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Créé le : 02/09/2007 21:02
Modifié : 10/06/2011 13:27

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Delarue en repenti de l'église médiatique

26/02/2011 06:08



Jean-Luc Delarue, l'animateur, sillonne les routes de France pour parler des drogues avec des lycéens... aux côtés de son nouvel amour. Bisounours, sortez vos mouchoirs, rigole Aliocha !



C’est tellement beau qu’au début j’ai cru à une blague.

Jean-Luc Delarue, flanqué d’un nouvel amour prénommé Anissa, sillonne les routes de France en camping-car pour parler de son expérience de la drogue dans les lycées. Si !

Excusez-moi... Je m’interromps pour réprimer… un sanglot d’émotion.

Reprenons.

Tout y est. L’histoire d’amour, la repentance publique, l’humble camping-car symbole de contrition. Un grand shoot d’émotion populaire garanti. Larmes à tous les kilomètres, sortez vos mouchoirs, préparez vos acclamations, branchez les applaudimètres ! Le circuit débute ce soir à Quimper et se poursuivra dans une trentaine de villes de France. Les parents d’élèves sont ravis que Delarue attire l’attention des adolescents sur le problème de la drogue. Ils ont raison, quel modèle en effet pour la jeunesse que cet homme-là !

Delarue en repenti de l'église médiatique
Delarue est ravi à l’idée de se racheter une conduite et de sauver sa carrière. On le lui souhaite de tout coeur. La fiancée doit être ravie aussi de voir son homme prendre le chemin de la vertu. Ah ! Le miracle de l’amour. Quant aux médias, ils frisent l’orgasme. Pensez donc, un présentateur vedette tout droit sorti de l’enfer de la drogue qui part évangéliser la jeunesse en compagnie de sa jolie fiancée, ça c’est de la belle histoire à raconter aux lecteurs. Avec photos et témoignages reconnaissants à l’appui. Peut-être même qu’on s’offrira un sondage sur les chances de Delarue à la présidentielle. Tant qu’on y est.

Bref, nous baignons dans le ravissement de l’Empire du bien triomphant, si cher à Muray. C’est beau comme un après-midi entier chez Drucker. Nous atteignons même, à mon avis, le summum de la fiction positive dégoulinante. A côté, les Bisounours font figure de dangereux prédateurs pervers, E.T. prend des allures de serial killer et Casimir ressemble à un vieux reptile venimeux.
http://www.marianne2.fr/Delarue-en-repenti-de-l-eglise-mediatique_a203149.html

Lire d'autres articles du blog en cliquant ici.





Coke en stock (VIII) : le 727 du prince saoudien par Morice

26/02/2011 05:18



Coke en stock (VIII) : le 727 du prince saoudien

par morice vendredi 25 février 2011 - 7 réactions Ecouter en mp3 (Readspeaker)

Et de quatre ! Non, de cinq, si l’on remonte un peu plus loin dans l’histoire. Car l’idée de remonter de Colombie des poids astronomiques de drogue par avion n’est pas totalement nouvelle, à vrai dire. Ni même la sorte d’avion qui le permet. Il y a plus de dix ans déjà, un appareil similaire à celui qui s’est écrasé au Mali avait déjà tenté de le faire. Là encore, on a déjà tout oublié le concernant. Logique, quand on se remémore son propriétaire. Il est en effet des personnes, qui bénéficient assez vite de l’omerta de la presse si on les prend en situation délictueuse. Car l’individu a le bras très long, et peut se permettre de n’être condamné que par contumace et ne jamais avoir à se livrer. C’est le cas de certains princes saoudiens parmi ceux qui conduisent cette planète, assis sur leur matelas de pétrole qui parfois ne leur suffit pas. C’est le cas incroyable d’un prince saoudien déjà oublié, trafiquant de drogue récidiviste à ses heures.

 Lorsqu’on dévoile les noms des trois pilotes arrêtés par la police de Guinée Bissau, Carmelo Vásquez Guerra, Carlos Luis Justiniano Núñez et Daniel Aguedelo Acevedo, une étrange impression apparaît : l’un d’entre eux nous dit quelque chose. Le premier cité a en effet un frère. Michael Vásquez Guerra, qui, le 21 avril 2006, avait lui aussi dû lui aussi faire un atterrissage d’urgence à Ciudad del Carmen, dans l’Etat du Campeche, au Mexique sur la route du Vénézuela. A bord de ce DC-9 immatriculé N900SA, les policiers mexicains avaient saisi 128 valises noires, représentant 5,5 tonnes de cocaïne. Un record ! Mais à la limite, ce n’est pas ça qui avait le plus choqué. Non, c’était la livrée extérieure de l’avion, celui de la très officielle SNA américaine (« System of National Accounts »), une subdivision de la Transportation Security Administration (TSA). L’avion était enregistré lui en Floride au nom de Sky Way appartenait de droit à la compagnie charter de Floride « Royal Sons Inc ».

 « Royal Sons Inc », la même firme que j’ai citée dans l’épisode rocambolesque de la mort d’un agent de la CIA à Houston, l’incroyable Roland Carnaby, membre de l’Association of Former Intelligence Officers (les anciens de la CIA). L’organisateur de transferts de voitures américaines vers l’Irak et qui possédait des entrepôts dans le port juste à côté de Karam LLC et de… Royal Sons. Karam, le nom de l’entreprise qu’avait créé à Orlando, en Floride, un dénommé Mohammed Atta, un ressortissant « français » habitant « Marseilles » (sic) selon sa fiche locale d’entrepreneur  ! Mieux encore : le hangar à Venice détenu par Royal Sons avait auparavant appartenu à Huffman Aviation, là ou Atta prenait ses cours de pilotage ! Décidément le monde de la Floride est bien petit ! Le monde des trafiquants de drogue est étonnant, et la Floride un siège mondial !

Le DC-9 avait encore intrigué pour deux autres raisons : ses logos « officiels » du gouvernement américain, et à son arrivée, visiblement, des militaires mexicains qui l’attendaient. Quelques minutes après avoir arrêté les trois pilotes, en effet, le général mexicain Carlos Gaytan tenait une bien étrange conférence, pleine d’erreurs et de contradictions, dans laquelle il indiquait que « le pilote », hélas, s’était échappé ! La conférence tournait au gag, car pendant qu’il le faisait, l’un des pilotes, justement, vu par plusieurs journalistes, fendait les rangs des soldats pour s’échapper ranquillement derrière eux, à pied. Le général précisant alors, pour rattraper sa bévue, qu’il avait réussi à capturer… un co-pilote ! A ce stade de magouilles éhontées, on se dit que l’on n’est pas dans un cas de figure de simple vendeurs de drogue, mais bien de ce qui semble être une protection ressemblant comme deux gouttes d’eau à une totale immunité diplomatique. Ce qui sera confirmé un peu plus loin. Celui qui partait tranquillement ce jour là de l’aéroport sans être inquiété était, vous l’avez deviné, Michael Vásquez Guerra.

Pendant la conférence de presse surréaliste, les journalistes remarquaient aussi une chose : à côté du DC-9 stationnait, avant que l’armée ne déplace le DC-9 un Falcon 20… Or ce Falcon était mexicain, ou en tout cas arborait une numérotation mexicaine : XB-IYK. Il était arrivé plusieurs jours avant, avec deux pilotes militaires dont le comportement avait étonné. Ils avaient tenté de soudoyer les responsables de la tour de contrôle pour qu’ils acceptent l’atterrissage express du DC-9, au prétexte d’ennuis hydrauliques. Le bon vieux plan des trafiquants de drogue pour imposer un atterrissage imprévu. Ce qui fut fait, à vrai dire. C’est au nom de ses ennuis que les militaires interdiront aux personnes présentes de monter à bord en « raison d’explosion possible » et saisiront la drogue. En France, certains savaient tout de cette histoire : selon les services de renseignement français, en effet, l’avion pisté par leurs services devait transvaser son chargement venu de Colombie vers un appareil plus petit » venu d’Arabie Saoudite ». Une vieille histoire datant de 1999 qui remontait à la surface… Avait-on eu affaire à un faux Falcon Mexicain ? Le 15 août 2007, un spotter retrouve le fameux appareil. Il s’intitule XC-HID, et appartient désormais à la Police mexicaine, après avoir été XC-DIP de la Banco Nacional de Crédito Rural et le fameux YB-IYK…Décidément on s’enfonce dans les gouvernements et non pas dans un circuit de simples trafiquants ! Le 11 juillet qui suivait, on apprenait que le président urugayen Ramón Vázquez Rosas achetait lui aussi aux français un Falcon 20, pour 26 millions de dollars. Le même qu’Hugo Chavez !

L’avion lui-même posé à Ciudad del Carmen avait lui aussi beaucoup à dire. Agé, (il avait été construit en 1996 et avait donc quarante ans !), le DC-9 avait appartenu auparavant à TWA (sous le numéro N1061T), Tracinda Investment(numéro N241TC), le chanteur de country (genre variété) Kenny Rogers, le temps d’une tournée, (avec le N9KR), mais aussi sous le registre de Southmark Corporation (N89SM), puis repeint aux couleurs de l’équipe de football américainSeattle Seahawks (N40SH), et enfin sous le nom d’HW Aviation, avant d’être vendu à une firme appelée Skyway…

 Skyway, qui en avait acheté deux, de DC-9 (ici en photo tous les deux à St Peterburg !). Le N900SA et le N120NE (vu ici à Van Nuys, endroit connu pour maquiller les appareils ! ), destiné selon elle a tester un tout nouveau procédé de communication entre le sol et les avions, et de pouvoir faire même de l’internet à plus de 30 000 pieds d’altitude. Evidemment, la firme avait décroché avec un pareil intitulé un contrat avec l’armée et s’était associée à des investisseurs, notamment des koweitiens et des banquiers d’Arabie Saoudite. Surfant sur la grande peur du 11 septembre, la firme, dont les trois dirigeants sont le mari, sa femme et leur fils, allait alors engranger 40 milions de dollars d’investissements de 2002 à 2005, louer à Tampa un énorme hangar de « réparations » …. et ne jamais rien produire ni réparer ! Son projet de transmissions était du flan complet ! En mai 2005, elle se déclare en faillite, embarquant avec elle « 24 investisseurs du Proche Orient lésés »annonce brutalement la presse. Parmi ceux-ci, l’homme à la tête de la Kuwaiti National Guard, le prince Miteb Bin Abdullah Bin AbdulAziz Al Saud. Dont l’armée est entraînée par l’US Army.

Le patron, Brent Kovar, et son associé James S. Kent, ancien des services spéciaux de l’armée, ne seront reconnus comme fraudeurs que le 18 mars 2009 par le gendarme de la Bourse, la SEC Securities and Exchange Commission. Pourquoi donc avoir attendu si longtemps ? On cite le chiffre de 1,8 millions de dollars détournés, sur le dos de 18 investisseurs. Selon la SEC, ce sont 76,65 millions de dollars d’actions qui avaient été levées, pour 12 millions de profits pour Kovar… Parmi les investisseurs, une firme, ’DuPont’ qui avait injecté en 2004 plus de 7 millions de dollars avec en prime un des deux DC-9, une société associée à un autre fond d’investissement intitulé « Red Sea Management » … le nom d’emprunt presque pas transparent des « saoudiens » dans l’affaire. Le second DC-9, le 120NE était devenu Genesis Aviation en 2004. Genesis, un clone de Skyway, faisant partie des sociétés de Floride en forme de poupée russe et n’ayant qu’une boîte aux lettres telles que Royal Sons, Express One International et United Flite Inc, toutes mouillées dans les « renditions flights ». On nage toujours dans un marigot à crocodiles, en Floride.

Mais il y a mieux encore derrière Skyway. Au conseil d’administration, il reste toujours le fondateur : James R. Bath, au milieu de tas d’affaires et de relations, qui a créé Skyway Aircraft Leasing Ltd en changeant le nom de sa firme précédente, Cotopax Investments, enregistré en 1980 aux îles Cayman. Cette année là, il est devenu le seul membre du conseil d’administration : deux membres l’avaient quitté pour former chacun leur société, respectivement « Cayhaven Corporate Services » et « Bird », qui vont vite fusionner pour devenir « I.C., Inc ». Or c’est justement le nom de la société qui va servir d’écran à Olivier North pour ses trafics d’armes et de drogue pour alimenter les Contras ! L’éclatement de l’entreprise était bien une volonté commune de cacher quelque chose. D’ailleurs, quand le 7 mars 1987 North est dénoncé, James R. Bath supprime aussitôt les noms de ses anciens associés de ses registres. La société de Bath est étroitement liée au pouvoir en place. Logique, G.W.Bush et James Reynolds Bath ont fait ensemble leur service militaire dans la Guarde Nationale, ce qui leur évitait d’aller au Viet-Nam. Ce sont tous deux deux « champagne pilots » de leur base de F-107 dans lesquels ils ne montèrent jamais. Sauf pour la photo. Ils ne mirent jamais les pieds à la base non plus d’ailleurs. Les deux seuls généraux qui ont essayé de le dire sont morts brutalement. Un pur hasard, bien entendu.

 Au sortir de son service militaire, James R. Bath va être un temps banquier : à la BCCI (lui aussi), qui va s’effondrer et fonder une compagnie de revendeur d’avions JB&A Aviation. A la BCCI, il s’est acoquiné avec Ghaith Rashad Pharaon, un multimililardaire saoudien de Rhyad enrichi par le pétrole et rival d’Adnan Khashoggi. Pharaon, un homme ayant fait ses études en France, au lycée Janson-de-Sailly ! Propriétaire du château de Montfort, dans le Périgord. A un moment de la débâcle de la BCCI, en 1991, le FBI cherchera à saisir le yacht de Ghaith Rashad Pharaon, sans jamais parvenir à le faire avant 2006. On se dit que l’état US a bien une dent contre lui. Pensez-donc : le 4 juin 2008, le Pentagone a accordé un contrat de 8 millions de dollars à Pharaon ! Via sa société pakistanaise de fourniture d’ essence, Attock Refinery Ltd, pour fournir les bases américaines en Afghanistan ! L’année précédente, Attock avait fourni pour 40 millions de dollars de kérosène aux américains ! Le 11 juin 2006, pourtant, on avait appris que le yacht Le Pharaon avait été investi par le FBI au large de la Sicile, près de l’île de Pantelleria. Parmi ceux qui avaient révélé au grand jour les liens douteux de la famille Bush avec la famille saoudienne, le sénateur Kerry, très actif sur ce front. James R. Bath était en effet aussi aux Etats-Unis le représentant de Khalid bin Mahfouz, le propre beau-frère de Ben Laden. Kent étant en liaison avec le sénateur Mel Martinez, et avec Charlie Christ, le remplaçant de… Jeb Bush en Floride ! Un bien joli petit monde ! Khalid bin Mahfouz était membre lui aussi de la Bank of Credit and Commerce International (BCCI) ! Pharaon, serré par le juge Van Ruymbeke en 2003 pour la vente d’un superbe immeuble, l’hôtel de Coislin, situé place de la Concorde, à Paris.

En 1999, un événement ahurissant va se produire avec la firme : c’est à la fois une bombe médiatique et la préfiguration d »un système qui nous ramène au crash du Mali : la boucle est bouclée. Un avion piloté par le personnel de Skyway International se retrouve bloqué au sol à Paris au Bourget : la police française a découvert à bord deux tonnes de cocaïne. A bord, il y a le prince Nayif bin Fawwaz al-Shaalan al-Saud. Voilà pourquoi les services français se doutaient qu’un Falcon saoudien allait venir, pour sûr, au Mexique ! Diplomatiquement, c’est fort délicat, on le conçoit : on marche alors sur des œufs ! Le prince Nayif bin Fawwaz al-Shaalan al-Saud, gendre du vice-ministre saoudien de la Défense du pays, possédait son propre avion « royal », celui de la famille régnante, et c’était justement un Boeing 727 ! Géré par Skyway ! Or, justement, c’est cet appareil qui devait servir au transport des deux tonnes de coke venant de Colombie. Le 16 mai 1999 le Boeing 727 atterrissait au Bourget, et les deux tonnes de drogues étaient débarquées discrètement à Noissy-le-Sec dans la résidence française du prince saoudien. La police française en retrouvera 800 kilos seulement. Pour obtenir la drogue, il avait rencontré directement Oscar Eduardo Campuzano Zapata, Juan Gabriel Usuga Norena et Carlos Alfonso Ramon Zapata -les membres du cartel de la drogue de Medellin-, à Marbella, où le roi Fahd possédait une énorme résidence. Les princes saoudiens, de vulgaires trafiquants ? Pour des bloggueurs ayant de l’humour, c’est bien la « French Deconnection » !! !

 Le 10 Mai 2007, le prince se voyait condamné au tribunal de Paris à dix années de prison par contumace, avec ses dix co-inculpés. La condamnation est plutôt discrète dans la presse. Parmi les autres condamnés à 10 ans : Mario Oller-Martinez, Jean-Francois Tixador, Wilson Rodrigo Jimenez Montanez, Humberto Gomez Maya et Edgar Augusto Gutierrez Guevara. Seul Jose Maria Clemente avait hérité de 5 ans. A l’autre bout de la sentence parisienne, Oscar Campuzano, Carlos Ramon and Juan Usuga, trois colombiens, faisant partie des personnes recherchées, seront arrêtés par la police américaine… à Miami. Et pas avec n’importe qui. Dans le lot, le FBI met la main sur l’ancienne petite amie du prince, qui, logiquement, a des choses à dire.

Parmi les informateurs du FBI on trouvait l’omniprésent Baruch Vega ! Celui qui retournera Victor Patino Fomeque, un ancien chef de bande du cartel de la Vallée du Nord colombienne mais aussi ancien membre de la Police Nationale colombienne ! Les deux derniers avaient vu leur peine réduite car ils avaient décidé d’aider la justice américaine : ils ne firent que trois ans de prison. Les repentis, l’arme fatale des réseaux. Durant le procès, une des écoutes avait montré qu’avec son 727, Le prince avait promis de pouvoir ramener de 10 à 20 tonnes de drogue en une seule fois ! A Noisy, il y en avait déjà pour 15 millions de dollars de l’époque avec deux tonnes ! Voilà qui n’est pas sans rappeler le crash malien…

Le 30 août 2005, épiloque de l’affaire : Doris Mangeri Salazar, est condamnée à 24 ans et 4 mois de prison et Ivan Lopez Vanegas à 23 ans : Doris est l’ancienne petite amie du prince, et Ivan un des colombiens qui a servi d’intermédiaire avec les barons de la drogue du pays. Ils avaient été arrêtés tous deux le 17 juillet 2002 à Coral Gables, en Floride. Revoilà le nom déjà cité ! Or, il intervient ailleurs historiquement : dans les archives de Jim Garrison , le procureur intègre à qui on doit d’énormes avancées sur l’assassinat de Kennedy, on tombe régulièrement sur cette ville. Clay Shaw, impliqué selon Garrisson dans l’assassinat, avait comme contact Sergio Arcaha Smith, un agent du FRD (Frente Revolucionario Democratico), une association bidon d’anticastristes créée entièrement en mai 1960 par la CIA. Or, de novembre 1960 jusqu’à Octobre 1961 la boîte postale de contact entre la CIA et Arcacha était celle des bureaux du FRD à… Coral Gables ! S’il y a bien un fief d’anticastristes maqués jusqu’au cou avec la CIA, c’est bien à Coral Gables  !

Et qui trouve-t-on aussi à Coral Gables ? Wackenhut, auprès de qui Blackwater passe pour un clan de louveteaux !!! La présence à sa tête de personnes comme Clarence M. Kelley, ancien directeur de la National Security Agency, le directeur de la Defense Intelligence Agency, le général Joseph Carroll, celui de L’US. Secret Service, James J. Rowley ou encore de Bobby Ray Inman, ancien directeur de la CIA et conseiller de Bush père, ou de l’ancien secrétaire à la défense et de la CIA Frank Carlucci, indique tout de suite qu’on n’a pas affaire à des marioles. Wackenhut est apparu, rappelons-le dans l’affaire des tueurs du Brabant, en Belgique ! Et dans les années 80, comme par hasard c’est Wackenhut qui est au premier plan de lutte anti-communiste en Amérique du Sud ! Wackenhut, l’ancêtre de Blackwater est dans le secteur depuis toujours !

Lors du procès de la belle, on avait appris le circuit utilisé pour l’acheminement : la drogue venait bien de Colombie, était cachée dans des camions de pommes de terre… siglés de l’ONU (!) et avait passé la frontière vénézuelienne sans encombre ! Sidérant ! L’avion du prince était parti de La Maqueita, à Caracas, pour arriver en Arabie Saoudite (on ne donne pas le détail des aéroports-relais utilisés). Bref, il avait inauguré 10 ans avant le parcours communément utilisé aujourd’hui ! Dans un sens, ce prince saoudien est un visionnaire ! On y avait appris aussi pourquoi en 1984 le prince, alors qu’il faisait ces études à Miami avait quitté rapidement le pays : il avait été tout simplement déjà pris dans un trafic de cocaïne avec un petit Cessna dans le Mississipi ! Il avait été condamné… mais la Cour de justice du Mississipi ne pouvait plus rien prouver : le jugement avait disparu de ses archives !!! Encore un curieux hasard ! C’est fou dans ce genre d’affaires ce qu’il peut y en avoir !

 On y avait appris aussi comment il s’était fait prendre notre si bon prince : dans le coffre de sa petite amie Doris Mangeri Salazar, au comportement bien étrange, plusieurs photos l’avaient montré en plein désert, en compagnie des trafiquants,notamment Juan Gabriel Usuga et Carlos Ramon, en train d’organiser avec lui une dernière réunion pour organiser le transfert dans son avion personnel ! La précédente avait eu lieu au « Cyclops Cattle Ranch » près de Medellin. Pris sur le fait, documents photographiques à l’appui que la belle gardait jalousement dans son coffre personnel ? De quoi faire chanter un prince saoudien quand elle le désirerait ? Deux ans plus tard, le jugement est cassé en appel et les deux condamnés libérés. Aujourd’hui, en 2009, personne n’est donc plus en prison ! La belle travaillait pour qui ? Certainement pas pour elle…

La dernière fois qu’on avait vu un Boeing royal en France c’était à Mulhouse, le 14 avril 2005,repeint à neuf. On ne sait si le prince était à bord, au quel cas il aurait pu être arrêté. Le 13 novembre 2007 on apprenait qu’un autre prince de la famille royale, le Prince Mohamed Bin Issa Al Jaber of Saudi Arabia venait de se commander un airbus A380, vendu 320 millions de dollars. Il possédait lui aussi un 727 à son sigle, MBI, pour Mohamed Bin Issa. Et un Bombardier BD-700-1A11 Global 5000. également. (pour faire ses petites courses, certainement). On ignore si c’est pour y mettre des pommes de terre au dessus de ses valises… en juin 1994, c’est lui qui avait apporté 500 millions de dollars dans le parc Disney qui était en difficulté. L’ami de Patrick Balkany ne lésine pas. Il « pèse », il est vrai, 5,3 milliards de dollars !

 L’histoire abracadabrantesque du prince saoudien dealer à été racontée dans « La Coke Saudienne : au coeur d’une affaire d’Etat » (Editions Flammarion), écrit par Fabrice Monti, ancien membre de cabinet du ministère de l’intérieur au Quai des Orfevres. Le livre décrit clairement une véritable « guerre de la drogue » entre la DEA américaine et le Quai des Orfevres. Une guerre sans merci, où les intérêts divergent complètement sur les buts et les attenants. Un ouvrage fondamental qui éclaire sur les circonvolutions de cette guerre à la drogue aux multiples facettes. « Le livre raconte l’intrigue où de grands trafiquants appartenant au cartel colombien de Medellin, interceptés et retournés par la police de Floride, auraient donné leurs acolytes de France et le maître d’oeuvre saoudien impliqués. Par-delà les péripéties, le dénouement partiel, l’auteur fixe son intérêt sur le prince saoudien resté jusqu’ici indemne de toute sanction. Deux nations sont en jeu dans la relation d’un échange entre le ministre saoudien de l’Intérieur, le prince Nayef Ibn Abdel Aziz et l’ambassadeur de France à Ryadh, Bernard Poletti. L’auteur cerne l’enjeu, à savoir le projet de contrat de sécurité entre les deux pays, assurant par l’entremise des moyens mis en oeuvre par les grandes sociétés françaises Thalès et Alcatel et le groupe européen EADS (lesquels viennent de remporter de gros marchés en Libye au cours de la visite du président Chirac) la sécurité des frontières, la surveillance et la défense de 5000 kms du périmètre saoudien (SBGDMSA). » C’est vrai ça, en définitive « que pourraient faire les justices françaises, américaines et suisses d’un aussi encombrant prévenu que le prince Nayef Al-Shaalan ?« conclut le livre ! Voilà notre prince devenu subitement hindou : un véritable intouchable ! Il fallait surtout le voir trouver de belles excuses pour tenter de concilier islamisme et usage ou trafic de drogue…

Quand à notre pilote, Carmelo Vásquez Guerra, le frère de l’autre, il est décidément aussi fort que lui : détenu quelque temps dans les cellules de la po lice judiciaire du pays, il a été relâché par un juge bissau- guinéen, mais ça vous le savez déjà depuis les épisodes précédents ! Le revoilà libre, comme son frère !!! Incroyable fratrie qui traverse impunément toutes les geôles du monde !! Et quant à l’aspect historique, nos découvertes ont montré que cet appareil n’a pas non plus été véritablement le pionnier du transport en gros porteur à réaction de quantités importantes de drogue. Mais cela, on a bien le temps d’y revenir dans les épisodes qui vont suivre…

PS : le reportage de la série « Royal Inquest« , d’Atlas Medi Corp, dirigé par le prolifique réalisateur Bruce David Klein, véritablement très saisissant, est visible ici. Il mérite d’être visionné (ou même téléchargé) ! Ménagez vous les 48 minutes nécessaires pour le regarder entièrement ! A s’étonner pourquoi n’a-t-on jamais évoqué le sujet en France… dans « Faites entrer l’accusé« , par exemple ! Pourquoi donc ? A, c’est vrai, il y a ça…

par morice vendredi 25 févrie




Vous avez dit responsables ?Trois trafiquants de drogue ont été remis en liberté

21/02/2011 05:54



Trois trafiquants de drogue ont été remis en liberté


Crédits photo : FRED DUFOUR/AFP

Interpellés cette semaine avec 1,3 kg de cocaïne, les trois hommes ont été libérés jeudi, faute d'avoir pu être jugés en comparution immédiate pour cause d'audience tardive. Le syndicat policier Synergie proteste.

Regain de tension entre la police et la justice. Faute d'avoir pu être jugés en comparution immédiate pour cause d'audience tardive, trois trafiquants de drogue ont été remis en liberté jeudi à Draguignan, dans le Var, ont révélé samedi plusieurs sources concordantes. Une décision prise par le juge des libertés et de la détention (JLD).

Interpellés cette semaine avec 1,3 kg de cocaïne dans leur véhicule au péage du Capitou sur l'A8, à Fréjus, les trois «mules» ont été déférées jeudi devant le parquet pour «transport et détention de stupéfiants». Alors qu'ils devaient passer en comparution immédiate, les magistrats n'ont eu le temps de traiter qu'une seule procédure de ce type parmi toutes celles programmées. En cause : un important dossier d'homicide involontaire impliquant un médecin était instruit ce même jour et a donc mobilisé un certain temps les juges.

L'audience, qui «était normalement calibrée», a été suspendue à 20h45, conformément «à la circulaire dite Lebranchu qui recommande de ne pas dépasser six heures d'audience», a expliqué Danielle Drouy-Ayral, le procureur de la République de Draguignan. Le parquet a alors demandé au JLD un débat différé de 24 heures, avec mandat de dépôt. Mais ces réquisitions n'ayant pas été suivies, les trois trafiquants de drogue ont été remis en liberté et convoqués à une date ultérieure.

«Rupture de la chaîne pénale»

Si cette décision n'est pas susceptible d'appel, selon le procureur, elle a en revanche suscité une vive réaction de la part du syndicat de police Synergie, le second syndicat d'officiers. Il s'agit d'un «dysfonctionnement de la justice» qui «provoque la colère et l'incompréhension des policiers», a-t-il affirmé. Et Synergie de poursuivre : «Il y a rupture de la chaîne pénale. C'est incompréhensible s'agissant d'une telle affaire qui est grave».

Le monde judiciaire, qui a mené un mouvement de contestation inédit après avoir été mis en cause dans l'affaire Laetitia, a appelé à poursuivre la mobilisation sous d'autres formes, notamment en respectant à la lettre la circulaire «Lebranchu» qui limite la durée des audiences.

LIRE AUSSI :

» Laëtitia : l'Inspection souligne une succession d'erreurs






Isola di PANTELLERIA

20/02/2011 16:47



PANTELLERIA (TRAPANI) - Oltre un centinaio di pendolari sono bloccati da giovedì scorso a Pantelleria perchè a causa del maltempo sono stati interrotti i collegamenti aerei con Trapani. Il forte vento, infatti non ha consentito i decolli.

Oggi le condizioni meteo sono leggermente migliorate e nel tardo pomeriggio un velivolo partirà da Trapani Birgi per raggiungere l'Isola e fare ritorno in serata. Tra i pendolari rimasti a Pantelleria vi sono parecchi insegnanti e impiegati.

http://www.lasicilia.it/index.php?id=53635&template=lasiciliait


12:51 Catania
Federalberghi giovani, Grazia Romano nominato vice presidente nazionale

11:47 Ragusa
Incendio doloso nella scuola media Quasimodo

11:30 Milazzo
Ripresi i collegamenti con Lipari, isolate Ginostra, Panarea, Filicudi e Alicudi

10:58 Palermo
In fiamme auto della polizia municipale, si indaga

09:15 Palermo
Inaugurata la manifestazione Esperienza insegna2011 dedicata alla chimica

19:28 Palermo
Expo 2015, istituito gruppo di lavoro alla Regione

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DROGUES

20/02/2011 00:46



Livres: « Drogues, pourquoi la légalisation est inévitable »

9/02/2011
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« La guerre est perdue contre le cannabis. » Ce constat, c’est un policier français qui le dresse, ouvrant sans ambiguïté le livre de Michel Henry, « Drogues, pourquoi la légalisation est inévitable ». Pas de révélations ni de sensationnalisme dans cet ouvrage, mais une description clinique et bien documentée de l’échec de quarante ans de guerre mondiale à la drogue.

Le livre démarre par une préface, « écrite complètement à jeun », provocatrice à souhait à la Beigbedder (probablement parce que c’est lui qui l’a écrite). L’auteur du Roman français y explique en toute modestie qu’il est probablement « l’un des citoyens les moins hypocrites de notre pays » sur le  sujet, ce qui lui permet de dire que « l’interdiction des drogues est une erreur politique, économique et sociale aux dégâts considérables » ou encore que « la société du Care est une absurdité fasciste »

Après avoir, de son côté, rappelé que « s’envoyer en l’air est consubstantiel à l’activité humaine », Michel Henry rappelle que la prohibition est de l’ordre de la foi, car une seule une foi peut sortir renforcée d’une telle série d’échecs: en quarante ans de guerre à la drogue, la consommation a explosé dans le monde et le coût matériel et humain est exorbitant. Constat partagé par l’essentiel des, nombreux, spécialistes mondiaux interrogés dans la livre. Alors que faire?

« Il n’est pas, pour l’auteur, question de prôner une légalisation tous azimuts. [...] Mais on peut instaurer un marché régulé du cannabis. Et, pour l’héroïne, développer la distribution médicale, par ordonnance, à destination d’un public restreint et ciblé. Pour la cocaïne, il paraît difficile de trouver une solution acceptable. Mais avancer sur le cannabis et l’héroïne apporterait déjà un progrès certain …»

Reste que Michel Henry est, malgré le titre de son livre, lucide sur les chances de voir à court terme se mettre en place une forme ou une autre de légalisation du cannabis:

« Tous ceux que cette perspective effraye peuvent malgré tout se rassurer : ce n’est pas pour demain. Peu d’élus ont le courage de regarder la situation en face et ils trouvent un soutien réconfortant auprès de l’opinion. »

L’ouvrage de mon confrère de Libération parait à un moment opportun. Parce que l’on « fête » en France les quarante ans de la loi de 1970 sur les stupéfiants, l’une des plus répressives et rétrogrades de l’Union européenne; mais aussi parce que le thème ne manquera pas d’être abordé d’une manière ou d’une autre dans le débat présidentiel.

Enfin parce que Laurent Joffrin quitte une nouvelle fois Libé pour regagner une nouvelle fois le Nouvel Obs. Et alors me direz-vous? Alors Laurent Joffrin avait, dans ses éditos, rompu une longue tradition d’engagement de Libération en faveur de la dépénalisation des drogues (cf notamment l’appel du 18 joint et, bien plus tard, les articles de votre serviteur) probablement au nom d’un impératif de réalisme de gauche sur les questions liées à la sécurité. Il est donc salutaire qu’un journaliste de cette vénérable maison (où, fut un temps pas si lointain, les pétards se fumaient en toute liberté dans les bureaux) remette les pendules à l’heure hasch.

Arnaud Aubron

Drogues : pourquoi la légalisation est inévitable, Michel Henry, collection Impacts, édition Denoël, 280 pages, 13 euros.






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Narcotrafic : l’Algérie devient une plaque tournante de la drogue au Maghreb

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12/01/2009 – 12h00 ALGER (NOVOpress) – Trente tonnes de drogue ont été officiellement saisies en 2008 en Algérie par les autorités, contre seulement quatre tonnes en 2007. Des chiffres qui ont été révélés par le colonel Djamel Zeghidi, chef de la division de la police judiciaire relevant de la gendarmerie nationale. L’officier a ajouté que près de cinq tonnes de résine de cannabis avaient déjà été interceptées depuis début 2009. L’Algérie, qui était plutôt une zone de transit de la drogue, est devenue désormais un pays de « fixation » pour les narcotrafiquants, selon le colonel Zeghidi. De quoi animer les soirées de la jeunesse dorée sur le continent européen. Encore une bonne nouvelle en provenance du Maghreb… [cc] Novopress.info, 2009, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine [http://fr.novopress.info] http://fr.novopress.info/?p=15546




Affaire FIEVET: reportage (2)

08/02/2009 08:58





La suite du reportage consacré à Marc Fievet, l'agent infiltré NS 55 de la DNRED de la douane française




A voir ou à revoir...

08/02/2009 08:40





Un reportage sur l'agent infiltré NS 55 de la DNRED de la douane française




Suite de l'intervention de Gérard SCHOEN de la douane française

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RETOUR sur l'Affaire FIEVET: sur le plateau d'Elise LUCET, Lucien AIME-BLANC donne son point de vue...




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