Les systèmes totalitaires sont pavés de bonnes intentions. Cela se vérifie en Algérie. Les tenants du pouvoir, se présentant comme de fervents défenseurs de la démocratie et de l’ouverture politique, multiplient les déclarations à la presse nationale et internationale, martelant que l’Algérie n’est ni la Tunisie ni l’Egypte. C’est sans doute vrai, mais il y a de troublantes similitudes entre les régimes. Le pouvoir algérien, qui vient d’engranger le satisfecit américain après la levée formelle de l’état d’urgence, continue d’interdire mordicus les manifestations populaires à Alger en brandissant le risque d’attentats terroristes. En faisant des organisateurs des marches des alliés quasi objectifs de la menace terroriste, l’on n’est pas bien loin de l’attitude du fou de Tripoli qui accuse les insurgés libyens d’être à la solde de Ben Laden. Le parallèle n’est pas fait pour rehausser l’image du pouvoir algérien qui n’a eu de cesse d’annoncer, ces dernières années, le retour à la paix. Personne n’avait mis en doute, par ailleurs, la déclaration du premier responsable de la police nationale, en octobre 2010, lorsqu’il affirmait «Alger est à l’abri de la menace terroriste». Il s’agit tout bonnement d’un verrouillage politique et il serait hasardeux de s’en tenir aux félicitations des capitales étrangères, surtout lorsqu’elles expriment clairement leur «impatience» de voir la consécration de la liberté d’expression et d’association.
La pression internationale ne retombe pas. Par contre, la contestation sociale et politique à l’intérieur du pays marque le pas. Le pouvoir s’autorise incontestablement un vrai sursis. Les syndicats ayant lancé des mouvements de protestation sont en partie satisfaits des annonces spectaculaires du gouvernement, allant jusqu’à rayer d’un trait les textes réglementaires qui avaient fait sortir les étudiants dans la rue. La mobilisation politique unitaire, à travers la CNCD, n’a pas pu éviter le spectre de la division. Là, le pouvoir en place n’a fait que récolter les fruits de son entreprise de dépolitisation profonde de la société. L’argument de la «séparation entre le politique et le civil» a étonné plus d’un observateur, s’agissant d’un mouvement éminemment politique qui vise rien moins qu’un changement de régime. La déliquescence politique et la diabolisation de l’opposition sont à un tel point qu’il est aujourd’hui possible de lire dans la presse le témoignage d’un chômeur qui raconte avoir été «accusé», lors de son arrestation d’être un militant du RCD. Depuis la traduction, au début des années 1980, des militants de la démocratie devant la défunte Cour de sûreté de l’Etat, le pouvoir ne fait que poursuivre, avec d’autres moyens, la guerre à toute opposition politique.
Le 18 juin dernier, les identitaires révélaient le scandale des prières musulmanes bloquant la rue Myrrha à Paris à travers le fameux « apéro saucisson-pinard ». Un rassemblement a alors réuni plus de 1 000 personnes. Depuis, de nombreuses personnalités politiques se sont positionnées sur cette délicate question, jusqu’au Président de la République lui-même qui a estimé tout récemment que ces prières publiques devaient cesser et qu’un grand débat sur la place de l’islam dans notre société devait être ouvert.
Le 10 février, les identitaires niçois de Nissa Rebela révélaient que de telles prières existaient aussi à Nice et que la rue de Suisse, dans le quartier Notre-Dame, était bloquée de manière régulière et récurrente depuis plusieurs mois (photo). Cela alors même que le maire, Christian Estrosi, avait répété à plusieurs reprises depuis le début de l’année (notamment lors du talk Orange-le Figaro du 18 janvier) qu’il voulait que ces prières soient interdites. Christian Estrosi semblait alors demander dans les médias ce qu’il n’appliquait pas dans sa propre ville… Les identitaires lui laissaient alors le bénéfice du doute : peut-être n’était-il pas au courant de cette situation ? L’affaire étant désormais révélée, Nissa Rebela réclamait un arrêt municipal d’interdiction.
Rue de Suisse, Nice.
Le 17 février, sous l’impulsion des identitaires, les médias s’emparaient de l’affaire (Nice Matin, le Petit Niçois, France 3) et Christian Estrosi répétait une fois de plus qu’il souhaitait interdire les prières musulmanes dans la rue. Depuis, toujours rien… Dans Nice Matin, la municipalité esquissait l’idée qu’un accord avait été trouvé avec les musulmans de l’association Moubarak, « afin d’éviter une polémique ultra-politisée en ces temps pré-électoraux ». Nous vous ferons des révélations là-dessus bientôt… mais il n’en reste pas moins que nous souhaitons que cette occupation illégale des rues niçoises cesse DÉFINITIVEMENT !
Ce matin, lors d’une nouvelle conférence de presse et face à l’inaction de Christian Estrosi et son équipe, Philippe Vardon a annoncé (après le témoignage poignant d’un habitant du quartier décrivant son sentiment d’abandon) que les identitaires allaient désormais agir sur le terrain pour faire éclater la réalité de la situation au grand jour et forcer la mairie à AGIR.
Le vendredi 4 mars, Nissa Rebela organise un grand apéro porchetta et vin rosé à 19 heures rue de Suisse.
La demande d’autorisation a été effectuée aujourd’hui 23 février auprès des services de la Préfecture. Mais il semble évident qu’un Préfet tolérant depuis des mois l’occupation de nos rues par des prières publiques musulmanes, ne saurait interdire un événement festif et revendicatif ayant comme but de rendre ce quartier aux Niçois pendant quelques heures.
Le vendredi 4 mars, tous rue de Suisse – quartier-halal non merci !
NISSA REBELA http://www.nissarebela.com contact@nissarebela.com Téléphone : 09 50 10 45 40 Adresse postale : NR – BP 13 – 06 301 Nice cedex 04 Rejoignez Nissa Rebela sur facebook !
A l\'issue de la manifestation d\'attac devant le palais de la municipalité, vendredi après-midi, réclamant la résiliation du contrat de gestion déléguée de la société Amendis, un groupe de jeunes incontrôlés âgés de 13 à 18 ans a remonté le quartier de Drissia vers Aouama en criant vive le roi!
Deux agences d\'Amendis ont été saccagées, au moins un autobus a été assailli par les jeunes qui ont fait descendre les passagers avant de le casser...
Les manifestants ont assailli le commissariat du district de Bénimakada. Des renforts sont arrivés sur place pour encercler les locaux de la police mais la force et la violence de l\'attaque les a mis en fuite...
Une agence de la SGMB a été saccagée et des voitures d\'Amendis incendiées. Des fourgons de la police ont aussi été touchés par les jets de pierre.
On parle de plusieurs blessés parmi les manifestants et les policiers qui se trouvaient dans les locaux du district de Aouama, et de dizaines d\'arrestations parmi les jeunes manifestants
Mobilisation au Maroc ce dimanche 20 février, où plusieurs milliers de personnes sont descendues dans les rues de Rabat et Casablanca et dans d'autres villes du royaume pour réclamer des réformes politiques et une limitation des prérogatives du roi. Des manifestations à l'appel du «Mouvement du 20 février» lancé sur Facebook, suivant les exemples tunisien et égyptien. C'est le premier mouvement de protestation dans le pays depuis le début des révoltes qui secouent le monde arabe.
A Rabat, le cortège a grossi ces dernières heures. Ils sont environ entre trois mille et quatre mille maximum à défiler sur l’avenue principale de la ville, l’avenue Mohamed V pour marcher jusqu’au Parlement où siègent les députés. Ils sont tous sous des parapluies parce qu’il pleut, ceci explique aussi le manque de monde et de mobilisation.
Ils brandissent des banderoles « A bas le dictateur », « Touche pas à mon pays », « Pour un changement radical » ou encore « Moubarak a pris 70 millions et ici ? ». On retrouve des motifs de manifestation communs, la lutte contre la corruption et, avant tout, la demande d’un changement radical.
L’appel a été lancé sur quatorze villes du royaume : à Casablanca où il y aurait deux mille à trois mille personnes rassemblées, mais aussi à Marrakech dans le sud du pays où il y aurait mille cinq cents personnes et à Tanger dans le nord du pays...
Au Maroc où le roi est très populaire, peu de gens, voire personne, demandent un changement de régime et un changement du roi. La colère se cristallise vraiment sur, et contre, le gouvernement.
Les manifestants demandent la dissolution du gouvernement, la dissolution du Parlement. Ils jugent que le gouvernement est corrompu et détient une grande partie des richesses du pays. Ils dénoncent aussi la main mise d’une famille, la famille El-Fassi, sur ce gouvernement : beaucoup de ministres sont membres de cette même famille.
Mais il y a aussi des motifs plus généraux, la lutte contre la corruption et surtout la demande d’une réforme de la Constitution. Il faut que cette Constitution soit plus démocratique avec une meilleure séparation des pouvoirs.
Donc, pas de changement de régime mais une demande d’évolution et notamment que le roi, qui en ce moment détient tous les pouvoirs, ait moins de pouvoir. Il y a aussi la demande d'une meilleure répartition puisqu’en ce moment, c’est lui qui détient la pouvoir exécutif, judiciaire, législatif. Donc la demande est véritablement de réformer la Constitution.
"Non siamo in grado di sapere a chi appartengano in questo momento Bengasi e le altre città della Cirenaica", ha detto il vescovo di Tripoli, monsignor Giovanni Martinelli. Nella capitale invece "l’atmosfera è tranquilla e stamane si vedono solo piccoli cortei di sostegno a Gheddafi". I ribelli danno la caccia ai figli del colonnello
Tripoli - La situazione in Libia si fa sempre più incandescente per la protesta contro Gheddafi che, da giorni, imperversa nel paese. Il bilancio degli scontri di sabato a Bengasi parlano di 250 morti e oltre 700 feriti. Intanto un alto responsabile del governo libico ha fatto sapere che "un gruppo di estremisti islamici" tiene in ostaggio alcuni cittadini e membri delle forze dell’ordine "nell’est" della Libia. Ma se c'è chi scende in piazza per cercare di cacciare Gheddafi, c'è anche chi lo fa schierandosi dalla parte del colonnello. E il rischio di una guerra civile è sempre più alto.
Lancio razzi sui manifestanti L’esercito sta sparando razzi Rpg sui manifestanti a Bengasi. Lo riferisce una testimone alla televisione satellitare Al Jazeera, aggiungendo che le forze dell’ordine stanno anche utilizzando proiettili urticanti per disperdere la manifestazioni. Secondo un attivista, Mohamed Nabus, sono 258 i corpi all’obitorio dell’ospedale al Galaa della città.
In piazza per Gheddafi Migliaia di sostenitori del colonnello Gheddafi sono scesi in piazza a Tripoli per manifestare a favore del regime. La folla sventola le bandiere verdi della Giamahiria e scandisce slogan come "Dio, Libia e Muammar" e "Muammar è il pioniere del nazionalismo arabo".
A Bengasi 250 morti Gli scontri avvenuti sabato pomeriggio a Bengasi, tra manifestanti e forze della sicurezza libica fedeli a Gheddafi, avrebbero causato 250 morti e 700 feriti. Lo riferiscono fonti mediche dell’ospedale di al-Jala di Bengasi alla tv araba al-Jazeera. In particolare a fornire queste cifre è il medico Nabil al-Saaiti il quale in un collegamento telefonico con l’emittente qatariota ha spiegato che "ieri agenti della sicurezza di origine africana reclutati dal regime hanno aperto il fuoco contro i manifestanti e il numero dei morti è tale che non riusciamo a metterli tutti nella camera mortuaria dell’ospedale per identificarli". A causa dell’assenza di giornalisti in quell’area e dell’interruzione del servizio internet nel paese è difficile verificare le notizie fornite dai testimoni e dagli esponenti delle opposizioni, anche se le informazioni fornite nei giorni scorsi si sono poi col passare del tempo rivelate in buona parte veritiere.
Il vescovo di Tripoli: non si sa più chi comanda "Non siamo in grado di sapere a chi appartengano in questo momento Bengasi e le altre città della Cirenaica": è quanto ha affermato il vescovo di Tripoli, monsignor Giovanni Martinelli, raggiunto telefonicamente dall’Ansa Nella capitale invece "l’atmosfera è tranquilla e stamane si vedono solo piccoli cortei di sostegno a Gheddafi", ha raccontato il presule.
Mohamed VI, Sociedad Anónima.El rey de Marruecos y su camarilla...
20/02/2011 16:22
Mohamed VI, Sociedad Anónima
El rey de Marruecos y su camarilla controlan la mayoría de la riqueza de un país con grandes desigualdades
El «holding» Siger gestiona la mayor parte de la fortuna real, que en 2003 controlaba el 60% de los títulos de la Bolsa de Casablanca -
20 Febrero 11 - - Macarena Gutiérrez
MADRID- La llegada de Mohamed VI al trono alauí en 1999 levantó esperanzas de cambio en la empobrecida sociedad marroquí. Autoproclamado como «rey de los pobres», el monarca pronto olvidó su prometedor comienzo y en la década larga de reinado ha continuado incrementando su riqueza y, de paso, la enorme brecha que lo separa de los marroquíes, que hoy saldrán a manifestarse a la calle. Según fuentes diplomáticas, el hijo de Hassan II ha continuado la línea abierta por su padre: «En Marruecos los que tienen acceso a las oportunidades y privilegios son los mismos de siempre». Esta camarilla de poder que rodea al rey, conocida como «majzén», le gestiona el patrimonio y, de paso, se lleva una buena parte del pastel. «Mohamed VI es el primer accionista de las principales empresas del país. Es público y notorio», continúa la misma fuente. Los dos principales «holding» empresariales del país son de su propiedad y acapara el primer banco, la primera aseguradora de la nación y una de las mayores operadoras de telecomunicaciones, según el ex director de la publicación independiente «Le Journal Hebdomadaire». Además, sus numerosas fincas copan la producción del sector agrícola. La revista «Forbes» lo coloca en el séptimo lugar de la lista de monarcas más ricos del mundo y sus propiedades inmobiliarias están repartidas por todo el mundo, aunque él trata de mantener un perfil bajo en cuanto a muestras de ostentación se refiere. Según los analistas, la protesta social que hoy comienza en el país magrebí tiene su raíz en un reparto muy desigual de la riqueza. Se calcula que apenas un millón de habitantes, de los 31,6 que componen Marruecos, tiene alguna posibilidad de prosperar en la vida con el actual panorama. La última palabra la tendrá el monarca alauí, reconocido por la Constitución como el «Comendador de los Creyentes» y máximo representante de la nación. Las fuentes consultadas consideran que «lo que ocurra va a depender en gran medida de su voluntad. Si se pone al frente de las demandas va a barrer en popularidad, pero tiene que estar dispuesto a perder ciertos privilegios». La apertura política que se esperaba con el relevo real ha quedado en agua de borrajas. Mohamed VI sigue reinando y gobernando. Es él quien nombra al primer ministro y a los titulares de las carteras de Interior, Justicia, Exteriores y Asuntos Islámicos. Si bien es cierto que permitió desenterrar los «años de plomo» de su padre, rehabilitando a las víctimas, y permitió la vuelta de viejos enemigos de Hassan II, sus casi doce años de reinado han sido doce años de decepciones para la mayoría de los marroquíes, muchos de los cuales aún lo veneran y hoy mirarán a Palacio.
Une importante manifestation se déroule actuellement à Rabat, capitale marocaine, rassemblant au moins 2.000 participants qui réclament une limitation de pouvoirs du roi et une lutte contre la corruption, annoncent les médias occidentaux. Auparavant, les médias arabes ont fait état d'une manifestation semblable à Casablanca.
"Il s'agit d'une action pacifique visant à soutenir les réformes constitutionnelles et à lutter contre la corruption et la dilapidation de fonds publics", a indiqué Mustapha Muchtat, un activiste du mouvement Baraka (Assez!), un des organisateurs de la manifestation à Rabat.
Les manifestants scandent des slogans exigeant que le roi "règne mais ne gouverne pas", et demandant un remplacement de la Constitution "conçue pour les esclaves". Certains manifestants brandissent les couleurs égyptiennes et tunisiennes en signe de soutien aux événements récents dans ces deux pays. Les policiers suivent la manifestation sans intervenir pour le moment.
La manifestation a été organisée par le mouvement "du 20 février" qui a réussi à enregistrer sur le réseau Internet Facebook près de 19.000 partisans.
Plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées au centre de Casablanca afin de participer à une manifestation pour réclamer des réformes politiques et une limitation des pouvoirs du roi, ont annoncé dimanche les médias arabes.
Les manifestants scandent des slogans "Liberté, dignité et justice!". Le mouvement "du 20 février", initié par l'opposition moyennant des réseaux sociaux d'Internet, devrait rassembler des milliers de partisans à travers le pays. Les jeunes exigent une nouvelle Constitution limitant les pouvoirs du roi et plus de justice sociale.
Le Maroc est un pays où l'âge moyen est de 26 ans, 10% d'habitants sont au chômage et 15% vivent en-dessous du seuil de la pauvreté.
Cette manifestation se déroule sur fond des événements récents en Tunisie et en Egypte. Le Yémen, la Libye, l'Algérie, la Jordanie, le Bahreïn et l'Irak sont également secoués par des manifestations anti-gouvernementales.
Un membre de la direction du CRIF refait le coup du RER D … en Tunisie !
20/02/2011 16:13
Sammy Ghozlan, tristement célèbre depuis des années pour la propagation de fausses nouvelles sur l’antisémitisme en France, vient de tenter sa chance avec la Tunisie, avec un canular provocateur dont il ressort, une fois encore , la queue basse.
Son mal nommé « Bureau National de Vigilance contre l’Antisémitisme » (BNVCA) a en effet lancé en début de semaine un communiqué, fort détaillé, faisant état de la destruction d’une synagogue à El Hamma, près de la ville de Gabès (sud de la Tunisie).
Seul petit problème : comme le souligne le président de la communauté juive de Tunisie, dans une déclaration officielle à l’AFP, il n’y a pas de synagogue à El Hamma !
Voici la dépêche publiée par l’AFP démentant la rumeur :
Tunisie : aucun acte antisémite, le chef de la communauté dément des rumeurs
Le président de la communauté juive de Tunisie, Roger Bismuth, a affirmé mercredi à l’AFP qu’aucun acte antisémite n’avait été signalé en Tunisie depuis le début de la révolution populaire, mettant en garde contre les rumeurs ayant fait état mardi de l’incendie d’une synagogue.
"A aucun moment, les juifs n’ont été visés par des attaques ou même des paroles déplacées au cours de la révolution. C’est une révolution tunisienne, qui concerne tous les Tunisiens", a déclaré Roger Bismuth.
Le chef de la communauté juive de Tunisie, qui compte quelque 1.600 personnes, a opposé un "démenti formel" à "une rumeur qui a fait état d’une synagogue incendiée" lundi soir à El Hamma, près de la ville côtière de Gabès (sud).
"Il n’y a pas de synagogue à El Hamma. Il y a un mausolée, avec la tombe d’un grand rabbin, qui est un lieu de pèlerinage. Lundi soir, plusieurs bâtiments de la région ont été la cible de saccages et la guérite du gardien du mausolée a été vandalisée et quelques chaises emportées", a-t-il poursuivi.
"Cela ne visait pas la communauté juive en elle-même. Un local de l’UGTT (le principal syndicat tunisien) a aussi été saccagé ainsi que d’autres bâtiments", a-t-il expliqué.
"Il faut faire très attention aux rumeurs. Des gens essaient de faire croire qu’il y a une volonté d’attaquer des synagogues. C’est faux. Nous ne sommes pas inquiets, nous n’avons pas demandé de renforts de sécurité au gouvernement parce que nous estimons qu’il n’y a aucune raison de le faire", a-t-il insisté.
Mardi, plusieurs responsables de la communauté juive locale avaient affirmé à l’AFP et d’autres agences internationales qu’une synagogue avait été incendiée à El Hamma, après des allégations relayées à Paris par un organisme de vigilance contre l’antisémitisme.
Plusieurs représentants de la Ligue tunisienne des droits de l’homme ont démenti auprès de l’AFP ces allégations, mettant eux aussi en garde contre les multiples rumeurs qui circulent dans le pays alors que la sécurité n’est pas encore totalement rétablie.
Et voici maintenant le communiqué du BNVCA qui avait tenté de mettre le feu aux poudres :
01/02/2011
Le BNVCA inquiét et ému par la situation qui prévaut en Tunisie en apprenant que la Synagogue située à El Hamma dans la Ville de Gabès a été incendiée, totalement détruite, les rouleaux de la Loi (Thora) calcinés BUREAU NATIONAL DE VIGILANCE CONTRE L’ ANTISEMITISME 8 boulevard Saint Simon 93700 DRANCY 0663883029 Le Président Sammy GHOZLAN 0668563029 Drancy le 31/1/11
Le Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme a reçu de nombreux appels de correspondants de la communauté juive tunisienne en France émus et inquiets par la situation qui prévaut en Tunisie, notamment en apprenant que la Synagogue située à El Hamma dans la Ville de Gabès a été incendiée, totalement détruite, les rouleaux de la Loi (Thora) calcinés, de même que les portes du temple détruites, des tombes saccagées. Selon l’un des responsables de l’association Sayed Rebbi Yossef El Maarabi, ces exactions auraient pu se produire alors que des manifestants défilaient en l’honneur du retour du chef islamiste GHANNOUCHI , dans cette ville ,qui est sa ville natale. La synagogue en question qui porte le nom d’un grand rabbin vénéré a fait l’objet d’une restauration récente. Des pèlerinages y sont organisés, et parmi les rouleaux de la thora détruits se trouvaient un très ancien parchemin. Le BNVCA a reçu un certain nombre d’informations concernant d’autres faits de nature hostile à des juifs tunisiens, mais attend que les vérifications lui parviennent . Pour autant vendredi soir vers 18 h, la grande synagogue de Tunis aurait fait l’objet d’une perquisition et d’une fouille en règle. Nous demandons aux autorités tunisiennes en place, ainsi qu’à la population de veiller à la sécurité des personnes et des biens de la minorité juive de leur pays »
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Membre de la direction du CRIF, Ghozlan en est en quelque sorte son ministre de la désinformation, à travers le BNVCA et d’autres officines. On lui doit une série de déclarations mensongères sur des actes antisémites, notamment pendant l’affaire dite du « RER D », à l’été 2004, lorsque la France entière s’était émue de l’agression d’une jeune femme par une demi-douzaine de barbares « noirs et maghrébins », avant qu’on ne découvre que cela avait été totalement inventé.
in : http://www.voxnr.com/cc/dep_interieur/EkAylFFFyyeYbbBvUA.shtml
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La SNCF est coutumière des retards. Selon une enquête réalisée par la CFDT-cheminots, un train sur trois seulement arriverait à l'heure. Une information qui fait du bruit alors que l'entreprise a dégagé un bénéfice de 697 millions d’euros en 2010.
Elle a dégagé un bénéfice de 697 millions d’eurosSIPA
La CFDT-cheminots a mobilisé une centaine de militants pendant un mois. Ceux-ci ont effectué des relevés quotidiens sur une vingtaine de lignes ferroviaires parmi les plus fréquentées, pour mesurer l’ampleur des retards. France-Info.fr a pris connaissance des grandes "lignes" de cette enquête : les relevés contredisent au moins en partie les statistiques de la direction. Selon la SNCF, le taux de ponctualité des trains dépasse les 80 %. Mais, la CFDT, elle, s’est intéressée spécifiquement aux heures de pointe pour faire ses relevés. Et, problème, il ressort que lorsque les passagers sont les plus nombreux, les retards sont plus fréquents. Un exemple parmi d’autres sur la ligne de train Corail Paris-Orléans : environ un train sur trois arriverait à l’heure en période de pointe ; c’est peu, évidemment, sur cette ligne empruntée tous les jours par plusieurs milliers de personnes qui vont travailler dans la capitale. Pour la CFDT ces retards plus nombreux en période de pointe posent la question d’une certaine saturation du réseau.
Des moyens limités
Pour répondre à ce nombre insuffisant de trains, Guillaume Pépy a annoncé, jeudi, que son entreprise allait investir cette année 2 milliards et demi d’euros pour, notamment, acheter des trains neufs. Mais, c'est une réponse à court terme. Qu'en sera-t-il dans les années futures ? D'autant que le communiqué publié hier à l’occasion des résultats financiers de l’entreprise démontre que la SNCF a des moyens limités : « La marge opérationnelle reste insuffisante pour couvrir les besoins d’investissement indispensables à la qualité de service. » La SNCF reconnaît ainsi qu’il ne faut pas s’attendre à des miracles.
La SNCF présentait ses résultats financiers, ce jeudi, avec un retour aux bénéfices (aux alentours de 700 millions d’euros, mais seulement 250 millions si l’on enlève des éléments dits "exceptionnels"), alors que Nicolas Sarkozy vient d’adresser une nouvelle lettre de mission au patron de la compagnie Guillaume Pépy. Il lui rappelle évidemment la nécessité d’améliorer le service aux usagers. Evidemment cela pose la question récurrente des retards.
Samuel B.P, presunto cómplice de Miguel C.D., supuesto autor de la muerte de la joven Marta del Castillo
18/02/2009 00:39
Samuel B.P., acusado de colaborar en hacer desaparecer el cuerpo de Marta del Castillo, ha negado ante el juez haber participado en los hechos o siquiera haberlos conocido y ha asegurado que tiene una coartada que apoya sus movimientos en la noche del 24 al 25 de enero, cuando desapareció la joven.
Fuentes próximas a su defensa han informado hoy a Efe de que el joven, en su declaración ante el juez de instrucción 4, realizada ayer lunes, dijo haber recibido amenazas de la Policía contra él mismo, su familia y su novia durante los tres días que permaneció detenido en la Jefatura Superior de Policía de Sevilla. El joven pidió ser sometido a una revisión médica por el forense de los juzgados respecto a los hematomas que aseguró tener por todo el cuerpo, lo que rechazó el juez, por lo que su defensa ha presentado hoy una nueva petición por escrito. Según las citadas fuentes, Samuel manifestó al juez que es "inocente en todos los aspectos", es decir, que no participó en la muerte de Marta del Castillo, que no tuvo conocimiento del crimen, del que presuntamente se ha autoinculpado su amigo Miguel C.D., y que no le ayudó a trasladar y arrojar el cuerpo de la joven al río Guadalquivir, como le imputa la Policía.
el joven dijo haber recibido amenazas de la Policía contra él mismo, su familia y su novia
Samuel ha dicho al juez que no habló con su amigo Miguel de este tema ni cuando se produjo ni en los 20 días transcurridos hasta que fueron detenidos, y que cuando salió en los medios de comunicación haciendo declaraciones sobre la joven fallecida no sabía nada de la presunta implicación de su amigo. Según las citadas fuentes, Samuel asegura tener una coartada de lo que hizo en la noche y madrugada del 24 al 25 de enero y han añadido que presentarán estos testimonios en cuanto puedan
http://www.abc.es/20090218/nacional-sucesos/samuel-niega-participacion-crimen-200902180001.html