévu de financer une promesse de campagne qui elle-même suspend le prêt accordé par le Fonds monétaire international par la vente d’un des symboles nationaux. Face au feu des critiques, le Premier ministre Hashim Thaçi ne s’est pas démonté. « Les discussions se poursuivent pour faire en sorte que le Kosovo continue de faire partie du programme du FMI et reçoive les subventions promises », a-t-il déclaré devant le Parlement.
Lors de sa visite en mars, le FMI avait publiquement fait part de son désaccord vis-à-vis de la hausse des salaires de la fonction publique. « Cette augmentation n’est pas conforme aux objectifs du programme », a précisé le bailleur de fonds international, qui conditionne ses prêts à la mise en œuvre de vigoureux programmes d’ajustements structurels visant justement à réduire le poids de l’État. En votant officiellement cette mesure, le Parlement kosovar a de facto rompu l’accord liant le FMI et le Kosovo. Du coup, l’Union européenne a elle aussi menacé de suspendre une donation de 120 millions d’euros décidée en 2008.
Quelles perspectives ?
Le dénouement de cette crise budgétaire et diplomatique dépend donc de la manière dont Hashim Thaçi saura négocier avec le FMI. Dans un contexte de fortes tensions politiques marquées par l’invalidation de l’élection de Bexhet Pacolli à la Présidence et l’incertitude quant au maintien du gouvernement, le Premier ministre se trouve aujourd’hui dans une situation très délicate. Faire machine arrière sur cette promesse de campagne pourrait précipiter sa chute.
La privatisation de l’entreprise publique de télécoms ne fait pas l’unanimité dans l’opinion, et encore moins chez les salariés. Au moment du vote du budget, plusieurs centaines d’entre eux ont violemment manifesté devant les portes du Parlement. La police a dû faire usage de gaz de poivre de Cayenne pour les disperser alors qu’ils tentaient de pénétrer dans l’enceinte du bâtiment.
En guise d’alternative au financement du budget, Hashim Thaçi a proposé la suspension de la construction de l’autoroute menant vers l’Albanie, autre projet extrêmement coûteux, symbolique et polémique. Fatmir Limaj, ministre des Transports jusqu’en décembre 2010 est notamment accusé d’avoir perçu de nombreuses commissions occultes liées au financement de ce chantier. Il est fort peu probable que cette proposition, faite à la va-vite, rassure les experts financiers internationaux. Aujourd’hui, ce qui est à peu près sûr, c’est que le Kosovo se trouve au bord de la faillite.
Le Responsable: Alassane Dramane Ouattara, ancien directeur du FMI et joujou de la Communauté Internationale.
Ce témoignage est celui d’un habitant de Duékoué exerçant dans l’humanitaire, qui pour des raisons évidentes, préfère garder l’anonymat. Mais qui s’engage sur l’honneur et se dit prêt à témoigner devant n’importe quelle juridiction à l’avenir. Une liste des morts et des disparus de Duékoué est déjà en train d’être constituée pour ce qui apparaît comme le massacre de plus forte ampleur dans l’histoire de la guerre en Côte d’Ivoire.
La prise de Duékoué par les FRCI (ainsi se sont baptisées les troupes de Ouattara) a eu lieu le lundi 28 mars 2011. Les journaux qui leur sont proches confirment bien cette date, dans leurs parutions de lundi et mardi. De même que l’intervention d’Alain Lobognon, porte parole de Soro. Une dépêche de l’AFP est disponible à ce sujet.
Après la prise de la ville, les FDS ont replié sur Guiglo, laissant les populations aux mains des rebelles. A Guitrozon et Petit-Duékoué, toutes les populations se sont refugiées en brousse, fuyant d’éventuelles exactions. Il en est de même des populations des villages WE de DAHOUA, BAHE, PINHOU et GLAOU.
Jusqu’à mercredi, la ville de Guiglo, coincée entre Blolequin (occupée par les FRCI) et Duékoué (occupée aussi), et sans défense aucune (les FDS ont décroché vers le SUD en passant par TAÏ) n’était pas prise par les FRCI, à la grande surprise des populations. On le comprendra dans ce qui suit.
Les FRCI tenaient à massacrer les populations du quartier CARREFOUR, soupçonné d’abriter un groupe d’autodéfense. Les tueries ont eu lieu dans la nuit du mardi 29 au mercredi 30 mars 2011, dans le quartier "Diaye Bernard" communément connu sous le nom de "CARREFOUR". En regardant une carte GOOGLE EARTH, on peut localiser ce quartier qui a accueilli près de 9 000 réfugiés, suite aux conflits de janvier 2011 à DUEKOUE.
Il est situé à l’entrée de la ville de DUEKOUE, le long de l’axe ISSIA-DUEKOUE-MAN. Il est limité à l’EST (axe Duékoué-Issia) par une zone marécageuse qui donne sur la scierie NSD-THANRY et le camp de l’ONUCI. A l’OUEST, le quartier est bordé par les marécages du GUEMON. Ce sont ces marécages qui isolent ce quartier du centre ville. Le NORD du quartier est traversé par la route non bitumée Duékoué-Bagohouo-Kouibly. Le Nord est donc en zone rebelle, puisque le poste FDS est implanté dans le quartier. Le sud du quartier est la voie bitumée ISSIA-DUEKOUE-MAN.
Une fois la ville conquise le lundi 28 mars, les pillages ont commencé dans la nuit du lundi et se sont poursuivis toute la journée du mardi 29.Les populations étaient toutes terrées chez elles, les rebelles tirant pour couvrir leurs forfaits. Ainsi ont été pillés les hôtels Ermitage, Matchaix et Monhessea. L’hôtel en construction du politicien Séa Honoré, pourtant proche de Ouattara, a été pillé à partir du jeudi. Il en fut de même pour tous les domiciles des FDS (qui ont quitté la ville) et de tous les cadres proches de Gbagbo. Au cours des combats, des véhicules appartenant au riche commerçant DEMBA, d’origine malienne ont été brûlés. Au moins 7 gros camions, communément appelés remorques et servant au transport de cacao. Dans des circonstances non encore élucidés, l’imam Konaté, connu pour ses efforts de paix et de rassemblement et proche des cadres LMP de la région et du ministre Issa Coulibaly Malick, ex-DNC de Gbagbo, a été tué à son domicile.Dans la nuit du mardi 29 au mercredi 30 mars 2011, les rebelles ont bouclé le carré du quartier CARREFOUR. Il a suffit pour cela de se positionner tout le long de l’axe DUEKOUE-ISSIA (Au Sud) et d’occuper de la même façon le Nord du Quartier. les zones EST et Ouest étant marécageuses, donc peu propices à la fuite, quelques rebelles suffisaient à empêcher toute sortie du quartier. Le reste de la troupe pouvait donc investir le quartier et se livrer à l’exécution de tout mâle ne parlant pas malinké. Les We, autochtones de DUEKOUE ont donc été systématiquement massacrés, au seul motif de leur appartenance ethnique. Le CICR parle de 867 morts. Mais les disparus, les tués en brousse portent ce nombre à au moins 1200 personnes. L’objectif est de modifier le rapport démographique et électoral en faveur du RDR, dans cette région stratégique et riche, mais où les conflits fonciers sont un grand souci pour les autorités politiques.
Il convient de signaler que, devant l’ampleur des massacres et l’émoi créé, l’ONUCI s’est vue obligée de désarmer le samedi 2 avril 2011, à 15H, les rebelles postés au corridor de Guitrozon. "Pourquoi, tuez-vous tant de personnes?" s’est exclamé l’officier marocain de l’ONUCI. A Petit-Duekoué, le même samedi vers 14H, deux rebelles qui avaient abattu sommairement des villageois ont été abattus, après sommation, par l’ONUCI.
Wachovia : comment les citoyens sont devenus des vendeurs de drogue sans le savoir .Lire :seuls les USA ont le droit de blanchir...
07/04/2011 14:53
Wachovia : comment les citoyens sont devenus des vendeurs de drogue sans le savoir
Du 1er mai 2004 au 31 mai 2007, ce sont près de 373 milliards de dollars qui ont été virés par les Casas de Cambio sur les comptes ouverts à leurs noms chez Wachovia, sans parler des 4 milliards de dollars que les Mexicains ont déposés en espèces au guichet des agences de la banque. Une partie non négligeable desdites sommes a été utilisée pour acheter des avions dans lesquels ont été ultérieurement saisies plus de 20 tonnes de cocaïne…
Citigroup et Washington…
Dans le « rouge » en 2008, la Wachovia a été « rachetée » par nulle autre que Citigroup.
Pourtant, en 2007, Wachovia avait fait l’acquisition d’AG Edwards. Non seulement rachetée par CitiGroup mais sauvée de la faillite avec l’aide de Washington. Avec l’aide de Washington, cela signifie que les citoyens américains ont non seulement payé pour sauver une banque qui les a floués, mais sont devenus, involontairement, …des partenaires de trafiquants de drogues.
Selon l’accord de 2008, Citigroup absorberait 42 milliards de dollars de pertes et les autorités fédérales, les pertes encourues sur un ensemble de quelque 312 milliards de prêts consentis par les banques.
Ce qu’on cachait, c’est le laxisme des autorités durant cette période. Laxisme ? Disons plutôt une opération souterraine, bien camouflée pour « ressourcer » les banques.
Le scandale
Un géant bancaire américain, Wachovia, est au coeur d’un des plus gros scandales de blanchiment d’argent sale de tous les temps. 380 milliards de dollars issus du trafic de drogue seraient passés par ses succursales, en toute impunité. Une bombe à fragmentation balancée hier par le Guardian.
Accord secret
La banque a fait l’objet de poursuites judiciaires acharnées. Et comment ! En Mars 2010, en vertu de la loi américaine sur le secret bancaire, Wachovia et l’administration américaine ont signé un accord amiable, resté secret jusqu’ici : 110 millions de dollars d’amende pour avoir autorisé des transactions relatives à des trafics de drogue et 50 millions pour avoir échoué à surveiller les mouvements de capitaux utilisés pour le transport de 22 tonnes de cocaïne. Et… c’est tout ! Aucun dirigeant n’a jamais été inquiété à titre personnel.
Pourtant, l’enquête a montré que Wachovia était au courant de ces petits trafics depuis 2004. Entre 2006 et 2007, la banque a même fait l’objet de 6000 à 7000 procédures de redressement, mais ça n’a pas eu l’air de gêner grand monde. « Un nombre absurde », selon Martin Woods, un employé londonien de la banque embauché pour lutter contre le blanchiment. Dans ces conditions, comment se peut-il que la direction n’ait pas eu « le sentiment que quelque chose allait très, très mal ? » Hein, comment ? D’ailleurs, à plusieurs reprises, ce Woods a balancé des rapports incendiaires à sa hiérarchie, car le pot aux roses n’était finalement pas si difficile à mettre à jour… Mais ça n’a pas eu l’air de gêner grand monde.
Coke en stock
En mai 2007, suite aux pressions exercées par le ministère de la justice des États-Unis, Wachovia décide d’interrompre ses relations avec certains de ses bureaux de change mexicains. Mais plutôt que de lancer une enquête interne, comme le veut l’usage, la banque choisit de faire l’autruche. Un peu plus tard, les médias américains évoquent (timidement) l’affaire. Wachovia prend alors la lourde décision de cesser toutes ses activités au Mexique. Mais toujours pas d’enquête. Pire, en juin 2007, Woods apprend que ses alertes ont été volontairement cachées aux autorités américaines et britanniques. Et le trafic a pu continuer comme si de rien n’était…
C’en est trop ! Fin 2007, Martin Woods se retrouve dans les locaux de Scotland Yard. Là, il se rend compte que personne n’a encore pris la mesure du scandale. Alors il balance tout. C’est à ce moment là que tout bascule et les autorités américaines et britanniques ne lâcheront plus l’affaire.
Alors… pourquoi une si faible amende ? Pourquoi aucune action pénale ? Quelques indices :
- En janvier 2010, Antonio Maria Costa, directeur de l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC), a déclaré que le plus gros de l’argent issu du trafic de drogue avait été sciemment blanchi par les institutions financières. Courant 2008, il a ainsi reçu la preuve que les profits de la criminalité organisée ont été « la seule source de liquidités » pour certaines banques au bord de la faillite. « Les prêts interbancaires ont été financés par l’argent du trafic de drogue et d’autres activités illégales… Il y a des signes qui indiquent que certaines banques ont été sauvées de cette façon » a-t-il déclaré. En clair, le trafic de drogue a participé à sauver l’économie mondiale.
- Robert Mazur, ancien responsable américain de la lutte contre les cartels sud-américains, a déclaré au Guardian que « beaucoup d’agents ont été déçus de voir un règlement » à l’amiable entre l’administration et Wachovia. « Mais, a-t-il continué, je sais qu’il y a eu des circonstances extérieures qui ont travaillé au profit de Wachovia, notamment le fait que le système bancaire américain était au bord de l’effondrement ». Les mots ont un sens
Argent liquide : 4,200 transferts, 8 milliards de dollars
L’ONU estime que le blanchiment, toutes origines confondues, représente 1000 milliards de dollars par an. lien
Les politiciens vous résument ça en une phrase : les temps sont durs. On dirait que les dirigeants sont mous…
2005 : un chien découvre de la cocaïne à bord d’un avion. On saisit 4 avions achetés pour le transport de la précieuse marchandise.20,000 kilos…
Avertissement (sic) de la DEA ( Drug Enforcement Administration). Les banques auraient alors cessé d’accepter les transferts électroniques.
Il estime à 352 milliards de dollars les profits provenant du commerce des narcotiques qui ont été absorbés par le système bancaire. Il dit avoir obtenu ses informations d’officiers de banques situés en Angleterre, en Suisse, en Italie et aux États-Unis.
Un porte-parole de l’Association britannique des banques a révélé n’avoir jamais entendu parler d’une telle implication du monde interlope dans le sauvetage des banques, ajoutant que ces dernières ont été sauvées par les gouvernements. Les affaires
Le porte-parole n’en sait rien… Les banques ont été sauvées par les gouvernements.
Et les gouvernements floués par les banques…
Il y a des synapses qui manquent d’électricité…
L’amende
On parle de 160 millions de dollars à certains endroits. C’est peu… Le plus étonnant c’est « l’arrangement » à l’amiable.
Sauver des banques, des pays, par une mafia à laquelle semblent avoir participé de hauts dirigeants, des « élus » en jouant avec l’argent propre de la sueur des citoyens est pour le moins singulier.
On parle d’une période courte, mais certaines sources indiquent que des opérations auraient eut lieu dès 1996.
C'est une opération de contrôle de véhicules par les douanes -comme celle ci -qui a fait avorter l'arrivée des 20 kg de shit à Montauban . / Photo DDM archives
Ce trio ramenait 20 kg de shit pour l'écouler sur Montauban. Les douaniers ont fait capoter ce voyage d'agrément qui n'a rapporté que de la prison à ses auteurs.
Deux détenus (l'un depuis juillet 2010 et l'autre depuis septembre) complètent, avec la jeune femme qui comparait libre, ce trio qui doit répondre d'importation non autorisée de stupéfiants (transport, détention et contrebande de marchandise prohibée complètent la citation). Des faits qui remontent à mars 2010 avec l'interception de la voiture de la fourmi et son chargement de shit mais dont l'aboutissement de l'enquête ne fut terminé que quatre mois plus tard. Grâce à une reconstitution minutieuse du puzzle par les enquêteurs de la BSU de Montauban. Le président Le Monnyer détaille les faits amorcés par un week-end à Barcelone. où la jeune fille malade fut confinée dans une chambre d'hôtel alors que les deux autres protagonistes surveillaient la transaction. l'un iant savoir combien et comment la drogue est arrivée. Domicilié à Moissac il savait qu'il y avait 1 500 € de commissions à empocher et à partager avec la jeune femme. L'autre expliquant que son rôle était de veiller à ce que la marchandise arrive. Le flop n'explique pas tout. Surtout quand le président détaille les casiers judiciaires des deux détenus qui sont en récidive légale. Les explications des faits par les inculpés n'amènent pas grande nouveauté, même si celui qui était en charge de l'aménagement de la marchandise se défausse.
Prison ferme et maintien en détention
La représentante du ministère public est assez rapide dans ses réquisitions, en faisant remarquer au passage que le trio prend vraiment les juges du tribunal pour des naïfs. Elle requiert dix - huit mois de prison pour la jeune femme et quatre ans d'emprisonnement avec maintien détention de Khaled Benouis et Abdelkader Zarrouki. Maître Jean-Louis Pujol pour la fourmi transporteuse décrit sa cliente comme naïve, paumée, fragile, en rupture et qui a vécu cet épisode dans la peur. Il demande une peine qui couvre la détention déjà accomplie. Me Charlotte Lévi pour Abdelkader Zarrouki évoque les difficultés financières de son client suite à un licenciement. Elle s'étonne de la lourdeur des réquisitions alors que dans l'autre volet de cette affaire (cocaïne + cannabis) des prévenus en décembre 2010 ont récolté moins de prison. Et démontre le côté très artisanal de cette expédition « Tras los montes ». Enfin Me Christian Etelin pour Khaled Benouis estime qu «'il est difficile en matière de responsabilité de séparer l'un de l'autre, et que cette complicité de transport ne vaut pas la peine plancher. » Cette affaire, montre en main a duré 125 minutes. Il en faut moins au tribunal pour rende le verdict ; tous trois sont déclarés coupables Karin écope de 16 mois de prison dont 12 avec sursis (les quatre mois ferme couvrant sa détention préventive entre le 24 mars et le 24 juillet 2010). Les deux autres qui sont en récidive légale sont condamnés à cinq ans de prison dont deux assortis du sursis et maintien détention pour encore de longs mois (il reste à l'un et l'autre plus de deux ans à passer derrière les barreaux).
La «fourmi» avait déjà fait 4 mois de prison préventive
Elle se présentait libre à l'audience. Mais cette jeune femme fut la première à être arrétée par les douaniers à Port-Vendres le 20 mars 2010 vers 22h45 .Alors que dans le coffre de sa Renault 11,on découvrit le sac de sport contenant 20 kilos de résine de cannabis.Au terme de sa garde à vue et parce qu'elle ne fournissait pas assez d'éléments pour identifier les autres membres de l'expédition, elle fut placée en détention préventive durant quatre mois.
La cérémonie des Bobards d’Or a eu lieu hier soir mardi 5 avril. La fondation Polémia a remis le prix de la désinformation aux journalistes ayant été les plus habiles à mentir à l’opinion.
Une affluence record (plus de 250 personnes), une ambiance survoltée, le public a élu :
Télévision : Céline Bittner (LCP) pour « à chaque crise les frontières se ferment davantage à l’immigration » ; alors que l’immigration régulière est passée de 50 000 dans les années 1970 à 200 000 (record annuel) en 2010.
Presse écrite : Le Figaro, pour sa « une » avec neuf bébés européens pour saluer la fécondité en France et un article minorant les naissances d’origine étrangère extra européennes ; alors que celles-ci s’élevaient déjà à plus de 150 000 en 1999, selon les chiffres du dernier recensement.
Radio : Claude Askolovitch (Europe 1) pour « les gays se marient partout dans le monde » ; alors que le mariage gay n’existe ni en Asie, ni en Afrique, ni en Océanie, ni dans les pays musulmans, ni en Israël, ni dans la majorité des pays d’Europe ; et qu’il n’existe aux Etats-Unis que dans quelques rares États et qu’il a été interdit par référendum en Floride, en Arizona et en Californie (le jour même de l’élection de Barack Obama).
Strass et paillettes : Les amis de Roman Polanskipour un ensemble de déclarations excusant et justifiant le viol d’une fillette de 13 ans et dénigrant la victime.
Un Bobard d’Or à été remis à l’ensemble du système médiatique pour l’affaire de l’ « ophtalmo raciste » : toute la presse s’est mis le doigt dans l’œil en accusant un innocent sans prendre la peine de s’assurer de la réalité des faits.
Et un Cafard d’Or a été attribué à Chloé Leprince (Rue 89) qui a donné en pâture le nom et l’adresse de l’ « ophtalmo raciste » sans prendre la peine de lui téléphoner pour entendre son point de vue sur les faits dont il était accusé.
Près de 2000 internautes ont suivi l’intégralité de la cérémonie sur leurs écranssur les sites : Polémia, Fdesouche, Novopress, Altermedia, e-deo, Nouvelles de France, europaradio, et défrancisation.
Devant un tel succès, nous ne pouvons faire autrement que de vous donner rendez-vous en 2012 pour la 3ème édition des Bobards d’Or !
[cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine [http://fr.novopress.info]
Le 4 Avril 2011 les jeunes identitaires d’Auvergne du groupe Oppidum ont diffusé à Clermont (Puy-de-Dôme) l’appel du Muezzin à la prière du matin. Ceci pour sensibiliser l’opinion à la construction du minaret de la grande mosquée de Clermont-Auvergne, au moment où l’appel à la prière musulmane d’en haut des minarets devient une réalité dans certaines villes de France comme à Nanterre (Hauts-de-Seine).
Mais où est-il donc passé ? Qui ? Le chantre des indignations sélectives qui bondit comme un cabri ici et là, et a réussi l'exploit d'entraîner l'ONU, ce machin -merci au général de Gaulle-, dans le bourbier libyen. Après avoir squatté indéfiniment tous les écrans de France et de Navarre avant l'attaque des coalisés contre la Libye, Bernard-Henri Levy Botul est aux abonnés absents. On ne l'entend plus alors que lui, le roi des médias, l'homme qui peut faire et défaire qui il veut d'un hochement de tête, ne s'invite plus. Un étourdissant silence qui qui en dit long sur l'improvisation et l'entrain qu'il a mis à vouloir faire tomber Mouammar Kadhafi, l'homme qui veut l'unité de l'Afrique.
L’échec libyen sera un boomerang pour ceux qui ont osé aller faire une guerre sans objet, ridicule, insolente et sale. Une guerre impérialiste et pour le pétrole. Barack Obama l'a compris, en retirant les Etats-Unis de cette coalition et/ou coalisés impérialistes. Peut-être on découvrira bientôt que Botul a des actions chez Total. L'homme à la diarrhée verbale s'est subitement transformé en poisson. Muet comme une carpe, motus et bouche cousue depuis qu'on a découvert que les insurgés armés libyens ont un combat mâtiné d'une couche djihadiste pro Al Qaïda, BHL semble fuir les médias. La question est de savoir où sont les journalistes, les vrais, pour l'inviter et l'interroger à propos.
Lorsque Bernard-Henri Botul faisait le tour des médias serviles qui l'accueillaient en guest star, sans toutefois lui apporter une quelconque contradiction lors des talk show où l'animateur lui posait des questions et puis s'en va, sa sûreté et son arrogance ne semblait choquer personne. Mais lui, devenu ministre français des Affaires étrangères et stratège militaire sous le commandement du général Pinocchio-Sarkozy, semble avoir pris la poudre d'escampette. Finalement, les sorties de cet homme ne relèvent-elles pas de la psychiatrie lourde ? Dans la vidéo en dessous, il parle de Kadhafi comme d'un crypto-nazi et pourtant, leur action ressemble aujourd'hui à un impérialisme nazi.
En Libye, sur le plan militaire, les rebelles sont aux abois. Ils font le yoyo entre Brega qu'ils ont perdu, et le désert libyen. A Misrata, c'est la panique générale. Les renégats ont même poussé un coup de gueule contre l'OTAN qui ne bombarderait pas assez les kadhafistes. Ne doivent-ils pas faire finalement appel au roi de l'imposture chevelu à la chemise ouverte ? Arnaqueur devant l'Eternel et les hommes, ce dernier déclinera probablement l'offre, conscient qu'il s'est considérablement discrédité, son général avec. La pantalonnade est telle que, les Occidentaux veulent outrepasser à nouveau la résolution onusienne 1973.
A cet effet, sans vergogne et toute honte bue, Alain Juppé le mutirécidiviste condamné pour droit commun et ministre français des Affaires étrangères a osé dire à propos des armes que réclament les voyous de Benghazi : "Il y a un embargo sur les armes destinées à la Jamahiriya, c'est à dire aux troupes de Kadhafi". Par cette déclaration, il contredit son homologue de la Défense Gérard Longuet qui avait bel et bien précisé : "Une telle assistance n'est pas compatible avec la résolution 1973". Un flou artistique qui en dit long sur un bateau ivre qui tangue et dont personne, en réalité, n'est à la barre, ne tient le gouvernail d'Etambot. Jusqu'à quand les Français vont-ils tolérer que leurs impôts servent aux desseins malsains de certains ?
Pourvu que notre André Malraux du pauvre sorte de son trou comme Laurent Gbagbo terré dans son bunker. Nous avons besoin de lui, qu'il nous parle un peu de ses insurgés armés, de ses accointances avec Al Qaïda, qu'il nous donne leur programme politique et ce qu'ils feront de l'argent du premier chargement de pétrole qu'ils viennent de faire. Ce serait intéressant. Pourquoi ne dit-il rien sur la Côte d'Ivoire par exemple ? Le philosophe du vide-ordure est finalement le plus gros mythomane français de la décennie. Les insurgés de Tunisie ou d'Egypte, ont combattu les mains nues !
Des rebelles se dirigent vers la ligne de front aux environs de Brega.Crédits photo : YOUSSEF BOUDLAL/REUTERS
INFOGRAPHIE - Deux insurgés ont été tués et une dizaine blessés par un raid des avions de l'Otan qui ont ouvert le feu sur un char. La semaine dernière, l'aviation alliée, se croyant attaquée, avait déjà tué par erreur neuf rebelles et quatre civils libyens.
• Raid meurtrier à Brega
Deux rebelles ont été tués et une dizaine blessés par une frappe de l'Otan à l'est du port pétrolier de Brega, où la ligne de front entre rebelles et forces loyalistes s'est stabilisée depuis une semaine. D'après un témoin, les avions de l'Otan ont ouvert le feu deux fois en direction d'un char et l'ont fait exploser. Des avions ont également survolé jeudi Tripoli où des explosions ont été entendues dans la banlieue-est de Salaheddine.
L'Otan avait estimé mardi qu'elle n'avait aucune responsabilité dans le «malheureux accident» de vendredi dernier, au cours duquel l'aviation alliée, se croyant attaquée, avait tué par erreur neuf rebelles et quatre civils libyens près de Brega.
• Washington offre une fin de non-recevoir au courrier de Kadhafi
La Maison Blanche a exigé mercredi de Mouammar Kadhafi des actes après avoir reçu une lettre de sa main, suite au retrait des avions américains de combat en Libye. «Une trève est suspendue à des «actes et à une fin des violences et non à des mots», a souligné le porte-parole de la Maison-Blanche.
Dans cette lettre de trois pages, écrite dans un anglais parfois approximatif, le colonel Kadhafi demande à Barack Obama l'arrêt de la campagne de l'Otan, selon une source gouvernementale américaine. Le dirigeant libyen exhorte son homologue, qu'il surnomme «notre fils», à mettre fin à «une guerre injuste contre la petite population d'un pays en développement». «Vous êtes un homme qui a suffisamment de courage pour annuler une action injuste et menée à tort», ajoute-t-il. «Je suis certain que vous êtes capable d'endosser cette responsabilité». Le Guide, qui souhaite bonne chance à Obama pour sa réelection en 2012, affirme que la Libye a «plus souffert moralement que physiquement» des frappes. Il estime également que la démocratie ne peut être bâtie par les missiles et les avions, et réaffirme que les rebelles sont pilotés par al-Qaida.
Le colonel semble désormais chercher une voie diplomatique pour sortir du conflit, plus de deux semaines après le début de l'intervention internationale. Dans la nuit de lundi à mardi, le gouvernement libyen a affirmé que le régime était prêt à négocier toute forme de réforme politique. Mais il continue de rejeter un départ du colonel Mouammar Kadhafi. Un ancien parlementaire américain, Curt Weldon , se trouve en Libye, à l'invitation de l'entourage de Mouammar Kadhafi et dans l'espoir de rencontrer le dictateur. Il s'agit d'une initiative privée.
• Juppé évoque les conditions de départ de Kadhafi
Le chef de la diplomatie française Alain Juppé a déclaré jeudi que la question qui se pose aujourd'hui en Libye était «de savoir dans quelles conditions le dirigeant va partir», au cours d'une audition devant des sénateurs à Paris. «Dans les résolutions» de l'ONU dans le cadre desquelles s'inscrit l'intervention de la coalition internationale, «il n'est pas écrit noir sur blanc que nous voulons nous débarrasser de Kadhafi», a reconnu le chef de la diplomatie française. Mais cette option apparaît comme une issue inéluctable de la crise en cours pour la France, le Royaume-Uni et les Etats-Unis, les trois puissances à l'origine de l'intervention militaire en Libye, a-t-il dit.
La prochaine réunion du Groupe de contact sur la Libye se tiendra le mercredi 13 avril à Doha au Qatar. Alain Juppé désire que des représentants du Conseil national de transition (opposition) soient entendus par les ministres des Affaires étrangères de l'Union européenne, qui se réunissent la semaine prochaine.
• L'aide à Misrata s'organise
La communauté internationale se mobilise jeudi pour aider les habitants de Misrata, ville libyenne assiégée par les forces du colonel Kadhafi depuis plus d'un mois. Emboîtant le pas à l'Otan, qui a fait de Misrata sa «priorité numéro un», l'Onu a appelé à une cessation des hostilités autour de la ville. «La situation sur le terrain est critique pour un grand nombre de personnes qui ont un besoin immédiat de nourriture, d'eau potable et d'aide médicale d'urgence». «La possibilité de quitter la ville est désormais une question de vie ou de mort».L'Otan avait promis de «tout faire pour protéger les civils de Misrata», conformément au mandat de l'Onu, mais souligné que le régime de Kadhafi utilisait des boucliers humains, rendant les frappes aériennes délicates.
Pour soulager la population, Misrata va pouvoir être ravitaillée par la mer par les insurgés au départ de Benghazi, à 260 milles nautiques (480 km) plus à l'est, a annoncé le ministre français de la Défense Gérard Longuet. «Précédemment, la lecture de l'embargo était qu'aucun bateau ne pouvait alimenter aucune ville». Dans le port militaire de Benghazi, tenue par les rebelles, deux bateaux de pêche et un remorqueur attendaient jeudi que la houle se calme pour repartir vers Misrata.
Rebelles et humanitaires alertent depuis des semaines la communauté internationale sur le sort des quelque 300.000 habitants de cette ville, dont plusieurs centaines ont été tués ou blessés par les combats. Le chef militaire des rebelles, le général Abdel Fattah Younés, avait accusé mardi l'Alliance atlantique de «laisser mourir les habitants de Misrata».
• 30% des capacités militaires de Kadhafi détruites
Les frappes des forces occidentales ont détruit 30% des capacités militaires du colonel Kadhafi depuis le début de l'intervention en Libye, a annoncé mardi un général de l'Otan au siège de l'alliance à Bruxelles. Les opérations de la coalition multinationale ont commencé le 19 mars, avant d'être relayées depuis le 31 mars par l'Otan.
• La production de pétrole arrêtée dans l'Est
La production des champs pétrolifères situés dans l'est de la Libye, contrôlé par les rebelles, a été interrompue après avoir été la cible d'attaques des forces loyales à Mouammar Kadhafi. Les champs pétrolifères de Misla et de l'oasis de Waha, qui fournissent en pétrole la ville de Tobrouk, ont été frappés par l'artillerie mardi et mercredi, a précisé à la presse le porte-parole à Benghazi.
Piss Christ: un blasphème financé par l'UMPS avec l'argent du contribuable et LVMH
07/04/2011 14:26
Cet article ainsi que ceux de cette rubriques sont, aussi et actuellement, visibles sur "Wordpress - Aviseur international " (http://aviseurinternational.wordpress.com/ ) à la rubrique "Revue de Presse de l'Aviseur".
Un crucifix en plastique immergé dans la pisse du photographe américain Andres Serrano
Le ministère de la Culture du gouvernement Sarkozy/Fillon, la mairie UMP d’Avignon et un conseil régional PS financent actuellement une exposition appelée « je crois aux miracles » organisée autour de la photo d’un Christ plongé dans l’urine. Des affiches de cette photo blasphématoire, appelée « Piss Christ », sont exposées publiquement en pleine rue d’Avignon.
Le groupe LVMH (Dior, Guerlain, Moët, Hennessy etc.) dirigé par Bernard Arnauld, un grand ami de Nicolas Sarkozy, cofinance ce « Piss Christ » et met son logo sur l’affiche, alors que ce même groupe LVMH se définit sur son site internet comme « l’ambassadeur de l’art de vivre occidental dans ce qu’il a de plus raffiné ». Les actionnaires et clients apprécieront sûrement de voir ce que LVMH fait de leur argent. Enfin, quelques sponsors secondaires (non présents sur les affiches) participent au blasphème comme la SNCF ou la Fondation Cartier.
Aux Etats-Unis, puis en Australie, cette photo blasphématoire réalisée en 1987 par Andres Serrano a été bannie. Le gouvernement Sarkozy/Fillon, la mairie UMP, le conseil général socialiste et LVMH, eux, en font tranquillement la promotion dans l’ancienne cité des papes. L’œuvre y est installée dans un des plus beaux hôtels particuliers de la ville, devenu une sorte de temple du blasphème.
Devant ces faits inacceptables, les chrétiens mais aussi toutes les personnes honnêtes refusant ces actes discriminatoires et provocants, exigent des autorités et dirigeants impliqués les mesures immédiates suivantes :
1. Faire retirer la photo blasphématoire de cette exposition et interdire toute présentation publique en France, en raison de son caractère provoquant et discriminatoire envers les chrétiens. 2. Faire enlever et détruire tous les supports de communication utilisant cette photo (affiches, panneaux municipaux, brochures etc.) 3. Faire stopper tout financement public et privé de cette exposition (près d’un million d’euros par an prévus pour une nouvelle période de 10 ans dont une grande partie financée par le contribuable).
Nous attendons avant la fête de Pâques la prise en compte de ces trois mesures sans aucune négociation possible.
Vous pouvez contacter les principaux responsables de cet acte odieux :
* service-presse@culture.gouv.fr, Ministère de la Culture * marie-jose.roig@mairie-avignon.com, Marie José Roig, Maire d’Avignon tel : 04 90 80 83 85 * lvmh@clubactionnaires.com, Club des actionnaires de LVMH tel du standard : 01 44 13 22 22 * mvauzelle@regionpaca.fr Michel Vauzelle, président du conseil régional de PACA tel : 04 91 57 50 57 * Yvon@yvon-lambert.com, Y. Lambert, propriétaire du Piss Christ tel : 01 42 71 09 33 * e.mezil@collectionlambert.com, Directeur de l’Hotel particulier d’Avignon où est exposé le Piss Christ tel : 04 90 16 56 20