Viminale e Farnesina in campo per far fronte all'emergenza: soldi ai clandestiniche rimpatrieranno spontaneamente. Si tratta di programmi internazionali già cofinanziati dall’Unione europea e gestiti in particolare dall'Organizzazione internazionale per le migrazioni. Frattini assicura: "Il programma sarà attiva solo con un finanziamento integrale dell'Ue". Ma il Senatur non ci sta: "Mandiamoli a casa e basta". Dal Mediterraneo il disperato sos di 330 eitrei e somali: "Salvateci"
< scrolling="no" id="f34f5fbe59c70ba" name="f99446e0ed512" style="border: medium none ; overflow: hidden; height: 35px; width: 450px;" title="Like this content on Facebook." class="fb_ltr" src="http://www.facebook.com/plugins/like.php?api_key=136492103064314&channel_url=http%3A%2F%2Fstatic.ak.fbcdn.net%2Fconnect%2Fxd_proxy.php%3Fversion%3D0%23cb%3Dfd28408de4e46%26origin%3Dhttp%253A%252F%252Fwww.ilgiornale.it%252Ffa00d35b1e50d%26relation%3Dparent.parent%26transport%3Dflash&href=http%3A%2F%2Fwww.ilgiornale.it%2Finterni%2Fclandestini_mossa_frattini_daro_2500_euro_chi_rimpatria%2Fpolitica-politica_economica-governo-lampedusa-immigrazione-clandestini-rimpatrio-frattini-farnesina%2F26-03-2011%2Farticolo-id%3D513847-page%3D0-comments%3D1&layout=standard&locale=it_IT&node_type=link&sdk=joey&show_faces=false&width=450">>
Roma - Fa discutere, nel quadro più complesso legato ai problemi che pone l’aumento dei flussi migratori, la proposta di offrire un contributo di 1.500 euro ai tunisini che decidono di fare ritrono in patria. Il ministro degli Esteri Franco Frattini assicura che si tratta di programmi internazionali già cofinanziati dall’Ue e gestiti in particolare dall'Organizzazione internazionale per le migrazioni (Oim). Vista la particolare situazione e la dimensione del fenomeno in atto, i programmi del Viminale e della Farnesina "hanno lo scopo del reinsediamento dei migranti nelle loro aree di origine". Dal ministro Umberto Bossi arriva un fermo no ("Mandiamoli a casa e basta"), mentre le opposizioni invitano a gestire il fenomento senza alimentare paure.
Il piano per rimpatriare i clandestini Frattini ha ribadito che il modo migliore per sostenere le transizioni democratiche è "sostenerne il rilancio economico". "Se l’Europa non è pronta noi crediamo che sia opportuno iniziare a prendere impegni nazionali", ha spiegato il titolare della Farnesina riferendosi agli incontri a Tunisi. "Abbiamo offerto da un lato un sostegno per il bilancio del Paese nordafricano con una linea di credito di 95 milioni di euro, dall’altro abbiamo predisposto un pacchetto di aiuti che incida sui settori che hanno un valore aggiunto a cominciare dalle piccole e medie imprese - ha continuato il ministro degli Esteri - una proposta globale che cerca di affrontare le radici del problema".
Bossi e Lombardo polemizzano Al leader leghista UMberto Bossi non piace proprio la "dote" per i clandestini che sono disposti a rimpatriaren spontaneamente. "Ma che pagare? Io non gli darei niente. Li caricherei e li porterei indietro. E se tornano li riportiamo ancora a casa", ha commentato il ministro delle Riforme intervenendo a margine di un convegno sull’evoluzione federalista dei 150 anni dell’unità d’Italia. "Il Pd ha chiesto un ministro per l’immigrazione? - ha continuato il Senatur - ci penso io a farlo e vedrete che tutto va a posto". Anche il presidente della Regione Raffaele Lombardo ha polemizzato con il governo: "In un casotto di legno della mia campagna di Grammichele qualcuno ha dormito. Era prevedibile. Io l’avevo detto, che con l’arrivo degli immigrati bisognava uscire con il mitra". "I richiedenti asilo - ha osservato - sono liberi di uscire, vanno in giro, poi magari, disorientati, non riescono a tornare e cercano una casa dove dormire. Una ventina di loro non è rientrata, infatti, ed era immaginabile".
Ancora sbarchi a Lampedusa Sono proseguiti anche la notte scorsa gli sbarchi di nordafricani a Lampedusa. Nelle ultime ore altre due imbarcazioni con circa 140 persone hanno raggiunto l’isola dove al momento, nonostante continuino intensamente i trasferimenti via nave e con i ponti aerei, si trovano ancora più di quattromila immigrati. Il primo dei due natanti è stato soccorso intorno 2 a circa sei miglia a sud dalla costa dalle motovedette della Capitaneria di porto e della Guardia di Finanza, il secondo è approdato direttamente sulla terraferma. A mezzanotte, intanto, dopo aver caricato a bordo 500 persone, ha lasciato la rada lampedusana la nave San Marco, della Marina militare italiana, per far rotta verso il porto di Taranto dove arriverà questo pomeriggio. Al molo di Lampedusa, poi, questa notte ha attraccato la nave cisterna che con i suoi 4mila metri cubi d’acqua dovrebbe rimediare all’emergenza idrica creatasi negli ultimi giorni.
L'Hérétique revient sur la récente polémique au lycée Blanqui de Saint Ouen, où quatre jeunes filles ont été rappelées à l'ordre parce qu'elles portaient des robes longues. Il s'interroge sur la sens de cette quasi-interdiction au moment où la liberté religieuse revient dans le débat public suite aux déclarations de Claude Guéant sur l'interdiction de tous les signes religieux.
J'ai entendu qu'à Saint-Ouen, on veut interdire à quatre élèves de porter des robes longues dans un lycée. Je me demande si on ne pèche pas par excès, en la circonstance.
Bien sûr, ne nous leurrons pas : il s'agit bien de jeunes filles qui portent le voile en dehors de l'école et dont l'islamisme est patent. Pour autant, dans l'enceinte de l'école, elles en respectent le règlement, portent des tenues de sports quand cela leur est demandé, et cetera.
Il ne faudrait pas que la chasse au fondamentalisme vire au maccarthysme hystérique. On a le droit de se couvrir le corps si l'on désire l'exposer le moins possible.
Soit on impose un uniforme à tout le monde, et la règle est claire, soit on laisse chaque individu s'habiller comme il l'entend, dans les limites de la décence, de l'absence de prosélytisme et de respect des lois de la République.
Cela dit, les jeunes filles en question n'ont jamais été menacées d'exclusion. On leur a simplement rappelé la nécessité de ne pas faire preuve d'ostensation pour leur pratique religieuse. Il est clair qu'en ajoutant le voile à la robe longue, ne fût-il que sur la tête, elles cherchent certainement la castagne. Et puis quand on voit qui les soutient, ça ne donne pas envie de les défendre. Ce sont là certainement des gamines intoxiquées qui font leur crise d'identité, sans doute avec l'aval au moins partiel de leurs familles.
Bref, elles se moquent du monde en essayant de contourner la loi. Ce qu'a signifié le lycée à ces élèves, c'est qu'il ne fallait pas trop prendre sa direction pour des imbéciles.
Elles ont testé, elles ont vu, maintenant, elles devraient chercher à calmer le jeu : par exemple, garder leur robe longue, mais cesser de venir avec leur voile (elles voient bien que cela énerve passablement la société française, donc qu'elles évitent de faire de la provocation...). http://www.marianne2.fr/Chasse-aux-sorcieres_a204228.html
Maroc/La nouvelle loi sur l’immigration, qui sera approuvée dans les prochaines semaines, prévoit de faciliter «un retour privilégié» en Espagne pour tout immigré au chômage.
27/03/2011 01:52
La nouvelle loi sur l’immigration, qui sera approuvée dans les prochaines semaines, prévoit de faciliter «un retour privilégié» en Espagne pour tout immigré au chômage. http://www.aujourdhui.ma/instantanes-depeche81602.html
La nouvelle loi sur l’immigration, qui sera approuvée dans les prochaines semaines, prévoit de faciliter «un retour privilégié» en Espagne pour tout immigré au chômage qui opte pour le «programme du retour volontaire» à son pays d’origine, a affirmé, mercredi, la secrétaire d’Etat espagnole à l’Immigration, Anna Terron. Le plan de retour volontaire des immigrés au chômage devait cibler en principe environ 100.000 personnes. Toutefois, seul un nombre limité d’immigrés y ont adhéré en raison des conditions draconiennes qui sont imposées par l’administration d’Espagne notamment la renonciation au permis de résidence et de travail.
Le cadre juridique de l’Instance centrale de prévention contre la corruption est appelé aujourd’hui à évoluer pour relever le défi de la moralisation effective de la vie publique.
Rmistes, ils vendent 600 000 € de métaux .Dans cette famille de ferrailleurs... dont on tait les noms ...6 mois avec sursis
27/03/2011 01:06
Rmistes, ils vendent 600 000 € de métaux
justice
Le tribunal a condamné les récupérateurs à 6 mois avec sursis et 6.000 € d'amende pour le principal prévenu./Photo illustration Bernard Hugues Saint-Paul.
En trois ans, ils ont vendu pour 608.649 € de métaux, tout en percevant, RMI et RSA pour 20.807 € et 36.713 € de la Caisse primaire d'assurance maladie. Dans cette famille de ferrailleurs, ils sont trois - le père, le fils et le gendre - à être poursuivis pour travail dissimulé. Le directeur régional de l'entreprise AFM Recyclage est lui poursuivi pour avoir eu recours aux services d'une personne exerçant un travail au noir.
En revanche, les trois entreprises - Varel Europe à Ibos, Lafourcade (Barbazan-Debat) et Potez (Landes) - chez qui les récupérateurs s'approvisionnaient en métaux ne figurent pas dans la procédure. La présidente Gadoullet regrette qu'elle ne soit pas « allée jusqu'au bout » face aux révélations du père, principal accusé. « J'ai blanchi l'argent pour les autres. » Il admet qu'il reversait, en liquide, une partie du produit de la vente des métaux aux entreprises. « Soit ce paiement aux fournisseurs s'effectuait aux entreprises, et c'est de la fraude fiscale, soit il s'agit de rétro-commissions données à des personnels », indique le substitut Jardin.
Collusion
Ce dossier a mis au jour une collusion entre des entreprises productrices de déchets, des récupérateurs et des sociétés de recyclages. En effet, l'enquête a montré que l'entreprise AFM Recyclage mettait à disposition des récupérateurs camions et bennes. Alors qu'elle aurait pu traiter directement avec les entreprises, pourquoi passer par des intermédiaires si ce n'est pour générer un flux d'argent liquide.
Car les récupérateurs utilisaient des prête-noms dans le cadre familial afin de répartir les paiements. Il s'agissait de ne pas dépasser le seuil de 1.100 € à l'époque - il a été abaissé aujourd'hui à 500€- au-dessus duquel les paiements ne peuvent pas s'effectuer en liquide. Car le cash, ça laisse pas de trace et ne nécessite ni comptabilité ni compte en banque.
Les gendarmes ont pu toutefois établir le montant des transactions en consultant le livre de police d'AFM Recyclage sur lequel sont notés les achats.
Le directeur régional d'AFM savait qu'ils travaillaient au noir. Il leur a même conseillé de se déclarer. Le fils l'a d'ailleurs fait un temps. Le ministère public reproche au dirigeant d'AFM Recyclage d'avoir eu recours à leurs services en connaissance de cause. « Vous auriez dû vérifier s'ils étaient déclarés, inscrits au registre du commerce », indique le substitut du procureur.
L'avocat du directeur régional d'AFM Recyclage plaide, lui, que la loi ne fixe aucune obligation aux entreprises de recyclages de vérifier si les vendeurs de métaux sont déclarés ou non. L'avocat obtient la relaxe pour son client.
Me Montamat pour la CPAM et la représentante du conseil général réclament les sommes perçues indûment par le père de famille. « J'ai cinq gosses, je fais vivre ma famille. Je ne sais ni lire ni écrire » plaide-t-il à la barre. La présidente Gadoullet lui fait remarquer qu'il a cependant su cocher la case « sans activité professionnelle » pour percevoir les prestations du département et de la Sécurité sociale. Le tribunal a condamné les récupérateurs à 6 mois avec sursis et 6.000 € d'amende pour le principal prévenu et les deux autres s à 3 mois avec sursis et 1.000€. Et à payer 36.713 € à la CPAM et 20 € au conseil général.
Jugé ce lundi pour avoir insulté et brutalisé deux policiers en septembre 2010, Michaël Youn, de son vrai nom Michaël Benayoun, n'a pas été condamné. Le Tribunal correctionnel de Paris l'a juste reconnu coupable.
« Une décision satisfaisante » pour son avocat, Me Marc-Henri Debusschere alors que le parquet avait requis six mois de prison avec sursis et 2.000 euros d'amende contre l'humoriste.
Rappel des faits. Le 6 septembre 2010, le forcené de l'humour et des gags en tous genres circulait sans casque et en sens interdit dans sa rue du XVIIe arrondissement. Arrêté par la police, le ton était vite monté. Alors qu'il clamait ce jour-là qu'il déplaçait juste son scooter pour mieux le stationner, l'artiste avait alors eu une violente altercation avec les policiers suite à des divergences sur le code de la route. Affirmant avoir oublié ses papiers dans sa voiture où ils sont restés introuvables, les représentants des forces de l'ordre l'avaient alors conduit au commissariat pour une audition.
Une interpellation qui avait conduit les deux policiers à poser un jour d'incapacité totale de travail (ITT) dès le lendemain. De son côté Michael Youn comptait deux jours d'ITT et avait porté plainte auprès de l'IGS - la police des polices - pour « coups et blessures ».
Le 7 mars, alors qu'il comparaissait au tribunal, il avait reconnu avoir insulté et frappé les deux policiers et faisait amende honorable en déclarant : « La décence aurait voulu que je reste calme, mais je me suis énervé et je le regrette ». Un précédent mea culpa qui aurait donc attendri la justice lundi. À noter que Michaël Youn aurait aussi personnellement indemnisé les policiers qu’il a agressés. Aujourd’hui, il regrette son geste, qu’il tente toutefois de minimiser : « Ce jour-là, je crois qu'on s'est un peu tous emportés. (...) C'était plus de l'énervement que de la provocation. Et je sais ce que c'est la provocation, j'en ai fait mon métier... »
Mais pour le syndicat Alliance Police Nationale cette dispense de peine est « étonnante » et « insupportable ».
Dans un communiqué la seconde organisation chez les gardiens de la paix indique : « Face aux agressions à l'encontre des policiers, il ne peut y avoir qu'une seule réponse : l'application de la loi ». « Chaque citoyen devrait être soumis aux mêmes règles et il nous parait insupportable de constater des règles différentes en fonction de son statut social », précise-t-elle encore.
De admirado hombre (Moshe Katsav )hecho a si mismo a repudiado violador !!!
22/03/2011 13:21
De admirado hombre hecho a si mismo a repudiado violador
El expresidente de Israel Moshe Katsav concluye hoy una estrepitosa caída de hombre hecho a si mismo y ejemplo para la discriminada comunidad judía sefardí a repudiado violador condenado a siete años de prisión.
22 Marzo 11 - Jerusalén - Efe
Religioso y tradicional, Katsav ha dejado de recibir en los cuatro últimos años las palmadas en la espalda que le acompañaron durante su fulgurante ascenso político para quedarse solo, con el único apoyo de su familia, sus vecinos y sus cada vez más frecuentes diálogos con Dios. El proceso judicial ha enterrado su fama de discreto y dialogante para convertirle en una persona obsesionada con demostrar su inocencia, que pierde fácilmente los papeles y que ha cargado contra todo y todos, principalmente los periodistas, a los que culpa de su condena. Katsav nació en Irán, concretamente en la céntrica ciudad de Yazd, en 1945 y llegó a Israel con cinco años de edad junto con nueve hermanos.
Su familia era una más de la ola de emigrantes judíos de los países árabes que comenzaron a asentarse en el recién nacido Estado de Israel. Su infancia transcurrió, como la de muchos de aquellos inmigrantes sefardíes (originarios sobre todo de Oriente Medio y del norte de África), en un campo de refugiados en la periferia formado por tiendas de campaña, Kastina, mientras que los hijos de los judíos asquenazíes (procedentes del centro y el este de Europa) crecían en alojamientos más dignos. Ese campo se transformó en la localidad de Kiriat Malaji, al norte de la franja de Gaza, de la que Katsav se convirtió en alcalde en 1969, con apenas 24 años, el más joven del país.
Ese mismo año contrajo matrimonio con Guila, una mujer asquenazí con la que tiene cinco hijos y que le ha mostrado un apoyo incondicional durante su travesía en el desierto, si bien optó por quedarse en casa el día de la sentencia, en diciembre, y en la lectura de la pena, esta mañana.
En 1968 había comenzado su carrera como activista estudiantil en la formación derechista Gahal (una de las antecesoras del partido derechista Likud que actualmente lidera el primer ministro Benjamín Netanyahu) cuando cursaba Economía e Historia en la Universidad Hebrea de Jerusalén. Compatibilizó sus primeros años de carrera política con los estudios universitarios, que costeaba dando clases privadas de historia y matemáticas. Algo que no le impedía sacar una hora al día para, como buen miembro de una familia tradicionalista, estudiar el Talmud. En un país donde un brillante pasado militar abre muchas puertas de entrada a la política, Katsav se limitó a cumplir los tres años de reclutamiento obligatorio, que acabó como cabo del cuerpo de comunicaciones, mientras trabajaba para ayudar a su humilde familia.
Desde un entorno difícil (fue el único universitario de su generación de todo Kiriat Malaji) y escaló en el mundo de la política desde la alcaldía (que recuperó entre 1974 y 1981) para convertirse en diputado durante trece años y sucesivamente ministro de Trabajo y Asuntos Sociales, de Transportes y de Turismo, en distintos gobiernos del Likud.
Su origen iraní llevó al histórico primer ministro Menajem Beguin a enviarle a ese país para convencer a los judíos de que se establecieran en Israel.
Cuando en 2000 fue elegido por el Parlamento octavo presidente de Israel, el conservador Katsav era casi un desconocido y, según un sondeo de opinión realizado entonces, sólo el 19 por ciento de los israelíes deseaba que fuera su jefe de Estado.
Un abrumador 66 por ciento prefería al respetado candidato laborista que a la larga se convertiría en su sucesor, Simón Peres, pero Katsav obtuvo en el último momento el apoyo de los diputados ultra-ortodoxos (y se cree que de algunos laboristas que querían ajustar cuentas con Peres), que inclinaron la balanza a su favor. Katsav marcó entonces un hito: fue el primer representante de la derecha en alcanzar la jefatura del Estado.
Pese a pertenecer a la derecha nacionalista, tuvo como presidente algunos gestos conciliadores, como cuando en plena Segunda Intifada se mostró dispuesto visitar el Parlamento palestino, algo que le prohibió el poder Ejecutivo. Todos sus logros han quedado ensombrecidos con la condena por dos violaciones y agresión sexual que no sólo ha ensuciado su figura, sino también la imagen de un cargo supuestamente ejemplar.
Le nombre d’immigrés clandestins provenant d’Afrique du Nord actuellement sur l’île italienne de Lampedusa (carte ci-dessous) atteint près de 4.800 personnes, soit l’équivalent de la population locale, a annoncé lundi l’agence italienne Ansa.
Les embarcations remplies d’immigrés ne cessent d’arriver, rien qu’au cours de ces dernières 24 heures, 1470 immigrés ont débarqué sur cette petite île du sud de la Sicile.
L’agence indique également qu’une centaine de Libyens sont arrivés en Sicile lundi matin à bord de deux embarcations.
Selon le ministre italien de l’Intérieur, Roberto Maroni, des terroristes et des criminels pourraient s’être infiltrés parmi les clandestins.
Selon des chiffres officiels italiens, les arrivées ces dernières semaines de candidats à l’immigration représentent plus du double de celles recensées à Lampedusa, un confetti de 20 km2 perdu au sud de la Sicile, pour toute l’année 2010.
Trois embarcations transportant plus de 500 clandestins, parmi lesquels des femmes et des enfants, sont arrivées dimanche à Lampedusa, portant à 4.000 le nombre d’immigrés présents sur la petite île italienne au large de la Tunisie, a annoncé l’agence Ansa. La population de l’ile se révolte mais la presse française n’en dit rien contrairement à ses homologues européens.
Des habitants de l’île, exaspérés par la surpopulation du centre d’accueil, prévu normalement pour 800 personnes, ont bloqué le débarquement de tentes convoyées par ferry pour loger les immigrés.
« Le gouvernement ne respecte pas le population et met en grave danger tous les citoyens de Lampedusa », a déclaré le maire de Lampedusa, Dino De Rubeis. « Il y a un risque d’affrontement avec les forces de l’ordre », a-t-il ajouté.
« Le comportement de l’Etat est honteux, l’Italie accepte que ces milliers d’immigrés soient traités comme des bêtes et obligés de dormir sous la pluie, toute l’Italie devrait avoir honte », a-t-il dénoncé. Lire la suite de cet article »
20/03/11 – 16h00 PARIS (NOVOpress) – Première conséquence des frappes aériennes déclenchées par les Etats-Unis et leurs vassaux anglo-français, Tripoli a annoncé qu’elle ne collaborerait plus avec l’Union Européenne pour lutter contre l’immigration clandestine.
« La Libye ne s’estime plus responsable de l’immigration clandestine vers l’Europe », ont affirmé les autorités libyennes à la télévision, après le déclenchement de l’opération militaire impliquant Paris, Washington et Londres.
Si « l’Europe n’appuie pas et ignore le rôle actif de la Libye dans la lutte contre l’immigration et comme garant de stabilité en Afrique du Nord et dans toute l’Afrique, la Libye sera obligée (…) de cesser de lutter contre l’immigration clandestine pour que des millions de noirs affluent vers l’Europe », avait déjà déclaré le 11 mars le leader libyen.
Une décision sans conséquence pour Washington mais qui promet de nouvelles vagues d’immigration clandestine incontrôlée en Europe.
[cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine [http://fr.novopress.info]