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Gaza a été détruite, et on va s'amuser à jouer les faiseurs de paix avec 12 jeunes de 18 ans qu'on va enfermer durant un mois.
13/02/2009 00:30
Ces deux beaux visages d'intellectuels tourmentés, saisissant d'intelligence sont:
-à gauche, Mazarine Pingeot, exsudat prostatique de la Vieille Mitte, sa seule postérité véritable et en quelque manière la pupille de la Nation, puisque selon la volonté du De cujus son élevage et son engraissement se parachevèrent aux frais de la République, écri-vaine(1) et administratrice de l'Institut François-Mitterrand(mazette!) entre autres activités relevées;
-à droite Ulad Mohamed, son cher et tendre, père de ses enfants et "Producteur délégué, Réalisateur, Scénariste, Adaptateur et/ou dialoguiste, Producteur étranger, Producteur(société), Exportateur(sic!)", qui vient d'avoir une idée d'émission (géniale, forcément géniale), que dans l'excellent Informations Ouvrières, l'organe du POI, dernier journal ouvrier vraiment indépendant, Lucien Gauthier, sous la rubrique "Faites le savoir...", commente, dans un article que je me dépêche de reproduire, tant le dégoût qu'il manifeste je le partage, sans autre commentaire que le sien.
"....et il a eu [mohamed Ulad] une idée d'émission. Il va enfermer, façon loft, durant un mois dans un mas provençal 12 jeunes de 18 ans. 6 palestiniens et 6 israéliens. Ils cohabiteront, partageront loisirs, repas, match de foot, télé... Ils vont même monter ensemble une pièce de théâtre Roméo et Juliette, dont on imagine pour le piment de la chose, un Roméo palestinien, une Juliette israélienne, ou vice-versa.
Délicat, notre producteur-réalisateur tient à préciser qu'il n'y aura pas d'intrusion dans leur intimité: "On ne les verra pas dormir, on les suivra quand ils feront leurs courses, quand ils s'occuperont du potager ou quand ils s'installeront à la cuisine." Bien sûr, ce n'est pas de l'intimité. En fait il voulait juste dire: on ne les filmera pas s'ils couchent ensemble!
Assez écoeurant tout cela. Mais ce n'est pas fini, il y a malheureusement pire. Des "coachs" les encadreront pour qu'ils discutent entre eux avec l'objectif que ces 12 jeunes Palestiniens et Israéliens signent "des accords de paix".
Ils sont 12, ils ont 18 ans, et on va leur faire porter pour une émission voyeuriste sur une chaîne de télé française la responsabilité des "accords de paix." Un drame a lieu en Palestine, Gaza a été détruite, et on va s'amuser à jouer les faiseurs de paix avec 12 jeunes de 18 ans qu'on va enfermer durant un mois.
Il n'y a qu'un mot, excusez ma grossièreté: dégueulasse! "
.
Note:(1)
A propos du"Cimetière des Poupées" de la Dinde, je signale simplement ce petit article dans l'Express :
"Mazarine, écrit vain", par Jérôme Dupuis.
"Ce Cimetière des poupées est - déjà! - son cinquième roman.
Scolaire et ampoulé. Pourra-t-on, un jour, lire un roman de Mazarine Pingeot d'un oeil parfaitement objectif? Le moins que l'on puisse dire est que la principale intéressée ne nous y aide pas vraiment, posant enceinte à la Une de Paris Match, «dans la maison de ses vacances avec François Mitterrand», ou choisissant, pour la quatrième de couverture de ce Cimetière des poupées, un passage éminemment ambigu, qui semble dresser son portrait autant que celui de son héroïne.
La confusion n'est guère possible, pourtant. Le roman est la longue confession d'une mère infanticide depuis la cellule de sa prison. Pourquoi a-t-elle fini par tuer celui qu'elle venait d'enfanter? Sujet intéressant.
Une litanie nourrie d'obsessions prévisibles Mais, sous couvert d'explorer éros et thanatos, notre agrégée de philosophie aligne tous les marronniers des pages psycho-sexe de Cosmopolitan : la première nuit avec mon amant (page 35), le choc de la paternité (page 65), la lassitude dans le couple (page 89), etc. Et lorsqu'elle s'aventure dans la scatologie ou la lubricité, on a le sentiment de voir une adolescente en col Claudine s'effrayant elle-même de son audace à arracher les ailes d'une mouche.
Certes, ce Cimetière des poupées a sa petite musique. La petite musique que produit une litanie un peu monotone, nourrie d'obsessions prévisibles. Le décor? Un appartement bobo, un époux éditeur et quelques cocktails mondains. Le style? Ampoulé. Exemple: «Que tiennent les promesses quand la nuit s'y met, les images me débordent, je ne les contiens plus, mon seul succès est d'avoir anéanti ma capacité gestuelle, l'énergie du moindre effort, ce qui empêche le passage à l'acte et circonscrit au délire mes désirs irrespectueux.» Et quand le lecteur est arrivé à la dernière page de ce petit roman semblable à tant d'autres, il ne peut réfréner une lancinante interrogation: so what ?"
Et après ça on s'étonne que la moindre mimi exhibât ses petits écrits sans rougir...
Publié par l'abbé Tymon de Quimonte
http://petitimmonde.blogspot.com/2009/02/degueulasse.html
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Nicolas Sarkozy ou l'arroseur arrosé par Kelly-Eric GUILLON
18/01/2009 12:14
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Prostitution: la Norvège punit le client
17/01/2009 02:06
MOEURS | 17:30 Depuis le 1er janvier, les clients de prostituées en Norvège encourent une peine de 6 mois de prison. Une mesure qui s'est révélée efficace dans les pays voisins pour démanteler les trafics humains.

En Norvège, le client est criminel mais la prostitution licite (AFP)
mcm | 16-01-2009 | 17:30
"Nous pensons que l'achat de sexe est inacceptable et qu'il favorise le trafic d'êtres humains et la prostitution forcée", explique la secrétaire d'Etat à la justice, Astri Aas-Hansen.
La philosophie du système étant de reconnaître que les femmes sont les victimes d'un trafic, la prostitution elle-même restera licite.
Jusqu'à un an de prison La loi prévoit que les hommes qui achètent du sexe encourront soit jusqu'à six mois de prison, soit une amende, soit les deux. Dans les cas extrêmement graves, la peine pourra atteindre un an de prison, voire plus s'il s'agit d'une mineure. Mais il y a des effets pervers, pour les prostituées elles-mêmes.
Dans un pays de 4,5 millions de personnes, on estime entre 2.000 et 3.000 le nombre de prostituées, dont un tiers travaille dans la rue. La loi norvégienne est calquée sur une réglementation adoptée en 1999 par la Suède. La Finlande a également adopté une loi similaire en 2006, de même que l'Ecosse en 2007.
http://www.lesquotidiennes.com/sexualit%C3%A9/prostitution-la-norv%C3%A8ge-punit-le-client.html
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Enrico Macias interdit à l'ïle Maurice: qu'il aille chanter sur les ruines de Gaza!
16/01/2009 22:46
Gaston Ghrenassia, né le 11 dé&cembre 1938 à Constantine (Algérie française)
Enrico Macias (g) le 4 janvier 2009 avec le grand-rabbin Bernhaïm (d)
Les organisateurs d'un concert prévu en janvier à Maurice du chanteur franco/israélien Enrico Macias ont annoncé vendredi avoir annulé l'évènement en raison de la polémique provoquée dans l'île par la participation de l'artiste à un rassemblement de soutien à Israël.
Interrogé par l'AFP à Paris, le producteur de l'artiste Charley Marouani "a regretté l'annulation de ce concert qu'en aucun cas Enrico Macias n'a souhaitée".
"Enrico Macias a, au nom de la liberté d'expression, participé à un rassemblement pro-israélien à proximité de l'ambassade d'Israël (à Paris) le 4 janvier", a expliqué à l'AFP Me Askok Radakissoon, avocat de la société organisatrice du concert. "Cette initiative a été condamnée par des dirigeants politiques mauriciens".
"La municipalité de Port-Louis a menacé de ne pas donner son autorisation pour l'organisation d'un tel concert dans sa ville. Tout cela a créé une situation qui rend impossible l'organisation du concert", a-t-il ajouté.
Le 9 janvier, le gouvernement mauricien avait annoncé avoir suspendu les activités du consul honoraire d'Israël à Port-Louis en raison de "l'usage disproportionné de la force par Israël" à Gaza.
La société organisatrice, Lab Entertainment, a indiqué dans un communiqué "se trouver dans une situation où la tenue de ce concert est sérieusement compromise voire impossible pour des raisons de sécurité, mais aussi pour éviter une situation qui pourrait ternir l'image de notre île".
Le concert devait être organisé le 23 janvier à la Citadelle, ancien fort français construit sur un colline dominant Port-Louis, la capitale.
AFP. 16.01.09
http://gaelle.hautetfort.com/archive/2009/01/16/macias-interdit-a-l-ile-maurice-qu-il-aille-chanter-sur-les.html
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Affaire Dray : Tracfin a relevé des dépenses énormes de l'élu depuis fin 2005
14/01/2009 09:13
La cellule anti-blanchiment du ministère des finances, Tracfin, chargée d'enquêter sur l'affaire Julien Dray a rendu son rapport mercredi 14 janvier. Selon des extraits de celui-ci publiés dans L'Est républicain, les enquêteurs qui ont analysé les comptes de l'élu socialiste ont relevé des dépenses énormes depuis fin 2005. "Les paiements réalisés par M. Dray, avec sa carte [American Express], depuis la mi-décembre 2005 s'élèvent, pour les seuls flux supérieurs à 500 euros, à 313 180,56 euros." "134 opérations ont ainsi été réalisées, allant unitairement jusqu'à 18 500 euros", facturés en août 2008 chez l'horloger Breguet, selon le rapport. Environ 131 000 euros ont notamment été dépensés pour des montres, pour une trentaine d'achats, alors que 15 588 euros d'achats sont rassemblés par les enquêteurs de Tracfin sous le vocable "Luxe stylo", d'après L'Est républicain.
Selon le quotidien régional, qui dit avoir contacté le député PS, les revenus du couple Dray atteignent 15 000 euros, ce que l'élu a estimé compatible avec son train de vie. "Cette affaire n'aurait jamais dû être confiée à la justice, car ce n'est en rien une affaire pénale. C'est au mieux un dossier fiscal", a estimé Julien Dray, dont les propos sont rapportés par L'Est républicain. Une plainte a été déposée le 23 décembre 2008 par Julien Dray pour violation du secret professionnel et recel de cette infraction.
La cellule anti-blanchiment de Bercy s'interroge plus particulièrement sur les chèques reçus par Julien Dray et sur les "contreparties" obtenues par les émetteurs de ces paiements. "Nombre de chèques tirés enregistrés posent la question de leur contrepartie. Les émetteurs ont en effet soit leur siège social dans le département dont M. Dray est l'élu, soit ils ont obtenu un chantier public dans sa circonscription, soit obtenu un marché public avec le conseil régional d'Ile-de-France, écrit Tracfin dans son rapport. Ces flux suscitent les interrogations du service."
Depuis le 10 décembre 2008, Julien Dray est l'objet d'une enquête préliminaire du parquet de Paris. Il est soupçonné d'abus de confiance à la suite d'un signalement de Tracfin portant sur des mouvements de fonds suspects à partir de comptes de l'association Les Parrains de SOS-Racisme et de l'organisation lycéenne FIDL, depuis janvier 2006. La somme dont aurait bénéficié l'élu de 53 ans pourrait s'élever à 351 027 euros.
http://www.lemonde.fr/politique/article/2009/01/14/les-depenses-de-julien-dray-pointees-par-tracfin_1141493_823448.html
Commentaire de NS 55 (18/01/2009 13:01) :
Pourquoi le TRACFIN ne s'occupe pas de poursuivre les blanchisseurs
institutionnels et autres narcotrafiquants avec la même précision?
Il est vrai que Julien Dray n'a pas bénéficié du "secret défense",
lui!
http://marcfievet.blogspot.com/ ns55dnred@live.fr |
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la Défense de l'Arche Delanoé
13/01/2009 21:38
 Monsieur Delanoë est grave: il est maire mais non père de famille. C'est peut-être pour cela qu'il reste impassible devant les petits enfants de Gaza déchiquetés par les Armes Beth DIME (Dense Inert Metal Explosive).
Que lui font-ils ces enfants morts, et que lui font les cieux emplis du phosphore blanc?
Cet agent toxique qui provoque des brûlures atroces de la peau et endommage irrémédiablement le foie, le coeur ou les reins, n'entame pas sa couenne à lui, n'atteint ni son foie blanc ni son placide coeur de reine.
Par contre Notre-Dame de Paris sonde les reins et les coeurs: il s'est étranglé d'indignation devant "l'abjection" de l'humoriste Dieudonné qui a fait remettre le 26 décembre dernier au Zénith de Paris à l'universitaire révisionniste Robert Faurisson le "prix de l'infréquentabilité et de l'insolence".
La foudre de Monsieur Delanoë sera terrible: il interdira désormais aux théâtres publics de la capitale d'accueillir le spectacle de Dieudonné "J'ai fait le con"!
Monsieur Delanoë, ne fait-il pas le con lui-même, avec sa bouche en cul de poule? Peu nous importe, c'est sa vie privée.
Ce que Monsieur Delanoë n'aime pas, par dessus tout, c'est l'inintelligence:
"La négation de l'Histoire est une faute contre l'intelligence et une faute contre l'humanité" a-t-il déclaré.
Monsieur Delanoë est un puits de Science. Il déclara un jour : " L’État d’Israël est né d’un deuil comme aucun peuple au monde n’en avait jamais connu"
Ainsi nous apprenions que la Déclaration Balfour et les 14 points de Wilson, en 1917, étaient le résultat d'un deuil.
Foreign Office, Novembre 2, 1917 "Cher Lord Rothschild,
J'ai beaucoup de plaisir à vous transmettre, au nom du gouvernement de Sa Majesté, la déclaration suivante de sympathie pour les aspirations sionistes juifs qui a été soumise et approuvée par le Cabinet. Le Gouvernement de Sa Majesté en vue de favoriser l'établissement en Palestine d'un foyer national pour le peuple juif, emploiera tous ses efforts pour faciliter la réalisation de cet objectif, étant clairement entendu que rien ne sera fait qui porte préjudice aux droits civils et religieux des communautés non juives en Palestine, ou les droits et au statut politique dont jouissent les Juifs dans tout autre pays. Je vous serais reconnaissant si vous voulez porter cette déclaration à la connaissance de la Fédération sioniste. "
Yours sincerely, ARTHUR JAMES BALFOUR......
"Ce peuple, en voulant bâtir sur la terre de son histoire ancestrale, un petit pays où il lui fût permis de parler sa langue, de planter ses arbres et de prier son dieu, a écrit, tout simplement, une nouvelle page du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes." Là c'est Monsieur Delanoë qui parle, et non plus Lord Balfour.
Faut-il comprendre que la création de l’État d’Israël ne serait pas l’installation d’une colonie juive en Palestine, mais au contraire la décolonisation de la Palestine occupée par les Palestiniens?
De la terre du pays de Canaan, que Yahvé à donné à Abraham, ainsi qu’on peut le lire dans la Genèse, le premier livre de la Torah, les petits enfants palestiniens en sang et à jamais privé du lait des blancs ruisseaux de Canaan, nageurs morts aux membres éparpillés dans la Voie Lactée, suivront-ils d'ahan son cours vers d'autres nébuleuses?
Peut-on faire, Monsieur le Maire, plus grande faute contre l'intelligence et l''humanité?
Félix le Chat.
Publié par l'abbé Tymon de Quimonte à l'adresse 01:42 http://petitimmonde.blogspot.com/2009/01/monsieur-delano-est-grave-il-est-maire.html
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Affaire Kouchner: riposte du ministre, nouveaux éléments
13/01/2009 11:11
Où l'on apprend que Bernard Kouchner confirme, involontairement, les informations publiées par Marianne2 hier, ainsi que par Bakchich, en publiant plusieurs documents sur le dossier.
La publication de premiers éléments de l’enquête de Pierre Péan sur les activités de consultant au Gabon de Bernard Kouchner et de deux de ses collaborateurs, Eric Danon et Jacques Beaudoin, a provoqué un début de panique au Quai d’Orsay. Ce dernier notamment se serait, selon le témoignage de certains proches du dossier, beaucoup agité pour prendre connaissance d’une enquête qu’il ne pourra lire qu’une fois publiée, c’est à dire dans plusieurs semaines selon nos informations. Puis, dans l’après-midi, le Quai d’Orsay contactait l’AFP pour lui demander de publier un communiqué que nous reproduisons ci-dessous dans son intégralité.
COMMUNIQUE DE BERNARD KOUCHNER MINISTRE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES ET EUROPÉENNES
« Pour répondre à certaines allégations inexactes diffusées sur un site internet, Bernard Kouchner tient à faire préciser :
« Depuis sa prise de fonction en tant que ministre des Affaires étrangères et européennes, Bernard Kouchner a cessé toute activité au sein des sociétés BK Conseil et BK Consultants. La société BK Conseil a été dissoute le 18 mai 2007. Depuis la nomination du Ministre, BK Consultants n’a plus aucune activité commerciale et ne saurait avoir perçu quelque rémunération que ce soit. Le ministre dément formellement « avoir fait passer des prestations de conseil et d’audit sous l’égide de trois sociétés ». Bernard Kouchner n’a jamais appartenu à la société IMEDA dont il était l’un des consultants et n’avait donc aucune raison de se préoccuper du règlement des factures de celle-ci. S’il a pu être amené à évoquer son rapport sur l’Assurance maladie au Gabon avec le président Bongo, c’est uniquement pour s’informer de l’état d’avancement de la mise en œuvre de la loi née de ce rapport.
Le travail de Bernard Kouchner sur ce projet d’Assurance maladie au Gabon était notoirement connu des medias gabonais et a fait l’objet d’une communication publique au cours des Etats Généraux de la Santé à Libreville.
L’activité de Bernard Kouchner, comme Président fondateur du GIP ESTHER était une activité purement bénévole exercée dans le cadre des décisions prises par le conseil d’administration. C’est le GIP ESTHER qui a permis notamment les nombreux jumelages hospitaliers entre pays européens et pays en développement en particulier dans le domaine du sida.
Bernard Kouchner s’enorgueillit d’avoir toujours mené, dans ses diverses fonctions et dans le cadre strict des règles de celles-ci, un combat permanent en faveur de la santé publique en Afrique.
Bernard Kouchner se réserve le droit d’engager des poursuites judiciaires pour prévenir ou sanctionner toutes allégations mensongères à son égard et en a chargé Me Georges Kiejman. »
Refusant de se transformer en petit télégraphiste du Quai d’Orsay, le journaliste de l’AFP a repris l’essentiel de la contre-argumentation du ministre ainsi que les principaux éléments de l’article de Marianne2. Il est vrai que l’argumentaire de Bernard Kouchner semble pétri de contradictions, et d’imprécisions : 1) Le Ministre évoque deux sociétés qu’il a créées, BK Conseil et BK Consultants, sans indiquer pourquoi la seconde, société en nom personnel, a succédé à la première. 2) Il indique à la fois qu’il n’a jamais « appartenu à la société IMEDA » tout en précisant « qu’il en était l’un des consultants », ce qui, s’agissant d’une société de conseil, est tout de même un lien assez puissant, surtout quand ladite société est créée par deux des proches collaborateurs du ministre. 3) Il indique qu’il n’a jamais été rémunéré au titre de la Présidence d’Esther, octroyée grâce à ses bonnes relations avec Dominique Ambiel et le Premier ministre de l’époque Jean-Pierre Raffarin. Mais Pierre Péan s’était contenté d’évoquer « une fonction officielle » sans indiquer que le ministre avait été payé pour l’exercer. 4) Enfin, Bernard Kouchner reconnaît avoir « pu être amené à évoquer son rapport sur l’Assurance maladie au Gabon avec le président Bongo ». Mais c’était « uniquement pour s’informer de l’état d’avancement de la mise en œuvre de la loi née de ce rapport. » Dans le monde feutré des relations diplomatiques, cela pourrait revenir un peu au même, surtout si, derrière les rencontres officielles, s’agite un proche du ministre pour accélérer le paiement des factures comme le rapportait Pierre Péan. En fait, le seul important à retenir de la défense du ministre est le choix de l’avocat Georges Kiejmann, l’un des avocats les plus redoutables (et les plus redoutés) du barreau de Paris. Ce choix montre à quel point Bernard Kouchner considère le dossier comme crucial. Le mobilisation de ce ténor du barreau était d’autant moins superflue que, quelques heures après la publication du communiqué kouchnérien, Xavier Monnier publiait, sur le site bakchich.info les documents qui valident tous les chiffres cités par Pierre Péan dans Marianne2 lundi. Bakchich apporte un élément complémentaire en reproduisant un écran du site IMEDA (écran aujourd’hui disparu d’Internet) indiquant la nature des prestations ( « un audit complet du système gabonais et proposition de réforme » et « l’élaboration d’un nouveau plan national de développement sanitaire ») ainsi que l’auteur du travail, Bernard Kouchner, Président de BK Conseil.
La page du site IMEDA qui prouve ses liens avec Bernard Kouchner (page aujourd'hui supprimée du site)
Mardi 13 Janvier 2009 - 07:02
http://www.marianne2.fr/Affaire-Kouchner-riposte-du-ministre,-nouveaux-elements_a173744.html?PHPSESSID=a87212c27e80a5a9209b6730634a65bf
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Abbas "indésirable" au Koweït
13/01/2009 10:42
Un groupe de 21 députés koweïtiens, pour la plupart des islamistes, ont affirmé aujourd'hui dans un communiqué que le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas était "indésirable" au Koweït, où se tiendra les 19 et 20 janvier un sommet arabe. Dans leur communiqué, les 21 élus koweïtiens - sur les 50 que compte le Parlement - disent "s'opposer à la visite du président de l'Autorité palestinienne au Koweït où il est indésirable (...) en ces circonstances et après la fin de son mandat présidentiel", qui a expiré le 9 janvier. Ils lui reprochent "ses positions négatives" dans le cadre de l'offensive militaire israélienne contre la bande de Gaza, marquées par "des restrictions aux opérations de la résistance légitime contre l'occupant" israélien.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2009/01/13/01011-20090113FILWWW00365-abbas-indesirable-au-koweit.php
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Ramatoulaye ,épouse Zimet veut plaire à ses maîtres et rentrer en grâce..
12/01/2009 13:39

La secrétaire d'Etat aux "Droits de l'Homme" Rama Yade a déclaré dimanche sur radio J qu'il fallait mettre un terme à la "martyrisation de Gaza" et sa "situation humanitaire désastreuse" dont le Hamas est "en grande partie responsable" en raison de son "comportement criminel".
"La deuxième semaine de guerre vient de s'achever. Le Hamas est en grande partie responsable de cette situation, mais Israël n'est pas tout à fait innocent et je crois qu'il est normal qu'on demande que la martyrisation* de Gaza cesse", a déclaré Mme Yade au forum de radio J.
A Gaza, la population est "aujourd'hui prise au piège entre les belligérants", a expliqué Rama, insistant sur le fait que "la situation qui prévaut aujourd'hui" dans le territoire palestinien "est absolument intolérable, inacceptable, inadmissible".
"On est à plus de 800 Palestiniens tués, il y a des difficultés de circulation dans Gaza, vers Gaza, les points de passage sont bloqués, la trêve qui a été acceptée par Israël -trois heures quotidiennement- est absolument insuffisante", a-t-elle poursuivi, tout en reconnaîssant à Israël "le droit de se défendre face à des actes terroristes, face à des terroristes qui ne renoncent absolument à rien".
Interrogée sur les récentes déclarations de la secrétaire d'Etat américaine Condoleezza Rice, qui a accusé comme d'habitude le Hamas "de se cacher derrière des boucliers humains", Rama a répondu: "Ce que j'observe, c'est les conséquences du comportement du Hamas, un comportement impardonnable, un comportement irresponsable et un comportement criminel qui conduit à la situation humanitaire désastreuse de la population actuellement", a-t-elle ajouté.
"Mais si le Hamas est responsable, Israël n'est pas non plus tout à fait innocent", a-t-elle répété, faisant référence aux tirs de l'armée israélienne notamment sur des écoles de l'Onu à Gaza...
"Il faut mettre en pratique le plan de paix franco-égyptien", a-t-elle poursuivi, faisant allusion à un plan de sortie de crise élaboré par le Caire en étroite coopération avec Paris et qui prévoit notamment des garanties sur "la sécurisation des frontières".
* "Martyrisation" est un barbarisme, c'est "martyre" que l'on doit dire.
Rappellons que Ramatoulaye Yade est mariée à Joseph Zimet, qui est le fils du célèbre (?) chanteur et conteur yiddish Ben Zimet, juif polonais de nationalité canadienne, qui vit actuellement à Dakar.
http://gaelle.hautetfort.com/archive/2009/01/11/ramatoulaye-veut-plaire-a-israel-et-rentrer-en-grace.html
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Échec et compromissions de la realpolitik arabe : Risposte militaire contre Israël, un sujet tabou
12/01/2009 00:13
Et si une coalition de pays arabes attaquait militairement Israël ? Et si l’on envisageait – au nom de la « qawmiya arabiya » (nationalisme arabe), de la communauté de destin, de l’ingérence humanitaire (droits d’auteur Bernard Kouchner) façon Kosovo ou, tout simplement, de la « redjla », de la dignité, de l’humanisme – une riposte militaire contre l’Etat hébreu pour stopper sa machine de destruction massive qui s’acharne contre le peuple palestinien et les enfants de Ghaza depuis voilà presque vingt jours, multipliant les crimes de guerre dans l’impunité la plus totale ? Les opinions publiques arabes n’ont guère tort de penser que leurs dirigeants n’utilisent leur impressionnant arsenal militaire pour lequel ils déboursent des millions, voire des milliards de dollars chaque année, que pour mater leurs peuples. Il n’est pas une manifestation de rue sans que des jeunes et des moins jeunes, des révoltés de toutes conditions n’expriment le désir de partir combattre en Palestine.
C’est même devenu un leitmotiv dans la bouche de l’homme de la rue arabe. Dans la foulée, les régimes respectifs sont affublés de tous les noms d’oiseaux, coupables qu’ils sont à leurs yeux de passivité poltronne et de silence complice. D’un point de vue politique et loin de l’aspect émotionnel, il faut convenir que la question de l’intervention militaire en Israël mérite au moins débat. Ce n’est évidemment pas une mince affaire et ce n’est pas de gaieté de cœur que les pacifistes arabes (et ils sont nombreux, comme ils sont nombreux en Israël), valideraient un tel scénario, eux qui se verraient mal troquer le rameau d’olivier contre un fusil. Une telle escalade belliqueuse n’est souhaitée par personne. Pourtant, devant le massacre à huis clos des Palestiniens à Ghaza et l’horreur des images insoutenables que l’ont subit tous les jours, tous les scrupules volent en éclats et une telle option devient pour le coup sinon inéluctable, à tout le moins légitime.
A quand un référendum sur la Palestine ?
Or, jusqu’au jour d’aujourd’hui, à aucun moment la question n’a été mise sur le tapis au niveau officiel dans aucun pays arabe. Pour autant que les infos qui filtrent des réunions secrètes des cabinets arabes permettent d’en juger, pas un seul Etat, à notre connaissance, n’a posé le problème à son état-major, encore moins à son opinion publique par voie parlementaire (quand les Parlements fonctionnent et font leur travail). Non. Aucun débat public n’a été engagé à ce propos. Aucun ministre de souveraineté n’a été interpellé à ce sujet, aucun responsable du renseignement, aucun décideur. Ne rêvons même pas d’une large consultation populaire, type référendum, sur la Palestine.Si l’on passait rapidement en revue les années 2000, on se rendrait compte que la « nation arabe » (si tant est que cette entité eût un sens) a passé toute la première décennie du XXIe siècle à cumuler les affronts sans oser lever la tête. Les attentats du 11 septembre ont servi de prétexte idéal aux Etats-Unis pour lancer une vaste offensive contre le monde arabe. Sous couvert de « guerre contre le terrorisme », les Arabes se sont retrouvés en plein dans la ligne de mire de la folie belliqueuse de George W. Bush, qui mènera une véritable campagne de domestication à leur encontre pour les faire rentrer dans un nouveau sigle au contenu douteux : GMO, le « Grand Moyen-Orient ». Petite rétrospective. Il y a eu tour à tour l’agression américaine contre l’Irak en 2003 suivie de l’arrestation de Saddam Hussein en décembre 2004 et sa froide exécution, deux ans plus tard, au terme d’un procès bâclé. Le Raïs sera exécuté par pendaison, un jour d’Aïd de surcroît, presque clandestinement, dans une cave dont ne témoigneront que des images volées par téléphone portable et sans que cela n’émeuve personne. Ensuite, il y a eu la campagne du Liban pour libérer trois soldats israéliens enlevés par le Hezbollah qui s’est soldée par le massacre de Cana et zéro gain. Et, au jour d’aujourd’hui, presque avec la même régularité barbare, nous voici assistant avec la même impuissance lâche à la boucherie de Ghaza. Maintenant, à qui le tour ? Où sera le prochain Sabra et Chatila ?
Ghaza n’est pas un « casus belli »
Bien sûr, les champions de la realpolitik vont nous servir les mêmes mélopées capitulardes. Ce ne sont évidemment pas les arguments qui manquent pour expliquer (justifier ?) l’inertie des états-majors arabes et le silence de leur arsenal militaire. On va brandir le rameau d’olivier en diabolisant la « moqawama » présentée comme une option suicidaire et sans issue. Sans citer l’incapacité structurelle des Arabes à composer entre eux, conformément au vieil adage « itafaqa el arabou an la yatafiqou » (Les Arabes se sont entendus pour ne pas s’entendre). Et puis, c’est connu, nos gouvernements préfèrent retourner leurs canons contre leurs voisins respectifs. Sauf bien entendu le voisin suprême : Israël. Dans le jargon juridique, aucun Etat arabe ne considère le carnage de Ghaza ou l’attaque de quelque autre partie de la Palestine comme une situation de « casus belli ». Les Occidentaux, eux, ne sont pas plus liés organiquement que le Yémen et la Mauritanie ou l’Algérie et la Bahrein. Pourtant, ils ne sont pas avares en arguments particulièrement « frappants » – comme dirait un responsable politique – quand il faut agir pour faire pencher le rapport de force en faveur de l’un ou l’autre de leurs alliés. On les a vus se mobiliser contre l’Irak, contre l’Afghanistan ou encore en Bosnie, sous la bannière de l’OTAN ou quelque autre commandement unifié, pour défendre leurs intérêts stratégiques.
La démonstration de force russe
L’Occident n’hésite pas à faire appel à la force pour faire sens. La Russie a fait, elle aussi, savoir qu’elle s’y entendait parfaitement en langage des chars. Qu’on se souvienne de son expédition estivale pour corriger la Géorgie. Et tout le monde s’est plié aux caprices du tandem Medvedev-Poutine. Quant à nous, on en est encore à compter nos morts et nos blessés, à pleurer sur notre sort en faisant circuler sur Youtube des photos épouvantables de mômes palestiniens défigurés. Et l’on attend passivement ce que le Conseil de Sécurité va décider comme on attendrait « Laylat El Qadr » (la nuit du Destin). Pourtant, toutes les résolutions de cessez-le-feu onusiennes sont restées lettre morte. De là à espérer quelque chose de ce « machin » dénommé Ligue arabe… Les régimes arabes savent évidemment tout cela. Nos dirigeants, nos politiques, nos généraux, nos stratèges ô combien « modérés », tout gargarisés de realpolitik qu’ils sont et autres sophismes à la sauce pragmatique, savent mieux que quiconque que seul le bruit de la canonnière saura réellement calmer la furie meurtrière de Sharon et ses clones et agir activement sur le destin du peuple palestinien. Bien sûr que la décision de la paix et de la guerre est toujours délicate en temps de troubles comme ceux que nous vivons actuellement. Ce n’est confortable pour personne d’entraîner un pays dans un conflit armé. Mais là où les responsables politiques israéliens sont épatants, c’est qu’ils prennent justement leurs responsabilités. Ils sont payés (précisément élus) pour faire la sale besogne et prendre les décisions qui fâchent et ils ne rechignent pas à le faire. Tzipi Livni n’y est pas allée par trente-six chemins pour annoncer depuis le Caire qu’Israël allait attaquer Hamas. Elle n’a pas dit : « Nous allons nous réunir pour voir dans quelle mesure il serait possible et faisable et moralement acceptable d’envisager un prolongement de la trêve avec le Hamas moyennant une médiation de la troïka européenne ou du planton de l’ONU. » Elle a déclaré, en présence d’Ahmed Abouel Ghaït, le ministre égyptien des AE – dont l’embarras consentant résumait toute la couardise arabe : « Nous allons frapper le Hamas. » Et ils ont frappé. Nous, on fait de la rhétorique. On se la joue pacifiste inconditionnel comme si la coquetterie sémantique et la langue de bois diplomatique suffisaient face à autant de sauvagerie. Non, il n’est confortable pour personne d’appuyer sur le bouton fatidique. Mais nous avons des chefs d’Etat qui sont payés (et plutôt grassement) pour faire le sale boulot. Ils se disent tous « chefs suprêmes des armées », alors qu’ils agissent en tant que tels. Quelqu’un a-t-il entendu Bouteflika depuis le début du massacre ? Le président de la République a-t-il réuni le Haut conseil de sécurité ? A-t-il rencontré Toufik ? S’est-il déplacé aux Tagarins ? Bien sûr, M. Belkhadem, que « le chef de l’Etat n’est pas tenu de rendre des comptes aux journalistes » (El Khabar d’hier) et que Son Excellence « yadjri moubahathate » avec ses homologues de la nekba arabe. Bien sûr que les réunions de l’état-major et autres conciliabules du DRS se tiennent à huis clos – comme le génocide de Ghaza –, ne soyons pas naïfs ! Mais s’il y avait quelque chose de décisif qui était sorti de ces conclaves, les Algériens en auraient pris acte.
1973, la dernière guerre israélo-arabe ?
La constitution d’une force arabe de dissuasion (ou de persuasion, c’est selon) apparaît pour la majorité des observateurs comme une utopie. L’histoire retiendra que la dernière fois que les Etats arabes se mobilisèrent dans ce sens, ce fut lors de la guerre de 1973. Depuis, plus rien ! Comme si la poignée de mains entre Anouar Saddate et Menahim Begin à Camp David nous engageait tous. Nous savons bien que l’Egypte perçoit une aide directe de la part des Etats-Unis de 2,2 milliards de dollars annuels, que Khadafi tremble depuis la pendaison de Saddam, que le Maroc est empêtré dans sa guerre contre le Polisario, que l’Algérie surveille le Maroc, que l’Arabie Saoudite surveille l’Iran, que le Liban craint la Syrie, que la Syrie se demande encore s’il faut libérer le Golan ou le céder définitivement à Israël contre une paix à l’égyptienne… Après, qu’ils aillent empêcher Al Qaïda, le GSPC et autres filières islamistes d’aller recruter dans les masses insurgées les djihadistes et les kamikazes de demain qui vont alimenter « le terrorisme international ». Des contingents de révoltés qui, à défaut d’une riposte organisée au niveau des Etats et faute de casser du Tsahal, vont tourner leurs corps explosifs vers les premières cibles qui seront à leur portée. Et les radicaux de tout bord de récupérer la colère populaire arabe à des desseins inavoués. Qu’on songe aux filières afghanes, irakiennes et autres… Il est des moments où nous avons honte d’être journalistes réservistes et de n’avoir que sa plume impuissante pour répliquer à la barbarie israélienne et prêter timidement main-forte à la résistance palestinienne, solitaire et digne…
Par Mustapha Benfodil
http://www.elwatan.com/Echec-et-compromissions-de-la
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