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Modifié : 10/06/2011 13:27

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Défendre le peuple libyen ? Mais quel peuple libyen ?

08/04/2011 12:13



Cet article ainsi que ceux de cette rubriques sont, aussi et actuellement, visibles sur "Wordpress - Aviseur international " (http://aviseurinternational.wordpress.com/ ) à la rubrique "Revue de Presse de l'Aviseur".

 

 

 

Défendre le peuple libyen ? Mais quel peuple libyen ?

Axe Atlantique :: Jeudi, 7 avril 2011 :: Jean Bonnevey :: Envoyer   Imprimer
http://www.geostrategie.com/axe-atlantique/defendre-le-peuple-libyen-mais-quel-peuple-libyen
Défendre le peuple libyen ? Mais quel peuple libyen ?

Bonne conscience universelle et mauvaises analyses françaises

L’approche du président Sarkozy de l’intervention franco- anglo-saxonne en Libye est plus que simple. Elle est simpliste. La France, pays des droits de l’homme et de la démocratie, reprendrait son rôle historique en se portant au secours d’un peuple combattant pour sa liberté et contre un tyran. Ce sont les « gentils », menés par le plus gentil d’entre eux, contre un très méchant, qui tue les siens.

A dire vraie, cette présentation fait l’unanimité dans les médias, à quelque réserve près, émise par des spécialistes et consultants. Cette unanimité est spectaculaire, puisque même les journalistes de Marianne, qui ont fait de la démolition de Sarkozy leur ligne éditoriale, se sentent obligés de le féliciter.

Personne ne pose la question, qui cependant ne tardera pas à l’être : les raisons cachées de cette précipitation militaire ? Mais pourquoi donc Nicolas Sarkozy a-t-il brusquement décidé de « karcheriser » son » ami » Kadhafi ? Si Sarkozy avait été un dictateur, on aurait déjà dit qu’il tentait, par une opération extérieure, de faire oublier ses déboires intérieurs et de rebondir. Cela viendra. On se demandera si sa dernière chance de changer son image pour se représenter ne passait pas finalement par Benghazi. Pour le moment en tout cas, cette approche critique est quasi absente. Quasi, puisque nous en parlons.

A dire vrai, on peut tout à fait approuver un soutien militaire aux insurgés, pour débarrasser la Libye de son dictateur, et envisager pour ce pays un avenir meilleur. Encore faut-il ne pas se leurrer et ne pas hésiter a prendre en compte des éléments qui rendent relatifs la présentation officielle par Paris de ce qui se passe.

On notera d’abord que la position très en pointe de Paris est loin de faire l’unanimité, que les USA traînent des pieds – et d’ailleurs Obama est allé comme si de rien n’était en Amérique latine… si loin de Tripoli – que l’Allemagne nous a lâchés ; le couple franco allemand a du plomb dans l’aile et Kadhafi n’y est pour rien.

On notera encore que « la communauté internationale » est très hésitante et, à dire vraie, assez réduite. La Russie, la Chine l’Inde ne sont pas d’accord. Les pays africains ont lâché Paris et ne se sont pas rendu au rendez vous de Paris, préférant se réunir à Nouakchott pour initier une médiation.Et, malgré leur proximité, les deux nouvelles démocraties – la Tunisie et l’Egypte – ne manifestent pas une solidarité très active envers leurs frères de combat pour la liberté. Reste la Ligue Arabe dont l’inefficacité est connue.

A l’exception notable du Qatar, dont les relations avec la France sont souvent jugées suspectes, deux soutiens méritent réflexion. L’Irak, occupé et au statut démocratique improbable , malgré la guerre faite paraît-il pour ça, est le plus mal placé pour se manifester. L’Arabie Saoudite, qui a envahi le Bahreïn pour réprimer une partie du peuple de l’archipel, ne manque pas d’air non plus. Il s’agit donc bien d’une nouvelle opération militaire occidentale contre un pays arabo-musulman.

Reste l’essentiel : protéger le peuple libyen. Mais les opérations militaires engagées visent, de toute évidence aussi, à briser le régime, quitte a faire des victimes civiles chez les pros-Kadhafi. Or ,et jusqu’a preuve du contraire, ils sont eux aussi des Libyens. Parlons-en car le fond du problème c’est qu’il n’y a pas de peuple libyen. Il y a des tribus. Celles de l’Est se sont soulevées contre un régime plus favorable aux tribus de l’Ouest. Présenter des rebelles, qui tirent dans tous les sens et veulent en découdre, comme des civils désarmés est tout de même un peu excessif.

Enfin que fera t-on d’une victoire? Une fois Kadhafi renversé, mettra-t-on les gens de Benghazi au pouvoir à Tripoli ? Ce serait condamner le pays à une instabilité permanente, à une « somalisation » A-t-on vraiment pensé à l’après-Kadhafi au-delà du dogmatisme démocratique ? Pas sûr.

D’autant que, derrière notre très actif chef des armées, le ministre des Affaires étrangères est tout de même celui qui pensait sauver le Rwanda par la démocratie, en mettant l’ethnie la plus nombreuse au pouvoir grâce au bulletin de vote. Condamnant la minorité à une soumission permanente inacceptable dans un système tribal. Alain Juppé qui est considéré encore souvent par de nombreuses victimes civiles comme partiellement responsable, par erreur d’analyse, d’un des plus terribles génocides de l’après-guerre. La bonne conscience, surtout dogmatique, est dangereuse pour ceux qui en bénéficient sans vraiment l’avoir demandée.


Note(s) :
Image : Alain Juppé (ministre des Affaires étrangères)

Source : Metamag




La sexualité trouble de l'icône Gandhi

07/04/2011 14:13



La sexualité trouble de l'icône Gandhi

LEMONDE | 06.04.11 | 15h09  •  Mis à jour le 06.04.11 | 19h28

 

New Delhi Correspondance - Une simple phrase a suffi à déclencher la polémique. "Tu as complètement pris possession de mon corps. C'est un esclavage insupportable", écrit Gandhi en 1914 dans une lettre adressée à Hermann Kallenbach, un architecte allemand rencontré quelques années plus tôt en Afrique du Sud avec qui il vécut. Publiée par Joseph Lelyveld, lauréat du prix Pulitzer et ancien correspondant du New York Times en Inde, dans son livre intitulé Grande âme : Mahatma Gandhi et sa lutte avec l'Inde, paru aux Etats-Unis, cette citation a immédiatement suscité la fureur. A tel point que le livre a été menacé de censure en Inde, alors même qu'il n'y est pas en vente ! "L'écriture de cette biographie est perverse par nature. Le peuple du Gujarat ne tolérera jamais une telle insulte vis-à-vis de Gandhi", a réagi Narendra Modi, ministre en chef de l'Etat du Gujarat, où est né le Mahatma.

"Nous ne pouvons autoriser de telles conclusions sur les personnalités historiques et les dénigrer", a déclaré ensuite le ministre indien de la justice, Veerappa Moily. Surpris par ces réactions, l'auteur a démenti avoir écrit que le père de l'indépendance était bisexuel.

La vie sexuelle de Gandhi a déjà fait l'objet de nombreuses publications. Dans son livre L'Ambition nue, publié en 2010, l'historien britannique Jad Adams raconte que le Mahatma, qui avait fait voeu d'abstinence, n'hésitait pas à passer des nuits avec de jeunes femmes nues pour tester sa "résistance". En Inde, la sexualité trouble de Gandhi n'en finit pas d'alimenter les débats. Faut-il en déduire que son message, ses valeurs, ont moins de place dans l'Inde contemporaine ?

Une empreinte à peine visible

"Soixante ans environ après sa mort, l'empreinte de Gandhi dans notre vie publique est, au mieux, à peine visible et vague", regrette Venu Madhav Govindu dans le quotidien de Calcutta The Telegraph. Dans une Inde où la corruption est rampante, où la guerre contre les insurgés maoïstes bat son plein, la recherche de la vérité, comme le voeu de pauvreté, n'est plus vraiment à l'ordre du jour.

Cette polémique en dit long sur le rapport qu'entretient l'Inde avec la sexualité. Les principales accusations contre la biographie de Gandhi portent sur sa bisexualité présumée, non sur les propos racistes qui lui sont prêtés. Comme si l'homosexualité était une offense, bien pire encore que le racisme.

La Haute Cour de Delhi a pour la première fois, lors d'un jugement prononcé en 2009, dépénalisé l'homosexualité, mais celle-ci reste encore largement taboue. Karan Thapar, dans le quotidien Hindustan Times, estime que ces révélations sur la sexualité du Mahatma ont le mérite de l'"humaniser", lui qui justement n'aimait pas être pris pour un saint. Et le même journal pose cette question à ses lecteurs : "Est-ce que la psyché indienne trouve odieux que son icône et mentor ait des désirs érotiques, quels qu'ils soient ? Si oui, n'est-ce pas là plutôt notre problème ?"

 

Julien Bouissou Article paru dans l'édition du 07.04.11
http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2011/04/06/la-sexualite-trouble-de-l-icone-ghandi_1503764_3216.html





transferts sur Wordpress----

07/04/2011 13:38



ATTENTION :

 

Nous transférons, petit à petit, l'ensemble des anciens articles sur le site "AVISEUR INTERNATIONAL" de Wordpress à l'adresse :

http://aviseurinternational.wordpress.com/ 

 

Merci de nous y suivre et de votre compréhension pour toute éventuelle gêne que cela pourrait vous créer

les articles transférés seront progressivement effacés de ce site sur Vip-blog.

 

En attendant, retrouvez vos articles dans la rubrique "Revus et étudiés par KEG"

l'équipe de Aviseur international






Colonies: Moscou appelle Israël à se raviser

05/04/2011 21:34



Colonies: Moscou appelle Israël à se raviser

Dossier: Le conflit au Proche-Orient

Jérusalem
20:35 05/04/2011
MOSCOU, 5 avril - RIA Novosti

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Multimédia

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Moscou qualifie de "mauvais signal" la récente décision israélienne de construire de nouveaux logements dans les territoires palestiniens occupés et appelle Israël à revenir sur cette décision, a indiqué mardi Alexandre Loukachevitch, porte-parole de la diplomatie russe.

"Moscou considère comme inadmissible toute démarche (au Proche-Orient), susceptible de prédéterminer l'issue des négociations sur le statut définitif du futur Etat palestinien. La colonisation israélienne dans les territoires palestiniens, notamment à Jérusalem-Est est illégale", a souligné le diplomate.

La municipalité israélienne de Jérusalem a approuvé lundi un projet de construction de 942 nouveaux logements à Jérusalem-Est. Le principal négociateur palestinien, Saëb Erakat, a fermement condamné cette décision qui, à ses yeux, "prouve une nouvelle fois qu'Israël a choisi les colonies plutôt que la paix".

Dans ces conditions, la Russie exhorte Israéliens et Palestiniens à s'abstenir de toute démarche susceptible de menacer le retour de la paix au Proche-Orient.

Le processus de paix est au point mort en dépit des efforts de la communauté internationale visant à le relancer. Le contentieux de la colonisation constitue la principale pierre d'achoppement à la reprise des négociations.

Les Palestiniens conditionnent leur retour à la table des négociations à un arrêt total de l'extension des implantations juives en Cisjordanie (dont Jérusalem-Est annexée en juin 1967).

Israël s'y refuse. Le gouvernement de l'Etat hébreu, dirigé par Benjamin Netanyahu, insiste sur la reprise sans préalable du dialogue avec les Palestiniens.

http://fr.rian.ru/world/20110405/189080684.html






Un collaborateur de la CIA pour commander les rebelles libyens

05/04/2011 00:29

Un collaborateur de la CIA pour commander les rebelles libyens


Un collaborateur de la CIA pour commander les rebelles libyens
inv
Le Conseil National Libyen, l’organisation basée à Benghazi qui parle au nom des forces rebelles qui luttent contre le régime de Kadhafi, a désigné un collaborateur de longue date de la CIA pour diriger ses opérations militaires.


Les insurgés libyens, malgré l’assistance occidentale, sont à nouveau repoussés par les troupes de Kadhafi
Le choix de Khalifa Hifter, un ancien colonel de l’armée libyenne a été signalé jeudi par McClatchy Newspapers, et le nouveau chef militaire a été interviewé par un correspondant d’ABC News dimanche soir.
Hifter, dont l’arrivée à Benghazi avait été rapportée pour la première fois le 14 mars par Al Jazeera, a fait l’objet le 19 mars d’un portrait flatteur dans le Daily Mail, un tabloïd britannique farouchement belliciste. Le Daily Mail présentait Hifter comme une des « deux étoiles militaires de la révolution » qui « est rentré récemment d’exil en Amérique pour apporter une certaine cohérence tactique aux troupes rebelles au sol. » Le journal n’évoquait pas ses liens avec la CIA.


McClatchy Newspapers a publié un profil d’Hifter ce dimanche. Intitulé Le nouveau chef rebelle a passé une bonne partie des 20 dernières années dans une banlieue en Virginie, l’article note qu’il avait été auparavant un officier supérieur du régime de Kadhafi jusqu’à « une aventure militaire désastreuse au Tchad à la fis des années 1980. »


Hifter avait ensuite rejoint l’opposition à Kadhafi puis finalement émigré aux États-Unis où il a vécu jusqu’à ces dernières semaines qui ont vu son retour en Libye pour prendre le commandement de Benghazi.
Le profil par McClatchy concluait, « Depuis son arrivée aux États-Unis au début des années 1990, Hifter a résidé dans une banlieue de Virginie aux environs de Washington DC. ». Il citait un ami qui « disait ne pas trop savoir comment Hifter subvenait à ses besoins, et qu’Hifter s’occupait d’abord d’aider sa grande famille. »


Pour ceux qui savent lire entre les lignes, c’est une indication à peine voilée du rôle d’Hifter en tant qu’agent de la CIA. Comment en effet, un ancien officier supérieur de l’armée libyenne a-t-il pu entrer aux États-Unis au début des années 1990, seulement quelques années après l’attentat de Lockerbie, puis s’installer près de la capitale fédérale, sans l’accord et l’aide active des services de renseignements US ? Hifter a vécu en fait pendant une vingtaine d’années à Vienna en Virginie, à seulement une dizaine de kilomètres du siège de la CIA à Langley.


La CIA était bien au courant des activités militaires et politiques d’Hifter. Un article du Washington Post du 26 mars 1996 parle d’une rébellion armée contre Kadhafi en 1996 et écrit son nom dans une transcription différente. L’article cité des témoins selon qui la rébellion a pour « chef le colonel Khalifa Iftar [et est] une organisation du type "contra" basée aux Etats-Unis et appelée Armée Nationale Libyenne. »
La comparaison est faite avec les forces terroristes "contra" financées et armées par le gouvernement des États-Unis dans les années 1980 contre les autorités sandinistes au Nicaragua. Le scandale Iran-Contra, qui avait secoué l’administration Reagan en 1986-87, concernait la mise au jour de ventes illégales d’armes US à l’Iran, dont le produit servait à financer les contras au mépris d’une interdiction par le Congrès. Les parlementaires démocrates avaient couvert le scandale et rejeté les appels à une procédure d’impeachment contre Reagan pour avoir financé les activités d’une illégalité flagrante ourdies par une brochette d’anciens agents des services secrets et de conseillers à la maison Blanche.


Un livre publié par Le Monde Diplomatique en 2001, Manipulations africaines, fait remonter la relation avec la CIA encore plus loin, en 1987, signalant qu’Hifter, alors colonel de l’armée de Kadhafi, avait été capture au Tchad où il combattait avec une rébellion soutenue par la Libye contre le gouvernement d’Hissène Habré, soutenu par les États-Unis. Il fit défection pour le Front National de Salut Libyen (FNSL), la principale force d’opposition à Kadhafi, qui avait le soutien de la CIA. Il organisa sa propre milice qui opéra au Tchad jusqu’à la déposition d’Hissène Habré en 1990 par Idriss Déby, son rival appuyé par la France.
Selon ce livre, « la force de Haftar, créée et financée par la CIA au Tchad, disparut dans la nature avec l’aide de la CIA peu de temps après le renversement du gouvernement par Idriss Déby. » Le livre cite aussi un rapport du service de recherche du Congrès daté du 19 décembre 1996, selon lequel le gouvernement des États-Unis apportait une aide militaire et financière aux membres du FNSL qui avaient été repositionnés aux États-Unis.


Ces informations sont accessibles à tous ceux qui se livrent à une recherche même superficielle sur Internet, mais elles n’ont pas été relayées par les médias contrôlés par les grands groupes, hormis une dépêche de McClatchy qui évite toute référence à la CIA. Les chaînes de télévision, trop occupées à faire l’éloge des "combattants de la liberté" de l’Est libyen, ne se sont pas fatiguées à signaler que ces forces étaient désormais commandées par un collaborateur de longue date des services de renseignements des États-Unis.
Pas plus que n’en ont tenu compte ceux qui parmi les libéraux ou la "gauche" s’enthousiasment pour l’intervention des Etats Unis et de l’Europe en Libye. Ils sont trop occupés à saluer l’administration Obama pour son approche multilatérale et « consultative » de la guerre, présumée être différente de l’approche unilatérale à la "cowboy" de l’administration Bush en Irak. Que le résultat soit le même - mort et destruction qui s’abattent sur la population, la souveraineté et l’indépendance d’un pays anciennement colonisé foulées aux pieds - ne signifie rien pour ces thuriféraires de l’impérialisme.


Le rôle de Hifter, présenté à juste titre il y a 15 ans comme le chef d’une "organisation du genre contra", montre quelles sont les véritables classes sociales à l’oeuvre dans la tragédie libyenne. Quelle que soit l’authenticité de l’opposition populaire qui s’est exprimée dans la révolte initiale contre la dictature corrompue de Kadhafi, la rébellion a été détournée par l’impérialisme.


L’intervention de l’Europe et des États Unis en Libye n’a pas pour but d’apporter la "démocratie" et la "liberté" mais d’installer au pouvoir des pantins de la CIA qui dirigeront le pays aussi brutalement que Kadhafi, tout en permettant aux puissances impérialistes de piller les ressources pétrolières du pays et de se servir de la Libye comme base d’opérations contre les révoltes populaires qui soufflent sur le Moyen Orient et l’Afrique du Nord.
________________________
World Socialist Web Site
*
http://www.info-palestine.net/article.php3?id_article=10391
inv
Notes :
Tout s'explique! Dominique Ouattara, femme fatale à la Côte d’Ivoire. Les secrets de l’ascension des Ouattara enfin révélés !


Dominique Nouvian, d’origine juive sépharade, nait le 16 décembre 1953 à Constantine (Algérie), elle est de nationalité française et épouse, en 1973, un professeur au lycée technique d’Abidjan, très âgé, le Pr Folleroux.
Il est l’ami du ministre de l’enseignement professionnel et technique, Bamba Vamoussa (il a été ensuite ministre de l’éducation nationale de 1990 à 1993), avec lequel elle commence une relation forte, elle est son 2e bureau. Elle rentre alors en contact avec le gouverneur de la BCEAO, Abdoulaye Fadiga, dont elle est également le 2e bureau. Elle se partage simultanément entre les trois lits. Son ascension dans les circuits de pouvoir en est facilité et, dès 1979, elle crée AICI (société immobilière), structure qui gère le patrimoine présidentiel ivoirien, qu’elle détourne à son profit au fil des ans.


Par Fadiga, elle connaît ADO (Alassane Ouattara), dont elle devient la maîtresse. Il est à cette époque vice-gouverneur de la BCEAO à Dakar, pour le compte de la Haute Volta (Burkina Faso), poste qu’il occupe de janvier 1983 à octobre 1984. De novembre 1984 à octobre 1988 il est directeur Afrique du FMI à Washington. Après la mort de Fadiga (le 11 octobre 1988), il rentre en Côte d’Ivoire où, sur la pression insistante de Dominique, il est nommé gouverneur de l’institution bancaire pour la Côte d’Ivoire (octobre 1988 à décembre 1993).


Pendant ce temps, notre Dominique nationale part à la conquête de l’Europe en créant une agence AICI à Paris, dans le 16ème arrondissement. Cette agence, située avenue Victor Hugo, devient rapidement la vitrine de ce qui est devenu le Groupe AICI en Europe. La même année, elle est élue présidente d’honneur de la Chambre Syndicale des Agents Immobiliers de Côte d’Ivoire (CSDAIM). Suivent, en 1991, la création d’une agence à Cannes, et en 1993, un cabinet de gestion de Syndic de copropriétés à Paris qui gère plus de 200 immeubles parisiens.


Entretemps, le président Houphouët-Boigny, tombe sous l’influence de Dominique Ouattara (ses adversaires, déjà nombreux la surnomment « la putain dangereuse »). Il nomme ADO président du Comité interministériel de relance de l’économie ivoirienne (avril à novembre 1990).C’est alors,
en octobre 1990, qu’elle épouse ADO. C'est déjà Nicolas Sarkozy qui célèbre leur mariage dans sa mairie de Neuilly! Ensuite la « femme fatale » pousse le président Houphouët-Boigny, qui ne dispose déjà plus de toutes ses facultés, à nommer ADO premier ministre,fonction qu’il occupe du 7 novembre 1990 au 9 décembre 1993 . Elle obtient, du président Houphouët-Boigny, à l’arrivée d’ADO à la Primature, qu’il soit chargé de lancer le processus de privatisation des structures étatiques de l’économie ivoirienne.


ADO et son épouse lancent alors une gigantesque opération de prédation du patrimoine de la Côte d’Ivoire. Après la mort du président Houphouët-Boigny, ADO devient directeur général adjoint du FMI (1er juillet 1994 au 31 juillet 1999). Il en profite pour fonder à Washington,, le 10 Juin 1999, l’Institut International pour l’Afrique (IIA) à Washington.


Puis, le 1er août 1999, le RDR (Rassemblement Des Républicains), dont il prend la présidence.Dominique profite des fonctions internationales de son époux pour faire prospérer ses affaires. En 2001, une nouvelle agence AICI voit le jour au Gabon, à Libreville. En février 2006, AICI International s’installe à Ouagadougou, au Burkina Faso.


Parallèlement à la poursuite de ses activités dans le domaine immobilier, Dominique Ouattara devient, en 1996, la patronne d’EJD Inc., société qui gère l’Institut Jacques Dessange basé à Washington. Celui-ci est aujourd’hui un des endroits les plus fréquentés de la capitale américaine.
Dominique Ouattara acquiert, en 1998, les franchises Jacques Dessange aux Etats-Unis. Elle devient alors la présidente de la compagnie French Beauty Services à Washington,regroupant toutes les franchises Jacques Dessange du pays : salons de coiffure, instituts de beauté, école de coiffure, distribution des produits Jacques Dessange. Le Groupe se développe et représente aujourd’hui un des actifs les plus prometteurs du groupe Jacques Dessange.


Le cumul des activités très rémunératrice d’ADO et l’empilement de « pompes à fric » de Dominique supposent des moyens de réintégration « légale » sur des comptes en banques des fortunes ainsi dégagées. Il faut donc couvrir cela sous une apparence inattaquable. C’est donc l’humanitaire qui devient la priorité. Tout d’abord, à partir 1980, elle effectue des missions « humanitaires » en Côte d`Ivoire. Les flux financiers prenant de l’ampleur, elle décide, en 1998, de créer la fondation Children
of Africa. Quoi de plus imparable ? Qui croirait que les enfants d’Afrique sont la couverture d’un gigantesque système de prédation et de transferts de fonds. Cosa Nostra en a rêvé, Domnique Ouattara l’a fait !
http://www.toutsaufsarkozy.com/cc/article02/EFpElyZuEZyyUMthPN.shtml




LA GUERRE DU CACAO.Déstabilisation de la Côte d'Ivoire par la CIA et ses larbins français: "L'opération Hydre" en marche

05/04/2011 00:16



Déstabilisation de la Côte d'Ivoire par la CIA et ses larbins français: "L'opération Hydre" en marche
inv
Les attaques armées contre les positions des FDS, depuis lundi dernier (28 Mars 2011) sur tous les fronts, confirment les informations qui nous été confiées par des ressortissants français vivant à Abidjan, quelques heures avant le rassemblement historique des patriotes à la Place de la République le week-end dernier.


Au détour d’échanges tenus à « Sikasso », un sous-quartier de « Koweït » dans la commune de Yopougon, cible de la prochaine d’attaque des hommes de Dramane Ouattara, nos informateurs soutiennent que ces manœuvres pilotées par la Licorne et l’ONUCI, ont été inspirées par les services secrets américains. Elles ont été baptisées, ‘’L’OPERATION HYDRE’’.


Chaque levé de soleil est porteur de sa charge et de son contingent de révélations sur les sortilèges des impérialistes et des françafricains travaillant à la déstabilisation de la Côte d’Ivoire, lancée par la France. «Nous sommes des ressortissants français. Aujourd’hui les informations dont nous disposons selon nos sources internes aux forces étrangères, car nous y avons des amis et parents ; nous font savoir, depuis jeudi 24 Mars dernier à 16 heures, que la mission des forces des Nations Unies appuyées de la force française Licorne a changé d’attitude.


N’eut été les hostilités en Lybie qui ont recommandé une forte mobilisation des forces de l’OTAN, la communauté internationale aurait déjà décidé d’une guerre ouverte aux ivoiriens. L’action lancée actuellement a été baptisée « l’opération hydre » et doit pouvoir aboutir avant fin Avril ». C’est par ces propos que commencent nos informateurs, qui avouent avoir fait fortune en Côte d’ivoire et comptent continuer de « vivre dans ce havre de paix » c’est pourquoi ils décident de se confier.


«Cette opération se traduira par des attaques sporadiques dans les communes et quartiers des différentes communes d’Abidjan, avant qu’elle ne passe à la vitesse supérieure dans toutes les autres villes par des actions relayées par les Forces Nouvelles. Elles ont pour instructeurs des éléments du Centre des Opérations Spéciales de France et de l’ECOMOG. C’est la CIA qui a été à la base du plan.


Depuis l’asphyxie financière jusqu’aux opérations militaires, c’est le service secret des Etats-unis qui pilote cette opération. Il nous a été confié par nos sources que les américains ont recommandé l’élimination de la menace dans cette situation et pour eux, c’est le Président Laurent Gbagbo. Une option qui n’a pas encore enregistré la totale adhésion de l’Elysée », révèlent les informateurs.


Ouvrir plusieurs fronts : «Ceci pour étouffer les forces loyalistes » avec pour objectif de les rendre fragiles autour de la protection du pouvoir, afin qu’« atteindre le cœur du pouvoir » ne devienne qu’une simple « balade » pour les théoriciens de la conception des plans de la rébellion. Ce sont toutes ces choses qui se déroulent actuellement mais ont pour nom « l’opération Hydre ». L’Hydre est cette espèce de monstre de la mythologie grecque, serpent ou dragon à plusieurs têtes : l’Hydre de Lerne avait sept têtes dont chacune renaissaient dès qu’on la coupait. C’est ce nom qui a été choisi par les comploteurs et concepteur de la fatidique attaque contre la Cote d’Ivoire et le pouvoir du Président Laurent Gbagbo.


NOUVELLES STRATEGIES D’ATTAQUES


Pilotée par les USA, les opérations coordonnées sont prévues se terminer avant la fin du mois d’Avril et les heures d’attaques des différents fronts changeront d’une zone à une autre, et ce, sur toute l’étendue du territoire. « Depuis le jeudi 24 Mars dernier, la force impartiale de l’Opération des nations unies en Côte d’Ivoire a revue sa capacité de réaction envers les Forces de Défenses et de Sécurité ivoiriennes. Les heures de combats et d’attaques ont été changées. Les jeunes qui tiennent les corridors et autres points de contrôles ou de surveillance des quartiers dans les différentes communes sont, dès cette date considérés comme étant des miliciens et non des civils et devront donc être traités comme tels », expliquent nos sources qui poursuivent :


«Dans le plan, une attaque sera lancée à un endroit donné et lorsque les FDS croiront la neutraliser, un autre foyer naitra ailleurs. Il en sera ainsi jusqu'à gagner tout le ‘’corps’’ de sorte à perturber le système de défense de l’état, au point que les autorités doutent de sa capacité de réaction. Mais il s’agit en réalité de tester le temps de réaction de l’armée ivoirienne à travers ces attaques ».


L’objectif du plan est de créer un embrasement total dans la capitale économique et dans les autres villes de l’intérieur du pays qui sont encore favorables au Président Laurent Gbagbo, confient nos sources. « Tout peut partir d’une simple provocation des forces extérieures en direction des patriotes ou des FDS pour que les attaques se mettent en exécution, indiquent-elles. « Que l’armée régulière ivoirienne, dont nous reconnaissons la bravoure et le mérite devant les assauts des forces extérieures, continuent la vigilance et la mobilisation face à cette attaque de la communauté internationale.


INSPIRE DU « SENTIER LUMINEUX »


Le plan des attaques de la rébellion des Forces Nouvelles à Abidjan et dans les villes sous le contrôle des terroristes de la communauté internationale a été inspiré de l’histoire du « sentier lumineux ». Une l'histoire marquée par le massacre d’innocentes personnes qui ont lutté toute leur vie pour dénoncer ces atrocités d'Ayacucho, au Pérou en Amérique du sud, expliquent nos informateurs. Et de revenir brièvement sur l’histoire du « Sentier Lumineux » : un mouvement révolutionnaire des années 80 au Pérou, actif dans la région d'Ayacucho.


Ledit mouvement qui s’est dit lutter contre l’injustice faite à la région oubliée d’Ayacucho et s’est radicalisé au début des années 1980 en se muant en lutte armée. Ses membres ont commi leur premier grand attentat en 1982 à Lima capitale du Pérou dans le riche quartier de Mira flores, puis libéré les prisonniers de la prison d'Ayacucho. Ce moment décisif marquera le début de la guérilla urbaine au Pérou.


À partir de là, les années qui suivront seront marquées par des affrontements permanant entre le « Sentier Lumineux », comparé en côte d’Ivoire par les Forces Nouvelles et l'armée régulière : les FDS. Pendant les 12 années de guerre, de nombreux crimes vont être commis par le « sentier lumineux » qui n’assassinera que les seules personnes n’adhérant pas à son idéologie, comme le font les tueurs de Dramane Ouattara en Côte d’Ivoire. « Mais, vint l’arrestation de son leader, Guzmán en 1992, sous la présidence de Fujimori. Malgré tout ce qui s'est passé, Ayacucho reste un endroit pauvre et oublié du Pérou. Nous espérons que cette histoire ne se répètera pas la Côte d’Ivoire », notent nos informateurs.


LES RUMEURS COMME MOYENS


« Les rumeurs qui ont été distillées partout font parti du plan, comme cela s’est fait pour la déstabilisation des Etats de l’Amérique du sud à travers les pratiques du mouvement ‘’Le Sentier Lumineux’’. Pousser les populations à l’exode pour bombarder les endroits stratégiques de la défense nationale, tels que les poudrières, les camps militaires, afin d’avoir le champ libre et éviter le maximum de pertes en vies humaines. Une technique pure de la CIA », indiquent nos interlocuteurs.


« Ici il est question d’effrayer les étrangers et vider les quartiers de ses habitants pour qu’il n’en restent que les proches de l’ennemi à abattre. C’est la même technique que les américains appliquent partout, lorsqu’ils veulent mener des assauts. Quelques fois ils suscitent des affrontements religieux. C’est ce qui a expliqué les attaques contres des édifices musulmans en vue de faire glisser sur le terrain religieux. Malheureusement pour eux, la communauté musulmane, fortement sunnite en Côte d’Ivoire s’est aperçu de la supercherie et est restée silencieuse », font savoir nos informateurs.


LA GUERRE DU CACAO IVOIRIEN MENEE PAR LA CIA


L’ultimatum donné par le gouvernement aux exportateurs de cacao pour écouler leurs stocks avant le 31 Mars 2011, contribuerait selon les informations à accroitre l’anxiété au sein du cartel mafieux que représentent les multinationales américaines ARMAJARO, ADM ou encore CARGILL. Aussi sont-elles prêtes à tout mettre en œuvre pour la mise en exécution expressive de « l’opération Hydre ».


Le cartel est décidé selon nos informateurs, à faire obstacle au projet du groupe chinois de négoce Noble qui s’est désolidarisé de la fronde contre le Président Laurent Gbagbo et aurait décidé d’exporter le cacao qu’il a sous les bras. Le marché international du cacao utilisant des termes de trois mois en général et donc le temps jouant terriblement contre eux, les multinationales précédemment citées ont décidé de passer à l’offensive de la pire des manières.


« Le cacao ivoirien ne s’exporte plus depuis le mois de Janvier et cette sanction arrive à terme le 31 Mars.


Malheureusement pour eux, l’état ivoirien est désormais directement présent sur le marché du négoce de cacao et cela inquiète sérieusement les gros négociants qui règnent en maitres absolus sur le marché ; chose que les Etats-Unis ne sont pas prêts d’accepter. Il faut éviter que cette situation se produise en Côte d’Ivoire parce qu’il s’agit pour le plan des ennemis de faire durer cette situation hors-la loi pour piller au maximum les richesses du pays. Car pendant ces années de guérilla entre « le Sentier Lumineux » et l'armée, des innocents ont été massacrés et les régions pillées de leur richesses.


« La rébellion tente l’offensive à l’Ouest dans le but de prendre le port de San-Pedro. Mieux, ils prévoient aussi une action militaire de l’ONUCI et de la Licorne pour prendre le contrôle du port d’Abidjan, c’est d’ailleurs l’une des raisons pour laquelle ils veulent faire passer la résolution qui va interdire aux FDS de déployer tout armement lourd dans Abidjan ». Young Ji Choi et d’autres diplomates sont ceux qui pilotent cet autre projet contre le peuple de Cote d’Ivoire.


L’ECOMOG EN PASSE DE LANCER UNE ATTAQUE CONTRE LA BASE DE LA MARINE DE YOPOUGON


« Nous avons pu repérer des éléments militaires de l’ECOMOG dans divers communes de la capitale Abidjan. Les quartiers précaires ou ceux à proximité des camps militaires ou de polices sont les endroits propices pour lancer les attaques. Ils agissent sous les ordres des officiers français de la force Licorne. C’est ainsi que nous avons pu espionner des individus trop suspects mais qui ne pourraient attirer l’attention de tous dans les communes comme Marcory, Treichville et Yopougon. Cette commune sera selon les recoupements des informations de plus en plus fortes, la cible d’une terrible attaque dans les prochains jours ou mêmes prochaines heures », révèlent nos sources et d’indiquer :


« Plusieurs hommes suspects sont actifs dans le sous secteur du quartier Koweït dans la commune de Yopougon en vue de la préparation de l’attaque de la base militaire marine d’Abobodoumé ; avec pour objectif le contrôle de tous les secteurs stratégiques dans l’arrière base qui ouvre sur le port d’Abidjan. Nous avons pu localiser des mercenaires de l’ECOMOG : trois instructeurs, Sénégalais, Togolais et Burkinabés se faisant passer pour des marins car, ceux-ci ont des activités saisonnières, justificatifs qui leur permettraient de loger tranquillement dans n’importe quel endroit sans s’attirer le moindre soupçon ».


Selon nos informateurs, qui assistent à la mise en œuvre de l’opération, la CIA et d’autres services secrets très actifs à Abidjan, prévoient « qu’il faut arriver dans le plan, à tuer des soldats blancs de l’ONUCI, de sorte à ne pas donner une alternative à Laurent Gbagbo : le Président accepté par les ivoiriens. Car tuer un soldat de l’ONUCI ou de la Licorne française, c’est déclarer ouvertement la guerre à une armée internationale ». Elles précisent que des ressortissants européens seront dans le viseur des tueurs pour la cause de la France.


« À côtés des attaques des soldats de la force étrangère, des civiles de nationalité française seront assassinés notamment dans les communes de Marcory où résident des damnés, des escrocs et reclus qui sont venus s’exiler en terre africaine selon l’Elysée. Pour atteindre un objectif précis, nous pouvons vous dire que des français sont toujours assassinés sans conséquences dans le monde. Ce sont des mafieux qui agissent en Côte d’Ivoire. Les autorités politiques et militaires ivoiriennes devront prendre ces informations très au sérieux ». Toutefois, indiquent nos sources :


«Pour parvenir à neutraliser les têtes de l’opération Hydre, avant l’attaque massive d’Abidjan, il faudra que les FDS ivoiriennes parviennent en capturer quelques éléments de l’ECOMOG et fort heureusement, des techniques existent en la matière. Mais, les ivoiriens devront retenir que, l’Hydre de Lerne, ce monstre de la mythologie grecque représenté comme un serpent à plusieurs têtes, et dont le nom porte la dernière opération de déstabilisation de la Côte d’Ivoire, a été tué par Héraclès, ce héro grec identifié au héro romain Hercule », terminent, nos informateurs.
Opinion d'Hervé Makre*
_____________
*
http://infoscotedivoire.net/fr/articles/30032011/article1.php
inv
Notes :
La Résistance irakienne pilonne les trous des gangsters US à Bagdad.*


Des sources dignes de confiance de l'Irak occupé, affirment aujourd'hui, que la Résistance irakienne a pilonné le 31 mars 2011, par un déluge de missiles, la Zone Verte, dans la capitale irakienne occupée, où se terrent les gangsters assassins US.
Le Comité Patriotique irakien pour soutenir la Révolution indique que, le soir du 31 mars 2011 à 11h00, des dizaines de missiles, une centaine selon les sources, ont pilonné la Zone Verte à Bagdad où se concentrent et se cachent tels des rats les forces d'Occupation US et où sont installées les ambassades des gangsters US et britannique et les bureaux du gouvernement fantoche imposé par l'Occupant nazi, depuis maintenant huit ans.


Les missiles qui ont pilonné la Zone Verte, selon les mêmes sources, avaient été lancés simultanément et de plusieurs arrondissements de la capitale irakienne occupée, tels al Hurrya et al A'mel.


Les Bagdadis ont confirmé le bombardement de la Zone Verte, tandis que des témoins déclaraient avoir vu des nuages de fumée et des colonnes d'incendie se lever dans le ciel de la capitale et entendu hurler les sirènes de secours, des ambulances et de la police qui se dirigeaient vers les localités ciblées par les bombardements.


Il est de notoriété publique qu'il ne se passe pas un seul jour sans que les combattants irakiens, qui luttent pour libérer leur pays du joug de la barbarie, ne bombardent les bases ou ne ciblent les convois des Occupants fascistes US.


En outre, et comme d'habitude, les fascistes US, qui veulent faire croire, au travers de leur machine médiatique nauséabonde et de celle de leurs mercenaires, que la situation en Irak va s'améliorant, que l'Irak s'installe dans l'apaisement, et qu'il n' y a plus de Résistance irakienne, ne soufflent mot quant à leurs pertes en matériel ou en personnel.


Aussi il est utile de rappeler que le Commandant de la Résistance Irakienne, le Moujahid Izzat Ibrahim al Duri, le Commandant du Jihad, de la Libération et du Salut National (JLSN) avait affirmé à plusieurs reprises qu'il n'y aura, nulle part en Irak, une rémission ou un abri pour les voyous mondialistes US, et que la Résistance irakienne les poursuivra partout et transformera leurs bases et leurs terriers, en tombes où ils seront ensevelis.

Dieu est le plus grand ! Dieu est le plus grand !


Avilis soient-ils les envahisseurs assassins US !

Gloire et victoire à la Révolution irakienne !

http://www.albasrah.net/ar_articles_2011/0411/sawarikh_020411.htm
*
http://assurbanipal-banipal.blogspot.com/




Le passé chargé des rebelles libyens

02/04/2011 07:19



Lorsque Moussa Koussa, le ministre des Affaires étrangères de Kadhafi, a décidé de brûler les ponts avec le régime, il n’a pas rejoint la rébellion mais la capitale britannique, là où sa carrière sur la scène internationale a commencé quelque 30 ans plus tôt comme ambassadeur. image.1301661289.jpgEn 1980, il a été expulsé de Londres sur ordre du gouvernement parce que Moussa Koussa ne cachait pas ses intentions de régler leur compte à deux opposants au régime du colonel. Compte-t-il rejoindre aujourd’hui cette même résistance ?

Quoi qu’il fasse, cet homme n’aura pas la sympathie de Sofia. Ici, l’affaire des infirmières bulgares - dans laquelle il a été l’un des principaux interlocuteurs de l’Occident  - a laissé des souvenirs douloureux. Et aux yeux des Bulgares, cela commence à bien faire aussi. Moussa Koussa est au moins le quatrième acteur de poids de cette affaire à avoir retourné sa veste depuis le début de la révolte libyenne. Le leader du Conseil national de transition, Moustapha Abdeljalil, ancien ministre de la justice du colonel, a été le premier. “Pour nous il reste le président de la cour d’appel de Tripoli qui a confirmé la peine de mort des infirmières”, rappelle Guéorgui Milkov du quotidien 24 Tchassa, journaliste arabisant qui a suivi depuis 1999 la saga des infirmières jusqu’à leur libération en 2007. “C’est un fidèle parmi les fidèles qui, en récompense de son intransigeance dans ce procès, a été nommé ministre en 2007″, poursuit-il.

Et puis, il y a Idris Laga. Cet homme, qui se présente aujourd’hui comme le coordinateur militaire du CNT, est surtout connu en Bulgarie comme le président de l’Association des parents d’enfants infectés - très active pendant toute l’affaire des infirmières. 2727643-3860025.1301410878.jpg“Officiellement indépendante, cette organisation a été crée par le régime pour faire monter les enchères en instrumentalisant la douleur des victimes”, estime l’universitaire Vladimir Tchoukov, l’un des meilleurs spécialistes du monde arabe en Bulgarie. Et le portrait qu’il dresse d’Idris Laga n’est pas flatteur non plus : “Il s’agit d’un homme avide et sans scrupules, animé par une haine profonde de l’Occident”, estime-t-il. Ce chercheur, qui a le mérite d’avoir épluché toute la presse libyenne de l’époque - y compris celle qui se réclamait de l’opposition - dit aujourd’hui qu’il tient à ce que “la France sache qui elle soutient en Libye”.

Le 11 mars, à Bruxelles, c’est le Premier ministre bulgare, Boïko Borissov himself, qui a mis les pieds dans le plat. Il a violemment réagi à la décision - défendue par la France - de considérer le CNT comme un interlocuteur politique digne de foi. “Dans ce conseil il y a des gens qui ont torturé nos infirmières”, s’est-il insurgé après une sérieuse prise de bec à ce sujet avec Nicolas Sarkozy. Sans donner de noms, il a certainement visé encore un transfuge de poids, le ministre de l’Intérieur du régime de Tripoli, Abdel Fattah Younis. Accueilli par une foule en délire à Benghazi fin février, le général Younis est devenu la coqueluche des Occidentaux - le Quai d’Orsay relate sur son site une conversation téléphonique entre lui et Alain Jupé le 5 mars - qui espèrent que son ralliement va permettre aux insurgés de reprendre du poil de la bête sur le terrain militaire. bhl_libye_45-300x200.1301410901.jpgA Sofia, la presse l’avait surnommé le “tortionnaire en chef” à cause des mauvais traitements dont se sont plaintes les infirmières -  viols, électrochocs et morsures de chiens notamment - attribués à ses hommes et destinés à leur faire avouer des crimes qu’elles affirment n’avoir jamais commis.

“Plus qu’aucun autre pays, la Bulgarie devrait soutenir l’intervention militaire en Libye. Et aussi se souvenir qu’il s’agit d’un bel exemple de solidarité européenne” : depuis Bruxelles, s’élève aussi une autre voix bulgare, celle de la député européenne Nadejda Mikhaïlova-Neïnski, représentante de la droite libérale et ministre des Affaires étrangères de son pays au moment où éclate l’affaire des infirmières. Pour elle, le changement de camp des principaux acteurs libyens de cette affaire n’est pas vraiment la question. “De toute façon, ils ont agi sur ordre de Kadhafi. Or, aujourd’hui la priorité, c’est de chasser, tous ensemble, Kadhafi”.

Et après ? Après, selon Vladimir Tchoukov, l’Europe devrait surtout miser sur les représentants de la diaspora libyenne, les seuls à son avis à ne pas être compromis avec l’ancien régime. Et c’est ce que Paris et Londres font déjà, d’une certaine façon. 2a6194eb4fd79ac7bd5385ce1a8b.1301410690.jpg“Mais il ne faut pas oublier que l’opposition libyenne à l’étranger n’a jamais condamné le régime au moment de l’affaire de nos infirmières”, ajoute Guéorgui Milkov. “Ses représentants l’ont soit passé sous silence soit salué les actions de Kadhafi”. Un passé - encore un -, qui ne passe pas : sur ce point les Bulgares aussi en savent quelque chose*.

* Ce post est une version actualisée d’un “indiscret” publié dans l’Express.

(Visuels : Moussa Koussa, dans son rôle de ministres des Affaires étrangères de la Libye ; Moustapha Abdeljalil ministre de la Justice de Kadhafi, puis serrant la main à BHL ; l’ex-ministre de l’Intérieur, le général Younis, en vedette aux côtés des insurgés.)

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Commentaires

  1. Si le peuple libyen s’est révolté c’est davantage par soif de justice sociale que de démocratie.

    Le problème avec notre belle démocratie occidentale que la coalition et les USA en tête sont en train d’apporter aux libyens, avec l’approbation du CNT, c’est que jamais ils ne connaîtront un semblant de justice sociale.

  2. La “coalition” ferait bien aussi de s’inquiéter des diverses violations des droits de l’homme que les “rebelles” n’ont pas manqué de commettre. Dans les 2 camps, on n’est pas adepte de faire quartier.

  3. c vrai, moi je ne crois pas a cet CNT que sarkozy le soutien, qu’on soit franche, ces hommes de la opposition ont des interets autre que les peules libyiens, ( petrol, argent etc), vive sarkozy anti islam avec son debat sur l’islam et aime bcp les peuples lybiens musulmens,,,hehheheehhehe

  4. mes amis lissent ça, écrie par Thomas C. Mountain
    La révolté a démarré à Benghazi, dans l’est du pays. Un élément très important qui n’est mentionné dans aucun grand média est que cette ville est le point du continent Africain le plus proche de l’Europe. Benghazi est donc devenue, au cours des 15 dernières années environ, l’épicentre de la migration africaine vers l’Europe. Il est arrivé que plus de 1000 émigrés africains entrent par jour en Libye dans l’espoir d’atteindre l’Europe.

    Le trafic humain, un de commerces les plus malsains et inhumains qui soit, s’est transformé en une véritable industrie à Benghazi, brassant des milliards de dollars. Un monde parallèle mafieux s’est développé dans la ville et il est profondément implanté et emploie des milliers de personnes dans tous les domaines et corrompt la police et les fonctionnaires. Ce n’est que depuis un an que le gouvernement libyen, avec l’aide de l’Italie, a réussi à contrôler ce cancer. Avec la disparition de leur marchandise humaine et de nombreux chefs en prison, la mafia a été en pointe dans le financement et le soutien à la rébellion libyenne. De nombreux gangs de trafic humain et autres éléments issus des bas-fonds de Benghazi sont connus pour avoir mené des pogroms contre les travailleurs immigrés africains à Benghazi même et dans les banlieues. Depuis le début de la rébellion à Benghazi, plusieurs centaines de travailleurs immigrés Soudanais, Somaliens, Éthiopiens et Érythréens ont été détroussés ou assassinés par les milices racistes rebelles, un fait soigneusement caché par les média internationaux.

    Benghazi est aussi connu comme un foyer d’extrémisme religieux, de fanatiques libyens qui sont passés par l’Afghanistan se sont concentrés là-bas et des groupes terroristes ont organisé des attentats et assassiné des fonctionnaires dans la ville au cours des vingt dernières années. Un groupe, qui se nomme Le Groupe Islamique Combattant, a déclaré dés 2007 qu’il était affilié à Al Qaeda. Ce sont ces groupes qui ont été les premiers à prendre les armes contre le gouvernement libyen.

    Le dernier problème, et le plus difficile à résoudre, est alimenté par des croyances désuètes présentes dans la société libyenne. Les Libyens refusent de faire des travaux qu’ils considèrent comme « sales ». En 1987, les libyens étudiants du département d’anglais qui nous accompagnaient en parlaient ouvertement. Les jeunes libyens qui terminent leurs études refusent des emplois de bas de gamme aux tâches subalternes. Ils s’attendent à obtenir immédiatement un bon poste avec un bon salaire, un bon appartement et une voiture neuve.

    Le gouvernement a été obligé de faire venir des centaines de milliers de travailleurs immigrés pour faire « le travail sale » que les Libyens refusent de faire, d’abord depuis l’Afrique subsaharienne et plus tard depuis l’Asie.

    Le résultat est que des milliers de jeunes Libyens sont sans emploi et vivent aux crochets de leurs familles. Cette existence parasitaire a généré de nombreux problèmes sociaux graves. L’alcool, interdit en Libye, et la drogue constituent un problème un augmentation chez les jeunes.

    Tous ces problèmes sociaux étaient arrivés à un stade critique lorsque la rue arabe a déclenché son soulèvement contre les élites soutenues par l’Occident, d’abord en Tunisie, voisin de la Libye, ensuite en Egypte.

    Lorsque les premières manifestations de jeunes mécontents se sont déroulées à Benghazi, la coalition informelle de groupes terroristes et de gangs de trafiquants ont immédiatement profité de la situation pour attaquer les prisons de haute sécurité à l’extérieur de Benghazi où leurs camarades étaient enfermés. Après la libération de leurs chefs, la rébellion a attaqué les postes de police et les bâtiments officiels, et les habitants de la ville se sont réveillés avec la vision de cadavres de policiers pendus aux ponts qui enjambent les autoroutes.

    Le gouvernement Libyen dirigé par le Colonel Kadhafi a toujours pris soin de ne pas laisser se développer une armée professionnelle et puissante, et préférait compter sur un système de « comités révolutionnaires » pour diriger les communautés locales et s’occuper des questions de sécurité dans le pays.

    Ces « comités révolutionnaires » n’ont jamais vraiment connu l’épreuve du feu et ont été lents à réagir devant une rébellion qui s’étendait rapidement. Le gouvernement libyen a finalement réussi à s’organiser et a lancé une offensive contre la rébellion. Les rebelles, pour la plupart des jeunes sans formation militaire et des milices vaguement encadrées, ont été chassés des territoires fraichement conquis et il est devenu évident que la rébellion allait échouer. De hauts officiers des services de renseignement US l’ont publiquement admis. A présent, il est largement reconnu, du moins dans le monde Arabe et Africain, que la majorité des Libyens soutiennent le gouvernement dirigé par le Col. Kadhafi et que la rébellion n’est soutenue que par une minorité de la population. La fin de la rébellion semblait inéluctable.

    Alors que le forces militaires du gouvernement se trouvaient dans les banlieues de Benghazi et que le sort de la rébellion semblait scellé, il a été décidé aux Etats-Unis, et chez ses hommes de main à Londres et à Paris, d’attaquer la Libye pour renverser le gouvernement.

    La Libye est un pays riche en pétrole, proche de l’Europe, avec les plus grandes réserves de pétrole confirmées de tout le continent africain. Avec de tels enjeux, la décision fut prise de lancer une attaque contre la Libye. En fait, il faudrait dire « de lancer un massacre » parce qu’il n’existe pas à ce jour de défense efficace contre les missiles de croisière et le bombardement de haute altitude, surtout la nuit, et tant pis pour les victimes civiles.

    Après leurs attaques et invasions de l’Irak, de l’Afghanistan et de la Somalie, peu de gens dans le monde croient à la version occidentale d’une attaque contre la Libye pour protéger des civils. Les Etats-Unis et leurs alliés européens jouent à un jeu extrêmement dangereux en attaquant la Libye aujourd’hui. Alors que les pays arabes courent le risque de connaître de véritables situations révolutionnaires, c’est-à-dire des révoltes armées contres les élites soutenues par l’Occident, l’attaque contre la Libye pourrait devenir l’étincelle que l’Occident tentait désespérément justement d’éviter.

    Il est impossible de prévoir les conséquences des attaques de l’Occident contre la Libye. Assisterons-nous à un nouveau Kosovo ou à une victoire du gouvernement libyen dirigé par Kadhafi ?

    La seule chose qui est sûre, c’est que le peuple libyen paiera cher pour garder son pays, un prix qui sera inévitablement payé en sang.

    Je suis déjà en train de préparer ma prochaine visite en Libye, prévue à la même époque pour l’année prochaine, peut-être avec la deuxième délégation US pour la paix en Libye. Dieu sait combien de fleurs il faudra déposer sur les tombes des enfants libyens tués par le dernier massacre commis par les Etats-Unis et leurs partenaires européens.

    Thomas C. Mountain
    Asmara, Érythrée

  5. http://balkans.blog.lemonde.fr/2011/04/01/le-passe-charge-des-rebelles-libyens/





DSK a rencontré secrètement Daniel Cohn-Bendit mi-février .Entre mondialistes avoués & avouables...

01/04/2011 05:54



DSK a rencontré secrètement Daniel Cohn-Bendit mi-février

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(Cliquez sur la photo)

Les convives étaient convenus de garder le déjeuner secret. À la mi-février, un vendredi précédant le passage de Dominique Strauss-Kahn au 20 heures de France 2, le directeur général du FMI a rencontré à Paris Daniel Cohn-Bendit et l'eurodéputé Europe Écologie-Les Verts Yannick Jadot. Au cours de ce déjeuner, auquel participaient aussi deux amis de DSK, les trois hommes ont parlé FMI, crise grecque, mais aussi, largement, présidentielle. Les échanges n'ont laissé aucun doute aux deux leaders écologistes : Dominique Strauss-Kahn est déterminé à être candidat, même s'il ne l'a pas dit en des termes aussi clairs. "Il en a très envie, c'est évident", témoigne Cohn-Bendit.

Le directeur général du FMI leur a toutefois assuré que Martine Aubry devait d'abord décider si elle y allait ou non. "DSK nous a dit en substance : "Elle est légitime, je ne serai pas candidat contre elle si elle décide de l'être", explique un convive. Mais Strauss-Kahn espère que le principe de réalité l'emportera : parce qu'il est le mieux placé dans les sondages pour gagner la présidentielle, la première secrétaire et l'appareil socialiste devraient le soutenir. Lors de ce déjeuner, le directeur général aurait d'ailleurs précisé qu'il avait déjà en tête un calendrier : une annonce de candidature après le sommet du G8, qui se tient en France fin mai.

Le 24 février, quelques jours après cette rencontre, Daniel Cohn-Bendit prenait position publiquement en faveur de DSK...

Source Le Point - 31/03/11

 

 

23:07 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0) | Envoyer cette note






Parangons de vertu par Catherine Nay (“Yes, we Kahn”. & Johnny)

31/03/2011 01:30



Parangons de vertu

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Si vous avez regardé le documentaire consacré à Dominique Strauss-Kahn sur Canal Plus, et si vous lisez la longue interview que Johnny Hallyday donne à Paris Match, où il pose en couverture avec sa femme Laeticia, vous comprenez que leurs communicants jouent des mêmes ressorts. Pour séduire les électeurs comme pour vendre un album – celui de Johnny, Jamais seul, vient de sortir –, ils doivent montrer le politique ou la vedette le plus en proximité avec l’ordinaire des vraies gens.

Dominique Strauss-Kahn occupe un poste presti­gieux, vit au milieu des chefs d’État de la planète, il rédige des ordonnances pour des éco­nomies en péril, il parle l’anglais aussi bien que le français. Il incarne l’élite. L’es­sen­tiel du film était consacré à l’homme privé : conduisant lui-même sa berline pour se rendre à un match de foot soutenir l’équipe du FMI, qui arborait des T-shirts siglés : “Yes, we Kahn”. Beau clin d’œil ! On a entendu le bon époux, avouant que, sans Anne, il ne serait pas grand-chose. C’est un couple qui s’aime comme au premier jour ! Bon père aussi, qui évoque ses petits-enfants l’air attendri. On l’a aperçu dans sa cuisine immaculée faire cuire des steaks tandis que son épouse tourne la salade. Il crie “à table !”, comme vous et moi, lorsque nous sommes en famille. Il nous donne aussi sa recette pour défroisser un costume sortant de sa housse après huit heures d’avion : il faut l’accrocher au rideau de la baignoire remplie d’eau chaude. Et voilà ! Une vraie fée du logis. Un homme très simple donc !

Johnny, lui, vit entre la Californie, Saint-Barth et son chalet à Gstaad. Il est l’archétype de l’univers bling-bling, du show-biz et du shopping. Il s’est ravagé l’organisme avec l’alcool, la drogue, la cigarette. Ce qui fait sa légende. Il a failli mourir l’an dernier. Le voilà ressuscité. Mince, à peine bronzé, comme neuf. Les photos sont prises sur la plage à Los Angeles. Les petites Joy et Jade gambadent à côté de Johnny et Laeticia, vêtus de cuir du haut jusqu’en bas. Ah ! ce n’est pas la Laeticia de l’été qui ne nous cachait rien de ses tatouages au ras du pubis. Voilà un jeune couple rangé, qui s’aime comme au premier jour lui aussi. On en apprend de belles : Johnny ne boit plus, ne se drogue plus et ne fume plus qu’un jour sur deux. Et il a retrouvé sa voix. Il déclare son amour et sa fidélité à sa femme, à ses petites filles. Il aimerait qu’elles soient plus tard « droites en amour et en amitié, et qu’elles sachent que l’argent se mérite ». L’illustration d’un univers clos fait de sérénité et de beaux sentiments. Édifiant !

La société Sociovision, qui ausculte depuis des années les goûts, le moral, les désirs et les peurs des Français, nous le révèle : nos compatriotes rejettent aujourd’hui tout ce qui est loin d’eux : l’élite, les dirigeants, les vedettes. Ils n’ont plus confiance. Pour se rassurer, ils se replient sur la cellule familiale dans ce qu’elle a de plus circonscrit. Le couple est devenu la valeur refuge. C’est ce que l’on appelle le micro-social chaleureux. L’heure n’est plus au laisser-aller déjanté du bourgeois bohème. Aujourd’hui, le bourgeois se veut popote, rangé, fidèle, aimant. Les communicants ne peuvent être sourds et aveugles devant ces nouvelles tendances. Et ça peut marcher ? Si le public y croit…   Catherine Nay   

A lire également sur valeursactuelles.com :

Y a-t-il une vie après le FMI ?, par Basile de Koch

Photo © Valmonde






Libye – Londres ou la conférence des clowns par Allain Jules

30/03/2011 23:49



Libye – Londres ou la conférence des clowns

Ce monde est vraiment triste, pathétique aussi, quand on voit des donneurs de leçons incapables de résorber les crises institutionnelles et sociales dans leurs propres pays. Quand un roi autocrate ose demander à Mouammar Kadhafi de quitter le pouvoir pour éviter un bain de sang, c’est que le monde ne tourne pas vraiment rond. C’est l’hôpital qui se fout de la charité. Mais qui sont-ils, tous ces gens, pour oser demander le départ de Mouammar Kadhafi ? Qui leur a donné ce mandat ? Au nom de quels principes démocratiques ? A-t-il perdu une élection ? Où sont donc les charniers qui ont permis que ce pays soit victime d’attaques barbares ? Ambiance.

Hier, à Londres, en Grande Bretagne, avait lieu la conférence sur la Libye. Et les « qui » s’y collent ? La France, la Grande Bretagne, l’Italie et le…Qatar, représentés par Franco Frattini, chef de la diplomatie italienne ; Cheikh Hamad Ben Jassem, premier ministre qatari ; William Hague, le ministre britannique des Affaires étrangères. Ces derniers se sont exprimés à l’issue de cette conférence fantoche. Ils se prennent vraiment pour les rois du monde ces trois-là, dignes porte-paroles du président du Conseil italien, Silvio Berlusconi, du premier ministre britannique, David Cameron et de l’émir du Qatar, Cheikh Hamad Ben Khalifa Al Than.

Franco Frattini : ce petit attardé mental qui a suggéré en 2007, que les mots « bombe », « tuer », « génocide » ou « terrorisme » ne devraient plus exister sur Internet est vraiment pathétique. Il se fait pourtant complice des bombardements, des tueries, du génocide et du terrorisme occidental en…Libye. N’est-ce pas délirant de voir un esprit aussi perturbé, qui plus est, ministre de l’autre clown européen, Silvio Berlusconi, qui devrait avoir la décence de se taire pour parler d’un autre pays alors que le sien est en dépravation totale ? Pour lui, « Kadhafi doit quitter la Libye » mais, même s’il va en exil, « ça ne veut pas dire immunité ». De quoi parle-t-il ? Où sont donc les preuves des forfaits de Kadhafi qu’ils (Italiens) étaient heureux de recevoir il y a seulement 1 an et demi ? C’est le monde à l’envers. Silvio Berlusconi avait loué la « profonde sagesse » du leader libyen tandis que celui saluait le « grand courage » du président du conseil italien pour avoir reconnu les « erreurs » du passé. En effet, l’Italie reconnaissait ses méfaits liés à la colonisation et s’était engagée à verser sous forme d’investissement, la bagatelle et coquette somme de 5 milliards de dollars à la Libye. Est-ce pour ça que les Italiens veulent sa peau ?

Cheikh Hamad Ben Jassem : lui, c’est le premier ministre qatari. Inconnu au bataillon si ce n’est qu’il a du sang bleu et vient de réussir à faire signer aux insurgés armés contre Kadhafi, devrais-je dire, renégats, la commercialisation du pétrole libyen, du moins, les puits qu’ils ont réussi à mettre sous leur contrôle. Grand démocrate devant Dieu et les hommes sans doute, caution arabe de l’attaque barbare contre Mouammar Kadhafi estime pour sa part, que dis-je, exhorte le leader libyen « à partir et éviter un bain de sang ». Qui va donc commettre ce bain de sang ? Kadhafi ou ses amis insurgés ? L’OTAN ? On voudrait bien savoir. A coup de salmigondis contradictoires -souvenez-vous-, nos quidams disaient qu’ils ne voulaient pas le départ de Mouammar Kadhafi. Subitement, tous chantent le même refrain : "Kadhafi doit partir". Il ne manquait plus qu’ils placardent sur tous les murs en Occident, « Kadhafi dégage ». Ces gens sont fous. Ce sont de vrais clowns qui changent de discours à chaque circonstance. Ils voient comment les rebelles ne pourront pas prendre le pouvoir par la force et tentent de jouer collectif avec une pseudo unanimité. C’est dans les détails que se cache le diable et de voir la façon dont ces fascistes ont trituré le texte de la résolution onusienne, il n’y a pas de doute possible, ce sont des nazis.

William Hague : le ministre britannique des Affaires étrangères a précisé de son côté que Londres ne cherchait pas un pays qui accueillerait le colonel Kadhafi. « Mais cela n’exclut pas que d’autres pays le fassent » a-t-il dit. Tiens. Ils sont les maîtres du monde, ont le droit de vie ou de mort sur un chef d’Etat étranger, s’ingèrent sous de faux prétextes etc. Et, de savoir que la « communauté internationale » autoproclamée ne regroupe que quelques pays fait bien sourire, pour peu qu’on soit lucide. Sur William Hague, pas grand chose à dire mais, amusant de constater ce changement de discours. Entre cynisme et hypocrisie, ces gens se prennent vraiment pour ce qu’ils ne sont pas. Il ne suffit plus, aujourd’hui, d’être issu d’un grand pays pour donner des ordres aux autres, s’habiller d’oripeaux élogieux pour faire croire qu’on est démocrate. Pour preuve, coincés face à leur guerre contre la Libye qui n’a d’ humanitaire que le nom, nos Dieux sur terre envisagent désormais, sans vergogne, en violant encore une fois la résolution onusienne, d’armer les ….rebelles. Or, ladite résolution stipule bien qu’il faut que les croisés veillent à l’embargo sur les armes en Libye. Cherchez l’erreur ! Mais Paris et Washington l’ont affirmé hier, ils vont armer les insurgés. Ces derniers, sûr de leur victoire, envisagent même déjà de traduire Mouammar Kadhafi devant les tribunaux. Or, eux, ne seront visiblement pas jugés d’avoir assassiné tous les noirs de Benghazi, dont des étudiants de l’université locale, « soupçonnés » d’être des mercenaires de Kadhafi. Une honte !

La guerre du Golfe n°1 « Tempête du désert », entre 1990 et 1991 et ses fameuses « frappes chirurgicales » n’a servi de leçon à personne. Ensuite, la fameuse armée américaine enchaînait sa guerre en Afghanistan en 2001 (toujours en cours) destinée a mettre Ben Laden aux arrêts après les attentats du 11 septembre. Puis, dans la même logique des faux prétextes, depuis 2003, on assiste encore aujourd’hui, à la guerre du Golfe n°2 dite « Operation Iraqi freedom », mais personne ne sait où sont les fameuses armes de destruction massive qui ont ruiné la carrière politique de Colin Powell…Aujourd’hui, les mêmes délires et la guerre en Libye "Aube de l’Odyssée", pour "sauver le peuple Libyen et lui apporter la démocratie " suite aux fameux 6000 morts causés par Mouammar Kadhafi qu’on a retrouvé à Lampedusa, en Italie. Même la presse de gauche est tombée dans le panneau et appuie ce nouveau mensonge abyssal. Oui, nous marchons sur la tête et les zélateurs de cette attaque barbare ont le toupet de dire aux anti-guerre qu’ils sont des adorateurs de Mouammar Kadhafi. Que nenni !

>>> Allain Jules

>>> Revoir la résolution 1973






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