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Regroupement familial en Belgique : Plus de 5.900 permis de séjour délivrés aux Marocains en 2008

11/03/2011 09:43



Regroupement familial en Belgique : Plus de 5.900 permis de séjour délivrés aux Marocains en 2008

Selon une étude de la Fondation Roi Baudouin, le Maroc figure en tête de liste des pays ayant eu le plus grand nombre de permis de séjour en 2008. Le regroupement familial constitue le principal motif de délivrance du permis de séjour.

http://www.aujourdhui.ma/societe-details80635.html

L’immigration marocaine représente la majorité des regroupements familiaux en Belgique. Les deux principaux pays  d’origine sont le Maroc avec 5.975 personnes dont 4.768 sont des conjoints et la Turquie (2.021 migrants dont 1.661 pour des raisons conjugales). En 2008, près de 10.000 personnes ont bénéficié du regroupement familial. C’est qui ressort de l’étude de la Fondation Roi Baudouin intitulée «Le regroupement familial en Belgique : les chiffres derrière le mythe» en date de janvier 2011. Les données 2008 montrent que le regroupement familial est le principal motif de délivrance d’un permis de séjour: (44%), travail rémunéré ( 15%) et enseignement (15%). Le regroupement familial constitue ainsi la principale forme de migration régulière vers la Belgique. Les statistiques relatives au nombre de permis de séjour permettent également de tirer cette conclusion. Le bénéficiaire est dans la plupart des cas le partenaire, plus rarement un enfant ou un autre membre de la famille. Dans ce contexte, la plupart des permis de séjour sont délivrés à des personnes originaires de terres traditionnelles d’émigration, notamment le Maroc et la Turquie. Parmi les raisons familiales, le motif principal est la réunion avec un partenaire plutôt que la réunion avec les enfants et les parents. L’étude note que la majorité des migrants regroupés sont jeunes et de sexe féminin. Près des trois quarts ont entre 20 et 39 ans, et il s’agit de femmes dans près de 60% des cas. Ce qui n’est pas le cas du Maroc où le regroupement familial prend un caractère masculin. Cette proportion plus importante d’hommes provenant du Maroc peut s’expliquer par le comportement des femmes d’origine marocaine de la deuxième génération, qui préfèrent souvent, comme leurs homologues masculins, épouser quelqu’un issu de leur pays d’origine. L’insatisfaction est aussi un important élément de motivation qui pousse les personnes de la deuxième et de troisième génération d’origine marocaine à épouser une personne de leur pays d’origine En se basant sur des recherches sur les divorces en Flandre (Corijn & Lodewijckx, 2009), l’enquête note que 22% des hommes marocains ont divorcé 10 ans après le mariage contre 12% pour les hommes belges (12%). Quant aux Marocaines, elles sont 17% à avoir divorcé 10 ans après le mariage, contre 12% pour les femmes belges et 7% seulement pour les femmes turques. Par ailleurs, l’étude souligne que la recherche d’un emploi est une obligation moins importante pour les femmes marocaines immigrées que pour leurs homologues masculins. Le principal motif est qu’un grand nombre de femmes ne veulent pas confier la garde de leurs enfants à d’autres personnes. A ceci, il faut également mentionner que leurs conjoints préfèrent que leurs épouses restent à la maison.
Le 01-02-2011 à 09:47
Par : Laila Zerrour





Réseau Voltaire:La société de mercenariat CST Global et le criminel de guerre Israel Ziv nous écrivent

09/03/2011 18:48



La société de mercenariat CST Global et le criminel de guerre Israel Ziv nous écrivent
par Thierry Meyssan*

L’une des plus importantes sociétés de mercenaires au monde, qui travaille selon les cas par simple appât du gain ou pour entreprendre des missions officieuses de l’Etat d’Israël, a vivement réagi à une de nos dépêches. Cette polémique est l’occasion de quelques précisions.


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Israel Ziv

Suite à la publication de notre dépêche « Israël vole au secours de son allié Khadafi », la société de mercenaires Global CST et son directeur, le Major général à la retraite Israel Ziv (photo), nous ont fait adresser une lettre comminatoire par le bureau d’avocats Mackrell International (lire ci-dessous).

Global CST ne conteste pas avoir commis des crimes en Amérique latine et en Ossétie du Sud, mais dément toute relation actuelle avec le colonel Khadafi.

Les informations que nous avons publiées ont deux sources : d’une part un journaliste du quotidien israélien Yediot Aharonot, d’autre part le site israélien Inyan Mercazi. Elles sont été largement reprises et développées par des médias audiovisuels comme la chaîne qatarie Al-Jazeera ou la chaîne iranienne en anglais PressTV.

Ces informations attestent qu’Israël utilise ses liens privilégiés avec le colonel Khadafi pour alimenter la guerre civile et ouvrir la voie à une ingérence de l’OTAN en Afrique du Nord.

Dans un entretien à France24, le colonel Khadafi n’a pas caché que les opérations militaires qu’il commande actuellement sont calquées sur celles de Tsahal lors de « Plomb durci ».

Le démenti de Global CST intervient alors que la société vient de faire l’objet d’une enquête approfondie sur son engagement en Guinée et a échappé de justesse à de lourdes sanctions. Elle était accusée d’avoir violé les règles d’exportation d’armement et de formation en alimentant un régime sous sanctions. Elle a, en définitive, écopé d’un simple rappel des « obligations déontologiques » de ses mercenaires.

Un petit rappel s’impose ici : le général Moussa Dadis Camara s’est emparé du pouvoir en Guinée fin 2008. En mai 2009, il a confié la création, l’encadrement, la formation et l’équipement de sa garde présidentielle à Global CST pour 10 millions de dollars par an. Le 28 septembre 2009, ses soldats, encadrés par Global CST, ont tiré à balles réelles sur des opposants réunis au stade de Conakry, tuant au moins 157 personnes. Tandis que le régime de Moussa Dadis Camara était placé au ban des nations, une enquête a été ouverte en Israël sur le rôle de Global CST. La société de mercenariat dirigée par le Major général à la retraite Israel Ziv et l’ancien commandant de la police de Tel Aviv David Tzur a alors bénéficié du soutien inattendu de l’ancien ministre des Affaires étrangères social démocrate Shlomo Ben-Ami, de l’ancien ministre adjoint à la Défense Ephraim Sneh et de l’ancien ambassadeur d’Israël en France Nissim Zvili. Au vu des informations secrètes apportées par ces personnalités, Global CST n’a pas été sanctionné. Selon le quotidien israélien Haaretz, Global CST s’était engagé en Guinée pour soutenir les affaires du trafiquant de diamants Benny Steinmetz, lequel emploie l’ancien Premier ministre Ehud Olmert [1]. De son côté, Global CST et ses excellents avocats ont lancé une campagne de propagande pour faire croire que l’engagement de la firme de mercenariat en Guinée portait sur… le forage de puits pour alimenter des villages en eau potable.

Le gouvernement israélien ne saurait donner d’autorisation officielle à Global CST pour intervenir en Libye alors que le Conseil de sécurité s’oppose à tout soutien militaire étranger au colonel Khadafi. Global CST se trouve donc chargé d’une mission officieuse qui contrevient à la loi israélienne, ce qui explique la vigueur de son démenti. Dans le même temps, l’ambassadrice des Etats-Unis au Conseil de sécurité a demandé que les mercenaires intervenant en Libye ne puissent pas être poursuivis par la justice internationale. On n’est jamais trop prudent.

Le Major général Israel Ziv, que ses avocats présentent comme une personnalité honorablement connue en Israël, est l’ancien chef des opérations de Tsahal. A ce titre, il joua un rôle central dans les crimes de guerre commis au Liban en 2006 : il supervisa les bombardements qui tuèrent 1 187 civils, provoquèrent le déplacement de plus d’1 million de personnes, et rasèrent plus de 15 000 bâtiments.

Cher Monsieur,

Au nom de l’un de nos clients, le Major Général (réserviste) Israël Ziv et Global CST, nous vous adressons la lettre comminatoire ci-après :

1. Le 5 mars 2011, un article ridicule, faux et diffamatoire a été publié sur le site de Voltair [N. d. T. Faute dans le texte original] (http://www.voltairenet.org/article1...) affirmant prétendument que « Global CST a pour l’instant fourni 50 000 mercenaires africains au régime de Khadafi pour s’opposer aux manifestants anti-gouvernement en Lybie. »

De plus, cet article non fondé et ridicule poursuit en affirmant, parmi d’autres choses, que « Le cabinet de Netanyahou a fait appel à la société israélienne Global CST pour maintenir le régime de Khadafi en place... Le régime de Khadafi paie 2000 $ par jour pour chaque mercenaire. Ces derniers reçoivent 100 $ par jour et le reste revient à Global CST ... »

2. Etant donné le caractère éminemment absurde et outrageant du contenu de cet article, ce dernier ne mérite pas d’être commenté de manière sérieuse et documentée. De plus, pour autant que nous le sachions, les autorités des responsables israéliens ont opposé un démenti intégral au contenu de cet article, ce qui n’en démontre que davantage le caractère erroné et ridicule.

3. Sans déroger de l’aspect général de la présente, il est important de mentionner le fait que cet article, s’il est clairement dénué de tout fondement, émet plusieurs allégations au sujet de personnalités réputées en Israël, et a été d’emblée publié sans recueillir au préalable la réponse de nos clients quant aux accusations formulées contre eux dans ce document, ce qui constitue en soi une atteinte sévère aux pratiques journalistiques acceptées.

4. Il est en outre important de noter que le Major Général (res.) Israël Ziv est un militaire retraité des Forces de défense israéliennes très décoré et apprécié, et n’a absolument aucun lien, directement ou indirectement, avec les événements en Lybie et/ou toutes les autres activités ou événements dont il est fait mention dans cet article.

5. La publication de l’article et de la référence spécifique faite dans ce cadre au nom de notre client a déjà causé, et causera à l’avenir, différents dommages et pertes, tant sur le plan de la réputation que sur le plan économique, à nos clients.

6. Au regard des éléments ci-avant, nous vous enjoignons d’effacer immédiatement, de l’article et/ou tout autre article lié, toute référence à nos clients et de publier dans les 24 heures à compter le l’envoi de cette présente, des excuses claires et manifestes sur votre site, déclarant qu’il n’existe aucun lien, direct ou indirect entre nos clients et les événements ou actions dont il est fait mention dans l’article.

7. Dans l’éventualité où notre demande telle que formulée dans la Section 7 ci-avant ne serait pas satisfaite dans un délai de 24 heures à compter de l’envoi de cette lettre, nous avons reçu de nos clients instruction de mettre en oeuvre tous les moyens et mesures juridiques qui sont à leur disposition dans le cadre de toutes les lois et juridictions applicables.

8. Rien de tout ce qui précède n’est susceptible d’annuler les plaintes et actions de nos clients et/ou ne constitue une admission et/ou un abandon d’une quelconque plainte et/ou une quelconque demande et/ou la renonciation à un quelconque règlement et/ou dédommagement dont ils peuvent jouir, et ils se réservent tous leurs droits sous n’importe quelle juridiction.

Sincères salutations,

Moshe Kahn, Adv.

===

[1] « Inside Intel / Bloody business in Africa », par Yossi Melman, Haaretz, 31 décembre 2009.

< width="400" height="280" frameborder="0" allowfullscreen="" src="http://www.youtube.com/embed/ZZvHfRgbBPA" title="YouTube video player">

Video promotionnelle de Global CST, incluant la publicité par le président et le chef d’état-major colombiens.

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http://www.voltairenet.org/article168768.html
 Thierry Meyssan

Analyste politique français, président-fondateur du Réseau Voltaire et de la conférence Axis for Peace. Il publie chaque semaine des chroniques de politique étrangère dans la presse arabe et russe. Dernier ouvrage publié : L’Effroyable imposture 2, éd. JP Bertand (2007).






Pour avoir empêche de mendier, de déféquer partout :Le maire de Lampedusa poursuivi pour incitation à la haine raciale par Catherine Ségurane

09/03/2011 09:24



Le maire de Lampedusa poursuivi pour incitation à la haine raciale

La petite île italienne de Lampedusa voit débarquer des milliers d'immigrés clandestins en provenance de la Tunisie voisine, et l'on imagine les difficultés que doit affronter le maire, Bernadino de Rubeis, pour gérer leur présence sur un territoire de 20 kilomètres carrés.

A cette tâche déjà difficile, vient s'ajouter un harcèlement judiciaire incompréhensible : d'après le quotidien La Republica, le Parquet d'Agrigente aurait fait ouvrir une enquête contre le maire pour incitation à la haine raciale.

Il est reproché au maire d'avoir pris une ordonnance pour interdire la mendicité, ainsi que tout "comportement indécent", et l'utilisation de l'espace public comme lieu de campement et d'aisance.

Une banale mesure de police municipale, mais qui, par construction, trouve à s'appliquer aux migrants clandestins principalement, même si le texte de l'ordonnance ne les vise pas expressément. Cela suffit à faire poursuivre le maire !

Ce dernier, qui a la conscience tranquille, dit attendre les résultats de l'enquête avec sérénité, et précise :

"Des ordonnances comme celles-ci, il en existe des centaines en Italie. Le racisme n'a rien à voir là-dedans, c'est une simple question de bons sens. L'ordonnance ne mentionne d'ailleurs rien en rapport direct avec les immigrés".

Marine Le Pen a réagi par un communiqué dans lequel elle parle de "terrorisme judiciaire" , et indique apporter "tout son soutien au maire de Lampedusa, victime d’un acharnement politique aussi inexplicable qu’injustifiable". 

par Catherine Segurane mardi 8 mars 2011 - 9 réactions





La Libye sera-t-elle notre Somalie ?

08/03/2011 21:34



La Libye sera-t-elle notre Somalie ?
Christian Bouchet
Éditorial
La Libye sera-t-elle notre Somalie ?
Pour comprendre ce qui se passe actuellement en Libye, sans doute convient-il de relire Intrigo Internazionale du juge Rosario Priore (voir Flash n° 43). Dans cet ouvrage, celui qui a eu en charge à la fois l’instruction de l’assassinat d’Aldo Moro et celle de la tentative d’attentat commise, en 1981, contre Jean Paul II, dévoile la réalité d’un conflit occulté entre les puissances occidentales autour de la Méditerranée et du Proche-Orient.

«Nous avons été en guerre sans que les simples citoyens le sachent», affirme le magistrat, en soulignant que « l’hégémonie sur la Méditerranée et le contrôle des sources énergétiques ont placé l’Italie en collision avec l’axe américano-britannique qui n’a pas supporté son rapport privilégié avec la Libye ». Et de raconter comment les Italiens ont soutenu, en 1969, le coup d’État du colonel Kadhafi à Tripoli avec comme résultat que « les Libyens fermèrent immédiatement les bases britanniques et américaines et expulsèrent les militaires de ces deux pays. (…) L’Italie devint tout de suite le principal partenaire économique de Kadhafi tandis que les Britanniques, en perdant la Libye, se retrouvèrent de facto boutés hors de la Méditerranée. Ils cherchèrent sans tarder à reprendre ce qu’ils avaient perdu. Sans succès, car l’Italie protégeait le régime de Kadhafi ». Ainsi, en 1971, ce sont les services secrets italiens qui firent échouer une tentative de coup d’État anti-Kadhafi suscitée par le MI5.

Les impérialistes ayant la mémoire longue, et la vengeance étant un plat qui se mange froid, le « printemps arabe » qui agite actuellement le Maghreb et le Machrek, est l’occasion pour les puissances anglo-saxonnes de tenter de reprendre la totalité du pouvoir qu’elles avaient perdu à Tripoli à l’avantage de l’Italie et de faire ainsi coup double après avoir quasiment mis un terme, via la révolution de Jasmin, à l’influence française en Tunisie.

À l’aune de cette analyse, il convient donc de relativiser tout ce que nous pouvons voir, lire ou entendre…

Ainsi en est-il des crimes de Kadhafi qui justifieraient une enquête de la Cour pénale internationale. La répression exercée, de manière « virile » convenons-en, des manifestations de l’opposition a fait, selon diverses sources, avant que la situation n’évolue vers une semi-guerre civile, de 300 à 1.000 morts. « Le régime de Mouammar Kadhafi a bafoué les normes internationales et la morale élémentaire. Il doit être tenu comme responsable », s’est empressé de déclarer Barack Obama qui a oublié que le pays qu’il préside a été la cause directe de 650.000 à 1.000.000 de décès en Irak…

Irak, où, comme en Afghanistan, les troupes de l’Oncle Sam bénéficient de l’aide d’un grand nombre de « chiens de guerre » pudiquement présentés comme des contractors. Or, ces contractors deviennent soudain des « mercenaires » quand ils servent comme auxiliaires dans l’armée régulière libyenne. Pire, les médias ne se gênent pas pour insister sur l’appartenance de ces malheureux à la race noire, comme s’il s’agissait, soudain, d’un échelon particulier et pire que tous les autres dans l’abjection du mercenariat où il y aurait les bons (les contractors « caucasiens » ou asiatiques de l’US Army) et les salauds (les mercenaires Noirs ou Serbes de la Jamahiriya).

Quand à la situation à Tripoli on nous l’a décrite comme un véritable enfer sur terre où une population toute entière acquise aux opposants se terrerait chez elle pour échapper aux meurtrières milices kadhafistes. Mais quand un journaliste français – Bernard Bisson du Journal du Dimanche – a pu se rendre sur place il a témoigné : « Tripoli ne donne pas l'impression d'une ville en guerre, comme j'ai pu en voir de nombreuses dans ma carrière. Avant de rencontrer Kadhafi, nous avons couvert une manifestation de ses partisans. Il JDD 6 mars 2011).

On pourrait encore citer l’analyse par les médias de la personnalité de Mouammar Kadhafi. Celui-ci est présenté urbi et orbi comme un malade mental et nombre de ses travers – allant de ses gardes du corps féminines à sa manière de se vêtir – sont mis en avant pour le tourner en dérision. S’il est un fait que le Libyen est sans doute pour le moins mégalomane, il est permis de se poser une question simple : ne souffrirait-il pas d’une pathologie courante chez les puissants, car, au fond, par exemple (et il ne s’agit que de deux exemple parmi un grand nombre d’autres), est-il réellement plus caricatural que Silvio Berlusconi, et ses lubies sont-elles vraiment plus étranges que celles de cheikhs faisant construire des stations de ski dans les dunes du désert sous le soleil de l’Arabie ?

En 2004, Mouammar Kadhafi, dont le régime avait jusqu’alors financé et armé tout ce que la planète pouvait compter de groupuscule subversifs et hostiles au Nouvel ordre mondial, se livra à un spectaculaire changement de politique et d'orientation. Il offrit au « Grand Satan » américain, comme le relate Éric Roulleau dans Le Figaro du 1 mars dernier, de renoncer au terrorisme et à la fabrication d'armes nucléaires, en échange de quoi il sollicitait la neutralité bienveillante de Washington à son égard. Elle lui fut accordée. Depuis ce compromis, le commerce americano-libyen avait plus que décuplé. Mais l’Italie était restée le véritable allié, Silvio Berlusconi ne cachait pas sa relation amicale, qu’il qualifiait « d’intimes », avec le colonel et la péninsule dépendait de la Libye pour la quasi-totalité de son approvisionnement en pétrole. De plus la Jamahiriya était devenue la frontière avancée de l’Europe contre le péril migratoire et jouait ce rôle à la perfection.

D’où la surprise, sans doute aussi réelle que jouée, du colonel devant le retournement de la situation et l’ingratitude européenne. D’où aussi ses menaces précises : s’il tombe ce sera le chaos, une immigration comme le vieux continent n’en a encore jamais connue, de graves difficultés pour l’approvisionnement en pétrole et une instabilité politico-militaire telle que nous aurons l’équivalent de la Somalie sur le flanc sud de notre continent.

La situation est considérée comme si sérieuse par certains que Grigori Melamedov, analyste de l’agence RIA Novotsi, s’interrogeant sur les éventuels scénarios à venir évoquait, le 1 mars dernier, aussi bien une évolution « à la Yougoslave » avec une intervention militaire, d’une manière ou d’une autre, de l’OTAN, que « l’ouverture de négociations secrètes avec Kadhafi l’aidant à rester au pouvoir en échange de quelques concessions de sa part en faveur de l’opposition. » Le journaliste russe ajoutant avec cynisme : « Le reste est une affaire de technique. Les médias pourront exagérer l’importance des concessions obtenues en déclarant que sous la pression de la communauté mondiale le chef de l’Etat libyen a écouté son peuple. Ce n’est pas à nous d’apprendre aux leaders politiques mondiaux comment accomplir ce genre de démarches. »

On le voit l’avenir est ouvert dans le golfe des Syrtes et il n’y a nul doute que nous aurons de multiples occasion d’y revenir.

http://www.voxnr.com/cc/politique/EkAAVklAEVtflXGlqf.shtml






Islam et laïcité ?Pendant ce temps, la charia gagne du terrain dans les banlieues, dans certains milieux éducatifs, dans l’entreprise.

08/03/2011 17:36



Société. Un débat nécessaire.

Islam et laïcité

http://www.valeursactuelles.com/parlons-vrai/parlons-vrai/islam-et-la%C3%AFcit%C3%A920110303.html

Depuis une génération, les fondements de notre société subissent une pression religieuse sans précédent. L’islam frappe à toutes les portes de la République et s’efforce de pénétrer notre arsenal juridique pour obtenir un droit de cité de plus en plus large. Nous aurions tort de ne pas prendre garde à ce phénomène, car son développement risque de bouleverser ce qui fait l’essence de la France.

À l’époque gallo-romaine, le christianisme a supplanté les vieilles croyances païennes, mais cette évolution spirituelle s’est faite de l’intérieur, contrairement à ce qui se produit aujourd’hui. La deuxième religion de France est totalement importée. Pour des raisons historiques, d’abord, du fait de la décolonisation ; par maladresse, ensuite, en accordant la nationalité française selon des procédures automatiques aux enfants de parents étrangers nés sur notre sol ; par la mise en place, enfin, de politiques d’immigration qui ont facilité l’accès à notre territoire de populations en majorité musulmanes.

L’effet de masse a fait le reste. Des revendications inconnues jusqu’ici se manifestent, les unes derrière les autres, jamais en bloc. Elles ne procèdent probablement pas d’une manoeuvre délibérée, mais leur succession constitue un piège qui fonctionne à merveille, car il nous contraint à réagir au coup par coup. On mesure bien la fragilité de la riposte, qui s’exprime par des mesures d’interdiction, souvent difficilement applicables. Si l’école a su faire respecter la réglementation du port du voile, c’est parce que l’opposition à cette marque ostentatoire de religion a fait l’objet d’un large consensus, notamment au sein du monde enseignant, vigilant gardien de la laïcité. D’autres sujets, comme le port de la burqa ou la construction de lieux de culte, sont sources de débats et il faudra du temps pour que la justice dégage une jurisprudence qui s’imposera à tous les tribunaux, lesquels tranchent aujourd’hui dans des sens divers.

Si nous pensons faire front en élevant des barrières juridiques chaque fois que nos fondements culturels et politiques sont menacés, nous échouerons, car elles sauteront toutes les unes après les autres, par difficulté à les faire appliquer. Nous serons victimes de nos propres règles, tout bonnement parce que la pratique de l’islam, si éloignée de nos moeurs enracinées dans la morale judéo-chrétienne, exigera, au nom des libertés fondamentales, le droit à la nourriture halal, le droit à la pratique traditionnelle du culte à l’école et sur les lieux de travail, le droit pour un musulman d’obtenir la garde d’un enfant issu d’un couple mixte, conformément à la loi musulmane, etc.

On commence à faire appel à un islam de France, en se fondant sur l’organisation cultuelle mise en place ces dernières années. Idée cartésienne bien de chez nous, mais sans efficacité et sans avenir. L’influence du Conseil français du culte musulman sera toujours limitée, puisque l’islam, échappant à toute structuration hiérarchisée, est étranger à nos formes d’organisation. Rien ne garantit en outre son invulnérabilité à des idéologies venues de l’extérieur.

Pendant ce temps, la charia gagne du terrain dans les banlieues, dans certains milieux éducatifs, dans l’entreprise, dans le commerce, avec ces chaînes de distribution et d’alimentation qui s’adaptent à la demande d’une clientèle musulmane, quand elles ne la précèdent pas. On ne sert plus de porc dans les avions, car il est plus simple de procéder ainsi que de proposer deux menus. On tend à banaliser la pratique d’exception, par commodité, sans s’apercevoir qu’elle devient la norme. Qui peut croire que nous pouvons continuer sur cette voie sans dommage pour l’équilibre de notre société ?

Il faudra bien dire que ces dérives sociales ne sont pas compatibles avec l’ordre public français, celui qui exprime l’état de nos moeurs, en évolution constante et dont il revient au juge de préciser le contenu. Rôle redoutable, confié aux magistrats, alors que le bloc de l’institution judiciaire montre des fissures qui ne doivent s’élargir à aucun prix.

Alors, que faire ? Commençons par faire preuve de lucidité. Notre politique de la ville est un désastre qui a englouti des milliards d’euros. Des associations ont alimenté avec l’argent du contribuable un esprit communautariste au lieu de favoriser l’intégration, à défaut de l’assimilation. Nous voilà avec des centaines de milliers de Français malgré eux, qui, à ce titre, présentent une force revendicative que nous aurons du mal à contenir, et une immigration clandestine dont le poids est à redouter.

Un coup d’arrêt s’impose pour dire clairement que la charia est incompatible avec nos principes républicains et notre culture héritée de deux mille ans d’histoire. Sans doute faudra-t-il préciser, en ranimant les vertus de la laïcité, les conditions dans lesquelles la religion musulmane peut être pratiquée sur le sol national.

Tâche délicate, mais si nous ne le faisons pas, nous devrons vivre dans une autre France, et nombreux seront ceux qui ne l’accepteront pas.

Il sera alors trop tard pour le regretter.

Claude Valleix, préfet honoraire, et Pierre Mérand, procureur général e.r.






L’Europe face aux clandestins ou comment offrir son postérieur-cible

08/03/2011 17:27



L’Europe face aux clandestins

dans
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Passé l’euphorie des révolutions, retour à la réalité : une “bombe migratoire” est amorcée en Afrique du Nord. Enquête.

Il serait naïf de croire que les révolutions qui embrasent depuis deux mois les rives sud de la Méditerranée n’auront pas de répercussions sur les pays du Nord. Au-delà des petites répliques politiques dans tel ou tel pays obligé d’ajuster sa stratégie ou de changer de ministre ou d’ambassadeur, ce séisme arabe modifie en profondeur une situation déjà instable. Il aggrave le risque des migrations clandestines.

Alors que le régime du colonel Kadhafi agonise dans la violence et que la Tunisie et l’Égypte connaissent les premiers soubresauts de toute période postrévolutionnaire, l’Europe mesure le risque de déficit d’État en Afrique du Nord. Cette sympathique libération des énergies signifie en effet un affaissement des contrôles étatiques sur la maîtrise des flux migratoires sud-nord, la dégradation des politiques de coopération nouées avec l’Europe sur ce dossier. Le ménage actuel est porteur d’espoir. Le vide annonce aussi l’insécurité. Franco Frattini, le ministre italien des Affaires étrangères, parle d’un « risque d’exode biblique » : « Dix fois plus que les Albanais en 1991. »

Les Tunisiens, les Égyptiens, les Libyens et bien d’autres se libèrent pour des lendemains meilleurs. Ils veulent rebâtir leur pays. Ils regardent aussi ailleurs et leurs rêves de liberté n’ont pas de frontière. Il suffit de les écouter, à Tunis, à Alexandrie, au Caire, à Benghazi, à Tobrouk. Les plus impatients savent que la vie meilleure n’est pas pour tout de suite. Certains ont pris les devants, à l’image des 6 300 clandestins (dont 6 100 Tunisiens) arrivés à la mi-février sur l’île italienne de Lampedusa. Des jeunes en âge de travailler : la plupart ont dit qu’ils préféraient venir vite s’enrichir en Europe plutôt que de passer des années à rebâtir leur pays.

En quelques semaines, ce flux sur Lampedusa a dépassé la totalité des arrivées de 2010. « Il ne faut pas s’y tromper, c’est une avant-garde », confirment tous les responsables de police et d’immigration, en Italie et en France. Une partie des clandestins arrivés en Italie s’est déjà évanouie dans la nature. Les arrestations se multiplient aux postes- frontières français, en alerte renforcée. L’escadron de gendarmerie mobile de Menton a reçu des renforts.

Le terme d’“avant-garde” est une réalité. La carte tenue à jour par l’agence européenne Frontex le prouve. Le nord de l’Afrique abrite des concentrations de clandestins, une “bombe migratoire” qui commence à faire peur aux pays méditerranéens de l’Union européenne. Du Maroc à l’Égypte, deux à trois millions de migrants clandestins attendent un hypothétique passage vers le nord de la Méditerranée.

Ces malheureux vivent, parfois depuis des années, dans la plus grande précarité, soumis à toutes sortes de vexations de la part des autochtones. Leur rêve de l’eldorado européen est pourtant le plus fort. Certains sont parqués dans des camps placés sous le contrôle des services de police. D’autres s’entassent dans les bidonvilles à la périphérie des grandes villes.

Les États autocratiques des Kadhafi, Ben Ali, Moubarak avaient un avantage aux yeux de l’Europe, ce qui explique aussi la “politique des yeux fermés” : ils fixaient sur place ces centaines de milliers de clandestins. La défaillance actuelle des États fait craindre le pire. Elle va faciliter la reprise des trafics des candidats à l’immigration, de l’Afrique noire vers le Maghreb, à travers le Sahara, puis du Maghreb vers l’Europe, à travers la Méditerranée.

L’Italie est en première ligne. Sa petite île de Lampedusa n’est qu’à 160 kilo-mètres de la Tunisie, à portée de barque des moins intrépides. Jusqu’en 2008, le volume d’immigrés clandestins accostant en Italie n’avait fait que croître. Les efforts de la marine italienne et du dispositif européen commun Frontex parvenaient à fermer la porte mais les fenêtres de la maison Europe restaient largement ouvertes.

L’ampleur du flux migratoire conduisit l’Italie à un rapprochement spectaculaire avec la Libye en 2008. Tripoli offrit à Rome de fermer le “robinet migratoire” par des mesures drastiques contre les clandestins, bloqués manu militari dans une vingtaine de camps de transit. Silvio Berlusconi présenta d’abord les excuses officielles de son pays « pour les massacres et la répression contre le peuple libyen durant l’occupation coloniale ». Il s’engagea aussi à verser 3,6 milliards d’euros à la Libye, payant ainsi le chantage exercé par le colonel Kadhafi.

Ratifié en mars 2009, ce pacte italo-libyen eut un effet immédiat. Le flux de clandestins venus de Libye tomba de 21 000passages en 2008 à 403 en 2010 ! Mais les filières d’émigration se reportèrent aussitôt vers l’est. La Turquie devint le principal point de regroupement et de passage des clandestins africains et asiatiques en route vers l’Eu - rope de l’Ouest, par la Grèce, trop laxiste.

Cet effet mécanique immédiat illustre la réalité de la “bombe migratoire” restée amorcée en Afrique du Nord, particulièrement en Libye, avec ses 1 770 kilomètres de côtes, facilement accessibles aux boat people visant l’Italie. Ce risque migratoire vient de s’aggraver, car il concerne aujourd’hui deux types de populations, ce qui n’était pas le cas jusqu’aux révolutions arabes.

Aux deux à trois millions de migrants clandestins entassés au nord de l’Afrique, s’ajoutent en effet les centaines de milliers de jeunes Tunisiens, Égyptiens et Libyens “libérés”, pressés d’émigrer.L’aventure est maintenant facilitée par le relâchement des contrôles étatiques locaux. Les vedettes libyennes et tunisiennes n’ont plus quitté leur port depuis des semaines. En Algérie aussi, beaucoup de jeunes rêvent en regardant la mer… Ils portent même un nom : les harragas (“ceux qui brûlent” leurs papiers).

Une réunion de crise s’est tenue le 23 février à Rome. Roberto Maroni, le ministre italien de l’Intérieur, avait invité cinq de ses homologues européens de la zone Méditerranée. Maroni a parlé de sa crainte d’une « catastrophe humanitaire », citant des chiffres confirmés par ses partenaires : « 2,5 millions de migrants en Libye, dont environ 300 000 qui voudraient émigrer dans des délais relativement rapides. »

Les solutions existent. Elles passent par la stabilisation rapide de ces pays et la consolidation de leur État. L’aide de l’Europe se porte en ce moment sur l’urgence humanitaire aux frontières de la Libye. Il s’agit de fixer les clandestins sur place, puis d’aider les États concernés à les rapatrier chez eux.

Quinze sémaphores français fonctionnent 24 heures sur 24

L’Europe dispose aussi de l’agence européenne Frontex, créée en octobre 2004 pour coordonner la gestion opérationnelle à ses frontières extérieures. Frontex a déjà donné de bons résultats : 165 700 détections de franchissements irréguliers de frontière en 2009, en hausse de 50 à 75 % ! Il faudra sans doute renforcer son budget (88 millions d’euros, en augmentation de 360 % depuis 2006) et ses effectifs (281 personnes).

La marine française participe de façon active à ce dispositif, notamment depuis l’affaire du East Sea, ce cargo qui avait débarqué une cargaison de clandestins sur la côte varoise, en 2001, dans un scénario digne du Camp des saints de Jean Raspail. Cette mobilisation a permis de rénover tous les sémaphores qui jalonnent la côte française, du cap Béar (Pyrénées-Orientales) au cap Ferrat (Alpes-Maritimes) et Pertusato (Corse-du-Sud). Quinze fonctionnent “H24” (en permanence), dont cinq en Corse. De grands drones et des satellites de surveillance seront peut-être un jour mobilisés pour faire face à cette menace (lire ci-contre).

Les pays les plus concernés réclament un effort particulier à l’Europe : « Nous souhaitons l’établissement d’un fonds spécial de solidarité destiné aux pays qui supportent les principaux flux migratoires. » L’harmonisation des politiques d’accueil sera aussi à l’ordre du jour de ces prochains mois.

« La solidarité au sein de l’Union se fait sur une base volontaire », rappelait la commissaire chargée des Affaires intérieures, Cecilia Malmström. Cela devrait donc prendre du temps. L’urgence n’est pas vécue de la même façon partout. Les immigrés clandestins ne se bousculent pas pour aller s’installer en Europe du Nord ou de l’Est… Frédéric Pons

Photo © SIPA


 

http://www.valeursactuelles.com/actualit%C3%A9s/monde/l%E2%80%99europe-face-aux-clandestins20110302.html






Le tems des média-gogues disaient-ils !

08/03/2011 10:55

Le tems des média-gogues disaient-ils !


Le tems des média-gogues disaient-ils !

 

(11/03/2010 – revisité)

 

 

Afin de gagner en citation et en temps de parole, je supprimerai le côté I-Média et irait à l’essentiel pour dire « le temps des gogues », vu, en plus de cette observation pertinente, le niveau très bas de la campagne (Régionales de 2010) qui n’avait rien à dire aux citoyens et qui, encore pour les cantonales de 2011, n’a rien à dire .

 

 

« quand on n’a rien à dire…. », chante un groupe musical Dromois* de 5 femmes d’origines différentes (bel exemple d’intégration et de tolérance, hors de toute maison confessionnelle ou ethnique), on « caquette », on « papote », on « capote » pour ne rien dire, on « minaude » pour avoir l’air intelligent et savant (mais uniquement l’air….) et tout en final, finit aux « gogues », que les arbitres connaissent bien mais sous un autre vocable argotique, que la bienséance m’interdit de dire ici, et que les aficionados du ballon rond affectionnent et ils auront compris, ce à quoi je fais allusion.

 

 

Eh ! Oui vivement que nous passions aux choses sérieuses et évitant tout souci de vouloir jouer au Déma – gogues, je ne retiendrais que :

 

 

Un seul souci pour les 54% de vaincus, du Dimanche 14 Mars 2010, que sont les abstentionnistes, devenir des vainqueurs triomphants, ce dimanche 21 Mars 2010, en barrant le nom des têtes de liste sur la liste (tous cumulards de mandats et surtout d’indemnités) qu’ils glisseront dans l’enveloppe.

 

 

Un petit trait pour une grande victoire des 54% qui triompheraient ainsi du cumul des mandats et diront « NON » à tous les « non-programmes » des candidats en présence

 

Las, à l’époque, ils n’ont rien compris, ni côté électeurs, ni côté élus

 

 

Combien seront-ils en Mars 2011 ?

Que ne se saisissent-ils pas de l’exemple du peuple islandais, qui en Novembre 2010, a lourdé le gouvernement en place, dont il ne voulait plus, et a désigné 25 citoyens pour faire une constituante. Et cela sans la moindre violence, en une révolution pacifique…. (voir sur Google « révolution islandaise » puis demander à l’ambassade d’Islande : 01.44.17.32.85 – 52 Ave V.Hugo – 75116 Paris M° V.Hugo )

Et si cela ne suffit pas, il reste l’exemple outre – méditerranéen, moins consensuel, mais plus radical !

Où sont les brigades internationales ? (voir  http://aviseurinternational.vip-blog.com/vip/categories/37434.html  )

 

 

Kelly-Eric Guillon

 

 

 

 

*  Le groupe s’appelle « Evasion » et a ses attaches à Valence.

« quand on n’a rien à dire…. », tout un programme en ces temps de restrictions, surtout de libertés, et où bientôt ce sera le leitmotiv de tout « empêcheur de tourner en carré » qui aura peut-être intérêt à s’adonner à ce jeu plutôt que de connaître les joyeusetés des centres de rétention, parce qu’ils auront osé…..






Grazie mille balordo !PROFUGHI, ARRIVA L'ONDATA

02/03/2011 13:30



PROFUGHI, ARRIVA L'ONDATA


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Il ministro dell'Interno parla sui recenti sviluppi della situazione nel Mediterraneo, davanti alle commissioni Affari costituzionali e Affari esteri riunite alla Camera: "In Libia ci sono 1,5 milioni di clandestini, entrati dai confini a sud. Non appena la situazione lo consentirà questi riprenderanno la direzione nord verso l’Europa: sarebbe lo scenario peggiore possibile, che prevede movimenti di forse 200.000 persone in fuga"

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Roma - Mentre la comunità internazionale discute sulle mosse per accelerare l'uscita di scena di Gheddafi, scongiurando nuove possibili stragi di civili, una moltitudine di disperati dalla Libia preme ai confini con la Tunisia cercando la salvezza. In una sola giornata, lunedì, 14mila persone hanno varcato la frontiera a Ras Al Jedir. Le Nazioni Unite parlano di "situazione al punto di non ritorno". Una vera e propria emergenza umanitaria. I trafficanti di uomini sono pronti, sulle coste, a lucrare sulla fame e la disperazione, organizzando i loro "viaggi della speranza" e riversando, sulle nostre coste, una moltitudine di persone in fuga. Dalla Libia ma non solo. Nella notte le motovedette hanno bloccato e accompagnato in porto, a Lampedusa, un peschereccio di 15 metri con a bordo 347 magrebini.  Con loro c'erano anche due giornalisti tedeschi: con una telecamerina filmavano il viaggio dalle coste del nordafrica. Sono stati tutti accompagnati al centro d'accoglienza. Intanto il ministro Maroni lancia l'allarme: duecentomila persone in fuga, l'impatto sarà enorme.

Maroni: l'Ue deve intervenire subito L’Europa deve "intervenire con azioni concrete" per rispondere alla "grave e tragica emergenza umanitaria degli oltre 120.000 profughi attualmente accampati al confine tra la Libia e la Tunisia". Il ministro dell’Interno riferisce sulla situazione nel Mediterraneo alle Commissioni riunite Affari costituzionali e Affari esteri. "Preoccupa la pressione sulle coste della Tunisia", ha spiegato il ministro, "a poche decine di miglia dall’Europa e non solo dall’Italia. Cosa che spesso sfugge ai colleghi ministri dell’Interno europei". E ha insistito: "C’è una massa umana che preme e che urge di assistenza umanitaria, cui la comunità internazionale non ha dato e non sta dando risposte adeguate. Non bastano le sanzioni, approvate anche dall’Onu, ma serva portare subito assistenza umanitaria e sanitaria perché le autorità tunisine, la Croce rossa e la Mezzaluna rossa da sole non ce la fanno". Da qui, ha spiegato maroni, la decisione del governo italiano di inviare una missione umanitaria "per la costruzione di un campo profughi provvisorio al confine per accogliere chi fugge dalla guerra".

I numeri della crisi "Stimiamo che in Libia ci siano circa 1,5 milioni di clandestini, entrati dai confini a sud, dal deserto. Mi aspetto che non appena la situazione lo consentirà questi riprenderanno la direzione nord verso l’Europa: sarebbe lo scenario peggiore possibile, che prevede movimenti di forse 200.000 persone in fuga". "Noi ci stiamo preparando - ha detto il responsabile del Viminale - a subire il rischio di un impatto senza precedenti sulle nostre coste".

Rischio infiltrazione al Qaeda In Libia c’è il rischio "che l’instabilità favorisca l’infiltrazione del terrorismo internazionale. Un report di Europol parla di futuri scenari in questo senso e io esprimo preoccupazione che quanto sta avvenendo in Libia possa portare a un governo del paese molto più simile all’Afghanistan e alla Somalia, piuttosto che a un governo amico dell’Italia", ha detto Maroni. "È un rischio grave e reale", ha continuato Maroni: "Attualmente la Libia è divisa in due tra rivoltosi e lealisti, una situazione di stallo che nessuno è in grado di sapere quando si risolverà".

11 commenti su  1  2  3   pagine dal più vecchio | dal più recente
#11 Ronny (71) - lettore
il 02.03.11 alle ore 11:35 scrive:
3Deluso: sei proprio deludente. Secondo il tuo punto di vista dovremmo imporci con la forza. Voglio ricordarti che gli accordi non li ha presi B.
#10 mannaggia71 (5) - lettore
il 02.03.11 alle ore 11:34 scrive:
ma basta fare sempre le vittime e minacciare crisi apolattiche. Tutti i paesi europei hanno accettato profughi in numero maggiore di noi in passato e in tutte le crisi umanitarie precedenti (balcani). Solo il Belgio ne ha presi molti più di noi avendo una popolazione molto inferiore rispetto a quella italiana. Se l'europa non ci considera è perchè noi non abbiamo mai dato quanto gli altri, che in più non si lamentavano in continuazione.
#9 fransisco2 (363) - lettore
il 02.03.11 alle ore 11:31 scrive:
spero che la decisione che adotterà l'Italia senza aspettare l'avallo della Ue sia quella del respingimento in acque internazionale di chi vuole sbarcare in Italia. Una cannonata davanti alla prua per non danneggiare e poi trainati fino alle acque internazionali, non permettendo lo sbarco. E' previsto il rimpatrio di 4 tunisini ogni giorno; ma ci hanno proprio presi per fessi? E non ci facciamo intenerire ne da bagnasco ne dal vaticano ne da famiglia cristiana ne da quelle organizzazioni che quadagnano su ogni immigrato che arriva in Italia.
#8 baldas67 (126) - lettore
il 02.03.11 alle ore 11:20 scrive:
l'Europa se ne frega????Allora noi facciamo come la Spagna dove le regole sugli sbarchi sono severissime,pattugliamenti in mare e respingimenti,filo spinato sulle coste spagnole,ritorno alla propria patria di moltissimi clandestini,e se lo fanno in Spagna che è nella comunità europea non vedo perchè non possiamo farlo pure noi.

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par L'abbé Tymon de Quimonte :« tout changer pour que rien ne change » dans le monde arabe

02/03/2011 12:44



Arabe-eaux arabesques.

§- Dans toute l’Arabie la Foule hurle, la foule gronde, houle à l’assaut des régimes moribonds aux ordres de l’Impérialisme.
Incontestablement une lame de fond de la Révolution Arabe s’est levée, qui ne refluera pas de sitôt.
Mais cette marée énorme balaiera-t-elle le Léviathan pétrolier ou s’échouera-t-elle dans un nouvel ordre hideux au fond des golfes bruns ?

§- Qui peut le dire ?
Pour faire le point, la radio-navigation s’avère insuffisante.
Car, le plus insoutenable en cette mer houleuse arabe ce sont toutes ces morues spécialement dé-pêchées dans ces eaux troubles, et qui ne se font pas rejeter par-dessus bord .

§- Ce grouillis de "Milfs-cougar" sentant le poisson, agglutinées dans leurs luxurieux viviers, après avoir dilaté leurs tripes au lit à Tripoli avec leurs toy-boys pubères berbères, à heure fixe lèvent lourdement leurs culs corrompus pour aller égrener dans les perches, de leurs voix au timbre suraigu, des chapelets de mots impossibles à nouer ensemble.

§- On n’en peut rien saisir :
Impossible de suivre à cause de ces grognasses
Hystériques, la foule à l'assaut décisif
Sans savoir si enfin là-bas les populaces
Eussent forcé le mufle aux poussahs répressifs

§ - Tout ça pour nuire à la navigation en haute mer, empêcher de respirer le vent du large.
Les voix femelles excitent uniquement l’aire auditive primaire, la zone cérébrale du cortex réservée à la stricte audition : sur des sujets comme les révolutions ou les guerres, si l’on reçoit leurs sons, trilles qui vrillent, on ne les entend guère ! 
« La femme parle, on ne l’écoute pas.» dit la sagesse antique.
Seules les voix masculines peuvent activer dans le lobe occipital, l’aire de la compréhension dite "œil de l'esprit." 

§- Cette perpétuelle humidité femelle a moisi les anciennes disciplines, réservées naguère aux seuls mâles, tout part à vau-l’eau dans un grand marécage, la cage du marais.
Certains n’en sont pas affectés ?  Ils sont eux-mêmes mouillés.

§- Il nous faut alors puiser à la dandinette quelques informations ailleurs, ici, là, n'importe où : petits poissons pris dans le haveneau de Toile, et qui deviendront grands pourvu qu’Esprit leur prête sens.
« C'est la vraie marche. En avant, route ! »

§- Au dessus de l’unité tumultueuse de la mer, les vagues. Sur la vague les friselis distincts, arabesques compliquées, qui ne se ressemblent pas .

§- Cap sur l’Égypte
L’Egypte est la clé de voûte de l’ordre sionisto-américain au Moyen Orient. C’est pourquoi, tous, de l’Union européenne aux Etats Unis, cherchent à préserver l’essentiel, à protéger le régime en place, avec ou sans Moubarak.
Ce qui revient à soutenir l’Armée, colonne vertébrale du régime. La caste militaire jouit de privilèges inouïs et tient dans sa main de fer la part la plus juteuse de l’économie du pays.
Or c’est le maintien de ce régime militaire, haï de la population, qui est aujourd’hui le facteur de chaos et de détérioration de la situation.

§ Cap sur la Libye.
Le sanglant Kadhafi, depuis le 11 sept. 2001 et l’invasion de l’Iraq en 2003, s’est servilement subordonné à l’administration américaine, dont il devenu un des piliers dans la région.
And why ?
Parce qu’il a privatisé l’économie libyenne, ouvrant largement ses cuisses aux investisseurs étrangers; aussi il devait impérativement, pour encaisser le pactole des exportations pétrolières, obtenir son retrait de la liste rouge des « États-voyous. »
L’an dernier, le 15 avril dans un discours à Syrte, Kadhafi appelait à soutenir Obama.
Mais il est en passe d’être lâché par ce même mou Barack de la maison Blanche, car la coalition militaro-tribale qui vertébrait son régime se défait.

§ -Cap sur l’Algérie
Là, ce n’est nullement un soulèvement populaire, mais un nouvel avatar des révolutions colorées à l’agent Orange ou autre toxique qui est à l’œuvre.  Aventuriers, agents sionistes de tout poils, qui s’agitent comme des poux du pubis pour concocter une pseudo-révolution « pour le changement démocratique », financée par le FMI et les principaux centres impérialistes.
Ils tentent de jouer sur les mécontentements sociaux réels, pour organiser des manifestations factices et manipulées. Telle cette "marche" du 12 février, vers l'ambassade américaine et les locaux de l’Union Européenne pour les implorer de faire pression sur « le régime d’Alger
Pourquoi ?  La clique du flic Bouteflika est jugée trop « nationale », pas assez soumise aux mondialistes.
Une note du FMI en date du 5 février vocifère contre les augmentations salariales dans les dépenses publiques qui " rendent le climat pour les opérateurs étrangers " insuffisamment "attractif."   (Et c'est le directeur du FMI que la gôche veut faire élire en France !)  
Dans le collimateur : le plan de relance économique qui a injecté 250 milliards de dinars d’investissement public dans l’agriculture et l’industrie.
La marche du 12 février était d’ailleurs ouverte, entre autres serviles, par Ahmed Benbitour (du monde), ex-chef du gvnment, consultant du FMI et de la banque mondiale. Fermez le ban .
(Cependant, il demeure impossible à un français sous-chien de bonne race, de soutenir, même du bout des lèvres, la clique actuelle au pouvoir à Alger. Qui n’a de cesse de traîner la France dans la fange, exigeant toujours plus de repentance, et de réparations en espèces sonnantes et trébuchantes, pour les « crimes de la colonisation ». Gouvernement qui finance les "indigènes de la République" et qui déverse son trop plein de misère et de délinquance dans notre vieux pays, considéré comme une décharge municipale;  avec la complicité intéressée de tous les gvnements french depuis 1962.)

§- Telle est, un peu, de l’écume diverse des événements qui bouillonnent à la surface, non pas sa lame de fond. Pour voir le fond il faut notre bathyscaphe : Derrière la multiplicité des situations, se cache une certaine simplicité fondamentale, la Loi d’unité des phénomènes.
« La question est de savoir si, sous le tumulte qui règne à la surface, ne s'accomplit pas une œuvre silencieuse et secrète dans laquelle sera conservée toute la force des phénomènes. Ce qui nous gêne, c'est la grande variété, le contraste de ce contenu. » écrit le Titan de la philosophie.

§- Certains seront tentés de voir comme unité, dans cette Onde qui moutonne, un panurgisme pan-arabe : c'est dire que ce soulèvement ressortit à des topiques propres au « monde arabe ».
Tel n’est pas notre avis.
L’unité c'est le vent de révolte qui souffle, soufflera, sur tous les peuples du monde en butte à l’insupportable domination du capital financier et de sa race d’élection .

§- Pour le Moyen-Orient, la clef de la situation est entre les mains de la classe ouvrière arabe, dont les principales positions de force sont en Egypte, et dans une moindre mesure, en Syrie.
Évidemment une révolution de la classe ouvrière égyptienne sonnerait le glas de la Domination Israélienne dans la région.
Aussi, pour l’impérialisme, il faut en urgence tout rafistoler, et « tout changer pour que rien ne change ».
§ - félix le chat





Autour de Toulouse :Les dealers squattaient l'appartement d'un handicapé

26/02/2011 07:03



Les dealers squattaient l'appartement d'un handicapé

trafic

Les enquêteurs de la sûreté ont arrêté six suspects mercredi matin. Trois ont été condamnés hier mais laissés libres./ Photo DDM, archives
Les enquêteurs de la sûreté ont arrêté six suspects mercredi matin. Trois ont été condamnés hier mais laissés libres./ Photo DDM, archives
Les enquêteurs de la sûreté ont arrêté six suspects mercredi matin. Trois ont été condamnés hier mais laissés libres./ Photo DDM, archives

Trois jeunes du quartier Bagatelle ont été jugés hier en comparution immédiate pour trafic de stupéfiants. Ils abusaient également de « l'hospitalité » d'un homme sous curatelle.

« Si on veut décrire un trafic de stupéfiants digne de la mafia, on se donne les moyens Monsieur le procureur. On ouvre une information, on cherche, on fouille ! On ne se contente pas de 500 grammes de résine et de phrases caricaturales. Autrement on s'égare, on déforme et on réclame des exemples. Mais faire des exemples, ce n'est pas le rôle de la justice ».

Me Éric Mouton a passé la mitraillette sur un dossier de trafic de stupéfiants hier soir devant le tribunal correctionnel de Toulouse. Un joli travail de sape, aidé par Me Hélène Simon-Grassa, sur un dossier où la défense voulait éviter la prison promise à trois garçons de Bagatelle. Dans cette cité sensible de Toulouse, depuis plusieurs mois, le trafic de haschich avait « pignon sur rue », annonce le procureur Michel. Les enquêteurs du groupe de voie publique ont donc surveillé en milieu hostile, pris des photos et effectué une descente mercredi matin. Résultat six interpellations, 500 g de résine confisqués et un témoin handicapé mort de peur. Son appartement était régulièrement squatté par les dealers pour préparer leurs barrettes ! Quant aux trois principaux suspects, malgré leur âge et leur casier déjà illustré par la justice des mineurs, des enfants sages…

« Je fume, Monsieur le président. Les plaquettes, c'est pour ça, rien de plus », commence Walid, 20 ans. Son frère Wassin, 19 ans, ne touche même pas à la drogue. Deux plaquettes de résine chez lui. « Je les ai trouvées… Un gars les avait laissées tomber lors d'un contrôle de police ». Quant à Sid Hamed, animateur dans le quartier : « Je travaille là. je vis là. Où vous voulez que j'aille. Cela ne veut pas dire que je deale ».

Devant une telle profession de foi, le cœur sur la main, les magistrats ont préféré sourire. Dans la salle, certains ont parfois rigolé franchement. La justice est passée : huit mois dont quatre ferme pour les deux frères ; quatre mois dont deux ferme pour leur copain. Sans mandat dépôt comme le prévoit désormais la loi et loin de 12 à 18 mois de prison réclamés par le parquet. Jean Cohadon


vite un autre logement…

Que peut penser le handicapé qui, selon ses déclarations, a subi depuis un an les visites, les menaces, parfois les coups des prévenus ? « Il nous invite voir la télé », a juré un des frères… Un ange s'est vite envolé. La victime absente de l'audience veut changer de quartier. On la comprend. L'idée de recroiser ses « copains » ne doit pas la rassurer.

http://www.ladepeche.fr/article/2011/02/25/1021783-Les-dealers-squattaient-l-appartement-d-un-handicape.html


 

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Ramonville. Le beau plateau M6 au Bikini

musique

Patrice, avec Medi, Puggy et The Do ce soir au Bikini./Photo DR
Patrice, avec Medi, Puggy et The Do ce soir au Bikini./Photo DR
Patrice, avec Medi, Puggy et The Do ce soir au Bikini./Photo DR

Le Bikini accueille ce soir le « M6 Mobile live music » qui donnera droit à un groupe toulousain d'aller défendre ses couleurs et sa chance et participer, qui sait, au grand concert-finale du 18 juin. The Red Lips, Bess et Silentclock croiseront les manches de guitare en attendant fébrilement les votes (sur Internet) de leurs fans. Quatre artistes aussi différents que passionnants défileront également sur la scène, histoire d'apporter un peu de douceur dans ce monde cruel de la compétition. Patrice continue de tracer sa route musicale aux parfums de reggae jamaïcain et de funk US avec un talent et une grâce inaltérés. 12 ans de carrière, 6 albums… et toujours rien à jeter chez cet Allemand francophone. Medi, c'est autre chose : il vient de frapper un grand coup de latte dans le rock d'ici et on voit un peu partout sa tête chevelue et sa morgue de star. L'album, l'attitude sont parfaits : à lui de montrer ce qu'il vaut sur scène. Puggy est une des révélations de l'année. Formé en Belgique d'un Suédois, un Français et un Anglais, le trio a imposé ses mélodies limpides et irrésistibles. Enfin, The DØ revient avec un nouvel album, « Both ways open jaws » et une tournée qui passera le 25 mars par le Bikini. Pour Olivia, le « O » du Do -le « D » étant celui de Dan-, il est temps, après plus d'un an d'enfermement en studio, d'aller voir les fans : « On est si contents de l'album, confirme-t-elle, qu'on a envie de le partager maintenant, et c'est clair que Toulouse est la ville pour faire ça, dès vendredi ! On a plein de chouettes souvenirs ici, depuis le Cri de la Mouette où on a commencé, jusqu'au Bikini ! »

http://www.ladepeche.fr/article/2011/02/11/1011289-Ramonville-Le-beau-plateau-M6-au-Bikini.html






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