28/3/2011 – 14h28 BEAUVAIS (NOVOPress) : La police a mis un nom et un visage sur le suspect numéro un dans la mort de Damien Rouillier, ce motard des douanes décédé la semaine dernière pour avoir tenté d’intercepter des trafiquants de drogue sur l’A10. Il s’agit de Zohire Zaafari, né le 27 janvier 1981 à Beauvais dans l’Oise. Déjà connu des services de police pour des affaires de stupéfiants, il est suspecté d’être le conducteur de la BMW contre laquelle le motard des douanes a trouvé la mort. Le véhicule a été retrouvé abandonné avec quelque 400 kilos de résine de cannabis à son bord.
Le drame a eu lieu jeudi dernier 24 mars sur l’A10 vers 10h15 dans le sens province-Paris à l’entrée du département d’Indre-et-Loire, à hauteur de Nouâtre, alors que le motard du service des douanes de Poitiers poursuivait un « Go Fast », un de ces convois de véhicules puissants et ultra-rapides qui convoient de la drogue du Maghreb vers la partie Nord de la France.
Quatre complices présumés ont été interpellés peu après – dont deux demeurent eux aussi dans l’Oise, les deux autres étant domiciliés en Gironde – et le plan Epervier a été déclenché pour retrouver le suspect numéro un.
Agé de 38 ans, marié et père de deux enfants en bas âge, Damien Rouiller était aussi très impliqué dans la vie locale de Vivonne (Vienne), où il était conseiller municipal.
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La farine devrait afficher l'une des plus fortes hausses parmi les produits alimentaires en rayon.Crédits photo : LARRY CROWE/ASSOCIATED PRESS
INFO LE FIGARO - L'Autorité de la concurrence enquête sur un cartel entre meuniers français et allemands sur la farine en sachet. Elle soupçonne aussi les meuniers français d'entente sur les prix de la farine vendue aux boulangers.
Au pays de la baguette, c'est une enquête sensible. Selon nos informations, l'Autorité de la concurrence soupçonne les principaux meuniers français d'entente sur les prix dans la farine. Un produit qui, sous l'effet de la flambée des matières premières, devrait afficher l'une des plus fortes hausses parmi les produits alimentaires en rayons. Le prix de gros de la farine à la grande distribution doit en effet augmenter de 15 à 20%.
Dans cette affaire, l'Autorité de la concurrence instruit plusieurs dossiers. Le premier volet de son enquête, le plus avancé, concerne la farine en sachets (généralement d'un kilo), vendue en magasins. À la suite d'une demande de clémence de la part du meunier allemand Werhahn, qui s'est dénoncé, l'Autorité reproche à une dizaine d'entreprises de meunerie françaises de s'être entendues avec certains de leurs homologues allemands, pour limiter les échanges entre la France et l'Allemagne.
Francine dans le collimateur
Dans un rapport confidentiel dont Le Figaro a eu connaissance, l'Autorité fait état de réunions «à compter de 2002 sur la farine en sachet ayant eu pour but de limiter les ventes de farine en sachet commercialisées entre l'Allemagne et la France à un volume de 15.000 tonnes par an». Les principaux meuniers français seraient mêlés à ce cartel franco-allemand qui aurait duré de 2002 à 2008, ainsi qu'une dizaine de meuniers allemands. Dans la liste figurent Grands Moulins de Strasbourg, Grands Moulins de Paris, Euromill Nord, Minoteries Cantin, Moulins Soufflet, Grand Moulins Storione, Amo (Celbert), Générales de Farine, mais aussi les structures de commercialisation France Farine et Back Mühle.
Sur le marché de la farine en sachets, l'Autorité va plus loin: elle estime que la mise en place de structures de vente comme France Farine (Francine) et, dans une moindre mesure, Back Mühle (pour le hard discount) a conduit à des pratiques anticoncurrentielles. Sur ce volet, l'Autorité s'intéresse aux sociétés Euromill Nord, Grands Moulins Storione, Grands Moulins de Strasbourg, Grands Moulins de Paris, Amo (Celbert), les Minoteries Cantin, Moulins Soufflet. Les sociétés mères Sofracal, NutriXo et Epis-Centre sont aussi destinataires du rapport. France Farine avait été créée en 1965 par un groupe de huit meuniers pour commercialiser leur production de farine en sachets. NutriXo en est aujourd'hui l'actionnaire majoritaire et sa marque Francine a un taux de notoriété supérieur à 90%.
Dans la procédure, la parole est en ce moment à la défense. L'Autorité devrait rendre sa décision définitive cet été. Interrogé hier, un bon connaisseur estime que «les critiques des services d'instructions de l'Autorité ne sont pas suffisamment établis concernant France Farine et Back Mühle». Un meunier assure pour sa part que les contacts entre Français et Allemands n'avaient eu lieu qu'entre 2003 et 2004 et qu'ils n'avaient créé aucun dommage à l'économie, les exportations de l'Allemagne vers la France ayant même plus que doublé. Jean-Michel Soufflet, président du directoire du Groupe Soufflet, deuxième meunier de France derrière NutriXo, se montre confiant. «L'Autorité nous reproche d'être actionnaire à hauteur de 12,5% de la société commerciale Back Mühle, qui est l'équivalent de Francine pour le hard discount. Mais en huit ans, nous n'avons assisté qu'à deux conseils d'administration sur vingt-trois.»
Malgré tout, le montant à venir des amendes inquiète car cette affaire devrait être l'une des premières après la réforme de la politique de sanction par l'Autorité, qui devrait conduire à plus de sévérité. À cela s'ajoute qu'elle pourrait être le prélude d'une autre enquête en cours, toujours dans la farine. À la suite de faits remontant à 2007, l'Autorité suspecte cette fois-ci des meuniers d'entente sur les prix pour la farine vendue en vrac aux boulangers. Interrogée, elle n'a pas souhaité faire de commentaire.
27/03/2011 – 17h30 NANTES (NOVOpress Breizh) – La cour d’assises de Loire-Atlantique a condamné vendredi quatre individus poursuivis pour les braquages des Super U de Baugé (49) et de Pornic (44) commis en 2007. Un cinquième, déjà condamné en 2003 pour vol à main armée, a été acquitté au bénéfice du doute.
Des prévenus qui présentaient tous le même profil : issus d’un quartier « sensible », récidivistes, présentant des chances de réinsertion pour le moins problématiques, mais très organisés dans la préparation de leurs forfaits au mobile jugé particulièrement« crapuleux » par la représentante du parquet. Des délinquants qui, selon cette dernière « vivent dans leur économie parallèle, leur monde à eux ». Au terme de son réquisitoire l’avocate générale avait requis des peines de réclusion s’échelonnant entre dix et quinze ans.
Les avocats de la défense ont sans surprise plaidé la misère sociale, les familles éclatées, les pères absents, les mères dépassées sans oublier bien sûr le chômage et la précarité. Plus original le défenseur de Mohamed El Guahhoudi a exposé que son client aurait perdu pied à la naissance de son fils. Élevé sans père, il n’a pas assumé la paternité. D’où sa participation au braquage de Baugé. La paternité cause de hold-up, voilà une thèse qui mériterait d’être recensée dans les manuels de criminologie…
Après délibéré, la cour d’assises a finalement condamné Sébastien Maret, 27 ans, l’organisateur des deux braquages, à 12 ans de réclusion criminelle ; Mohamed El Guahhoudi, 32 ans, à 10 ans ; Mérouane Touati, 25 ans, à 8 ans. Arrêté au Maroc pour trafic de drogue, rentré en France clandestinement, Amin Khallouki, 22 ans, est condamné pour sa part à 6 ans d’emprisonnement dont un avec sursis mise à l’épreuve pendant trois ans, pour sa participation dans le braquage raté de Baugé.
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27/03/11 – 18h10 PARIS (NOVOPress) – Malgré le couvre-feu qui a été prolongé à Asnières et Gennevilliers (Hauts-de-Seine), pas une nuit ne se passe sans un nouvel incident grave entre bandes ethniques des deux cités. Nouvelle victime de la tribalisation des banlieues de l’immigration, vendredi en début de soirée, un « jeune » de...
25/03/11 – 23h40 LYON (NOVOpress) – Dominique Perben (photo), candidat pour renouveler son mandat de conseiller général dans le VIe canton de Lyon, dimanche prochain a entendu l’appel de la LICRA (Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme) de donner des « consignes de vote claires et sans ambigüité, mettant fin à la cacophonie...
Opération antidrogue sur les pistes de ski Le chien des douanes est capable de détecter les effluves de drogues./Photo DDM, José Navarro Le berger belge malinois dresse les oreilles et se met à aboyer. Il a trouvé. Devant lui, le visage du jeune homme se décompose. Un douanier le fait sortir des rangs. Quelques secondes lui suffisent pour trouver une petite boulette de résine de cannabis dans ses poches. Il est 9 h 30. Les premiers skieurs s'ébattent sur le champ de neige largement pourvu de Piau-Engaly. Pour ce skieur espagnol et ses amis, c'est le début des problèmes. Pris dans l'opération coup-de-poing antidrogue initiée par le préfet des Hautes-Pyrénées René Bidal et Chantal Firmigier-Michel, le procureur de la République, les quatre skieurs espagnols en sont quittes pour payer une amende aux douanes françaises proportionnelle à la quantité de stupéfiant trouvée. Ils n'ont d'autre choix que d'aller retirer de l'argent liquide au distributeur de la station pour payer leur amende et pouvoir repartir avec leur véhicule. Pendant qu'on relève leurs identités, Vigo, le chien renifleur poursuit l'exploration de la voiture, encouragé par Jean-Luc Maury-Papot, maître-chien au PSIG d'Auch. Dans l'habitacle ou le coffre, Vigo marque plusieurs endroits en grattant. Rien n'échappe à son flair. Les investigations permettront de découvrir quelques autres boulettes. Rien à voir avec un trafic, selon le procureur Chantal Firmigier-Michel : « Il s'agit de petites quantités correspondant à la consommation d'un jour. » Vigo commence à tourner autour d'une Renault 4 immatriculée en Haute-Garonne qui patiente dans la file. Le passager avant ne cherche même pas à dissimuler. Il tend une grosse boulette de résine de cannabis et un « pétard » à un gendarme : « Vous ne voulez pas me laisser le joint… Comment je vais faire ? » lâche-t-il au militaire médusé. « Ma collègue n'en a pas sur elle, mais elle a le droit d'en fumer… » tente-t-il encore. Tellement banalisée, la consommation de cannabis semble aller de soi pour de nombreux consommateurs occasionnels ou habituels. En témoignent les réactions surprises des personnes contrôlées en possession de stupéfiants comme de l'herbe, de la résine de cannabis et même quelques grammes de cocaïne. Au final, gendarmes et douaniers ont ouvert douze procédures. Les personnes impliquées feront l'objet d'une convocation judiciaire en vue d'une composition pénale, précise Chantal Firmigier-Michel. L'avertissement est clair. D'autres opérations sont d'ores et déjà prévues dans d'autres stations de ski. « Il n'y a aucune zone de non droit » « Le message est clair : il n'y a sur le département des Hautes-Pyrénées aucune zone de non-droit. Les quartiers comme les espaces de loisirs seront contrôlés » explique René Bidal, le préfet des Hautes-Pyrénées. Après Laubadère et Solazur à Tarbes, il a décidé d'organiser avec Chantal Firmigier-Michel, procureur de la République, cette opération coup-de-poing à l'entrée de la station de ski de Piau-Engaly. « C'est une première opération. Il y en aura d'autres dans les autres stations de ski » prévient Mme Firmigier-Michel : « Le ski est un sport dangereux. Dans au moins 4 accidents de ski actuellement sur mon bureau, les auteurs étaient sous l'emprise de stupéfiants. » Le chiffre : 12 procédures > Stupéfiants. C'est le nombre de procédures ouvertes impliquant des personnes en possession de cannabis, d'herbe et d'un peu de cocaïne. http://www.ladepeche.fr/article/2011/03/27/1044745-Operation-antidrogue-sur-les-pistes-de-ski.html
Le port de Tanger-Med a enregistré une augmentation de 68,4% de son trafic conteneurisé en 2010 par rapport à 2009. Il a atteint 2,06 MEVP manutentionnés grâce à la montée en puissance de ses deux terminaux à conteneurs. En tonnage, ce port a traité 23 millions de tonnes pour la même année. Cette progression a bénéficié du dynamisme du trafic conteneurs au niveau mondial. Elle s’explique aussi par la montée en puissance progressive des deux terminaux à conteneurs qui ont atteint un taux d’utilisation de leur capacité nominale de près de 70%. Tanger-Med confirme ainsi, après quelques années d’exploitation seulement, sa place parmi les ports de transbordement leaders en Méditerranée. Il figure maintenant sur l’itinéraire de 48 services maritimes (contre 35 en 2009). L\'année 2010 a aussi été marquée par la mise en service du port de Tanger-Med passagers inauguré le 30 juin 2010. Pour sa période d’exploitation, on a enregistré 1 156 731 passagers, 384 667 véhicules et 5 010 autocars. Journal Marine marchande
La Libye était classé 53e « élevé » à l’Indice de Développement Humain du PNUD 2010, en progression constante depuis plusieurs années. L’IDH est un indicateur sérieux, publié depuis 20 ans, prenant en compte des critères comme la santé, l’éducation, le revenu par habitant, les (...) Péchu Lire les réactions
Dix ans de combats, les talibans ont reculé, mais les progrès, selon le général Patraeus, commandant en chef des forces de l’OTAN en Afghanistan demeurent incertains, fragiles et possiblement réversibles.
Le transfert des compétences militaires aux forces de sécurité afghanes est bien prévu pour cette année, avec un début opérationnel dès le début du printemps dans des provinces pas encore nommées pour ne pas orienter les talibans sur les opérations en cours. Les progrès observés l’ont été grâce à un supplément de troupes au sol déployées par Obama ces derniers mois afin de sécuriser au plus vite les zones qui seront reprises par les forces afghanes dès le printemps et la totalité des zones d’ici juillet 2011, date butoir d’un retrait possible des forces américaines, donc de l’ISAF , donc des forces françaises. Mais ces renforts ont favorisé la recrudescence de points d’accrochages avec les talibans, donc de pertes humaines.
Ce que feront les Afghans de ces zones réputées sécurisées nul ne peut le dire mais ce qui est prévisible, si on s’en tient au discours du général Patraeus, c’est que des retournements de situations peuvent avoir lieu et que les territoires gagnés sur les talibans se perdent à nouveau du fait de facteurs dès aujourd’hui visibles et palpables : notamment les compétences et expertises militaires « un peu justes » des militaires afghans, certes formés mais pour la plupart peu instruits et pas forcement enclins à choisir durablement la carrière militaire, attirés par un changement de camp et une vie facile.
Le retrait n’exclut pas les perspectives de nouveaux combats contre les insurgés mais le fond du problème, c’est aussi le traitement des zones de replis des talibans, zones en territoire pakistanais que rejoignent les insurgés après leurs actions combattantes en Afghanistan sans être véritablement inquiétés. La diplomatie fait état de collaboration avec les autorités pakistanaises, l’armée en particulier, pour intercepter les bandes armées en repli, ce qui arrive, sporadiquement seulement. Mais, chut, le sujet est tabou, le Pakistan ne plaisante pas avec le terrorisme.
Le retrait des forces de l’OTAN devrait, théoriquement, d’ici 2014, rendre impossible toute fixation d’Al-Quaïda sur le sol afghan, objectif premier pour la passation des pouvoirs. Au-delà de 2014, nous restons sur une idée de collaboration visant à empêcher toute velléité de retour des talibans ; objectif ambitieux si on considère les résultats obtenus en 10 années de guerre et l’opérationnalité hypothétique d’une armée afghane en remplacement de l’OTAN. Pas besoin d’être grand clerc pour avancer un avis : ce ne sera pas facile pour les afghans. La solution passera peut-être par une intégration des talibans aux affaires de l’état afghan sans le volet islamiste dur ou par une prise de pouvoir pure et simple à laquelle nous ne pourrions nous opposer.
En tout cas, le jour ou nous transmettrons le flambeau aux forces afghanes, les talibans ne seront ni vaincus ni détruits et resteront en capacité de combattre ; ils ne s’en priveront pas. Si l’Afghanistan, au lendemain de notre départ, viendrait à tomber aux mains des talibans, la bonne question sera de se poser si nous sommes en face d’un problème de nature stratégique ou au contraire strictement interne à une région qui ne représenta aucun danger pour notre sécurité. La reprise de nos positions, en Afghanistan par d’autres forces, non-occidentales, ne semble pas probable, qui aurait vraiment envie de s’enliser dans cette nasse ? Je pense, au contraire, que les talibans seront assez malins pour ne pas nous poser de problème direct afin qu’on les laisse s’approprier le pouvoir à Kaboul se sachant sous la menace directe de missiles de croisière pouvant troubler leurs petites affaires afghanes.
En nous retournant sur ce que nous venons de quitter il nous faudra éviter le fantasme d’un pays reconstruit, modernisé, structuré, les petites filles dans les écoles et les gentils papas barbus tenir la porte des supermarchés à leurs mamans chargées de consommables désormais accessibles et admettre que nous avons échoué. Nous quitterons et laisserons un pays dévasté par les bombes, l’ignorance et l’obscurantisme sans autre avenir que survivre au jour le jour.
La présence de nos soldats, sur le sol afghan, est de plus en plus mal ressentie par les opinions, aux USA davantage qu’en France, mais liés que nous sommes aux actions américaines dans ce pays, nous suivrons le mouvement de cette impopularité et finirons par repartir en nous demandant : pourquoi ? Parce que nous ne comprenons toujours pas le lien entre les talibans qui menacent le pouvoir à Kaboul et les actions terroristes sur nos sols occidentaux. Je pense que la menace a évoluée, les camps d’entrainement des terroristes, il y a quelques années, étaient bien situés en Afghanistan mais depuis, se sont déplacés dans d’inaccessibles zones montagneuses pakistanaises. L’étau dans lequel sont pris les talibans, celui de l’OTAN et celui du Pakistan a empêché l’exportation du terrorisme taliban et je crois que l’objectif, de ce point de vue, a été atteint. Les talibans se sont fixés d’autres objectifs, tels que le retrait de l’OTAN, on y arrive, et la voie libre à une reconquête du pouvoir sans main mise étrangère.
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Silvio Berlusconi ieri, uscendo dalla riunione europea sulla crisi libica, ha liquidato i giornalisti con una battuta: chi governa deve fare, non chiacchierare. Pochi minuti prima aveva ottenuto ciò che l’Italia voleva, cioè che il comando delle operazioni militari passasse dalla Francia alla Nato. La grande Francia è uscita scornata, una sconfitta che ai cugini brucia più della finale dei Mondiali di calcio del 2006. Il concetto del misurarsi con il fare appartiene a pochi, e tra questi non c’è certo Nichi Vendola, il governatore della Puglia che ieri in visita a Milano ha dato dei mafiosi a tutti i lombardi e in particolare a chi si occupa di sanità. Formigoni non è stato a guardare, o meglio, a sentire. Con uno slancio inedito, ha mandato più che a quel Paese il collega pugliese: è un miserabile drogato. Parole sante, roba da applauso. Ci sarebbe poco da aggiungere, se non che Vendola è proprio il prototipo del politico a parole. Nonostante i pugliesi siano gente straordinaria, la Puglia modello Vendola è la Regione peggio messa d’Italia in quanto a debiti, clientele, trasparenza ed efficienza. Soprattutto in campo sanitario. Tanto che se un pugliese ha problemi di salute seri va a curarsi negli ospedali della Lombardia. L’unica cosa che Vendola ha fatto è di riaprire l’ospedale del suo paese natio, così, tanto per accontentare parenti e amici. Per il resto della sanità di quelle parti si è parlato molto ma per tangenti, truffe, scambio escort-appalti. In quanto alla mafia è vero, in Lombardia ce ne è troppa. Detto che la mafia, per definizione, va dove ci sono i soldi, il fatto è che a Milano, a differenza di quanto avviene al Sud, non attacca. Non nel tessuto sociale, non nelle istituzioni. Certo, padrini e picciotti saliti dal meridione fanno danni, eccome. Ma per tutti sono il nemico. Qualcuno di questi signori si sarà anche infiltrato negli ospedali, ma ciò non ha impedito ai medici di mantenere le strutture a livello di eccellenza europea. In Lombardia i mafiosi non godono di reti di protezione tra i cittadini, quando li arrestano i vicini di casa applaudono i poliziotti, non li insultano e minacciano come spesso accade al Sud. In Lombardia la mafia la si combatte tutti in modo semplice: andando a lavorare ogni mattina, portando i risparmi in banca e non altrove, chiamando le istituzioni e non altri quando si ha un problema. Povero Vendola e povera sinistra che alle imminenti elezioni comunali di Milano contrappone alla Moratti proprio un uomo, politicamente parlando, di Vendola. Scherzi delle primarie, e della natura. http://www.ilgiornale.it/interni/ma_vendola_e_drogato/vendola-sinistra-formigoni-puglia-lombardia-mafia-droga/26-03-2011/articolo-id=513841-page=0-comments=1
Un motard des douanes de 38 ans est mort pendant son service. Dans la Vienne, on pleure un père accompli et un homme investi dans sa communauté.
Damien Rouillier motard des douanes de Poitiers (Vienne), est mort après avoir été grièvement accidenté jeudi alors qu’il poursuivait un véhicule lancé à environ 200 km/hDR
L’homme laisse derrière lui une épouse et deux enfants en bas âge. Après une demi-journée passée dans un état critique, Damien Rouillier est mort. Cet homme de 38 ans, motard des douanes de Poitiers (Vienne), avait été grièvement accidenté jeudi alors qu’il poursuivait un véhicule lancé à environ 200 km/h. Peu après 10 heures, Damien et ses collègues tentent un « contrôle volant » sur l’autoroute A10, une course-poursuite s’engage avec une BMW roulant à vive allure, fuyant manifestement la présence des douaniers. Aux environs de Nouâtre (Indre-et-Loire), des travaux font brusquement ralentir le véhicule. Damien, surpris, s’encastre dans l’arrière de la puissante berline. Il est retrouvé 150 mètres plus loin. Cette voiture faisait partie d’un go-fast – une série de puissantes BMW transportant plus de 400 kilos de stupéfiants – lancé sur l’autoroute qui relie Bordeaux à Paris, l’autoroute empruntée par les trafics entre l’Espagne et le nord de la France. Quatre personnes ont été interpellées, une cinquième est toujours en fuite.
Dans Vivonne, une commune de la Vienne où Damien vivait, où sa famille a ses racines, l’émotion est grande. D’autant plus que dans cette ville de 3.000 habitants, Damien était très investi. Conseiller municipal depuis 2008, membre à la fois des commissions consacrées aux campings, aux sports et à la voirie, il est décrit par Jacky Quintard, également membre du conseil, comme « un homme très dynamique, capable de défendre ses idées. Il avait son franc-parler, et c’était un garçon entier ».
Un sportif accompli
Investi, Damien l’était aussi dans les associations sportives. « Il faisait partie du bureau de l’association de karaté, poursuit Jacky Quintard. Ses enfants aussi adoraient le karaté, peut-être parce que lui l’aimait autant… » Joël Chartier, président du club Vivonne 86 Loisirs, témoigne d’un membre « très sportif. Il était ceinture noire de karaté et donnait des cours aux jeunes des centres d’aide par le travail (CAT) de Vivonne. »
Son implication sportive ne s’arrête pas aux arts martiaux. La course à pied prend beaucoup de son temps libre. Damien est de toutes les épreuves, jusqu’au marathon de New York, qu’il parcourt en 2009 en moins de 3 h 40. « Dernièrement, raconte Joël, il ne courait plus car il s’était blessé au genou. Alors, en attendant qu’il aille mieux, Damien nous accompagnait à vélo le dimanche matin. » Infatigable. Et quand il ne court pas, il participe à l’organisation des événements de l’association, les sorties, les courses. Aujourd’hui, l’heure est au recueillement pour les fondus de sport qui partageaient sa passion. Joël, ému, a encore a faire : « Je dois prévenir les autres membres de l’association. On va essayer de se réunir ce soir et on décidera de quelle manière on lui rendra hommage. »
« A fond »
Un sportif donc, mais aussi un motard chevronné. Mathieu Poisay, 38 ans, a rencontré Damien à l’école primaire, l’a suivi sur les bancs du collège. Il se souvient d’un garçon gentil et discret, passionné de moto. « Ça a toujours été une grande part de sa vie. A l’époque, son père en avait une », confie-t-il. Son service militaire ? Damien le passe naturellement au peloton d’autoroute de Naintré, dans la Vienne. En 2006, il entre tout aussi naturellement dans les douanes, comme motard. Joël a appris sa mort par un ami de Damien. Par les journaux, il a appris les circonstances du drame. « Connaissant Damien, il a voulu faire son métier à fond. Il y a laissé sa peau… »
Mexique: fusillade armée/trafiquants .5traficants pacifiques mais armés de kalash comme les pacifiques manifestants en Lybie ?)
27/03/2011 00:56
Mexique: fusillade armée/trafiquants
AFP 26/03/2011 | Mise à jour : 22:47 Réactions (4)
Sept hommes armés ont été tués dans la ville mexicaine de Nuevo Laredo (nord est), à la frontière avec les Etats-Unis au cours d'une fusillade qui les a opposés à des militaires, a annoncé samedi un responsable des douanes mexicaines.
"Les hommes armés se trouvaient à l'intérieur d'une remorque transportant des armes en contrebande dans la nuit de vendredi à samedi. La fusillade a éclaté lorsque des soldats ont arrêté le camion-remorque et demandé à l'inspecter. Les hommes armés sont apparus lorsque les soldats ont ouvert la portière de la remorque.
Les soldats ont ouvert le feu et sept civils ont été abattus" a précisé à l'AFP un fonctionnaire du bureau du Procureur général de la République qui a préféré garder l'anonymat. D'autres hommes armés sont arrivés sur les lieux et ont tiré jusque dans l'intérieur du camion pour faire exploser les munitions des armes transportées, a-t-il ajouté.
Une explosion s'est effectivement produite, des grenades à fragmentation ayant notamment été touchées. Les trafiquants transportaient en plus des armes, des ordinateurs et des équipements sophistiqués de communication radio et de vidéo, a-t-il poursuivi.
Nuevo Laredo, point de transit terrestre le plus important pour le commerce entre le Mexique et les Etats-Unis, est le théâtre depuis plus d'un an d'une vague de violence due au conflit qui oppose les deux principaux cartels de la drogue, autrefois unis, le cartel du Golfe et celui des Zetas dirigé par d'anciens militaires appartenant aux corps d'élite de l'armée mexicaine.
AFP 24/03/2011 | Mise à jour : 22:53 Réactions (3)
Un motard des Douanes était entre la vie et la mort ce jeudi soir après un accident avec un véhicule qu'il poursuivait sur l'autoroute entre Poitiers et Tours, et un suspect a été interpellé, selon des sources judiciaires et préfectorales.
"Un motard de la brigade des douanes de Poitiers a été renversé sur l'autoroute A10 vers 10h15 dans le sens province-Paris a l'entrée du département d'Indre-et-Loire, à hauteur de Nouâtre", a indiqué à un correspondant de l'AFP le procureur de la République de Tours, Philippe Varin.
"L'accident s'est produit alors que le motard était engagé dans une course-poursuite à la suite d'un contrôle volant. Le motard est dans un état critique, son pronostic vital est engagé", a-t-il souligné.
Selon Edgar Perez, directeur du cabinet du préfet d'Indre-et-Loire, un des deux occupants du véhicule a pu être arrêté près de Maillé (Indre-et-Loire) tandis que l'autre a réussi à prendre la fuite.