Le pouvoir décrète l'arrachage de la vigne mais protège le trafic du Haschish marocain.
13/02/2009 00:17
La Tempête Klauss a béni les rivages maritimes des Landes et les grands pins ont dansé dans les rafales avant d'aller rouler dans les fondrières leurs écorces mortes.
Pauvres pins! Par milliers et par milliers, par centaines de milliers, arrachés, déracinés, saignant la résine, gisant dans l'humus au milieu des pignes et des pignons, leurs branches aux aiguilles vertes tordues dans la poussière.
L’existence même de la forêt landaise est menacée après cette hécatombe d'arbres sylvestres, plus meurtrière que celle de 1999.
Henri Plauche Gillon, président de la Fédération nationale des forestiers privés: « Sans mesure indemnitaire, il n’y aura plus de sylviculture. »
Dans les forêts de pins maritimes des Landes et celles de peupliers du Sud-Ouest, 300 000 hectares ont été dévastés à 40, 50 voire 70 % selon les zones.
En tout, l’équivalent de six à sept années de récolte gisant au sol, dans un cimetière d'arbres, et qui doivent être écoulés dans un marché lui même en chute libre: crise de la construction, recul de la demande espagnole... Le bois manque cruellement de débouchés.
Une catastrophe économique, écologique.
C'est la Fatalité, le doigt de Dieu.
(Dans ce cas, le Démiurge qui règne sur notre Éon est du côté de l'Union Européenne.(1)
Sans doute ces dévastations sont elles imputables à la fatalité, mais reste que les indemnisations, l'aide attendue de l'UE, sera maintenant la réponse obligée: savoir si la désertification/destruction sera durable ou bien si la région toute entière pourra panser ses plaies, récupérer et revivre.
L'Union européenne au nom du respect du traité de Maastricht et « de la concurrence libre et non faussée » n'organise-t-elle pas depuis dix-huit ans, cette marche à la désertification, à la destruction des emplois et à l’appauvrissement généralisé de la population, la tempête Klauss n'est ce pas exactement sa politique, en accéléré?
Prenons l'autre côté du Sud de la France, le Sud-Est, l'Hérault par exemple.
Dix huit ans de Maastricht ont rayé de la carte près de 50 000 exploitations viticoles.
L'U.E a dit "vouloir en finir avec la culture millénaire de la vigne."
Des dizaines de millier d'exploitants vignerons ont été chassé de leur terre, la rage au coeur et versant des larmes de sang.
Autour de l'étang de Thau pour détruire la conchyliculture(production de l'huître de Bouzigues) les bureaucrates de l'U.E ont déclassé l'étang de la catégorie alimentaire en catégorie navigable.
La pêche faisait de Sète le premier port français en méditerranée? l'U.E ordonne la destruction les bateaux!
Béziers, ville industrielle subit de plein fouet les délocalisations et la misère.
La population des Hauts Cantons de l'Hérault, ancien pays minier, voit ses services publics de proximité(mairie, postes, écoles, trésorerie, maternité..) se rétrécir comme peau de chagrin.
Misère! Mais que va t-il rester de notre Vieux Pays?
Le pouvoir décrète l'arrachage de la vigne mais protège le trafic du Haschish marocain.
Le lecteur de Charlie-hebdo parisien ne dit il pas:"ouais, le canabis c'est illégal, mais les fascistes picolent en toute impunité."
Destruction des bateaux de pêche, désertification rurale, désindustrialisation...et grouillant sur ces ruines le parasitisme prolifère: toilettage de clébards, centres d'épilation vulvaire, de tatouage culier, de piercing mammaire, agences immobilières, vendeurs de portables et autres colifichets...Misère!
Pendant ce temps les fonds publics s'écoulent dans les poches des spéculateurs, déjà plus de 400 milliards, inscrits dans les 2000 milliards décidés par l'Union "européenne" pour renflouer grassement les cumulards et les boursicotiers qui sont à l'origine de cette misère, de cette infâme laideur défigurant le visage chéri de notre patrie.
Elle a bon dos, la "Nature"!
La Forêt c'est une chose, c'est déjà suffisament terrible, mais les dégâts effroyables causés par la tempête Klauss à l’acheminement de l’électricité et de l’eau potable, aux réseaux routier et ferré, étaient-ils seulement imputables à la fatalité de la nature ?
Les délais pour la réparation de ces dégâts – un minimum de deux semaines– étaient-ils inévitables, "normaux"?
Dix ans après la tempête de 1999, et les promesses d’alors, toute la population peut mesurer les conséquences désastreuses du démantèlement des services publics, de l’Équipement, de la téléphonie et de l’EDF.
Le réseau des lignes EDF dans plusieurs départements touchés, dont la Gironde, a été laissé dans un état de vétusté et de fragilité depuis lors.
EDF, depuis sa transformation en société anonyme, a privilégié des opérations commerciales sur le marché mondial au lieu de dégager les investissements nécessaires au réseau national.
-« Peut-on empêcher des arbres de tomber sur les lignes à haut voltage ? »
Non, mais il fut un temps, pas si lointain, où les services publics de l’EDF et de l’Équipement disposaient encore des moyens d’agir, et ces lignes étaient systématiquement protégées de la proximité des grands arbres.
Les routes pouvaient être dégagées rapidement, permettant la circulation des engins de réparation.
Aujourd’hui, il fallut faire appel à l’armée!
Certes, 5 000 agents ont été envoyé sur place, pour la plupart, venus d’autres régions, d’autres entreprises qu’EDF. Ils n’ont pas, en dépit de leur dévouement, la connaissance du réseau local qu’avaient les agents des sites départementaux de l’EDF. Car ces sites ont été supprimés.
Misère!
Les dispositifs de privatisation, de « filialisation », d’« ouverture du capital », de « délégation des missions de service public », imposés par la transcription des directives européennes, mettent en péril les conditions de vie de la population.
A bas l'Union (dite)Européenne!
Félix le Chat
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Note(1)"Dieu est un fumeur de Havane" chantait feu Gainsbourg.
Il semblerait que le démiurge, "prince de ce monde",soit du côté des ploutocrates. Son peuple élu se sont les riches, son signe l'argent, son milieu de prédilection la médiocrité et la laideur.
Son goût, détruire les petits et les humbles et rabaisser le génie, les pauvres et les humbles de coeur étant les favoris du vrai Dieu et le Génie sa marque.
Publié par l'abbé Tymon de Quimonte à l'adresse 06:11 0 commentaires
Laporte! Le grand bal des pourris du gouvernement Sarkozy.
13/02/2009 00:12
Bernard Laporte visé par une plainte pour abus de confiance.
LTB, société dont Bernard Laporte est actionnaire, est soupçonnée d'avoir reçu plus d'un million d'euros de la part d'un constructeur ayant abandonné en cours de construction deux immeubles dans la station de ski de Super Besse (Puy-de-Dôme), a-t-on appris lundi 9 février de source judiciaire.
Une soixantaine de personnes ayant acquis des appartements auprès de la société civile immobilière (SCI) "Les Hauts du Sancy" se sont retournés contre elle, le premier immeuble ayant été livré "dans un état pitoyable", alors que la construction du second, débutée en 2006, est à l'arrêt faute de fonds.
Ils se sont rendus compte que la SCI était exsangue, après avoir notamment versé sans contrepartie plus d'un million d'euros à LTB, une société chargée d'organiser la location des appartements pendant neuf ans, dans le cadre d'une défiscalisation.
Actionnaire dormant
LTB, appartenant au secrétaire d'Etat chargé des Sports Bernard Laporte, et à deux associés, Jean-Pierre Brunel et Martin Trigano, a depuis été placée en liquidation judiciaire.
"Verser une telle somme, dès le début du chantier, au futur gestionnaire, relève de l'abus de confiance", estime Me Gilles-Jean Portejoie, avocat des propriétaires floués, accusant Bernard Laporte de "recel d'abus de confiance".
Toujours 44% de veaux irrémédiablement cons!
Après trois mois consécutifs d'amélioration, la cote de popularité du président de la République s'oriente soudainement à la baisse : en un mois, il a perdu 8 points.
44% des Français déclarent avoir une opinion positive de Nicolas Sarkozy en tant que président de la République, contre 48% en janvier, selon un sondage de l'institut LH2 réalisé pour nouvelobs.com et rendu public le 9 février. Inversement, 52% des Français ont une opinion négative du président, soit +4 points par rapport au mois dernier. En un moins, il a donc perdu 8 points.
Notes :
Les preuves s'accumulent qui dévoilent la vraie personnalité du docteur Kouchmerde. Et pourtant les veaux sont toujours aussi cons, naturellement! "L'image de Kouchner demeure inchangée pour 71% des Français"
La popularité du ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner a été, jusqu'à présent, à peine égratignée par l’affaire déclenchée par le livre de Pierre Péan, "Le Monde selon K.".
Selon un sondage de l'institut LH2 réalisé pour nouvelobs.com et rendu public lundi 9 février, seulement 9% des Français déclarent en effet que la publication de ce livre a modifié l’image qu’ils avaient de Bernard Kouchner. Pour 2%, elle s’est améliorée et pour 7%, elle s’est dégradée (11% des sympathisants PS, 11% des sympathisants Modem également, 5% seulement des sympathisants UMP). 71% des Français déclarent que la publication du livre de Pierre Péan ne change en rien l’image qu’ils avaient de lui. 20% ne se prononcent pas.
Nicolas Sarkozy a assuré jeudi 5 février qu'il maintenait "totalement" sa confiance à son ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner, mis en cause dans un livre où il est accusé de conflit d'intérêts.
"M. Kouchner a-t-il des ennuis avec la police ? M. Kouchner a-t-il des ennuis avec la justice ? Non", a affirmé le chef de l'Etat en réponse à une question sur cette affaire lors d'une émission radio-télévisée.
Il a affirmé "croire" son ministre lorsqu'il affirme qu'il ne s'est jamais rendu coupable de conflit d'intérêts. Ah! La solidarité entre agents du sionisme et du mondialisme!
Mais ce n'est pas tout...
Dominique de Villepin, ancien Premier ministre français, a regretté samedi 7 février les "polémiques stériles" autour du ministre des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, mis en cause dans un livre de Pierre Péan où il est accusé de conflit d'intérêts.
Interrogé par Europe 1, Dominique de Villepin, ancien responsable du Quai d'Orsay, a répondu que "M. Kouchner est un homme honnête, il l'a montré toute sa vie". Tu l'as dit bouffigue!
Une "consolation" qui n'en est pas une lorsqu'on connaît Rama Yade Ben Zimet.
La secrétaire d'Etat aux droits de l'homme a pris la tête du classement des personnalités politiques. Avec 60% de bonnes opinions, elle devance Bernard Kouchner et Bertrand Delanoë.
Allons, une dernière pour la route!
L'épouse de Jean Tiberi, Xavière, a qualifié lundi 9 février de "fariboles" et "billevesées" les déclarations l'accusant d'avoir participé à la mise en œuvre d'une fraude électorale massive dans le Ve arrondissement de Paris dans les années 1990.
Durant l'instruction, de nombreux témoins ont dénoncé "l'omniprésence" de Xavière Tiberi à la mairie du Ve arrondissement du temps où son mari était maire de Paris (1995-2001).
"C'est un tissu de mensonges"
Un témoignage confirmé à l'audience par plusieurs de ses co-prévenus, dont l'ancien secrétaire général de la mairie du Ve, Raymond Nentien, et le maire du Ve de l'époque, Jean-Charles Bardon.
Tu parles Charles! A l'époque, on inscrivait les faux électeurs par dizaines, et pas seulement dans le Vième. Dans le XIIIième aussi...Et Xavière était la reine!
http://www.toutsaufsarkozy.com/cc/article02/EkFukEuZFVSarUqnUx.shtml
Faut-il rappeler que - accessoirement - que le mentor de Kouchner, Frank Wisner Junior, est le fils de Frank Wisner Senior, directeur de la CIA, artisan de la tentative de coup d’état anti-communiste en France en 1958 “Opération Résurection”, co-fondateur et financeur du SAC avec Achille Peretti, employeur de Christine de Ganay…
… mais surtout que Frank Wisner Jr. (lui aussi employé de la CIA) est le beau-père du président français Nicolas Sarkozy, ayant épousé Christine de Ganay en 1977, qui avait été la deuxième épouse de Pal Sarkozy. Le jeune Nicolas, très proche de sa belle mère et de son demi-frère et de sa demi-soeur, passera d’ailleurs régulièrement ses vacances au domicile des Wisner aux Etats-unis. Domicile où se réunissait toute la fine fleur des stratèges de la dominance états-unienne et des complots anticommunistes… tout cela crée des liens. Pour en savoir plus, lisez “Opération Sarkozy“
http://www.toutsaufsarkozy.com/cc/article04/EkEZuulEFpwUQazcBf.shtml
En tout cas, pour un mec de gauche, Kouchner a des fréquentations intéressantes…
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C’est Frank Wisner Jr.*- qui a été nommé entre temps envoyé spécial du président Bush pour l’indépendance du Kosovo - qui avait insisté pour que Bernard K. soit nommé ministre des Affaires étrangères avec une double mission prioritaire : l’indépendance du Kosovo et la liquidation de la politique arabe de la France.
K. a débuté sa carrière en participant à la création d’une ONG humanitaire. Grâce aux financements de la National Endowment for Democracy, il a participé aux opérations de Zbigniew Brzezinski en Afghanistan, aux côtés d’Oussama Ben Laden et des frères Karzaï contre les Soviétiques.
On le retrouve dans les années 90 auprès d’Alija Izetbegoviç en Bosnie-Herzégovine. De 1999 à 2001, il a été Haut représentant de l’ONU au Kosovo.
Sous le contrôle du frère cadet du président Hamid Karzaï, l’Afghanistan est devenu le premier producteur mondial de pavot. Le suc est trans formé sur place en héroïne et transporté par l’US Air Force à Camp Bondsteel (Kosovo). Là, la drogue est prise en charge par les hommes d’Haçim Thaçi qui l’écoulent principalement en Europe et accessoirement aux États-Unis. Les bénéfices sont utilisés pour financer les opérations illégales de la CIA.
Karzaï et Thaçi sont des amis personnels de longue date de Bernard K., qui certainement ignore leurs activités criminelles malgré les rapports internationaux qui y ont été consacrés.
*Frank Wisner Jr., membre de la CIA, avait pris la succession de Paul Wolfowitz comme responsable de la planification politique au département de la Défense.
Thierry Meyssan, journaliste
A propos d’Obama : Quand Barack Obama, avant son investiture, à peine un mois après avoir gagné l’élection, a annoncé, le 1er décembre 2008 qu’il laisserait Robert Gates encore un an à la tête du secrétariat à la Défense, les propos du journaliste Thierry Meyssan ont cessé de me paraître exagérés.
L’impression que j’avais eu a été complètement dissipée quand j’ai lu, stupéfait, que Robert Gates serait le seul membre du cabinet qui n’assisterait pas à la prestation de serment à Washington. Pourquoi ? Bush, en accord avec Obama, l’a désigné comme « administrateur », une formule qui en a fait le troisième homme dans la ligne de succession du pouvoir.
« Si l’on tue le président Obama et le vice-président Biden, Robert Gates assumera le Pouvoir », ont indiqué les agences de presse comme s’il s’agissait d’un détail anodin, habituel lors d’une passation de pouvoir à Washington.
Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais moi, ça me hérisse. Thierry Meyssan aurait-il raison ? Obama est-il un président prisonnier de Robert Gates et de ses généraux ? Ont-ils déjà préparé son cercueil ? Ou devra-t-il leur obéir pour sauver sa peau ? Des exagérations ? Les prochains jours nous fourniront des éclaircissements…
Ernesto Villegas Poljak
Journaliste politique vénézuélien
http://www.artemisia-college.org/Barack_Obama___vers_l’invalidation__-00-03-01-0218-01.html
http://www.toutsaufsarkozy.com/cc/article04/EkFuFZpZlZsUuxXGkH.shtml
L'oncle d'un des pilotes du 11 septembre travaillait pour le Mossad.
12/02/2009 23:51
Des membres du même réseau israélien avaient déjà été arrétés au Liban avant la guerre de 2006. Ils étaient lourdement armés et équipés… et fortement soupconnés d’avoir trempé dans l’assassinat du Premier Ministre Hariri en 2005.
Le propre conseiller pour la sécurité de Rafic Hariri, M. Moustafa Al-Nasser, avait d’ailleur déclaré : « L’assassinat de Hariri est l’oeuvre des services secrets israéliens, le Mossad, qui a pour but de créer des tensions politiques au Liban ». Il s’agissait surtout d’éliminer une personnalité politique pas assez docile, mettre la Syrie sous pression pour lui faire dégager le Liban et enfin provoquer un “changement de régime” pro-US et pro-Israël à Beyrouth.
Le Liban s’apprétait, à l’été 2006, à déposer le dossier devant l’ONU et faire condamner Israël pour avoir entretenu une cellule terroriste sur son sol… mais l’attaque israélienne est survenue avant. Pour plus de détail, lisez “L’Effroyable imposture 2 ” de Thierry Meyssan ou encore “Mordacte Hariri” de Jürgen Cain-Külbel.
[Emmanuel Ratier - Faits -et Documents n° 270 - Février 2009]
Aucun journal français n’a parlé de la nouvelle piste israélienne dans les attentats du 11 septembre 2001. La revue internationale Crescent International (décembre 2008), et d’autres journaux arabes, ont publié de passionnants articles sur Ziad al-Jarrah, accusé par le FBI d’avoir été le responsable et le pilote du détournement de l’avion United Airlines Flight 93, mort dans le crash de l’avion.
Note de L&I : la participation de Ziad Al-Jarrah à l’attentat contre le vol United 93 a fait débat quasiment dès le premier jour. Outre le fait étrange que les papiers de son oncle Assem aient été retrouvés parmi les décombres (qu’est ce qu’ils faisaient là ?), les Al-Jarrah sont une famille sunnite du Sud de Beirouth qui est connue pour son “occidentalophilie”. Une grande partie des membres de la famille a vécu et travaillé en Israël et n’ont jamais eu aucun problème pour s’y rendre… ce qui ne serait pas le cas si c’était une famille de sympathisants islamistes. Après l’invasion de 1982, le père de Ziad sera même inquiété pour avoir trop ouvertement collaboré avec l’armée israélienne…
Les deux oncles d’al-Jarrah, Ali et Youssef al-Jarrah (et d’autres membres du réseau) ont été arrêtés par l’armée libanaise à la frontière syrienne. Opérant sous la couverture d’une ONG, la National Association for Medical Services and Vocational Training, ils étaient porteurs d’un important matériel d’écoute ultra-moderne et d’espionnage sophistiqué… qui leur avait été fourni par le Mossad, les services secrets israéliens. Les intéressés, qui se rendaient régulièrement en Israël pour rencontrer leurs officiers traitants, ont avoué avoir été chargés de suivre les partis politiques libanais, de les écouter et de suivre les mouvements de leurs leaders (en particulier ceux du Hezbollah). Les enquêteurs libanais ont estimé que ce réseau d’espionnage, plus étendu que les deux hommes, fonctionnait depuis les années 1980. Ils avaient été embauchés après l’invasion israélienne au Liban en 1982.
L'oncle d'un des pilotes du 11 septembre travaillait pour le Mossad.
Tout homme, en début de carrière, n'importe laquelle, doit d'abord et avant tout choisir entre être un Soral ou un Larebière. Et pas seulement parce que Soral s'appelle vraiment Soral au lieu que Larebière est un nom d'emprunt.
Si, à l'instar de l'antique esthéticienne Mullmann qui se fait appeler comiquement Madame de Fontenay, Monsieur Loutfallah a lui aussi pris un pseudonyme fleurant bon l'ancienne France, cela tendrait à prouver son amour pour la ci-devant France. Nous n'y trouvons rien à redire. Bien au contraire.
Que Monsieur Larebière, Madame Louftallah, comme on voudra, n'aille pas encore écrire comme il l'écrivit d'un Alain Soral qui aurait selon lui "vite intégré les réflexes d’une certaine extrême droite, celle de la mouvance néo-nazie" que l'on "a préféré me faire un procès en francité comme (pardon pour le cliché) aux « heures les plus sombres de notre histoire ». Encore une chance qu’il ne soit pas au pouvoir : j’aurais sans doute été convoqué et sommé de produire un certificat d’aryanité sous peine d’être interdit d’exercer ma profession et, qui sait, déchu de la nationalité française." Cliché avoué cliché pardonné.
Or donc, disions nous, tout homme, en début de carrière, doit choisir d'emblée, entre recevoir des coups de trique avec Soral ou donner des coups d'encensoir avec Larebière, entre des positions d'avant-garde ou des léchages d'arrière-train.
Parce que Monsieur Loutfallah non seulement sert les mêmes intérêts que Madame de Fontenay, ce qui est son droit, mais nous vend la même camelote que Madame de Fontenez, est du même sexe, ambigüe, que Madame de Faux-nez.
Monsieur Larebière, sur Radio-Courtoisie, ce jour à 13h 30, vient de chercher une querelle d'allemand (vous voyez, nous ne disons pas que vous êtes un Levantin) à Alain Soral, au prétexte de sa participation, de la participation de l'association Égalité & réconciliation qu'il préside, aux manifestations contre la boucherie caschère à Gaza.
Le plus dégoûtant ce n'est pas cette opinion qu'a M. Louftallah-Larebière de ne pas prendre parti pour les victimes palestiniennes. Ce n'est pas non plus cette aversion de boutiquier inquiet pour sa boutique qu'il a, devant ces manifestations de l'indignation humaine devant la barbarie israélienne, qui ne sont a ses yeux de bourgeois que des chienlits. Mais ce que Monsieur Louftallah n'a pas le droit de dire c'est qu'il aurait vu flotter au vent d'Allah parmi divers drapeaux de bougnoules, l'Etendard de L'Arabie Saoudite.
T'es louf Tallah? Tu planes Loufwaffen? Il faut changer de lunettes ou cesser de raconter n'importe quoi. Les gros loukoumes saoudiens, comme Monsieur Larebière, sont dans l'autre camp. Je ne dis pas que Louftallah est un gros louckoum je dis que Larebière est AVEC les louckoumes. Riyad finance les opérations, Riyad paye pour écraser le principal mouvement politique sunnite qu’il ne contrôle pas, le Hamas. La dynastie des Gorets Saoudiens sait qu’elle doit anéantir toute alternative sunnite au Proche-Orient pour se maintenir au pouvoir. C’est pourquoi elle a fait le choix du sionisme musulman.
Monsieur Larebière a le droit de faire parti comme les médias, exactement à la manière des médias, de ceux qui renvoient Roquette et F16 dos à dos. Il a le droit de feindre de penser qu'il y a commensurabilité, qu'il y a un rapport de force proportionné entre des armes DIME et des cailloux. Il a le droit, tout comme les journalistes Français, de prendre ses arguments directement dans les poubelles de Tsahal. Mais ce que Monsieur Louftallah et Madame Larebière n'ont pas le droit de faire, c'est de travestir cette soumission, cette lâcheté, par une posture d'indépendance de nationaliste français dans son pré carré.
Cette guerre ne nous concernerait en rien? D'abord, ça n'est pas un guerre, hein mes petites journalistes. Il faudrait apprendre un peu ce que c'est qu'une guerre. Ou alors il faut ajouter d'extermination, comme pour les camps Nazis. Il faut toujours dire d'extermination pour les camps nazis, Monsieur Larebière sait ça. C'est une expédition de police avec les moyens d'une guerre, exterminant par des attaques aériennes de F16, des barrages d'artillerie par mer et terre, une population civile affamée, enfermée, qui n'a nulle part où aller, coincée, prise dans un piège grand comme un très grand camp d'extermination.
N'est ce pas traiter les Palestiniens comme des sous-hommes, de nouveaux Untermenschen que ces tracts lâchés par des avions annonçant que les bombardements vont être encore plus meurtriers, alors que la population de Gaza ne peut pas s’enfuir, que toutes les issues sont fermées, qu’il n’y a plus qu’à attendre la mort dans un enclos, dans le noir? Ce genre de plaisanterie ne rappelle-t-elle pas à Monsieur Larebière si prompt à vilipender les heures les plus sombres un certain humour?
Mais ce qui ne va plus du tout, le plus écoeurant, ce qui m'a dicté le ton de cet article, c'est d'avoir entendu dans la radio de Monsieur de Lesquen, Monsieur Louftallah accuser Soral de feminilité. Ces prises de positions pro-palestiniennes ne seraient qu'une inclination femelle, un goût de la force, se ranger du côté obscur de la force. Qu'il est répugnant d'entendre quelqu'un affirmer que c'est du côté des palestiniens que se trouverait la Force! Et pas seulement pour Gaza mais ici même en ex-france! En l'an de disgrâce sarkozienne deux mille neuf! De quel côté est le Prezydent? Le Pouvoir d'Etat. En ce moment même le gouvernement Kouchner couché devant les désidératas des suppôts du Consistoire nous concocte un plan de lutte contre un soi-disant Antisémitisme renaissant.
Je veux bien que l'on ait toutes les opinions que l'on veut. Je veux bien que l'on rampe, puisque la reptation devant une puissance étrangère, qui avait trouvé en quelque sorte sa forme classique avec le gouvernement de Vichy, est devenue décidement en ex-france la seule manière d'avancer vers les honneurs, le pouvoir, les femmes et l'argent. Et même de conserver sa tranquillité. Je veux bien qu'on devienne lâche puisque la lâcheté est ce seul chemin. Mais je n'admet pas qu'un lâche traite un homme courageux de lâche. Je veux bien que l'on ne supporte que l'eau minérale mais qu'on ne traite pas un amateur de vin nouveau et d'alcools plus forts, d'hépatique.
Derrière tout ça se profile l'artificielle idéologie de la guerre des civilisations. Pour rallier ces bourgeois et petits-bourgeois de la droite nationale, qui ont votés, qui ont élus, qui ont permis par leur connerie immarcescile, que se pavane, en faisant des grimaces, à la tête de la "France" un agent américain, l'argument subliminal c'est que l'Invasion Musulmane étant avérée, quiconque s'indigne des atrocités perpétrées par l'etat hébreux fait le lit de l'islamisation de la france. Mais cette neutralité bienveillante, c'est uniquement ce qu'attendent de nous les bouchers cashères. Ils ne nous demandent pas de venir écouter les jolies chansons d'Enrico Machias avec eux. Ils veulent juste qu'on ferme notre gueule. Dans le système loutfallah-Larebière l'Islam serait l'ennemi principal, qui menacerait de ruine notre Vieille Europe. Pas ceux qui ont institué, favorisé et excité contre nous l'immigration africaine. Du coup monsieur Louftallah chasse Soral du camp national. (On aura tout vu.) Monsieur Louftallah voudrait nous faire croire qu'il s'agirait d'une question de communautés. Les centaines de milliers de manifestants qui ont déferlé dans les rues, de Ramalallah à Paris, de Londres au Caire, de Caracas à Tel Aviv même, prouvent qu'il s'agit non de question communautaires mais d'une question de défense de la Civilisation. C'est une question tragique et qui relève de la situation politique mondiale impulsée par l'Impérialisme Américain et son bras armé sioniste conduisant à la dislocation des nations, à la dissolution des peuples, à la Barbarie.
Monsieur Louftallah ignorerait-il, que la même volonté de puissance qui s'exprime à Gaza par les bombes aux phosphores et à l'uranium appauvri, s'exprime en ex-France par l'apologie du métissage, la féminisation, et la préférence étrangère sous couvert de discrimination positive.
Jusqu'à plus ample informé les meilleurs, les vrais défenseurs des valeurs de ce camp du Bien, c'est Charlie-Hebdo, c'est Madame Bruni, Alexandre Adler, André Glucksmann, BHL, Julien Dray, Yvan Rioufol, l'im-Monde, France Culture et Télérama. Les "valeurs"réelles, actuelles, vivantes, de l'Occident c'est le String, la Gay Pride, la Capote, le Fric, le Cul, la Télé, le Mariage des sodomites, les Clébards chieurs, la Repentance, les Téléphones portables et le Métissage laïque et obligatoire.
Je ne dis pas que se sont les valeurs de Monsieur Larebière, on ne décide pas de s'appeller Larebière quand on a ces valeurs, je dis que se sont les valeurs imposées par ceux qui exterminent physiquement les palestiniens, qui les servent à nous liquider spirituellement. Monsieur Larebière ne va jamais au cinéma?
On a le droit de vouloir être de la police supplémentaire. C'est une vocation. Et je dirais que c'est aussi un métier. C'est un métier-bénévole, mais c'est un métier. Hier supplétifs anti-communistes de l'Impérialisme, une certaine Droite Nationale a fait suffisamment ses preuves: en soutenant par exemple les Islamistes Afgans contre les russes, les musulmans bosniaque contre les "Serbolchévicks", etc.... Mais, aujourd'hui, pour être choisis comme supplétifs anti-Islamistes des néo-cons sionistes, car telle est la sale besogne pour laquelle certains font des offres de services, il va falloir un petit peu plaire à Monsieur Obama. Parce que, au sujet du carnage qui se poursuit à Gaza, directement encouragé par Bush, Monsieur Obama, n'a cessé de déclarer "il n'y a qu'un seul président aux Etats Unis." Qui ne dit mot consent.... La période qui s'ouvre par des massacres à Gaza/la Morte, est bien sombre. Ce siècle n'a que neuf ans, et déjà la nuit, une nuit de plomb durci, tombe. Mais neuf ans, n'est ce pas l'âge courant à Gaza pour descendre dans la tombe? Et nous ici, serons nous mis en bière par les capitulards Larebière?
Le regretté Desproges disait que Minute était un journal avantageux puisqu'on on avait à la fois la Nausée et les Mains Sales, pour le prix d'un seul journal. Avec le Choc de Larebière on a aussi la P. Respectueuse. Félix Niesche
Russie en crise : révoltes nationalistes sur fond de criminalité immigrée
28/01/2009 20:24
Situation tendue a Moscou pour ce début d’année 2009. Alors que la crise économique n’épargne pas la Russie, la criminalité des ressortissants étrangers provoque en retour une réaction violente de certains Russes de souche. Et oblige le gouvernement à réagir.
Selon l’agence de presse Russe RiaNovosti plus de 250 000 Russes pourraient perdre leur emploi dans les prochains mois. Des milliers de Gaustarbeiters (travailleurs issus des ex-républiques soviétiques) se retrouvent sans emploi ni moyens financiers de rentrer chez eux. Une situation inquiétante pour de nombreux experts qui estiment que ces milliers de « sans ressources » n’auront d’autre choix pour survivre que de tomber dans la criminalité.
En décembre dernier, de nombreuses organisations de jeunesses ont régulièrement manifesté pour demander l’expulsion de la main d’œuvre étrangère et la priorité des emplois aux Russes. Malgré une très forte répression policière en 2008 pour démanteler les groupes radicaux susceptibles de s’en prendre aux étrangers, la situation semble se détériorer rapidement depuis que les effets de la crise se font sentir.
Au mois d’octobre, le meurtre d’une Russe ethnique de 15 ans, violée puis étranglée dans l’ouest de la capitale par un Gautarbeiter Ouzbek, a déclenché la fureur de nombreux mouvements ultra-nationalistes qui se sont durant près de trois jours livrés à une véritable chasse aux étrangers dans le quartier où il a été commis. Les militants nationalistes ont agressé les ressortissants des républiques d’Asie centrale et s’en sont pris aux locaux des sociétés embauchant cette main d’œuvre étrangère.
Suite à ce meutre, un ressortissant tadjik a été décapité à Moscou début décembre. Sa tête a été retrouvée dans une poubelle, enveloppée dans un sac plastique, non loin de l’endroit où la jeune Russe a été violée. L’attaque a été revendiquée auprès des organisations des droits de l’homme par un groupe nationaliste inconnu.
Depuis le début de l’année les choses ont l’air de s’accélérer. Trois étrangers ont été assassinés à Moscou dans ce qui ressemble à des crimes ethniques. Samedi 10 janvier, un Camerounais a été attaqué dans le nord est de Moscou par trois hommes qui l’ont poignardé à plusieurs reprises. La victime est décédée de ses blessures à l’hôpital. La veille, un étudiant Vietnamien était également décédé après avoir été poignardé au thorax et au ventre dans une impasse du centre-ville. Le jeudi suivant, c’est un Ouzbek de 26 ans qui a été poignardé à mort dans le sud de la capitale.
Dans la région de Novosibirsk (Sibérie), quatre skinheads étaient jugés samedi dernier pour le meurtre d’un citoyen turc en janvier 2008, battu a mort a coup de battes de base-ball. Deux des prévenus étaient également jugés pour l’agression d’un ressortissant Kyrgyse.
Cette tension rend explosive la situation à Moscou alors que le chômage s’aggrave et que les tensions sociales s’accroissent. Le gouvernement Medvedev, conscient de l’importance vitale de cette main d’œuvre très bon marché, fait face à la pression populaire grandissante, principalement des jeunes et des couches populaires russes frappés de plein fouet par la crise. Pourtant, le premier ministre Vladimir Poutine semble entendre la vox populi : lors de son discours de fin d’année, il affirmé vouloir réduire de 50 % les quotas d’emplois accordés aux ressortissants étrangers pour 2009 et tolérer qu’un étranger occupe un emploi « uniquement » lorsqu’un Russe n’est pas en mesure de le faire.
Vsevolod Stefanov pour Novopress France
[cc] Novopress.info, 2009, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine [http://fr.novopress.info]
Frégates, le rapport du parquet de Paris qui inquiète Nicolas Sarkozy
26/01/2009 02:59
Le procureur de Paris, a adressé, fin 2007, un rapport à la Chancellerie faisant état de scellés judiciaires mettant en cause le financement de la campagne balladurienne de 1995.
C’est le fisc qui a mis le feu aux poudres. En janvier 2006, les agents de Bercy perquisitionnent plusieurs sociétés d’intelligence économique détenues par un ancien agent de la DGSE et un ex-officier de la DST, travaillant pour la Direction des constructions navales (DCN). Les Impôts transmettent ensuite le dossier au parquet de Paris. Une enquête préliminaire est ouverte, sous le contrôle du procureur de la République, Jean Claude Marin, à l’époque un chiraquien pur jus.
Le nom de Nicolas Sarkozy
Bonne pioche ! Les enquêteurs de la Division nationale des investigations financières (DNIF) tombent sur des masses de documents, dont certains particulièrement explosifs, évoquant le nom de Nicolas Sarkozy. Ces perquisitions ont lieu quelques semaines avant l’élection présidentielle. L’affaire est suivi de près par Sarko, alors ministre de l’Intérieur. Deux émissaires rendent discrètement visite à un certain Jean Marie Boivin, le patron des officines luxembourgeoises chargées, à coup de commissions, de faciliter la vente des gros contrats d’armement naval. Le climat est tendu, électrique, Boivin - dont DCN ne veut plus entendre parler - menaçant de faire des « révélations » compromettantes.
Rien, à ce stade, ne transpire dans la presse. Après la présidentielle, Sarkozy élu, le patron du parquet de Paris aurait pu classer l’affaire. Au contraire. A la fin d’une enquête préliminaire longue de deux ans, Jean-Claude Marin prend sa plus belle plume et signe, le 22 novembre 2007, un rapport rassurant de 13 pages destiné, via le parquet général, aux plus hautes autorités de l’Etat, que Bakchich publie aujourd’hui. Sur le thème : le dossier judiciaire en question contient des notes qui mettent en cause Nicolas Sarkozy et Edouard Balladur, mais elles sont naturellement « succinctes et imprécises », écrit-il. Mais, ajoute le haut magistrat, il est hors de question de s’intéresser à cet aspect du dossier. Comptez sur moi, aurait pu ajouter le procureur qui rêve de devenir procureur général de Paris, pour veiller au grain !
Voilà un extrait de ce rapport, une pièce interne au parquet et qui ne figure donc pas au dossier d’instruction :
Fin 2007, le procureur Jean-Claude Marin prévient sa hiérarchie d’un enquête très chaude
Le procureur détaille l’affaire dans laquelle apparaît le nom de Sarkozy. Le nom de code « Bravo » est celui de l’affaire des frégates vendues à Taiwan par DCN et Thales (alors présidée par Alain Gomez), une opération dans laquelle l’intermédiaire Andrew Wang a joué un rôle clé.
Saisis dans les locaux de DCN, qui conçoit et fabrique bateaux, frégates et autres sous-marins, les fameux scellés judiciaires que Bakchich, l’été dernier, s’était procurés, racontent l’histoire secrète des plus grands marchés d’armes, tels qu’ils ont été conclus par la DCN depuis 1990. La filière mise en place à partir de 1994-95, avec l’aval du ministre du Budget d’alors, Nicolas Sarkozy, est décrite par le menu. Sur les documents saisis lors de l’enquête préliminaire du parquet, figurent des répartitions de commissions, des contrats d’intermédiaires, grâce auxquels ont été conclus la vente de sous-marins au Pakistan, de patrouilleurs au Koweït, de sous-marins en Malaisie. Ou encore la rénovation de frégates en Arabie saoudite…
Des sociétés luxembourgeoises pour régler le problème des frégates de Taiwan
Deux coquilles au Luxembourg, Heine et Eurolux, servent alors de canal à DCN pour faire évaporer de l’argent vers de mystérieuses destinations. De 1994 à 2000, la société Heine a reçu 77 millions d’euros. C’était avant la mise en place de la convention de l’OCDE, qui interdit désormais de graisser la patte à des ministres ou fonctionnaires étrangers. Après l’entrée en vigueur de ce texte - qu’aucun Etat ne souhaite vraiment appliquer -, la DCN crée une autre structure Eurolux. Bakchich a déjà détaillé ici, ici, et encore là le fonctionnement du système, documents à l’appui.
Selon le rapport du proc, Heine aurait ainsi servi à régler 12,7 millions d’euros à la famille d’Andrew Wang, l’intermédiaire préféré des groupes d’armement tricolore à Taiwan, notamment au cours de la vente des six frégates qui ont fait couler tant d’encre et conduit à l’ouverture d’une enquête à Paris, un dossier récemment refermé sans que l’on sache si des rétrocommissions sont revenues vers des politiques et décideurs français.
Tout cela mérite enquête, et l’on imagine à la lecture du document (que les lecteurs curieux de Bakchich peuvent télécharger ci-dessous dans son intégralité) que juges et policiers vont mettre au service de la vérité l’énergie et les moyens nécessaires à ce type d’investigations.
Le procureur ferme la porte aux investigations
C’est mal connaître le procureur Marin, un zélé serviteur du pouvoir. Tous aux abris ! Comme le démontre le rapport, rédigé préalablement à l’ouverture de l’information judiciaire et la désignation des juges d’instruction, le parquet prend soin de laisser fermée la boîte de Pandore. Il écarte d’emblée les faits supposés se rapporter au financement de la campagne de Balladur, susceptibles de mettre en cause Sarkozy, le chatouilleux chef de l’Etat. Comme Jean-Claude Marin l’écrit noir sur blanc, « le périmètre le plus pertinent d’une éventuelle information judiciaire exclut en l’état les faits relatifs à la création par DCNI des structures écran… »
Comment le procureur a exclu de l’enquête judiciaire les faits pouvant chatouiller le président Nicolas Sarkozy, ancien ministre du Budget
La suggestion de Marin a porté ses fruits. Le rapport, monté à la Chancellerie, Matignon et l’Elysée via le parquet général, est redescendu avec instruction d’ouvrir l’enquête judiciaire sur des faits présumés de « corruption active et passive », « abus de biens sociaux », « violation du secret de l’instruction » et « violation du secret de la défense nationale ». Traduction : feu vert est donné pour se cantonner à l’activité des ex-barbouzes payés par la DCN, qui se renseignaient sur l’arbitrage en cours entre Thales et Taiwan et sur la personnalité des magistrats et de quelques autres. Le reste n’existe pas. Les magistrats nommés en mars 2008, Françoise Desset et Jean-Christophe Hullin, ne peuvent instruire qu’un dossier vidé de sa substance.
Dans son rapport, le proc de Paris a une phrase prémonitoire sur la filière de commissions mise à jour : « Il ne peut être exclu que les informations concernant ce volet viennent à se préciser en cours d’instruction ». Bakchich s’y emploie !
Pour télécharger le rapport interne du parquet de Paris, daté du 22 novembre 2007, adressé au parquet général, cliquer sur l’image ci dessous
Le rapport du 22 novembre 2007 adressé par Jean-Claude Marin à la Chancellerie
Pour lire ou relire les articles de Bakchich sur l’affaire de la DCN et des frégates :
Durant deux ans d’enquête préliminaire, les flics ont découvert à la Direction des constructions navales (DCN) les caisses noires des grands marchés d’armement français de ces dernières années. Pour l’instant, la justice qui vient de confier le dossier à (…)
Dans un rapport de police du 5 mars 2007, remis à deux juges d’instruction, un flic insolent écrit noir sur blanc qu’une société a été créée au Luxembourg en 1994, « avec l’aval du ministre Nicolas Sarkozy » et de « Nicolas Bazire, directeur de cabinet (…)
Les grands contrats de frégates, sous-marins, torpilleurs et autres bateaux militaires ont donné lieu à une sacrée évaporation d’argent, à coup de commissions distribuées dans l’opacité. Au coeur de ces secrets d’État et de ces affaires délicates dans (…)
The Hunger : pour ne pas oublier une guerre en terre d’Europe
26/01/2009 02:52
The Hunger :
La sortie en salle du film “The Hunger” rappelle avec une rare puissance les conditions dramatiques de détention des militants de l’IRA dans les prisons de sa majesté.
Le grêve de la faim entamée par Bobby Sands et 9 de ses camarades vont avoir un retentissement international et constituer un tournant dans la situation politique nord irlandaise après des décennies de violences.
Après les émeutes de Pâques 1916 et l’accession à l’indépendance de l’Irlande du Sud, baptisée EIRE, la question de l’Irlande du Nord n’est toujours pas réglée. Occupée par la Grande Bretagne depuis le 16ème siècle, et repeuplée par des colons britanniques à majorité protestante alors que la population d’origine est irlandaise et catholique, l’Irlande du Nord demeure un lieu de souffrances et de discrimination pour la population catholique. Le système électoral est trafiqué pour empêcher à ces derniers d’être équitablement représentés. La Police de l’Ulster, la RUC, est également majoritairement composée de protestants anglophiles et couvre avec complaisance les provocations répétées des orangistes dans les quartiers catholiques de Belfast. Les orangistes, sorte de franc maçonnerie protestante fidèle à la couronne, paradent chaque année dans les faubourgs catholiques et se livrent à des brimades voire des agressions physiques et des assassinats. C’est dans ces conditions que l’armée britannique va intervenir de manière significative à partir de 1969. Dans un premier temps bienvenus, car les catholiques voient en eux des protecteurs, la gestion de cette crise en raison de choix politiques inadaptés va empêcher cette réconciliation.
D’une part, des lois d’internement permettant d’incarcérer un suspect sans procédure judiciaire ni garantie de défense, et ce au bon vouloir des représentants de la couronne, ainsi que des opérations de couvre-feu dans les quartiers catholiques vont mettre le feu aux poudres, parallèlement aux provocations des milices protestantes telles que l’UVF (Ulster volunteer Force).
L’Ira historique qui jusque là était en sommeil va, à la faveur de ces évènements renaître et connaître une scission entre l’Ira historique ou officielle (OIRA) favorable à des négociations et la PIRA ou IRA provisoire dont les militants sont connus sous le nom de « provos ».
Quand le 30 janvier 1972 la marche des catholiques irlandais est réprimée dans le sang par les soldats du 1st parachutist régiment faisant 14 victimes, l’Ira va connaître une croissance et multiplier les actions de résistance contre les occupants britanniques.
Cette terrible guerre sur cette vieille terre celtique va faire plus de 1500 victimes. Forte d’un soutien de la population irlandaise notamment dans le Comté de l’armag du sud, les forces britanniques malgré les moyens déployés, ne parviendront jamais à démanteler la PIRA.
En 1997, des accords de cessez le feu ont été signés entre les représentants de la Couronne et Gerry Adams, chef politiques du Sinn Fein, branche officielle et légale de la PIRA prévoyant un départ des troupes britanniques à partir de l’été 2007. Il a également été convenu que si la population aspirait à l‘indépendance, un référendum sur l’autodétermination serait organisée. Compte tenu du fort taux démographique chez les catholiques irlandais, supérieur à la communauté protestante anglophone, il n’est pas exclu que d’ici quelques années, l’Irlande du Nord accède à l’indépendance et rejoigne l’Eire pour réaliser le vieux rêve de VALERA et de Michael COLLINS…et donner ainsi raison à cette prédiction de BOBBY SANDS, militant nationaliste irlandais mort en 1981 d’une grève de la faim dans un terrible centre de détention : « Notre plus grande revanche sera le sourire de nos enfants ». En Irlande comme ailleurs, la victoire se gagnera par les berceaux…
Attentat contre l'ambassade de Venezuela en France
17/01/2009 16:30
Un graffiti signé par l'Union des Étudiants Juifs de France (UEJF) a revendiqué l'attaque. Des pierres et des objets métalliques ont été lancés sur la façade de l'Ambassade, en cassant les verres de deux fenêtres placés au rez-de-chaussée, et en occasionnant des dommages à l'intérieur de l'édifice.
L'Ambassade de la République Bolivarienne du Venezuela à Paris, France, durant la nuit du 14 janvier au 15 janvier 2009, a été victime d'une attaque revendiquée par un graffiti de l'Union des Étudiants Juifs de France (UEJF). L'attaque a été perpétrée entre 08:30 PM du 14 de ce mois et 07:30 AM du 15 janvier. Des pierres et des objets métalliques ont été lancés sur la façade de l'Ambassade, en cassant les verres de deux fenêtres placés au rez-de-chaussée, et en occasionnant des dommages à l'intérieur de l'édifice.
Les faits ont été dénoncés devant les corps compétents de sécurité dans le matin du 15 janvier, en même temps que qu'une note a été envoyée au Ministère français de Relations Extérieures, en informant des dommages occasionnés et en sollicitant des mesures de protection pour les locaux et des fonctionnaires de l'Ambassade.
Le graffiti, peint au-dessous de la plaque de l'Ambassade, et dont le texte dit "UEJF, Israël gagnera", attribue par présomption la responsabilité de l'attaque et des dommages commis à l'Union des Étudiants Juifs de France. Cependant, cette association, considérée comme modérée, proche du Parti Socialiste et qui a participé à la création de SOS Racisme, a nourri des positions contre l'étendue du conflit israélien palestinien, bien que, il a appartenu au Conseil Représentatif des Institutions juives de France, dont le président a récemment dénoncé la position du Venezuela et la décision de son Gouvernement de rompre ses relations avec l'État d'Israël.
Durant la dernière semaine et depuis le commencement de l'invasion de la bande de Gaza par l'armée d'Israël, deux synagogues ont été victimes d'attaques tandis que deux étudiants tunisiens ont été agressés par des jeunes hommes juifs. Les faits arrivés au Proche Orient ont eu un fort impact dans les deux communautés en France, et l'attaque perpétrée contre l'Ambassade s'engage forcément dans ce contexte.
Atentan contra la embajada de Venezuela en Francia
Un graffiti firmado por la Unión de Estudiantes Judíos de Francia (UEJF) reivindicó el ataque. Piedras y objetos metálicos fueron lanzados sobre la fachada de la Embajada, rompiendo los vidrios de dos ventanas ubicados en la planta baja, y ocasionando daños dentro del edificio.
(MPPPRE)
La Embajada de la República Bolivariana de Venezuela en París, Francia, durante la noche del 14 al 15 de enero de 2009, fue víctima de un ataque revindicado a través de un graffiti por la Unión de Estudiantes Judíos de Francia (UEJF).
El ataque fue perpetrado entre las 08:30 PM del día 14 y las 07:30 AM del día 15 de enero.
Piedras y objetos metálicos fueron lanzados sobre la fachada de la Embajada, rompiendo los vidrios de dos ventanas ubicados en la planta baja, y ocasionando daños dentro del edificio.
Los hechos fueron denunciados ante los cuerpos de seguridad competentes en la mañana del 15 de enero, al mismo tiempo que una nota fue enviada al Ministerio francés de Relaciones Exteriores, informando sobre los daños ocasionados y solicitando medidas de protección para los locales y funcionarios de la Embajada.
El graffiti, pintado debajo de la placa de la Embajada, y cuyo texto dice "UEJF, Israel vencerá", atribuye presuntamente la autoría del ataque y daños cometidos a la Unión de Estudiantes Judíos de Francia.
Sin embargo, esta asociación, considerada como moderada, cercana al Partido Socialista y que participó en la creación de SOS Racismo, ha mantenido posiciones en contra de la extensión del conflicto israelí palestino, a pesar de pertenecer al Consejo Representante de Instituciones Judías de Francia, cuyo presidente ha denunciado recientemente la posición de Venezuela y la decisión de su Gobierno de romper relaciones con el Estado de Israel.
Durante la última semana y desde el comienzo de la invasión de la franja de Gaza por el ejército de Israel, dos sinagogas han sido víctimas de ataques mientras dos estudiantes de bachilletato tunecinos han sido agredidos por jóvenes judíos. Los hechos sucedidos en Oriente Próximo han tenido un fuerte impacto en ambas comunidades en Francia, y el ataque perpetrado contra la Embajada se inscribe forzosamente en este contexto.
Ramadan Ould Semette, ancien esclave du sud de la Mauritanie, est parti, avec plusieurs centaines d’autres anciens esclaves, pour créer sa propre commune dans le désert
LEFREWA, 15 janvier 2009 (IRIN) - Deux ans après que plus d’une centaine de familles d’anciens esclaves eurent quitté leur village dans le sud de la Mauritanie pour créer leur propre communauté, loin des propriétaires d’esclaves, des membres de ce groupe ont confié à IRIN qu’ils se débattaient encore pour s’adapter à leur indépendance.
Ramadan Ould Semette est de ceux qui ont quitté le village de Lefrewa, où ces familles étaient esclaves de génération en génération ; certes, il a pu prendre un nouveau départ, comme il le souhaitait depuis bien longtemps, mais c’est à peu près tout.
« Nous n’avons que nos muscles pour survivre et nous luttons sans cesse dans le désert. Le seul avantage qu’il y a à vivre ici, dans un nouvel endroit, c’est que nous nous sommes physiquement éloignés de l’exploitation du passé ».
Tourner la page et se trouver un moyen de subsistance est une tâche particulièrement ardue dans un pays où la plupart des habitants vivent déjà dans des conditions difficiles.
La Mauritanie est composée pour moitié d’un territoire désertique inhabitable et inhospitalier ; près de la moitié de ses trois millions d’habitants n’a pas accès à l’eau salubre, selon les Nations Unies, et d’après les estimations de FEWSNET, organisme spécialisé dans la surveillance de la situation alimentaire mondiale, plus de 330 000 personnes souffraient de malnutrition [dans le pays] en octobre 2008.
Biram Ould Abeide, conseiller de la Commission nationale des droits de l’homme, a expliqué à IRIN que la commune des anciens esclaves, baptisée Sawap (« vertueux » en arabe), avait eu des difficultés à trouver où s’établir. « Aucune communauté ne les a accueillis. Ils ont eu de graves problèmes pour obtenir l’autorisation de s’installer là où ils sont maintenant. C’est une question de droits fonciers ; il n’y a pas de terres inscrites au nom d’anciens esclaves ».
M. Abeide a expliqué que le président de l’époque, Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, était intervenu pour aider les familles à s’installer en 2006.
M. Semette, habitant de la commune, a indiqué à IRIN que si un membre du groupe avait besoin de consulter un médecin, il se faisait transporter à dos d’âne à travers le désert jusqu’au centre médical le plus proche, à trois kilomètres de là. L’eau est une denrée rare. Et les femmes se rendent à pied jusqu’aux villages voisins pour trouver de la nourriture, a-t-il ajouté.
Selon les experts des droits humains, si une loi contre l’esclavage a été adoptée en 2007, les systèmes d’aide aux anciens esclaves font défaut. M. Abeide a en outre expliqué à IRIN qu’en dépit de cette loi (qui définit la servitude pour dette et les mariages forcés comme des formes d’esclavage), les droits des anciens esclaves continuaient d’être « négligés, dans le meilleur des cas, si ce n’est complètement bafoués ».
Des centaines d’anciens esclaves se sont réinstallés sur un terrain désertique qu’ils ont baptisé Sawap
Selon la commission, la loi a abouti à la libération de 43 personnes, et des centaines d’affaires sont encore en instance. Mohamed Bilal Ould Dike, avocat spécialiste des droits humains, a néanmoins expliqué à IRIN que la loi contre l’esclavage n’était que la première étape.
« Cette loi n’assure pas la protection des victimes. Les vraies garanties dont elles ont besoin sont d’ordre juridique [mise en application de la loi] et socioéconomique. Il faut prévoir un système de réinsertion économique pour ces victimes ».
Une membre de la commune a expliqué qu’elle ne réussissait pas à trouver de travail rémunéré. « Nous travaillons comme domestiques », a confié Tesslem Mint El Kory à IRIN. « Mais les familles de la région sont si pauvres qu’elles n’ont pas les moyens de nous payer. Alors, nous faisons le travail que nous avons toujours fait, et nous ne sommes toujours pas payés ».
Lemine Dadde, commissaire aux droits de l’Homme depuis le coup d’Etat, a expliqué à IRIN que le conseil militaire au pouvoir avait prévu de consacrer un budget de plus de cinq millions de dollars pour aider les victimes d’esclavage. Le commissaire a également indiqué que 46 villages extrêmement pauvres dont les populations sont en grande partie composées de Noirs africains (une majorité d’esclaves sont Noirs africains) devaient recevoir une aide financière d’urgence à compter de février 2009.
L’esclavage est interdit en Mauritanie depuis l’époque du colonialisme. Pourtant, malgré l’adoption périodique, depuis l’indépendance en 1960, de législations visant à renforcer cette interdiction, toutes les communautés ethniques le pratiquent encore (principalement en milieu rural), selon les associations de défense des droits humains.
Un départ définitif
Le chef du village de Lefrewa, à 90 kilomètres au sud de Nouakchott, la capitale, a expliqué à IRIN que les 100 familles d’anciens esclaves avaient toujours été les bienvenues au sein de sa communauté.
« Notre village est parmi les plus proches de Nouakchott, la capitale, alors nous sommes tout à fait conscients des risques et du caractère illégal de l’esclavage », a déclaré Lemrabett Ould Mohamed Aly. « S’ils sont partis s’installer ailleurs, c’est une question de choix personnel ; personne ne les y a forcés. Des familles d’anciens esclaves vivent encore parmi nous ».
Le chef du village a expliqué que les anciens esclaves qui avaient quitté Lefrewa en grand nombre, en 1976, avaient fini par y retourner. « Ils sont revenus chez nous parce qu’ils n’ont pas trouvé d’autre endroit où vivre aussi paisiblement qu’ils vivaient parmi nous ».
Lorsque IRIN a demandé aux familles de Sawap si quelqu’un parmi elles était tenté de retourner vivre à Lefrewa, compte tenu de leurs difficultés économiques, Mbarek Ould Mahmoude a pourtant déclaré : « Nous avons réussi à nous enfuir de la terre de nos anciens maîtres pour pouvoir jouir de nos droits civiques… Les maîtres nous ordonnaient de voter comme ils le voulaient. Nous n’avions d’autre choix que de nous plier aveuglément à leurs ordres. Alors, non, on n’y retournera pas »