|
| Accueil |
Créer un blog |
Accès membres |
Tous les blogs |
Meetic 3 jours gratuit |
Meetic Affinity 3 jours gratuit |
Rainbow's Lips |
Badoo |
[ COMMUNIQUE ] [ Les Analyses de KEG ] [ Volés en souriant ] [ Silences radios ] [ Revus par A.I ] [ NARCONEWS-Douane-Justice-Police ] [ Hey said the clown ] [ À l'étranger ] [ Le camp des saints ] [ Tartuffes ] [ Elites et Bobos ] [ J'y gagne quoi? ]
|
|
|
|
Sarközy est bien intervenu au Brésil en faveur de l'assassin Battisti!
15/01/2009 13:52
AFP. 14.01.09. L'ex-activiste italien d'extrême-gauche Cesare Battisti devrait bientôt retrouver la liberté après la décision controversée du gouvernement brésilien de lui accorder l'asile politique en dépit des protestations de l'Italie.
Ses avocats espéraient mercredi qu'il pourrait quitter dans "quelque 24 heures" la prison de Brasilia où il est incarcéré depuis 2007, nouvel épisode dans une vie de fuite et de clandestinité.
La cour suprême du Brésil, qui doit ordonner sa mise en liberté, a toutefois indiqué que cela pourrait être un peu plus long.
En apprenant la nouvelle, "Cesare Battisti a sauté de joie, il est très heureux, il sait que dans quelques jours il va être libre, mais il va être libre au Brésil et son souhait le plus cher, c'est de revenir un jour en France", a déclaré un de ses avocats français Eric Turcon à la radio RTL à Paris.
La décision du Brésil a provoqué une tempête en Italie où Battisti a été condamné en 1993 par contumace à la réclusion à perpétuité pour quatre assassinats dans les années 1970, les "années de plomb" du terrorisme dans la Péninsule. Il s'est toujours proclamé innocent de ces crimes.
L'ambassadeur du Brésil en Italie a été convoqué mercredi soir au ministère des Affaires étrangères italien qui lui a exprimé "l'indignation unanime de toutes les forces politiques parlementaires ainsi que de celle de l'opinion publique et des familles des victimes".
"Je suis absolument convaincu que nous avons pris une position juste", s'est défendu le ministre de la Justice Tarso Genro lors d'une conférence de presse à Sao Paulo, soulignant qu'il s'agissait là d'un "acte souverain" du Brésil.
M. Genro a accordé mardi soir l'asile politique à Cesare Battisti, 54 ans, en invoquant une "crainte fondée de persécution" en Italie pour ses opinions politiques.
Le Brésil a une longue histoire de terre d'accueil pour des personnes fuyant leur pays, comme l'ancien dictateur du Paraguay Alfredo Stroessner renversé par un coup d'Etat en 1989, le Français Georges Bidault, défenseur de l'Algérie française en 1963 ou, plus récemment, des sportifs cubains ou des ex-membres de la guerilla marxiste des Farc colombiennes.
Cesare Battisti, ancien responsable du mouvement des "Prolétaires armés pour le communisme" (PAC), avait trouvé refuge en France de 1990 à 2004. Il avait refait sa vie à Paris comme gardien d'immeuble et auteur de romans noirs.
Il y a bénéficié de la protection de l'ancien président socialiste François Mitterrand qui avait promis en 1985 de n'extrader aucun Italien recherché pour des faits de terrorisme dans leur pays à la condition qu'ils renoncent à la lutte armée.
Mais Battisti est à nouveau entré dans la clandestinité et s'est réfugié au Brésil en 2004 quand la France a décidé de mettre fin à la "jurisprudence Mitterrand". Il a été arrêté à Rio de Janeiro le 18 mars 2007.
Selon l'avocat Eric Turcon, le président Nicolas Sarközy, qui a effectué une visite officielle au Brésil fin décembre, est intervenu pour "faciliter un rendez-vous entre le comité de défense de Battisti et les autorités brésiliennes".
"C'est grâce à ce rendez-vous que l'asile politique a été obtenu au Brésil", a assuré l'avocat.
................................................................................................................................................................
Le président de la République a favorisé la rencontre entre l'écrivain Fred Vargas, proche de Battisti, et le secrétaire national de la justice brésilienne.
Nicolas Sarközy aurait agi "probablement sur les conseils de son épouse", Carla Bruni-Sarközy, et "pour des raisons humanitaires" selon son avocat Me Eric Turcon.
L'Elysée dément...
Fred Vargas, auteur à succès de polars, de son vrai nom Frédérique Audoin-Rouzeau, est née à paris en 1957. C'est une grande amie de Battisti et des deux soeurs Bruni-Tedeschi.
Une honte de plus pour la France après l'affaire Marina Petrella!
http://gaelle.hautetfort.com/
| |
|
|
|
|
|
|
|
Affaire Dray : Tracfin a relevé des dépenses énormes de l'élu depuis fin 2005
14/01/2009 09:13
La cellule anti-blanchiment du ministère des finances, Tracfin, chargée d'enquêter sur l'affaire Julien Dray a rendu son rapport mercredi 14 janvier. Selon des extraits de celui-ci publiés dans L'Est républicain, les enquêteurs qui ont analysé les comptes de l'élu socialiste ont relevé des dépenses énormes depuis fin 2005. "Les paiements réalisés par M. Dray, avec sa carte [American Express], depuis la mi-décembre 2005 s'élèvent, pour les seuls flux supérieurs à 500 euros, à 313 180,56 euros." "134 opérations ont ainsi été réalisées, allant unitairement jusqu'à 18 500 euros", facturés en août 2008 chez l'horloger Breguet, selon le rapport. Environ 131 000 euros ont notamment été dépensés pour des montres, pour une trentaine d'achats, alors que 15 588 euros d'achats sont rassemblés par les enquêteurs de Tracfin sous le vocable "Luxe stylo", d'après L'Est républicain.
Selon le quotidien régional, qui dit avoir contacté le député PS, les revenus du couple Dray atteignent 15 000 euros, ce que l'élu a estimé compatible avec son train de vie. "Cette affaire n'aurait jamais dû être confiée à la justice, car ce n'est en rien une affaire pénale. C'est au mieux un dossier fiscal", a estimé Julien Dray, dont les propos sont rapportés par L'Est républicain. Une plainte a été déposée le 23 décembre 2008 par Julien Dray pour violation du secret professionnel et recel de cette infraction.
La cellule anti-blanchiment de Bercy s'interroge plus particulièrement sur les chèques reçus par Julien Dray et sur les "contreparties" obtenues par les émetteurs de ces paiements. "Nombre de chèques tirés enregistrés posent la question de leur contrepartie. Les émetteurs ont en effet soit leur siège social dans le département dont M. Dray est l'élu, soit ils ont obtenu un chantier public dans sa circonscription, soit obtenu un marché public avec le conseil régional d'Ile-de-France, écrit Tracfin dans son rapport. Ces flux suscitent les interrogations du service."
Depuis le 10 décembre 2008, Julien Dray est l'objet d'une enquête préliminaire du parquet de Paris. Il est soupçonné d'abus de confiance à la suite d'un signalement de Tracfin portant sur des mouvements de fonds suspects à partir de comptes de l'association Les Parrains de SOS-Racisme et de l'organisation lycéenne FIDL, depuis janvier 2006. La somme dont aurait bénéficié l'élu de 53 ans pourrait s'élever à 351 027 euros.
http://www.lemonde.fr/politique/article/2009/01/14/les-depenses-de-julien-dray-pointees-par-tracfin_1141493_823448.html
Commentaire de NS 55 (18/01/2009 13:01) :
Pourquoi le TRACFIN ne s'occupe pas de poursuivre les blanchisseurs
institutionnels et autres narcotrafiquants avec la même précision?
Il est vrai que Julien Dray n'a pas bénéficié du "secret défense",
lui!
http://marcfievet.blogspot.com/ ns55dnred@live.fr |
| |
|
|
|
|
|
|
|
Une instit entretenait des relations sexuelles avec son élève de 13 ans
13/01/2009 22:15
Une sordide affaire de sexe entre une institutrice de 29 ans et son élève de 13 ans est actuellement en procès dans les environs de Boston. La femme aurait eu plus de 300 relations sexuelles avec le teenager, dont au moins une sous les yeux de son mari.
Le jeune garçon a raconté à la police que la toute première fois, il avait été saoûlé et qu'il s'en est suivi des rapports non protégés, sur le sol de la cuisine ou la douche. L'institutrice nie tout.
Sept viols Christine A. McCallum a pris congé de l'école d'Abington près de Boston, pendant la durée du procès. Pendant toute la durée de la longue relation qu'elle a entretenue avec le mineur, la jeune femme s'est rendue coupable de sept viols. Le professeur a rencontré l'élève de 13 ans en février 2006 et a entretenu des relations sexuelles avec lui jusqu'en novembre 2007.
Couverture verte "Nous faisions l'amour tous les deux jours", a expliqué la victime à la police. "Nous l'avons fait la première fois le 7 février 2006, alors que son compagnon dormait à l'étage. Nous avons couché ensemble dans la douche, sur le sol de la cuisine et sur celui du salon, sur une couverture verte", a déclaré le jeune homme. Couverture qui a été saisie comme preuve par la police pendant la fouille de la maison où se déroulaient les ébats.
Vodka et rhum McCallum a commencé à tenter de gagner la confiance du jeune homme, ainsi que de son petit frère, fin de l'année 2005, en s'occupant d'eux après l'école. Les deux enfants vivaient avec leur père, suite au divorce de leurs parents. C'est en faisant boire de la vodka et du rhum au garçon de 13 ans, qu'ils ont commencé à entretenir des relations sexuelles, dans la maison de l'institutrice, comme dans celle des enfants.
Jalousie L'affaire a pris un nouveau tournant lorsque l'institutrice s'est montrée jalouse, après que le jeune homme ait envoyé des sms à une autre fille, à l'aide du gsm qu'elle lui avait donné. "Elle pleurait. Elle l'embrassait et lui disait qu'elle aimait le voir", peut-on lire dans le rapport de police. Selon des témoins, l'institutrice était obsédée par l'élève en question. Elle lui a écrit des dizaines de lettres dans lesquelles elle dit qu'il est plus important que son job et que cela pourrait devenir sérieux entre eux.
La liaison entre l'institutrice et son élève a été découverte lorsqu'un ami de la vicitme, à laquelle celui-ci s'était confié, a raconté toute l'histoire a sa mère. Celle-ci a alors prévenu le père du jeune garçon, qui s'est immédiatement rendu à la police. (7sur7)
Une instit entretenait des relations sexuelles avec son élève de 13 ans
http://www.7sur7.be/7s7/fr/1505/Monde/article/detail/610083/2009/01/13/Une-instit-entretenat-des-relations-sexuelles-avec-son-eleve-de-13-ans.dhtml
| |
|
|
|
|
|
|
|
Delanoë peut-il vraiment faire interdire Dieudonné à Paris ?
13/01/2009 22:05
Pour ses voeux à la presse, ce lundi, Bertrand Delanoë s'est choisi un cheval de bataille médiatiquement rentable: Dieudonné, assurant qu'il userait de "tous les moyens de droit" dont il dispose pour entraver le succès du comique dans la capitale, où il fait régulièrement le plein.
Après l'ode à l'historien négationniste Robert Faurisson, sur la scène du Zénith de Paris, le 26 décembre, plusieurs édiles avaient déjà décidé d'interdire à l'humoriste de se produire sur le territoire de leur commune, à Montpellier, Belfort ou en Auvergne.
Lundi, Bertrand Delanoë a parlé de procéder en deux temps: d'abord empêcher que son spectacle ne tourne dans la capitale "pour que, dans Paris, ce genre de choses n'existe plus". Puis, dans un deuxième temps: "Si je n'y arrive pas, je le ferai sanctionner."
Gesticulation d'un élu pour occuper un terrain favorable? Peut-être. Car après la dénonciation d'une "abjection" et d'une "faute contre l'humanité", reste la faisabilité juridique. Pour Rue89, Robert Le Goff, juge administratif à Orléans, a décrypté les trois scénarios envisagés à la Mairie de Paris.
Interdire le spectacle dans les théâtres publics parisiens
Ce qui apparait le plus étrange, ici, c'est la précision "théâtre public". En effet, un maire peut certes empêcher la tenue d'un événement. Mais pas parce qu'il s'agit d'un lieu de gestion publique (d'autant que la plupart des théâtres publics ne sont pas gérés par la municipalité).
C'est en réalité au nom des pouvoirs de police qui lui incombent en tant que garant du "maintien du bon ordre" que le maire peut prendre un arrêté interdisant la tenue d'un spectacle. Par exemple au nom du risque de manifestation.
Mais cette limite sera alors circonstanciée. Aucune chance, donc, pour le Maire de Paris, de réussir à faire interdire ad vitam eternam Dieudonné sur le territoire de sa commune. Robert Le Goff:
"Le juge administratif a une conception très large de la liberté d'entreprendre et plus encore de la liberté d'expression artistique. Il est très protecteur en la matière."
En 2004, à Lyon, la municipalité avait voulu faire interdire un précédent spectacle de l'humoriste. Peine perdue: le tribunal administratif avait estimé que, peu importe les propos que Dieudonné pouvait tenir sur scène, le spectacle n'entrainait pas forcément de trouble à l'ordre public.
Même si c'était seulement quelques jours après son célèbre passage chez Marc-Olivier Fogiel où il fit le salut hitlérien. Et malgré les 13 000 personnes qui avaient signé une pétition. Le spectacle eût bien lieu... malgré les heurts, comme le montrent ces images:
< width="355" height="450" frameborder="0" src="http://www.ina.fr/archivespourtous/popup.php?vue=partenaire&partenariat=be4ce3aa9189136516195c8819425e7e">>
Porter plainte pour "incitation à la haine raciale"
C'est une autre solution envisagée par le maire de Paris pour empêcher l'humoriste de poursuivre dans la surenchère, provocation après provocation. En ce cas, la chose ne relèverait plus du droit administratif, mais du droit pénal. Et Bertrand Delanoë aurait a priori le statut de simple citoyen... "Même s'il est clair que le parquet se montre certainement plus attentif dans ces cas-là", précise Robert Le Goff.
Le magistrat d'Orléans rappelle de plus qu'une décision très récente, à Grenoble, a invalidé l'interdiction d'un concert de Capleton, chanteur ragga qui devait se produire fin novembre. Motif: aucune plainte n'avait été déposée pour homophobie. Mais la plainte ne peut être déposée à titre préventif, dans le seul but d'empêcher que l'artiste ne se produise à l'avenir.
Faire fermer le théâtre de la Main d'Or
Le plus souvent, l'humoriste qui se dit "boycotté", se produit non pas au Zénith, comme le 26 décembre, mais au théâtre de la Main d'Or (où Rue89 était allé cet été interviewer le public de Dieudonné), dont il est propriétaire.
Bertrand Delanoë a évoqué la possibilité de faire fermer ce lieu. Avec une grande prudence, toutefois: "Je n'ai aucune envie d'un théâtre fermé, en revanche qu'on y donne une représentation négationniste, cela m'importe."
Du point de vue du droit, la fermeture peut prendre deux chemins: fermeture judiciaire ou fermeture administrative. La première est à l'initiative du juge. Dans ce cas, c'est d'abord le parquet qui décide de l'opportunité de poursuivre, puis le juge correctionnel qui décide de prononcer la sanction. Mais attention, pas à titre conservatoire: les délais sont généralement longs. On notera cependant qu'une enquête a bien été ouverte par le parquet à l'issue du spectacle au Zénith.
Pour la fermeture administrative, Robert Le Goff se montre sceptique. D'abord parce que généralement, l'initiative revient au préfet (au préfet de police à Paris). Ensuite parce qu'il n'a souvenir d'aucune jurisprudence "dans la République" concernant des théâtres ou des lieux artistiques.
Au sein de sa juridiction, c'est lui qui gère justement les dossiers de fermeture administrative. Or il s'agit quasi systématiquement de bars ou de boîtes que les pouvoirs publics font fermer (souvent provisoirement, d'ailleurs) pour des faits avérés, de type bagarres, alcool au volant:
"Même si un humoriste tient des propos nauséabonds, il me parait peu probable qu'un juge décide de ne pas sanctionner une fermeture administrative car il est très sourcilleux dès lors que la liberté d'expression est en jeu. Il n'y a pas en la matière l'équivalent de la police des boissons. Ce serait un retour à Louis XIV!"
A lire aussi: ► Dans le public de Dieudonné: "le seul qui nous fasse rire"
http://www.rue89.com/2009/01/12/delanoe-peut-il-vraiment-faire-interdire-dieudonne-a-paris
| |
|
|
|
|
|
|
|
Israël-Palestine : les élus locaux doivent-ils prendre position ?
13/01/2009 21:57
A Marseille, des élus PS, UMP et Nouveau Centre ont manifesté leur soutien à la politique israélienne. Par intérêt électoral?

Les manifestations du week-end autour de la guerre de Gaza ont été marquées, à Marseille, par la présence dans les cortèges de nombreux élus locaux. Les uns soutenant les Palestiniens contre l'opération israélienne. Les autres répondant à l'appel des représentants des associations juives.
Samedi, entre 10 000 et 20 000 personnes, selon les sources, ont manifesté pour réclamer une cessez-le-feu et l'arrêt des bombardements israéliens sur la bande de Gaza.
Dimanche, entre 5000 personnes selon la police et 15 000 selon les organisateurs ont manifesté à l'appel du Conseil représentatif des institutions juives (Crif) Marseille-Provence "pour la paix" et "en soutien au peuple israélien bombardé par le Hamas".
"Israël veut la paix, le peuple palestinien veut la paix, le Hamas ne la veut pas"
De nombreux élus locaux ont participé à ces deux rendez-vous dans une répartition des rôles que l'on n'avait plus revue à Marseille ces dernières années. La gauche non-socialiste -PC et NPA principalement- manifestait samedi pour soutenir les Palestiniens, sans que cela n'apparaisse comme une nouveauté.
L'était beaucoup plus la présence le lendemain d'élus de premier plan du PS, de l'UMP et du Nouveau Centre -représentant chacune des collectivités locales-, au côté des responsables de la communauté juive. Alors que le président du Crif Marseille-Provence, Isidore Aragonès délivrait son message:
"Nous approuvons la réponse apportée contre les terroristes du Hamas. Israël n'est pas en guerre contre le peuple palestinien mais contre le Hamas. Israël veut la paix, le peuple Palestinien veut la paix, le Hamas ne la veut pas."
Roland Blum, premier adjoint au maire de Marseille Jean-Claude Gaudin (UMP); Sylvie Andrieux, pour la région Paca (PS); Janine Ecochard pour le conseil général des Bouches-du-Rhône (PS) et Antoine Rouzaud au nom du président de la communauté urbaine (PS) ont défilé entre la préfecture et le consulat d'Israël.
Il s'agissait là de l'une des toutes premières manifestations en soutien à la politique israélienne à laquelle participaient de nombreux élus de gauche comme de droite. Une présence dont se sont d'ailleurs félicités les représentants du Crif.
"Dans une vision communautaire du jeu politique marseillais"
Même si elle n'a pas surpris grand monde dans le fond, cette mobilisation témoigne cependant d'une réalité très marseillaise. Depuis toujours, les élus locaux, quelle que soit leur orientation politique, dénoncent ce qui pourrait ressembler, de près comme de loin, à toute forme de communautarisme.
Or, assure le sociologue et politologue aixois Vincent Geisser, "nous sommes, avec ce rassemblement du Crif, précisément dans la vision communautaire, voire communautariste du jeu politique marseillais":
"Il faut être là où les communautés, pense-t-on, comptent. Dans la tête des hommes politiques, ce jeu des communautés se traduit par une espèce de hiérarchie des influences qui n'est bien souvent que fantasmée."
Pour Philippe Isnard, de l'Observatoire permanent de la laïcité Paca, "l'engagement de ces élus dans une manifestation pro-israélienne organisée par une instance communautaire va à l'encontre de la laïcité et de la séparation des communautés (et religions) et des institutions républicaines."
"N'importons pas la violence, exportons le dialogue"
Des analyses que ne partage pas Janine Ecochard, conseillère générale PS présente dimanche à la manifestation du Crif. "J'y ai participé dans une démarche de dialogue et de paix, tout simplement":
"Israël ne peut pas admettre de vivre sous la pression constante des tirs de roquettes et les populations civiles de Gaza ont le droit à l'aide humanitaire et à une vie apaisée. Qu'ils appartiennent à l'une ou l'autre communauté, nous étions là pour dire: n'importons pas la violence et exportons le dialogue."
Un sentiment également exprimé par Daniel Sperling (UMP), adjoint au maire chargé du Mieux vivre ensemble, pour qui "tout a été fait à Marseille pour ne pas importer le conflit".
Pourquoi ne pas alors avoir délivré de tels messages de paix la veille, à l'occasion de la manifestation en soutien au peuple palestinien? "Nous sommes représentants de l'ensemble de la population, poursuit l'élue au conseil général, discriminants à l'égard de personne et nous sommes présents lorsque nous sommes sollicités."
Mais pour Vincent Geisser, le problème est plus profond: "La vérité, c'est que le mouvement pro-palestinien n'est pas suffisamment uni pour que les élus s'autorisent à manifester à ses côtés":
"Par contre, poursuit-il, ne pas être présent au rassemblement du Crif aurait été une faute politique. Nous ne parlons même pas là de la possibilité d'une faute morale. Tous, qu'ils soutiennent sincèrement la politique menée par Israël ou non, étaient présents parce qu'ils sont dans cette vision surcommunautaire des rapports sociaux."
"C'est un calcul à courte-vue, estime pour sa part Pierre Stambul, de l'Union juive française pour la Paix (UJFP), et les élus se gourent en agissant ainsi car ils auront à gérer des débats en interne, notamment au PS, et ça ne va pas être triste."
Surprenante également dans ce cadre, la présence de Sylvie Andrieux, qui représentait dimanche le Conseil régional Paca dont le président, Michel Vauzelle (PS) s'était pourtant bien gardé, quelques jours plus tôt à l'occasion de ses vœux à la presse, de prendre position pour un camp ou pour l'autre, dans sa tradition de prudence méditerranéenne.
Intérêts électoraliste, clientéliste?
Comment comprendre alors la présence de ces élus autrement que motivée par des intérêts politiques, électoralistes, clientélistes? "C'est encore plus profond que cela, poursuit Vincent Geisser, cela touche aux représentations mêmes de ce que serait la soi-disant puissance communautaire."
A l'image, estime-t-il, de Marseille Espérance, devenue "la vitrine" d'un communautarisme "qui n'est pas le reflet de la réalité sociale marseillaise".
L'institution, créée au début des années 1990 par le maire de l'époque, Robert Vigouroux, regroupe, sous l'égide du premier magistrat, les chefs religieux des principales communautés de Marseille "pour se concerter et réaffirmer, chaque fois que la situation l'exige, leur volonté de vivre ensemble en paix et dans le respect de la spécificité de chacun".
Une institution que Jean-Claude Gaudin a d'ailleurs convoquée la semaine dernière pour évoquer la situation au Proche-Orient et ses échos à Marseille.
Finalement, ces relations des élus politiques aux communautés, très "marseillaises" dans leur fonctionnement et assez exceptionnelles, Vincent Geisser les voit pourtant se développer ailleurs en France et notamment "dans certaines villes de banlieues" où, assure-t-il, le "néo-communautarisme" fonctionne en plein.
Photo: manifestation à Marseille à l'appel du Crif le 11 janvier 2009 (Jean-Paul Pelissier/Reuters).
http://www.rue89.com/marseille/2009/01/13/israel-palestine-les-elus-locaux-doivent-ils-prendre-position
| |
|
|
|
|
|
|
|
la Défense de l'Arche Delanoé
13/01/2009 21:38
 Monsieur Delanoë est grave: il est maire mais non père de famille. C'est peut-être pour cela qu'il reste impassible devant les petits enfants de Gaza déchiquetés par les Armes Beth DIME (Dense Inert Metal Explosive).
Que lui font-ils ces enfants morts, et que lui font les cieux emplis du phosphore blanc?
Cet agent toxique qui provoque des brûlures atroces de la peau et endommage irrémédiablement le foie, le coeur ou les reins, n'entame pas sa couenne à lui, n'atteint ni son foie blanc ni son placide coeur de reine.
Par contre Notre-Dame de Paris sonde les reins et les coeurs: il s'est étranglé d'indignation devant "l'abjection" de l'humoriste Dieudonné qui a fait remettre le 26 décembre dernier au Zénith de Paris à l'universitaire révisionniste Robert Faurisson le "prix de l'infréquentabilité et de l'insolence".
La foudre de Monsieur Delanoë sera terrible: il interdira désormais aux théâtres publics de la capitale d'accueillir le spectacle de Dieudonné "J'ai fait le con"!
Monsieur Delanoë, ne fait-il pas le con lui-même, avec sa bouche en cul de poule? Peu nous importe, c'est sa vie privée.
Ce que Monsieur Delanoë n'aime pas, par dessus tout, c'est l'inintelligence:
"La négation de l'Histoire est une faute contre l'intelligence et une faute contre l'humanité" a-t-il déclaré.
Monsieur Delanoë est un puits de Science. Il déclara un jour : " L’État d’Israël est né d’un deuil comme aucun peuple au monde n’en avait jamais connu"
Ainsi nous apprenions que la Déclaration Balfour et les 14 points de Wilson, en 1917, étaient le résultat d'un deuil.
Foreign Office, Novembre 2, 1917 "Cher Lord Rothschild,
J'ai beaucoup de plaisir à vous transmettre, au nom du gouvernement de Sa Majesté, la déclaration suivante de sympathie pour les aspirations sionistes juifs qui a été soumise et approuvée par le Cabinet. Le Gouvernement de Sa Majesté en vue de favoriser l'établissement en Palestine d'un foyer national pour le peuple juif, emploiera tous ses efforts pour faciliter la réalisation de cet objectif, étant clairement entendu que rien ne sera fait qui porte préjudice aux droits civils et religieux des communautés non juives en Palestine, ou les droits et au statut politique dont jouissent les Juifs dans tout autre pays. Je vous serais reconnaissant si vous voulez porter cette déclaration à la connaissance de la Fédération sioniste. "
Yours sincerely, ARTHUR JAMES BALFOUR......
"Ce peuple, en voulant bâtir sur la terre de son histoire ancestrale, un petit pays où il lui fût permis de parler sa langue, de planter ses arbres et de prier son dieu, a écrit, tout simplement, une nouvelle page du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes." Là c'est Monsieur Delanoë qui parle, et non plus Lord Balfour.
Faut-il comprendre que la création de l’État d’Israël ne serait pas l’installation d’une colonie juive en Palestine, mais au contraire la décolonisation de la Palestine occupée par les Palestiniens?
De la terre du pays de Canaan, que Yahvé à donné à Abraham, ainsi qu’on peut le lire dans la Genèse, le premier livre de la Torah, les petits enfants palestiniens en sang et à jamais privé du lait des blancs ruisseaux de Canaan, nageurs morts aux membres éparpillés dans la Voie Lactée, suivront-ils d'ahan son cours vers d'autres nébuleuses?
Peut-on faire, Monsieur le Maire, plus grande faute contre l'intelligence et l''humanité?
Félix le Chat.
Publié par l'abbé Tymon de Quimonte à l'adresse 01:42 http://petitimmonde.blogspot.com/2009/01/monsieur-delano-est-grave-il-est-maire.html
| |
|
|
|
|
|
|
|
Démographie et pauvreté de masse : Malthus a gagné !
13/01/2009 12:10
La Bombe démographique
En 1850 la prévision de Malthus ne s’est pas réalisée ; mais en 2050 elle risque de l’être. Il a eu raison Thomas ! Dire comme certains experts, notamment l’Indien Amartaya Sen, Prix Nobel d’économie en 98, que le problème de la misère de masse résulte d’un déficit démocratique et de l’absence d’Etat social est à la fois un fait démontré, mais aussi pour certains politiques et intellectuels une façon commode d’évacuer les causes profondes qui dérangent.
La croissance démographique est en effet le facteur principal de la pauvreté de masse, même si la mauvaise répartition des richesses y contribue aussi pour beaucoup : s’il est vrai que quelques centaines de millions d’individus sont dans une niche d’abondance avec une espérance de vie longue, alors que la plus grande partie de l’humanité vit à côté, dans la pauvreté avec une espérance de vie courte ; s’il est encore vrai que dix millions de personnes (soit 0,15% de la population mondiale) possèdent 25% de la richesse mondiale et que 100.000 personnes en détiennent 5%, et que cette concentration de richesse est à mettre en regard du milliard d’individus (si ce n’est deux milliards) qui n’ont strictement rien et une espérance de vie courte, il n’en reste pas moins aussi vrai qu’une égale répartition du PIB mondial sur les 6,5 milliards d’individus (ce n’est qu’une expérience intellectuelle...) ne donnerait à chacun qu’un niveau de revenu égal au RMI.
Cette concentration de richesses ne peut se poursuivre - et une prise de conscience de la population doit avoir lieu pour que des barrières soient dressées par les Etats pour réduire cette « bulle » (cela relève évidemment de la morale, mais c’est d’abord un problème économique -, mais le revenu moyen mondial par individu ne peut, au mieux, que tendre vers le RMI ! Tous pauvres, avec une planète déjà surexploitée avec 6,5 milliards d’individus. A population constante l’avenir n’est pas radieux ; pour donner aujourd’hui à chaque individu le SMIC il faudrait trois Terre...
Or une hypothèse réaliste de croissance démographique, à vue humaine, est le doublement de la population. Cela peut se produire en 2050 ou en 2100 ; mais après tout qu’importe la date, l’important n’est-il pas de prendre en compte le fait qu’il y aura très probablement un jour (pas très lointain) deux fois plus d’habitants sur la planète qu’aujourd’hui ? Les spécialistes affirment « qu’on peut les nourrir ». Et alors ?
Dans un monde futur parfait où une égale répartition des richesses serait réalisée on pourra assurer à chaque individu, en reprenant le calcul, un demi RMI ! Les mêmes spécialistes nous démontreront que le progrès technique devra nous permettre d’améliorer cette situation : on peut donc espérer conserver notre RMI, avec une planète tout autant surexploitée qu’aujourd’hui (à surexploitation égale). Il faudrait donc six Terre pour obtenir un SMIC pour tous ! Quelles perspectives réjouissantes... Sans oublier des villes peuplées de cinquante à cent millions de personnes, des pollutions non maîtrisables, des migrations dévastatrices, des pénuries de toutes sortes, des pandémies catastrophiques, des guerres etc., etc. : Cauchemars...
Thomas Malthus a donc bien eu raison de formuler sa doctrine en 1798 ; mais il s’est trompé sur la date à laquelle la démographie deviendrait un facteur de destruction, date que nous pouvons fixer aujourd’hui avec une précision de quelques décennies. Ce qu’il ne nous a pas dit, c’est par quel mécanisme de correction la démographie va se stabiliser. Les imaginer ne relève plus aujourd’hui de la science fiction, et l’on peut dire que le pire est probable. Si l’on veut tenter de faire en sorte que l’espèce ne disparaisse sous son propre poids, la question est donc celle-ci : que faire ? En admettant que l’on puisse faire quelque chose, ce qui n’est pas certain, et qui expliquerait le discours convenu sur la démographie et la vulgate politique.
http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=49909
| |
|
|
|
|
|
|
|
Les banques italiennes sauvées de la crise des subprimes faute de parler anglais
13/01/2009 11:49
compréhension | Les banques italiennes ont été sauvées de la crise du "subprime" car on y parle peu anglais, affirme le ministre italien de l'Economie et des Finances, Giulio Tremonti.
© dr - a | Le ministre italien de l'Economie et des Finances Giulio Tremonti s'est également déclaré pour un élargissement du G8.
afp | 13.01.2009 | 09:39
"Nos banques ont peu souffert de la crise du "subprime". Rares sont celles où l’on parle anglais ! Leur exposition aux actifs "toxiques" est donc restée extrêmement limitée. Aujourd’hui nos banquiers ne réclament même pas qu’on vienne à leur secours", souligne M. Tremonti, ministre de l’Economie et des Finances, dans un entretien publié mardi par les Echos, en référence à la crise des crédits immobiliers américains qui a éclaté à l’été 2007.
M. Tremonti estime par ailleurs qu’il ne faut pas "sous-estimer" la résistance de l’économie italienne à la crise et se méfier des statistiques officielles. "Il faut se méfier des statistiques du PIB (Produit intérieur brut). Non seulement elles n’intègrent pas l’économie informelle, mais, surtout, une bonne part de l’activité de nos entreprises est réalisée en dehors de nos frontières", affirme-t-il.
"Les entreprises italiennes ont souvent un holding au Luxembourg, une marque déposée aux Pays-Bas, une structure commerciale en Suisse ou en Autriche et des investissements en Europe centrale", souligne M. Tremonti.
"Seules les entreprises cotées consolident tout cela dans leur bilan. Il en résulte que l’économie italienne est plus que ce que le PIB laisse penser", a souligné le ministre.
Concernant le G8 dont l’Italie vient de prendre la présidence, il juge que ce groupe -- qui regroupe l’Allemagne, le Canada, les Etats-Unis, la France, La Grande-Bretagne, l’Italie, le Japon et la Russie -- "n’est plus représentatif du monde dans lequel nous vivons".
Selon M. Tremonti, le G20 n’est pas non plus parfait car il ne compte pas parmi ses membres des pays comme l’Egypte et l’Espagne. "Il est difficile de dire aussi que l’Arabie saoudite représente le monde arabe", affirme M. Tremonti en ajoutant: "nous sommes donc ouverts à toute solution qui élargisse le G8".
http://www.24heures.ch/actu/economie/banques-italiennes-sauvees-crise-subprimes-faute-parler-anglais-2009-01-13
| |
|
|
|
|
|
|
|
Inquiétude juive.
13/01/2009 11:38
Aux Etats-Unis, la communauté juive est inquiète. Elle craint en effet que l’opinion publique en vienne à lui imputer une grande responsabilité dans la crise financière et économique qui, désormais à l’échelle mondiale, frappe de plein fouet nombre d’entreprises de toutes tailles, avec les conséquences sociales que cela implique, en particulier sur le plan du chômage, qui va plonger un grand nombre de personnes et de familles dans une situation difficile, voire dramatique.
Pourquoi la communauté juive serait-elle particulièrement impliquée ? Parce que beaucoup de ceux qui ont de grandes responsabilités dans la crise sont juifs, que ce soit dans des firmes privées ou des institutions officielles (mais on sait qu’aux Etats-Unis – et ailleurs – l’interaction entre ces deux secteurs est permanente, comme le montre, au sein du personnel gouvernemental, le nombre de responsables politiques de haut niveau ayant eu de grandes responsabilités, à un moment ou à un autre, chez Goldman Sachs, le géant des circuits financiers américains).
La FED (Réserve Fédérale Américaine), qui a largement contribué, par son laxisme, à la crise des subprimes, élément déclencheur du tsunami financier (voir l’article de Romaine Chevallier dans TP n° 38), a été dirigée jusqu’en 2006 par le juif Alan Greenspan, relayé ensuite par le juif Ben Bernanke. La FED a sauvé in extremis de la faillite, en mars 2008, la 5e banque d’affaires américaines, Bear Stern, contrôlée par des juifs, et d’autres banques d’affaires comme Goldman ont été recapitalisées.
En septembre l’Etat américain a nationalisé Fanny Mae et Freddy Mac, les premiers organismes de crédit immobilier américain, dont l’encours est la moitié du marché américain, soit 6 000 milliards de dollars. AIG, un des plus gros assureurs mondiaux, dont le président a été longtemps Maurice Greenberg, a été nationalisé en septembre. Dominique Strauss-Kahn, censé être, en tant que patron du FMI, l’un des hommes les mieux informés de la planète en matière financière, a déclaré le 25 mai que la crise était derrière nous… Or cet homme n’est évidemment pas un incapable. C’est donc un menteur.
Henry Paulson, secrétaire au Trésor (c’est à dire le ministre des finances américain), ancien Directeur Général de Goldman Sachs a laissé couler, en raison de vieilles rivalités, Lehman Brothers, et la surface financière de cet organisme était telle que son effondrement a déclenché la panique à l’échelle mondiale. Rappelons qu’en 1949 était membre de la direction de l’American Jewish Committee Herbert H. Lehman, ancien gouverneur de l’Etat de New York, conseiller de Roosevelt et proche parent de Henry Morgenthau Jr, secrétaire au Trésor. Les divers épisodes de la grande crise financière ont révélé aux naïfs qui l’ignoraient quelle place tiennent les juifs dans les structures financières américaines et internationales.
Mais le cas le plus spectaculaire aura été l’affaire Madoff. C’est à la suite de l’éclatement de ce scandale que divers responsables de la communauté juive, aux Etats-Unis et ailleurs dans le monde, se sont émus, estimant qu’il risquait de susciter une vague d’antisémitisme.Ainsi, le président de la Fédération sioniste d’Amérique (ZOA) a publié un communiqué le 23 décembre pour dénoncer comme « absurde » tout lien entre la fraude Madoff et Israël. Or chacun sait que Madoff a usé de son appartenance à la communauté juive pour tisser de vastes réseaux relationnels auprès de riches particuliers juifs en se présentant comme un généreux donateur à Israël. Il a ainsi créé une fondation riche de 19 millions d’euros pour soutenir divers projets de construction en Israël et il a financé largement l’université Yeshiva, la plus grande université juive des Etats-Unis.
D’après Gary Tobin, président de l’Institut de recherche communautaire juive de San Francisco, qui est une couverture commode pour drainer des fonds, les dons versés à diverses associations juives américaines à but officiellement caritatif s’élèvent à 5 milliards de dollars annuels (dont 20 % seraient reversés à des organismes israéliens). Le journal Le Monde (28 décembre 2008), qui répercute cette information, signale, par rapport à cette masse d’argent, que la part gérée par le fonds Madoff « est inconnue, mais elle était considérable ».
Ayant été président du Nasdaq, la bourse des valeurs technologiques à Wall Steet, Madoff a joué avec les sommes considérables qui lui furent confiées par d’illustres et richissimes membres de la communauté juive internationale : le prix Nobel Elie Wiesel (15 millions de dollars)- LE MENSONGE EST D’UN BON RAPRPORT, ISN’T IT ?-, le couturier Daniel Hechter (on ne connaît pas la somme), Alicia Koplowitz, influente femme d’affaires juive mais de nationalité espagnole (10 millions d’euros), ou encore, parmi beaucoup d’autres, Steven Spielberg. Celui-ci, réalisateur ou producteur de films à gros budgets comme Les dents de la mer, E.T., Indiana Jones, avait une fortune personnelle estimée à 3,1 milliards de dollars. Lui qui a toujours répugné à investir son argent personnel dans ses films. Steven Spielberg a fondé sa société de production DreamWorks en association avec deux autres juifs, David Geffren et Jeffrey Katzenberg, ce dernier ayant, tout comme Spielberg, beaucoup investi à titre privé chez Madoff.Le milieu hollywoodien, où les juifs ont eu depuis toujours une influence considérable en contrôlant les majors (les grandes sociétés de production comme Goldwyn Meyer et beaucoup d’autres – voir les Mémoires de Claude Autant-Lara), subit de plein fouet les retombées du scandale Madoff.
Le Monde décrit ainsi la situation : « Les associations caritatives de la communauté juive, impliquées dans la culture et le cinéma, sont très touchées par ce scandale. La Jewish Federation de Los Angeles a perdu 6,4 millions de dollars, soit environ 11% de sa dotation, la Jewish Community Foundation estime ses pertes à 18 millions, et l’American Jewish Congress envisage la fermeture de son bureau de Los Angeles. « C’est un événement catastrophique pour la communauté juive », commente Rob Eshman, rédacteur en chef de l’hebdomadaire Jewish Journal, publié à Los Angeles.Quant à la Fondation Elie Wiesel pour l’humanité, elle a publié ce communiqué : « Avec une tristesse et une détresse profondes, nous informons avoir été, parmi bien d’autres, victimes de l’une des plus grandes fraudes financières de l’Histoire. La Fondation détenait 15,2 millions de dollars gérés par le Fonds d’investissement de Bernard Madoff, soit presque la totalité de ses avoirs ». Un aspect du scandale Madoff devrait, en principe, faire de grosses vagues : c’est la question des complicités dont a forcément bénéficié Madoff. Un exemple : une nièce de Madoff, qu’il employait à son service, a épousé un fonctionnaire de la SEC (Securities And Exchange Commission), l’organisme chargé de réguler les marchés financiers américains. Or ce fonctionnaire de la SEC était en charge des audits concernant la société Madoff. Autre exemple : Ezra Merkin, présenté comme un poids lourd de la finance new yorkaise, à la tête de plusieurs fonds de gestion, a été l’intermédiaire par lequel l’université de New York a confié ses fonds à Madoff.
Aujourd’hui l’université poursuit Merkin en justice, mais celui-ci va devenir officiellement le banquier de General Motors, avec l’approbation des autorités fédérales, ce qui va l’amener à contrôler les énormes sommes d’argent mises à disposition par l’Etat américain pour tenter de sauver, provisoirement, l’industrie automobile.Le scandale Madoff a mis sur la place publique, à l’échelle mondiale, le poids financier de la communauté juive, aux Etats-Unis et ailleurs. C’est sans doute la raison majeure de l’inquiétude juive, au moment où les images venant de Gaza rappellent qu’Israël est un Etat terroriste, soutenu inconditionnellement par les Etats-Unis. Ce constat n’implique évidemment pas que nous nous sentions concernés par un conflit dont nous sommes spectateurs, car aucun des deux camps en présence n’est le nôtre. Opinion: Pierre Vial http://www.toutsaufsarkozy.com/cc/article04/EkFEZAAAFyziiOxLBG.shtml
 |
Source : Terre&Peuple LA PHOTO
| |
|
|
|
|
|
|
|
Macias enrico, enfant de tout pays ... de gaza aussi ?
13/01/2009 11:31
Cette video illustre l'hypocrisie humaniste de l'état d'israel et de ses suppots en europe.Quand ils chantent les enfants, ils ne chantent que les leurs et quand ils pleurent les enfanrs, ils ne pleurent que les leurs. quand ils filment le malheur, ils ne filment que le leur...Triste monde que le notre; on soutient les génocidaires...
http://www.alterinfo.net/Macias-enrico,-enfant-de-tout-pays-de-gaza-aussi-_a28384.html
| |
|
|
|
|