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Créé le : 02/09/2007 21:02
Modifié : 10/06/2011 13:27

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Les vieux :c'est pas porteur .

12/01/2009 13:43



L'association NSI ne reçoit pas de subventions...

Dans les locaux du XXème arrondissement de la petite association NSI, on n’a pas attendu de message radio pour se porter au chevet des personnes âgées et isolées de la capitale. Depuis le 1er janvier, Arlette, la présidente, ne compte plus le temps passé au téléphone, à appeler ses « mamies ».

« D’abord pour leur souhaiter la bonne année, mais aussi pour les mettre en garde : ne pas sortir, ne pas oublier de boire… leur dire qu’on s’en occupe de leurs courses. »

NSI, pour Non à la solitude et à l’indifférence, a justement vu le jour au lendemain de la canicule de 2003, créée par des Parisiens bénévoles, ulcérés que des grands-mères et grands-pères puissent décliner dans l’indifférence, sur le palier ou dans la rue d’à côté.

 Six ans et quelques déconvenues plus tard, l’association, frustrée de subventions, n’a pas rendu les armes. Même si les 60 bénéficiaires (un seul « papy ») représentent une goutte d’eau, au regard des quelque 175 000 plus de 75 ans que compte Paris intramuros.

En signant, les 70 bénévoles s’engagent à rendre visite à une personne, toujours la même, une fois par semaine au moins. Conseils, courses, sorties accompagnées ou simple lecture du courrier… « Il n’y a pas deux missions identiques », dit Arlette. La constante, « c’est que l’on récrée du lien social, pour des personnes dont beaucoup sont complètement isolées. Tout l’entourage de leur âge est décédé. La famille ne se manifeste que deux ou trois fois par an… ».

 Au téléphone, elle entend parfois les larmes d’une grand-mère de 92 ans qui a passé les fêtes à attendre une visite qui ne vient pas. « Cela participe à l’angoisse que l’on sent chez ces personnes, accrue ces jours-ci par le froid, qui fait craindre la grippe, les maladies, l’inéluctable. »

 

21:54 Publié dans Blog | Lien permanent |

Les vieux de France: Geneviève, 93 ans

Geneviève 93 ans à Colombes (hauts-de-Seine).gif
A 93 ans, Geneviève vit seule dans son pavillon

Elle a entendu le message de prévention du ministère passer sur Radio Luxembourg en donnant à manger à son chat. Et balayé l’affaire d’un haussement d’épaule fataliste. « Faut pas s’inquiéter pour moi… » Geneviève est une forte tête, elle se « débrouille » avec une fierté touchante qui fait oublier ses 93 ans dans dix jours et sa frêle silhouette cramponnée à sa canne, dans son pavillon de Colombes (Hauts-de-Seine).

N’empêche, Geneviève n’a pas mis le nez dehors depuis Noël. Et Geneviève est toute seule. Sa plus proche parente, la femme de son fils décédé, lui passe un coup de fil chaque semaine. Mais ses petites filles ont oublié de lui souhaiter bonne année.


« Ce qui me sauve, explique-t-elle lucidement, c’est un petit monsieur très gentil du quartier qui me fait mon marché. » Grâce à lui, elle a pu se mixer du poisson frais, se réapprovisionner en fruits, en café. « Même si je n’ai pas très faim, je me force. Et je bois. Mon mari, qui est mort d’un cancer il y a onze ans, m’enguirlandait toujours parce que je ne buvais pas assez… Alors je pense à lui. » Un bol de café au lait le matin, un verre de rosé et un peu d’eau le midi, pareil au dîner et une tisane le soir… « Le compte y est, assure-t-elle. J’ai calculé tout ça avec mon médecin. »
Le thermomètre du salon affiche 24° : la chaudière, qui avait vingt-cinq ans, vient d’être changée. Elle fonctionne à plein régime. « Sinon j’ai froid », avoue Geneviève, fidèle à son tablier en cotonnade. « Mais je m’aère un peu quand même, la fenêtre de ma cuisine est fermée à l’espagnolette. Et je prends l’air en ouvrant la porte au chat. »

Le jardin, impraticable, est recouvert de glace, renforçant l’impression d’isolement. « Je ne suis pas du genre à demander de l’aide », avoue la vieille dame. « Mais j’ai de la chance. Des voisins solidaires qui passent régulièrement. » Ainsi Bernard s’est-il précipité l’autre soir quand le quartier a été plongé dans le noir après une coupure de courant. « Je l’ai bien épaté, sourit-elle. Je n’ai pas paniqué. Je me suis dit : Ma fille, fais comme si tu étais aveugle. J’ai réussi à trouver à tâtons une bougie, des allumettes, et je suis descendue avec ma canne dans la cave chercher la vieille lampe à pétrole de maman ! »
Combien de personnes très âgées vivant à domicile, comme Geneviève, sont aussi alertes ? Peu sans doute. Mais malgré tout l’isolement lui pèse, elle aimerait bien sortir, voir du monde, ou s’endormir paisiblement.
« Je n’ai qu’une frousse, c’est d’aller dans une maison de retraite. Qu’il m’arrive un pépin et que mon entourage dise : On ne peut pas la laisser comme ça … Alors ce n’est pas un gros coup de froid qui va me faire lâcher la rampe. J’ai vu le reportage des Infiltrés à la télé… Très peu pour moi ! »

 

Le Parisien -11.01.09

http://gaelle.hautetfort.com/archive/2009/01/11/l-association-nsi-ne-recoit-pas-de-subventions.html






Les Palestiniens ont aussi leur Eric Besson (traître-étalon): Mahmoud Abbas.

12/01/2009 00:10



Depuis le 9 janvier, Mahmoud Abbas n’est plus légalement le président de l’Autorité palestinienne. Son mandat de quatre ans est en effet parvenu à son terme.

Anticipant cette difficulté, les ministres des affaires étrangères de la Ligue arabe avaient estimé, le 26 novembre 2008, après l’échec d’une médiation égyptienne visant à réconcilier les deux grand mouvements palestiniens, le Fatah (Autorité palestinienne) et le Hamas, que M. Abbas devrait “continuer à assumer ses responsabilités de président de l’Autorité palestinienne” jusqu’à ce que cette querelle soit réglée. Le Hamas avait répliqué en estimant que “la légitimité ne se confère pas par une quelconque partie mais se gagne à travers des élections, conformément à la loi et à la constitution”.

Après la victoire du Hamas aux élections du 26 janvier 2006, les Occidentaux avaient fait valoir que M. Abbas, favorable à des négociations avec Israël, qu’il reconnaît, et hostile à la lutte armée, à rebours des membres du Mouvement de la résistance islamique, disposait d’une légitimité populaire au moins égale à celle que le Hamas venait de récolter. Cet argument se trouve aujourd’hui singulièrement affaibli.

http://www.toutsaufsarkozy.com/cc/article02/EkFEyAyypyClgWTEEu.shtml

LA PHOTO
inv inv inv
Les Palestiniens ont aussi leur Eric Besson (traître-étalon): Mahmoud Abbas.
inv Symbole de la collaboration et de la corruption.





les eaux usées d’Israel;à quand le cholèra ?

11/01/2009 18:21



Israël essaie de cacher un lourd et redoutable secret BOUGUERRA Larbi Mohamed Les nouvelles des boucheries perpétrées par Israël nous choquent quotidiennement : assassinats d’enfants et d’écoliers, raids d’avions contre des civils, destruction de maisons, mitraillage de familles et des pêcheurs sur les plages de Gaza …Crimes innombrables qui nous assaillent tous les jours dans le silence assourdissant des grandes consciences et des puissants de ce monde. Un énième crime commis par les sionistes est celui contre l’environnement et les eaux de Palestine. Cet odieux attentat était jusque là connu des seuls spécialistes. Il faut rendre hommage à Johann Hari qui l’a dévoilé au grand public dans un article consacré au 60ème anniversaire de l’entité sioniste dans le journal londonien « The Independent » du 28 avril dernier, article dans lequel il explique les sales dessous cachés de la fondation de l’entité sioniste. Johann Hari est un journaliste et un dramaturge de grand talent. Il écrit dans le New York Times, le Monde, The Los Angeles Times, Ha’aretz… Il a été nommé journaliste de l’année en 2007, par Amnesty International et a obtenu le Prix Orwell du journalisme politique pour 2008. Hari rapporte qu’il flotte sur Israël une suffocante odeur nauséabonde…Une senteur écoeurante qui s’ajoute celle de la corruption de Sharon (père et fils) ou celle de l’actuel Premier ministre qui vient d’être interrogé par la police sur des pots-de-vin. Il s’agit en vérité de cette odeur caractéristique des fosses d’aisance, des effluves d’eaux usées. En effet, dans les Territoires Occupés, par de grands tuyaux métalliques, les colonies juives déversent leurs eaux usées brutes, telles quelles, non traitées, dans les terres palestiniennes de Cisjordanie. Ces rejets finissent par percoler dans la nappe phréatique dont elles transforment l’eau en poison ! Debout près d’une de ces mares nauséabondes jaunes et brunes, le Dr Bassam Sadi Nadi, médecin – chef palestinien explique à Hari : « Récemment, nous avons eu des pluies très abondantes, les excréments ont fini par atteindre la nappe qui alimente toute la région. Je savais que si nous n’agissions pas rapidement, les gens aller mourir. Nous avons du dire à tous les citoyens palestiniens de ne pas utiliser cette eau durant plus d’une semaine et nous avons fourni de l’eau en bouteille aux gens. Nous avons eu de la chance car la contamination était localisée. La prochaine fois… ». Il secoua sa tête en signe de peur. Ce n’était point une frayeur feinte. En 2004, un rapport de l’ONG « Friends of the Earth » (Les Amis de la Terre) a révélé que 6% seulement des colonies sionistes traitaient leurs eaux usées. Hari ajoute : « Pour punir la population de Gaza d’avoir « mal voté », l’armée israélienne refoule aux points de contrôle les canalisations et le ciment destinés aux réparations du réseau d’égout. Résultat ? De grandes mares stagnantes d’immondices sont contenues par des murets fragiles dans toute la bande de Gaza où elles pourrissent et fermentent en plein air. En mars dernier, un de ces murets céda : un tsunami d’excréments humains emporta un bébé de neuf mois et sa grand’mère. L’ONG « Centre for Housing Rights » (Droit au logement) tire la sonnette d’alarme : si par aventure survenaient de grandes pluies, 1,5 million de m3 d’excréments humains pourraient se déverser sur la bande de Gaza provoquant « un monumental désastre humanitaire et environnemental » » Hari demande : « Comment en est-on arrivé là ? Comment un Etat juif fondé il y a 60 ans sur la promesse d’être « une lumière parmi les Nations » finit-il par déverser ses excréments sur une population palestinienne sans défense ? Le début de la réponse se trouve dans le secret qu’Israël connaît et qu’il essaie de faire disparaître toutes ces années. Aujourd’hui même encore, pouvons –nous décrire honnêtement et de façon non hystérique ce qui s’est produit il y a soixante ans ? » Hari décrit alors posément la dépossession palestinienne et les manœuvres des politiciens sionistes comme David Ben Gourion qui écrivait en 1937 : « Les Arabes doivent partir mais il nous faut l’occasion propice pour le faire, une guerre par exemple ». Il mit au point le Plan Dalit : intimidations et terreur à grande échelle, bombardements et sièges des populations, empoisonnement des puits et épandage d’herbicides sur les récoltes… Avant l’intervention des armées arabes de 1948, Ben Gourion et sa clique firent le nettoyage ethnique de 800 000 Palestiniens et Israël s’éleva sur ces ruines. Certains historiens israéliens tel Ilan Pappé ont minutieusement décrit ce que l’entité sioniste essaie vainement de cacher concernant sa fondation : crimes contre l’Humanité, provocations, massacres car on était à mille lieues de ce phantasme cher à Herzl et ses acolytes : « Une terre sans peuple pour un peuple sans terre » ! Hari arrive à la conclusion qu’il y a en Israël, une frange qui ne veut pas de la paix, à aucun prix et quelles que soient les concessions palestiniennes. La preuve ? « Quand, ce week-end, le gouvernement élu du Hamas a offert une trêve de six mois qui aurait pu conduire à des pourparlers de paix, le gouvernement israélien répondit sur le champ en bombardant un responsable important du Hamas et en tuant une fillette de 14 ans ». En conclusion, Johann Hari écrit : « Israël, à l’âge de 60 ans, en regardant ses cheveux gris et en faisant mine d’ignorer l’odeur de ses propres excréments déversés sur la Palestine, a besoin de se demander ce qu’il veut être dans les prochaines soixante années ». En attendant, le choléra menace Gaza et les organisations internationales essaient de faire passer aux check points tenus par la main de fer de l’armée du matériel pour faire face à une épidémie de choléra ! Quant au soixantième anniversaire de la dépossession des Palestiniens, il faut avoir foi dans cet axiome : la Vérité finit toujours par triompher du Mensonge…et la persévérance permet de percer les secrets les mieux gardés…fussent- ils ceux du Shabak ou du Mossad ! Mohamed Larbi Bouguerra Mohammed Larbi Bouguerra est géographe, ancien professeur à l’Université de Tunis, ancien responsable syndical étudiant et membre du CS d’ATTAC, et spécialiste du problème de l’eau au Proche-Orient. Auteur en particulier de "La recherche contre le Tiers Monde. Multinationales et illusions du développement" aux Presses Universitaires de France, Paris, 1993 ; " Linus Pauling. L’Einstein de la chimie. Génie rebelle et humaniste" Editions Belin. Pour la Science, Paris, 2002 (traduit en néerlandais) et : "Les batailles de l’eau. Pour un bien commun de l’humanité" Edit. de l’Atelier.Paris, 2003 traduit en anglais, arabe, espagnol et portugais. Publié (printemps 2008) dans Attariq Al Jadid (La Voie Nouvelle) à Tunis. http://attariq.org http://www.legrandsoir.info/spip.php?article7752




Israël aurait demandé l'aide de Washington pour frapper Téhéran (journal)

11/01/2009 11:00



NEW YORK, 11 janvier - RIA Novosti. Israël aurait demandé de l'aide aux Etats-Unis courant 2008 afin de mener des frappes contre les sites nucléaires iraniens, affirme dimanche le New York Times se référant à des sources anonymes au sein de l'administration Bush.

Selon le NYT, Tel Aviv a demandé à Washington de lui fournir des missiles anti-bunker afin de frapper le site nucléaire de Natanz, et l'autorisation de survoler le territoire irakien contrôlé par les Etats-Unis.

Après étude de la proposition, l'administration Bush a annoncé que l'attaque ne serait pas efficace du point de vue militaire et entraînerait immanquablement les Etats-Unis dans un conflit armé avec l'Iran.

En échange, M. Bush aurait proposé de lancer une opération secrète visant à saboter au niveau international la mise au point par Téhéran de ses projets nucléaires, et de mener des attaques contre les réseaux informatique et électrique iraniens.

Selon le quotidien, Tel Aviv aurait été déçu par la publication en 2007d'un rapport du renseignement américain affirmant que Téhéran aurait suspendu son programme nucléaire militaire en 2003. Le départ de George W. Bush ôte à Israël ses derniers espoirs d'opération militaire conjointe contre Téhéran.

Fin juin 2008, le New York Times avait annoncé qu'une centaine d'avions F-16 et F-15 israéliens avaient mené des exercices militaires qualifiés par des sources anonymes du Pentagone de "répétition d'éventuelles frappes contre les sites nucléaires" de Téhéran, accusé par différents pays, Etats-Unis et Israël en tête, de vouloir acquérir la bombe atomique.



http://fr.rian.ru/world/20090111/119419400.html

 

Israël aurait demandé l'aide de Washington pour frapper Téhéran (journal)

12:43 | 11/ 01/ 2009
NEW YORK,




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