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Tony Blair(& son agence de conseils...), l'ami anglais de Kadhafi .L'homme de toutes les farces et la farce de tous les hommes .
02/03/2011 13:34
Tony Blair, l'ami anglais de Kadhafi
La tentative de Tony Blair de persuader le leader libyen de démissionner pourrait paradoxalement le mettre dans l'embarras.
Tony Blair et le colonel Kadhafi en 2007 © leon neal / AFP
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Michel Colomès
Il est probablement le seul dirigeant occidental, depuis que la révolution libyenne prend un méchant tour de guerre civile, à avoir parlé au colonel Kadhafi. Tony Blair, ancien Premier ministre britannique, a téléphoné vendredi à deux reprises au dirigeant libyen, aux abois, pour lui conseiller de se retirer sans délai et sans doute lui proposer une solution de repli. Car entre ses deux appels, Blair avait joint la secrétaire d'État américaine Hillary Clinton pour vérifier - même s'il s'en défend - la faisabilité des solutions de retraite (le Venezuela d'Hugo Chavez ?) qu'il proposait au dictateur allumé de Tripoli.
Mais le colonel libyen s'est montré aussi buté que déconnecté de la réalité. Dans une interview accordée au Times, Tony Blair reconnaît que ses coups de téléphone ont fait chou blanc. Non seulement Kadhafi a refusé toute idée de démissionner, mais il a répété qu'il combattrait jusqu'à la mort s'il le fallait. L'ancien Premier ministre britannique a eu beau lui dire qu'il avait "le coeur soulevé" en voyant le nombre de victimes déjà provoqué par son entêtement, Kadhafi, désespérément aveugle à la réalité de la situation, lui a rétorqué qu'il ne s'agissait là que de quelques activistes d'al-Qaida.
Blair, ambassadeur de bonne volonté...
Tony Blair est très certainement le dirigeant occidental qui connaît le mieux le colonel Kadhafi. Tous deux s'appellent par leur prénom depuis que Blair, en avril 2004, en se rendant à Tripoli, avait servi d'ambassadeur de bonne volonté auprès du dictateur libyen pour le faire revenir dans le droit chemin et lui faire abandonner le projet de se doter d'armes de destruction massive, aussi bien nucléaires que chimiques. Et surtout en lui arrachant la promesse de ne plus céder au terrorisme dans lequel il s'était si tragiquement illustré en commanditant l'attentat de Lockerbie et celui du DC1O français d'UTA.
Kadhafi avait alors livré à la justice britannique les responsables de l'attentat de Lockerbie, abandonné ses recherches sur le nucléaire militaire et obtenu, du coup, de ne plus figurer dans l'annuaire infamant des pays terroristes avec lesquels tout commerce international est prohibé. Le Britannique avait évidemment l'espoir, bien illusoire, qu'en devenant un pays fréquentable, la Libye serait aussi un régime un peu moins dictatorial et sanguinaire.
... et dindon de la farce
En 2007, déjà, l'affaire des infirmières bulgares menacées de mort sous l'accusation absurde d'avoir introduit le sida en Libye était signe que la folie régnait toujours dans la Jamahiriya kadhafienne. L'ordre qu'il a donné de réprimer les manifestations en tirant et en bombardant au mortier et à la roquette son propre peuple, cette brutalité aveugle que l'on n'avait heureusement pas connue jusqu'alors dans les autres révolutions arabes, montre que Kadhafi est bien resté celui que Ronald Reagan taxait de "chien fou".
Et le dindon de la farce pourrait bien être le malheureux Tony Blair, déjà critiqué par la presse de son pays pour une démarche que certains jugent douteuse. Car Saïf al-Islam, fils de Kadhafi, a voulu le mettre un peu plus en porte-à-faux en glissant à l'oreille de journalistes anglo-saxons que la démarche de l'ancien Premier ministre britannique était loin d'être désintéressée. Il y aurait même eu, selon lui, des millions d'euros à la clé, car il était, disait-il, en affaires avec la LIA, autorité d'investissement libyenne en Afrique. Blair a vigoureusement démenti. Mais, on le sait trop, à notre époque, il faut dix démentis pour tuer un mensonge.
http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/michel-colomes/tony-blair-l-ami-anglais-de-kadhafi-01-03-2011-1301047_55.php
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Le crépuscule du fou?un camion-citerne en feu à Tripoli, près de la résidence de Kadhafi /
02/03/2011 13:20
Libye: un camion-citerne en feu à Tripoli, près de la résidence de Kadhafi
le 02.03.11 | 08h23
Un camion-citerne a explosé mercredi dans le centre de Tripoli, près de la...
Un camion-citerne a explosé mercredi dans le centre de Tripoli, près de la résidence du colonel Mouammar Kadhafi, sans toutefois faire de victimes.
Un camion-citerne a explosé mercredi dans le centre de Tripoli, près de la résidence du colonel Mouammar Kadhafi, sans toutefois faire de victimes, a indiqué sur place un journaliste de l'AFP. Le camion-citerne, couché sur le flanc, était éventré et des flammes de plusieurs mètres s'élevaient créant un panache de fumée noire. Aucune victime n'était visible sur place, l'explosion -d'origine inconnue- s'étant produite dans un endroit dégagé. Le bâtiment le plus proche, une mosquée, n'a pas été touché. Des centaines de partisans du colonel Kadhafi se sont rassemblés près du camion-citerne pour crier leur allégeance au "guide de la révolution" libyenne. Autour, des policiers, des militaires et des civils en armes, surveillaient la manifestation. L'hôtel Rixos al-Nasser, qui abrite actuellement de nombreux correspondants de la presse internationale présents dans la capitale libyenne, se trouve également à proximité. La Libye est en proie à une insurrection populaire. L'Est du pays, dont la deuxième ville du pays Benghazi, est aux mains des insurgés alors que le dirigeant Mouammar Kadhafi, au pouvoir depuis bientôt 42 ans, contrôle encore la capitale Tripoli et sa région. L'ONU a lancé un "appel urgent" à la communauté internationale en vue d'une évacuation humanitaire massive de dizaines de milliers de personnes qui tentent de fuir la Libye et attendent actuellement du côté libyen de la frontière avec la Tunisie de pouvoir entrer dans ce pays. Après avoir pris le contrôle de l'Est et de secteurs à l'Ouest, l'opposition a créé à Benghazi un conseil militaire, embryon d'une future armée contre M. Kadhafi, même si certains de ses représentants envisagent une possible demande de frappes aériennes de l'étranger pour faire tomber le régime. Déterminée à mettre M. Kadhafi hors d'état de nuire, la communauté internationale, qui a gelé les avoirs de son clan, a dit ces derniers jours envisager une interdiction de l'espace aérien libyen pour empêcher un bombardement du régime de civils et opposants. L'établissement d'une telle zone d'exclusion nécessiterait la destruction préalable des défenses anti-aériennes libyennes, a estimé le Pentagone, après le déploiement de forces navales et aériennes américaines autour de la Libye et alors qu'un navire de guerre américain, l'USS Kearsarge, avec à son bord des centaines de Marines, se rapprochait de ce pays d'Afrique du Nord.
AFP
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Libye: les forces de Kadhafi à Brega, théâtre de combats, à 200 km de Benghazi
le 02.03.11 | 10h09
Les forces du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi sont entrées mercredi à...
Les forces du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi sont entrées mercredi à Brega, jusqu'alors contrôlée par les insurgés, où se déroulaient de violents combats, à 200 km au sud-ouest de Benghazi, selon des témoins et des sources de la rébellion.
Les forces du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi sont entrées mercredi à Brega, jusqu'alors contrôlée par les insurgés, où se déroulaient de violents combats, à 200 km au sud-ouest de Benghazi, selon des témoins et des sources de la rébellion. "Dans la nuit les forces de Kadhafi ont attaqué l'aéroport de Brega où elles ont affronté les rebelles", a déclaré à l'AFP Aymane al-Moghrabi, un médecin qui participe au soutien médical des combattants à Ajdabiya, à 160 km au sud-ouest de Benghazi. Un travailleur de la raffinerie de Brega, près de la ville, joint par téléphone a indiqué ne pas pouvoir quitter sa maison. "Les employés ont reçu instruction de ne pas sortir", a-t-il précisé. Les forces de l'armée régulière sont entrées à Brega avec plusieurs chars et de l'artillerie lourde et ont occupé un quartier d'habitation, selon un témoin, ajoutant que des combats intenses se déroulaient au port.
AFP
in : http://www.elwatan.com/
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Journal du 02/03


El Watan week-end
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Mohamed VI planea hacer jefe del Gobierno a un tecnócrata
26/02/2011 06:39
Sería la primera medida de calado político tras el 20-F
Mohamed VI planea hacer jefe del Gobierno a un tecnócrata
Un tecnócrata, sin vínculos políticos, sería el hombre mejor situado para ser el próximo primer ministro de Marruecos, según explicaron ayer a LA RAZÓN fuentes del reino alauí. El nombre de Mustafa Terrab, el actual presidente del grupo marroquí de fosfatos, OCP (Office Chérifien de Phosphates), suena insistentemente en la capital magrebí como sustituto del actual jefe de Gobierno, Abbas el Fassi.
26 Febrero 11 - Madrid - Alberto Rubio
De confirmarse, éste sería el primer nombramiento de gran calado político que llevaría adelante el rey Mohamed VI tras las manifestaciones del pasado 20 de febrero, en las que miles de personas reclamaron cambios constitucionales, además de la dimisión del actual Gobierno y la disolución del Parlamento. Terrab –un hombre muy respetado y con un extenso currículum en el mundo de la empresa y la economía– ha trabajado en el Banco Mundial y ha sido director general de AINT, la agencia reguladora de las telecomunicaciones en Marruecos. Desde 1992 a 1998, fue asesor para asuntos económicos del Gabinete del rey Hassan II. Y ya entonces, Terrab se distinguió por sus consejos a favor de una amplia reforma económica y de la liberalización de distintos sectores productivos claves. Con un máster del Instituto Tecnológico de Massachusetts, Mustafa Terrab es también graduado por la Escuela Nacional de Obras Públicas de París. Su nombramiento puede suponer el fin del llamado «clan de los fesíes», encabezado por el primer ministro, Abbas el Fassi, al que muchos acusan de haber instalado a sus familiares en el entorno del poder. En las marchas del pasado domingo, un grupo de manifestantes mostró una pancarta en la que se denunciaba el poder acumulado por El Fassi y su familia en los últimos años. Entre tanto, el Movimiento de los Jóvenes del 20 de febrero ha vuelto a convocar marchas en Rabat y otras ciudades para hoy y mañana, según informaron a este diario, después de que las últimas sentadas hayan sido disueltas por la Policía.
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