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Modifié : 10/06/2011 13:27

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Cantonales : Alain Juppé appelle à voter pour le Parti socialiste

23/03/2011 14:24



Cantonales : Alain Juppé appelle à voter pour le Parti socialiste

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Le ministre des Affaires étrangères et maire de Bordeaux, Alain Juppé, a appelé mardi soir à voter en Gironde pour le candidat socialiste dans les six cantons où se déroulera un duel FN/PS au deuxième tour des cantonales, dimanche prochain. Dans un communiqué de presse, celui-ci affirme qu’il n’a « jamais transigé avec le Front national » et que « dans le cas particulier des 6 cantons girondins où se joue un duel? Front national/Parti socialiste, je recommande de voter pour le candidat républicain. »

Contacté par Infos-Bordeaux, Jacques Colombier responsable du Front national en Gironde (et qualifié pour le second tour à Pauillac) a vivement réagi : « Alain Juppé a rendu un grand service au Front national en confirmant que l’UMPS est une réalité. Il vient d’ôter le dernier doute aux électeurs UMP que seul le Front national est l’alternative au parti de la régression sociale, du mondialisme et de l’appauvrissement des Français. »

La position d’Alain Juppé est pourtant loin de faire l’unanimité au sein de l’UMP. La réunion ce matin du conseil national a même été houleuse. « Cette position est désastreuse sur le terrain », a déclaré le député Yanick Paternotte. « Ce n’est pas la même chose de voter PS dans la Sarthe (le département de François Fillon) et à Marseille », a lancé un autre élu. Allusion aux « affaires » qui mettent en cause le président sortant (PS) du conseil général Jean-Noël Guérini. L’électorat UMP va t-il suivre les consignes du maire de Bordeaux ? Pas si sûr. En janvier 2011, selon une étude TNS Sofres, 43 % des sympathisants de l’UMP souhaitaient que le parti majoritaire s’allie avec le Front national.

Source : Infos Bordeau






« On est chez nous ici, on reste que pour la thune et on vous enc… vous vos femmes, vos filles et si c’est la guerre avec l’Algérie, je vous butte… !

23/03/2011 05:43



Reims/Quartier Maison Blanche: des militants frontistes agressés par plusieurs dizaines de racailles

Aujourd’hui, vers midi, dans le quartier rémois de Maison blanche, alors que le candidat frontiste Thierry Maillard collait des affiches avec une poignée de militants en vue de l’élection cantonale de dimanche, plusieurs dizaines de racailles s’en sont pris aux militants frontistes avec une rare violence, occasionnant l’intervention de la police.

« On est chez nous ici, on reste que pour la thune et on vous enc… vous vos femmes, vos filles et si c’est la guerre avec l’Algérie, je vous butte… ! » lançaient ces Chances pour la France dans un langage châtié qui exprime le niveau d’intégration de ces individus.

Thierry Maillard, qui est arrivé en tête avec plus de 30 % dimanche dernier sur le canton de Reims 9, entend bien évidement porter plainte.

A l’heure où nous écrivons ces lignes (12h30), les militants frontistes ont quitté les lieux et les policiers attendent des renforts.

Pendant ce temps, les racailles surexcitées cassent des abris bus et se sont même attaquées à quelques commerces…


18:11 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (4) | Envoyer cette note






Tunisie: pas encore la démocratie, mais déjà un premier sondage!(plus simplement :qui dans 2 ans sera le nouveau Ben-Ali et famille ?)

22/03/2011 03:07



Tunisie: pas encore la démocratie, mais déjà un premier sondage!

Régis Soubrouillard - Marianne | Lundi 21 Mars 2011 à 15:01 | Lu 5097 fois

Quelques semaines après la révolution qui a fait tomber Ben Ali, la Tunisie découvre les joies de la démocratie et ses outils politiques. Parmi lesquels les sondages, gadgets survendus dans nos vieilles démocraties qui en abusent, ils apparaissent comme des outils de connaissance et d'expression politiques dans des pays récemment sortis de longues périodes d'absolutisme. Marianne2 dévoile les résultats de l'un des premiers sondages réalisé en Tunisie.



Dessin de Louison
Dessin de Louison
Après le temps des révolutions, la Tunisie découvre les joies fragiles d'une démocratie balbutiante. Parmi les nouveautés qui s'installent peu à peu dans le paysage politique tunisien : les sondages. Gadgets suspects, polluants des côtes démocratiques dans nos contrées qui en consomment plus que de raison, tout en relativisant leurs résultats, ils apparaissent comme un espace d'expression politique et de connaissance des aspirations des populations dans des pays à peine sortis de l'absolutisme. En Tunisie les bureaux d’études multiplient les enquêtes pour prendre le pouls de l'opinion.

Du temps de Ben Ali, ces enquêtes politiques n’étaient que très rarement réalisées, compte tenu du fait que le pouvoir n’acceptait aucune critique.

Selon l’un des premiers sondages politiques réalisé par l'Institut ID Claire, 64,3% de la population affiche un certain optimisme concernant l’avenir de la Tunisie contre 15,4% qui se montre plus sceptique.
Les domaines à améliorer en priorité concernent la justice (34,1%), l’éducation (13,3%), l’administration publique (13%), la santé et l’emploi (7,9%).
Les principales attentes et aspirations des personnes sondées sont en premier lieu l’amélioration du niveau de vie (27,3%), plus de justice sociale (18,1%) et une baisse du chômage (16,7%). La lutte contre la corruption, les réformes économiques et la réforme de la constitution font également partie des priorités.

Les Tunisiens défavorables à un régime présidentiel

Interrogés sur les changements à apporter à la Constitution Tunisienne, il apparait que la principale préoccupation est le nombre de mandats présidentiels qu’ils ont demandé de préciser et de limiter. Les répondants souhaiteraient également, à travers la constitution,  garantir la démocratie, la liberté d'expression et la liberté de la presse. D’autres éléments ont été évoqués tels que l'immunité du président (qui doit pouvoir être levée), la liberté et la transparence des élections, la réduction des pouvoirs du président, l’indépendance de la justice, la séparation entre les trois pouvoirs (législatif, exécutif et judicaire) et le changement de régime. Le parfait anti-portrait du régime Ben Ali...

Concernant le type de régime souhaité, la majorité des interrogés (66,2%) choisit  le régime parlementaire. Cette préférence est principalement motivée par la volonté du tunisien de participer, de donner son avis et surtout de prendre part aux décisions.
Seuls 18,1% veulent maintenir un régime présidentiel car depuis l’indépendance c’est le seul qu’ont connu les Tunisiens.

C’est le comportement des Tunisiens lors des différentes élections (municipales, législatives et présidentielles) qui se révèle particulièrement intéressant. Le sondage montre que la participation aux votes a toujours été très limitée. Il s’est avéré ainsi que seulement 18,1% ont déjà voté dans des élections municipales, 15,5% dans des élections législatives et 30,6% dans des élections présidentielles quand Ben Ali annonçait des scores fleuves de 85% voire 95% et des taux de participation jamais inférieurs à 80% !

Aucune figure politique ne sort du lot

A l’évidence, il est beaucoup trop tôt pour que les Tunsiens voient clair dans la nouvelle donne politique :
 « Concernant les représentants des partis, il apparait nettement un manque de connaissance étant donné que la scène politique de l’avant 14 Janvier était dominée par le RCD. Nous avons demandé aux répondants de nous donner spontanément leurs visions de l’orientation politique des partis. Faute de bien connaître le programme politique de chaque parti, les sondés ont donné des réponses subjectives » fait remarquer l’Institut.  

Le sondage montre que les Tunisiens n’ont toujours pas de figure politique qui se distingue des autres vu que 83,3% des répondants n’ont pas donné de nom ! Néanmoins, Ahmed Nejib Chebbi, le leader du Parti Démocratique Progressiste  prend timidement la tête du classement avec seulement 6,6%, suivi par Rached Ghanouchi (5,1%), le  leader du mouvement islamiste tunisien, largement réprimé sous Ben Ali  et qui a obtenu sa légalisation récemment après 30 ans d’interdiction.

Un air de démocratie souffle bien sur la Tunisie, mais le chemin sera long et difficile : le journal tunisien WMC rapportait récemment que lors d'un débat télévisé sur une chaîne privée tunisienne, on a demandé à un jeune ce que signifiait la démocratie pour lui, il a répondu: «Je ne sais pas. Vous me demandez quelque chose que je n’ai jamais connu et que je n’ai jamais pratiqué. Je répondrais à votre question lorsque je l’aurais pratiqué!». Tout est dit.
http://www.marianne2.fr/Tunisie-pas-encore-la-democratie-mais-deja-un-premier-sondage_a203954.html





Ça y est la propaganda est en route : Sarkozy aurait sauvé le peuple libyen ,Sarkozy a reçu par deux fois Kadhafi et lui a léché les pieds

22/03/2011 02:49



Ça y est la propaganda est en route : Sarkozy aurait sauvé le peuple libyen

Lorsque l'on veut un tant soit peu faire d'histoire, et nous sommes en plein dans l'histoire, il faut se ternir à quelques règles simples : la chronologie des faits et la vérification des informations. Nos damnés journalistes sont en train de nous jouer à nouveau un tour pendable. Sans doute ont-ils eu honte d'être français quand Nicolas Sarkozy a reçu le fou du désert lors de la journée des droits de l'homme lui autorisant à planter sa tante de bédouin dans les jardins de la République, puis à nouveau les 13 et 14 juillet en compagnie d'une belle brochette de dictateurs dont les El Assad, et autres Moubarak et Ben Ali, et ensuite lors des révoltes tunisienne et égyptienne quand la diplomatie française a été au-dessous de tout, voulant réparer ses gaffes par un pire Boillon arrogant, alors ces damnés journalistes voulant se sentir moins honteux, et pourquoi pas fiers de notre pays avalent d'un trait, sans recul et sans se pincer le nez, le nectar frelaté qui vient directos de la Nespresso à propagande élyséenne, ce qui n'est en réalité qu'une purge qui fait passer la vérité au second plan laissant les feux de la rampe à une mascarade de faits trompeurs et faux. Non Sarkozy n'est en rien le héros de la révolte libyenne..

Avant toute chose il faut rappeler et rappeler sans cesse et encore que Nicolas Sarkozy a, en son temps, voulu faire entrer dans le concert des nations celui qu'aujourd'hui lui et ses thuriféraires, toute honte bue et en tout cynisme, traitent de fou dangereux, assassin du peuple libyen. Il faut rappeler qu'en fin 2010 Nicolas Sarkozy espérait encore ces fameux contrats qui n'ont jamais été signés, ces contrats qui contenaient des ventes d'avions de guerre dont l'usage aujourd'hui est de bombarder les Libyens. Il faut aussi dire à ceux qui crient avec lui, ceux qui dans les commentaires, dans les articles et à la tribune n'ont de mots assez durs pour fustiger le Guide, qu'ils fassent profil bas, très bas et qu'ils évitent de l'ouvrir. Ils ont soutenu avec force, force de voix et force d'arguments de la Realpolitik qu'il fallait bien recevoir cet assassin, que c'était cela la politique. Seuls les constants comme nous, seuls les réfractaires à cette immonde politique, seuls ceux qui se sont élevés contre ces venues odieuses ont le droit aujourd'hui de reprendre ce qu'ils disaient il y a trois ans et demi.

En quelques mots il ne faut que jamais ce qui se passe aujourd'hui efface le passé, estompe les mémoires et érode les jugements sur la politique de Nicolas Sarkozy.

La presse est donc en train de nous bâtir une nouvelle légende qu'il faut combattre dès aujourd'hui. On nous a déjà bâti la légende de Nicolas Sarkozy, l'efficace ministre de l'intérieur, légende qu'en une phrase le néfaste Guéant a détruite définitivement puisqu'il reconnaît, et persistant et signant, que la politique de lutte contre l'insécurité et l'immigration clandestine est un échec absolu depuis bientôt dix ans (« Les Français à force d'immigration incontrôlée ont parfois le sentiment de ne plus être chez eux. »). Lui qui vit dans les beaux quartiers et pense que notre France n'est plus la France sous la horde des envahisseurs. Lui aussi ne connaît pas son histoire de France. Poitiers devrait lui dire quelque chose, et Jules César, et Charles Quint, et quelques normands ici ou là. On nous a aussi bâti la légende de la magnifique présidence française de l'Europe alors qu'elle fut un fiasco tant à régler la crise financière (il a fallu plus de deux ans pour mettre en place l'emprunt), que celle de la Géorgie où les Russes campent et ont apporté des missiles, qu'également comme l'Europe nouvelle force politique quand on sait toutes les divergences qu'il y a eu face à la crise et dont on vient d'apercevoir une paralysie mortelle face aux événements du monde arabe. En fait non l'Europe, seulement son émanation des états, car le parlement, lui, a été en pointe avec des discours et des résolutions qui peuvent nous rendre plutôt fiers, mais cette Europe des commissions, ne l'oublions pas, est celle voulue par Nicolas Sarkozy qui avec ses complices a imposé Barroso. Après, donc, ces légendes successives aussi fausses que détestables car elles trompent les Français et influent dans leur choix politique, voilà une nouvelle légende que les images trompeuses semblent accréditer et que les commentateurs développent à longueur d'heure au travers de l'étrange lucarne.

Ici par exemple une vidéo dans laquelle le député européen du MoDem est face à Ménard. Ce dernier n'a de cesse de vouloir faire applaudir Sarkozy par Rochefort qui résiste, mais cela est dur. Ménard revient à la charge plusieurs fois.

Il est temps de rétablir les faits. La révolte débute à Benghazi le 13 février et arrive à Tripoli le 20 février. La révolte commence à être réprimée dans un bain de sang. Jusqu'au 25 février les rebelles progressent partout en Libye et contrôlent certains quartiers de Tripoli. Le 25, le Conseil National de Transition est créé avec à sa tête, Mostafa Mohamad Abdeljalil, ancien ministre de la justice de Kadhafi de 2007 jusqu'à sa démission.

Le premier pays à parler de massacre est la Grande Bretagne, le 19 février, par la voix de son ministre des affaires étrangères qui ne s'est pas contenté de la Libye mais qui a parlé aussi du Bahreïn complètement oublié par notre diplomatie (RomandieNews) : "Je condamne la violence en Libye", a déclaré le ministre britannique des Affaires étrangères, William Hague, qui a fait état en Libye "de tirs à l'arme lourde et d'une unité de tireurs embusqués" visant les manifestants.

M. Hague a demandé aux autorités libyennes de "cesser de recourir à la force et d'empêcher l'armée d'affronter les manifestants", affirmant avoir reçu "des informations selon lesquelles 35 corps ont été amenés dans un seul hôpital".
Il a aussi regretté que "l'accès des médias" soit "sérieusement limité" dans le pays. "L'absence de caméras de télévision ne signifie pas que l'attention du monde ne devrait pas se concentrer sur les actions du gouvernement libyen".
En Libye, les forces de sécurité gouvernementales ont tué au moins 84 personnes depuis le début, mardi, des manifestations contre le régime du colonel Mouammar Kadhafi, au pouvoir depuis 1969, selon l'organisation Human Rights Watch.

Dans le même communiqué, le gouvernement britannique s'est en outre dit "profondément inquiet sur les informations qu'il a reçues (...) sur la violence inacceptable utilisée contre les manifestants en Libye, à Bahreïn et au Yémen, et sur le nombre de morts parmi les manifestants".
"Les gouvernements doivent répondre aux aspirations légitimes de leur peuple plutôt que de recourir à la force et doivent respecter le droit de manifester pacifiquement", a estimé M. Hague.Le chef de la diplomatie britannique s'est par ailleurs entretenu au téléphone samedi après-midi avec le prince héritier de Bahreïn, Salman ben Hamad Al-Khalifa, à qui il a fait part de "sa profonde inquiétude concernant la situation (dans de ce petit royaume du Golfe) et de sa totale désapprobation de l'usage de balles réelles contre les manifestants".

M. Hague a en outre salué l'ordre donné plus tôt samedi par le prince aux forces de sécurité bahreïnies de "se retirer de la place de la Perle" à Manama, épicentre des manifestations. 

En France, pendant ce temps Nicolas Sarkozy fait sa campagne électorale, et visite sa clientèle. Il faut attendre d'abord le 21 février pour un communiqué laconique : Le Président de la République condamne l'usage inacceptable de la force contre les Libyens qui n'exercent que leur droit fondamental à manifester et à s'exprimer librement. Il adresse ses condoléances aux familles des victimes et fait part de sa sympathie aux blessés. Le Président de la République appelle à l'arrêt immédiat des violences et à une solution politique afin de répondre à l'aspiration du peuple libyen à la démocratie et à la liberté., puis le 23 février seulement, et juste pour demander des sanctions économiques (Elysée.fr) : Je demande au Ministre des Affaires étrangères de proposer à nos partenaires de l'Union européenne l'adoption rapide de sanctions concrètes afin que tous ceux qui sont impliqués dans les violences en cours sachent qu'ils devront assumer les conséquences de leurs actes. Ces mesures concernent notamment la possibilité de les traduire en justice, l'interdiction d'accès au territoire de l'Union et la surveillance des mouvements financiers.

Je souhaite en outre que soit examinée la suspension des relations économiques, commerciales et financières avec la Libye, jusqu'à nouvel ordre.

Lors de l'allocution télévisée du 27 février, pour le départ en fait de l'actuelle oxydée, les seuls mots concernant la Libye sont pour s'en méfier : « Nous savons ce que pourraient être les conséquences de telles tragédies sur des flux migratoires devenus incontrôlables et sur le terrorisme. C'est toute l'Europe alors qui serait en première ligne. Nous avons donc le devoir d'agir avec une ambition qui soit à la dimension des événements historiques que nous vivons. C'est pourquoi la France a demandé que le Conseil européen se réunisse pour que l'Europe adopte une stratégie commune face à la crise libyenne dont les conséquences pourraient être très lourdes pour la stabilité de toute la région.[…] Mon devoir de Président de la République est d'expliquer les enjeux de l'avenir mais tout autant de protéger le présent des Français. C'est pourquoi, avec le Premier Ministre François Fillon, nous avons décidé de réorganiser les ministères qui concernent notre diplomatie etnotre sécurité. » 

La seule crainte de Nicolas Sarkozy est alors l'invasion des barbares issus des révoltes. Il faut bien se souvenir de ces trois phrases :

  • Nous savons ce que pourraient être les conséquences de telles tragédies sur des flux migratoires devenus incontrôlables et sur le terrorisme.
  • C'est toute l'Europe alors qui serait en première ligne.
  • C'est pourquoi la France a demandé que le Conseil européen se réunisse pour quel'Europe adopte une stratégie commune face à la crise libyenne dont les conséquences pourraient être très lourdes pour la stabilité de toute la région.

A noter aux conseils des ministres des 2 et 9 mars : rien sur la Libye.

Venons en cette légende. On nous vend une histoire qui n'est pas l'Histoire. Le 10 mars Nicolas Sarkzoy reconnaît le CNT et veut une intervention militaire en Libye avec une zone d'exclusion. On veut nous faire croire à partir de là que la France est en pointe et que Nicolas Sarkozy a convaincu l'ONU, via Juppé, d'intervenir. 

Passons sur la forme de ses déclarations du 10 mars qui ne respecte rien ni personne :

- ni le parlement, alors que Cameron a lui engagé une discussion et averti les parlementaires Grands-bretons, au-delà de la simple courtoise, de l'association minimale des Français au travers de leurs élus à cette grave décision,

- ni les leaders politiques jamais tenus au courant

- ni son ministre des affaires étrangères

- ni les partenaires européens, ni l'ONU, personne

- ni la simple légalité car cette reconnaissance du CNT n'a aucune validité légale ni internationale, on ne reconnaît qu'un pays, ou alors un pouvoir élu, mais non des rebelles. Et ce d'autant qu'à la tête il y a l'ancien ministre de la justice de Kadhafi de 2007 à sa démission, le moins eut été d'être circonspect. On verra ce que réservera l'avenir, mais si Kadhafi reste au pouvoir, ce qui est une forte éventualité car la mission n'est pas de le déloger. Quoi qu'il en soit c'est une erreur politique, diplomatique. Par ailleurs le Parlement Européen avait déjà pris position avant Sarkozy, que l'on veut faire passer pour le premier, voulant que l'Europe reconnaisse la CNT comme un interlocuteur valable. L'Europe décidera ensuite de reconnaître ce statut d'interlocuteur mais non sa reconnaissance comme pouvoir légal libyen. Le vote du parlement était donc antérieur à celui que l'on veut faire passer pour le faiseur de l'Histoire. 

On veut nous faire croire, donc, que la France est en pointe et que c'est Nicolas Sarkozy qui en est le leader. Or tout cela est faux. Le 8 mars, notez bien la date, deux jours avant le 10 donc, la presse anglaise déclare ceci vu au travers de l'ambassade de France, et c'est éclairant :

Les journaux reviennent également sur la mission diplomatique avortée en Libye. Dans un papier d’analyse, le DAILY TELEGRAPH explique que le pétrole est « en première ligne » dans les événements qui se déroulent actuellement dans ce pays. Les groupes rebelles exercent des pressions sur les compagnies pétrolières occidentales pour qu’elles fassent du lobbying auprès de leurs gouvernements afin de les aider. Certains gouvernements européens auraient déjà pris des contacts avec l’opposition libyenne, et c’est apparemment une des explications pour la tentative avortée des Britanniques le week-end dernier. BP est parmi les compagnies pétrolières qui courent le plus de risques si les combats s’accentuent.

La presse évoque aussi le durcissement de la position américaine, qui pourrait déboucher sur une intervention. Sous le titre « le Royaume-Uni et la France mènent le mouvement en vue de la mise en place d’une zone d’exclusion aérienne soutenue par l’ONU », le correspondant du DAILY TELEGRAPH à Washington explique que les diplomates cherchent à se mettre d’accord sur ce qui pourrait amener à la présentation d’une résolution au Conseil de sécurité (violation des Droits de l’homme, bombardement de civils, appel à des mercenaires étrangers). Le secrétaire-général de la Ligue Arabe aurait soutenu le projet de zone d’exclusion aérienne lors de son entretien avec M. Juppé dimanche dernier au Caire. Toujours, selon le DT, la Maison Blanche n’a pas encore apporté son soutien à l’établissement d’une zone d’exclusion aérienne, mais s’accommode de ce que les Britanniques et les Français imposent une discussion sur le sujet.

En fait les américains étaient déjà préparés à une intervention. Ils ont laissé Sarkozy jouer au coq gaulois (Toujours, selon le DT, la Maison Blanche n’a pas encore apporté son soutien à l’établissement d’une zone d’exclusion aérienne, mais s’accommode de ce que les Britanniques et les Français imposent une discussion sur le sujet). Nous sommes le 8 mars. Le lundi 14 mars c'est un fiasco complet au G8 dont Nicolas Sarkozy se flatte d'être le président, ce qui prouve le pouvoir de la France. En réalité ce n'est ni Juppé, ni Sarkozy qui ont convaincu Obama d'intervenir - et on voit que les diplomates travaillent à rendre l'action présentable (le correspondant du DAILY TELEGRAPH à Washington explique que les diplomates cherchent à se mettre d’accord sur ce qui pourrait amener à la présentation d’une résolution au Conseil de sécurité (violation des Droits de l’homme, bombardement de civils, appel à des mercenaires étrangers)) - , sachant que le secrétaire général de la Ligue arabe est favorable à une exclusion de l'espace aérien, mais c'est en particulier Hillary Clinton qui a été convaincue par les émissaires du CNT, cela c'est selon une déclaration télévisée de samedi par BHL devant Paul Amar, mais cela est confirmé par ceci (Bruno Roger-Petit) : 

On reprend.
1/ Un article visiblement très bien informé du New-York Times décrit le processus qui a mené Obama à se décider à intervenir en Libye. Ce sont trois femmes, Hillary Clinton, Susan Rice (ambassadeur américain à l'ONU) et Samantha Powers (conseiller au National security council) qui ont convaincu Obama jeudi dernier (soit AVANT le show Juppé de vendredi devant le Conseil de sécurité) qu'il était possible d'intervenir sans risquer de se lancer dans une opération débouchant sur un nouvel Irak. Le président américain a pris sa décision parce qu'il a été alors convaincu par ces trois femmes que les pays arabes et africains l'approuveraient et ne verraient pas en lui un néo-Bush.
Par la suite, les Américains ont laissé les Français être les petits télégraphistes de leur décision, décision sans laquelle rien n'était possible. En clair, si les trois femmes en question n'avaient pas convaincu Obama, Juppé, Sarkozy et leur résolution se seraient fait retoquer à l'ONU. Du reste, il suffit pour s'en convaincre de lire attentivement le papier du NYT consacré aux coulisses du VRAI pouvoir où s'est joué la prise de décision contre Kadhafi : le nom de Sarkozy n'y apparait pas une fois...
2/ Quant au leadership français dans la direction des affaires militaires depuis hier, un autre article du Washington Post (à lire ici en VO) vient réduire la communication sarkozyste sur le sujet à l'état de fable pour les enfants. En effet, dans cet article faisant le point sur le début des opérations militaires contre les troupes de Kadhafi, le Washington Post précise que l'ensemble de ces opérations est placée sous le commandement des forces américaines en Afrique. "The French sorties were followed quickly by the wave of missile strikes against Libyan air defenses. More than two dozen warships and a large number of warplanes made up the initial strike force, which was led by the U.S. military’s Africa command, a senior U.S. military official said." Encore une fois, la réalité est cruelle : si leadership français il y a, il s'agit d'une politesse faite par les Américains à la France de Sarkozy, "Messieurs les Français, tirez les premiers... Parce que ça nous arrange..." Rien de plus. 

Il faut rappeler, ce que j'avais dit il y a dix jours, c'est que les Français ont besoin des américains notamment avec les avions radar. Et nous avons vu que les Français ont détruit cinq blindés pendant que les américains ont envoyé 120 missiles. On voit la différence. Sarkozy a donné l'ordre, toujours pour être le premier, avant la réunion à Paris des parties concernées. Il savait que les journalistes retiendraient, sans chercher à en savoir plus, que ce seraient les Français les premiers à bombarder et ce serait donc Nicolas Sarkozy qui serait le héros. Or nous savons que le 8 mars déjà Obama penchait pour une intervention. Du reste il suffit de simplement analyser le fait que les USA ont lancé plus de 110 missiles samedi après-midi. Pour cela il fallait qu'ils fussent prêts. En fait Sarkozy, et les journalistes avec lui, se sont flattés du rôle de la France. La réalité est toute autre. Obama s'est servi, comme un bon stratège, de la velléité électoraliste, de l'agitation de Nicolas Sarkozy, de la volonté également de Cameron (qui a respecté, lui son parlement) pour ne pas apparaître en première ligne. Sarkozy n'a été qu'une marionnette évitant à Obama d'être le responsable de la résolution. Les deux pensent y gagner, mais attendons la suite. Ainsi Obama n'apparaîtra pas comme un va-t-en guerre mais comme un acteur tardif qu'il a fallu convaincre.

N'oublions pas non plus que pendant que Sarkozy faisait sa campagne électorale dans la France profonde des partis politiques français dont notamment le MoDem, le Ps, celui de Dupont Aignan, préconisaient une intervention militaire.

La réalité est donc que Nicolas Sarkozy est intervenu très tardivement, que, tout se mettant en place (Obama changeait d'opinion, la Ligue arabe se préparait à être d'accord), il a voulu faire croire qu'il était tout à la fois à l'initiative (à la remorque en France de nombreux autres personnalités politiques, et en Europe de Cameron qui avait pris position avant lui) et le moteur de cette action militaire quand tout cela n'est que de la communication bien relayée par des images trompeuses et par des journalistes fêlons qui ne font pas leur métier et qui enfument les Français. 

Mais ce n'est pas tout. On apprend que le cynisme de Sarkozy n'a pas de fond. Voici ce qui est une honteuse manœuvre à immonde but de politique intérieure qui a coûté sans doute la vie à des habitants de Benghazi et ce qui devrait être su de tous (Rue89) : Le New York Times raconte ainsi que vendredi, la France a d'abord ralenti toute intervention avant le sommet de Paris, puis a accéléré d'elle-même les événements samedi, en envoyant des avions au-dessus de la Libye pendant le sommet :

« Les premiers raids aériens français, qui n'étaient pas coordonnés avec les autres pays, ont irrité certains pays présents à la réunion, selon un diplomate haut placé d'un pays de l'Otan.
Les informations sur les mouvements des troupes de Kadhafi vers Benghazi étaient clairs depuis vendredi, mais la France a bloqué tout accord de l'Otan sur les raids aériens jusqu'à la réunion de Paris, a affirmé ce diplomate, suggérant que les vols auraient pu commencer pendant la nuit de vendredi à samedi avant que les troupes du colonel Khadafi atteignent la ville. »
Pour le Guardian, « Sarkozy parade sur la scène mondiale »
La France aurait en fait refusé que l'Otan participe à l'intervention, « estimant que cela s'agirait un très mauvais signal envers les pays arabes », nuance Le Monde. Dans les pays membres de la coalition contre Kadhafi, on a pourtant du mal à croire que Nicolas Sarkozy n'a pas cherché à garder l'initiative.
Aurait-il, même, confondu campagne militaire et campagne électorale ? Pour une fois, le soupçon ne vient pas de France. En Grande-Bretagne, le Guardian persifle, en rappelant les mauvais sondages de popularité du chef de l'Etat et l'approche de la présidentielle : « Nicolas Sarkozy parade sur la scène mondiale avec un œil sur les votes français. »
Dans l'entourage du chef de l'Etat, on ne s'en cacherait d'ailleurs pas, selon Le Parisien, qui cite « un proche » :
« Si tout se termine bien, ce sera un triomphe. Il était dans les cordes et le voilà qui réunit le monde entier à ses pieds ! »

A vomir.

Terminons cette analyse en tenant compte des éléments suivants :

- Sarkozy a reçu par deux fois Kadhafi et lui a léché les pieds

- l'UPM est un échec absolu et n'a servi à rien dans ces révoltes

- Sarkozy est intervenu de façon très tardive en Tunisie, en Egypte, pour ne pas dire qu'il est passé au travers

- Sarkozy s'est cru leader alors qu'il a servi la tactique d'Obama, a agi très tardivement, a reconnu un CNT dont on sait que cela n'a aucune valeur légale et alors qu'on ignore la suite en Libye de ce mouvement, mais dont on sait que le leader était le ministre de la justice de Kadhafi

- cette intervention est trop tardive politiquement et pour la révolte en Libye. Elle est aussi trop tardive pour les vies qui n'ont pas été sauvées, mais est utile pour celles qui sont à sauver, alors qu'il semble en plus que Sarkozy ait retardé de nombreuses heures l'intervention pour en faire un coup d'éclat, accélérant avant le sommet de Paris pour paraître être le premier et le capitaine.

- le consensus international est une façade, la Russie, la Chine, l'Egypte, la Tunisie se sont opposés à ou ont regretté cette intervention, ce qui en soit fait une bonne partie du monde. La ligue arabe a retourné sa veste et a condamné les bombardements

- cette attaque tardive - mais on ne peut jurer de rien - sera un échec quant à la mise à la porte de Kadhafi. Ce qui était présenté comme un succès diplomatique et comme un succès historique n'est qu'un très faible succès, certes réel pour sauver des vies, mais sera sans doute surtout un échec pour aider la révolte à réussir. N'oublions pas que le mandat de l'ONU ne concerne que la sauvegarde des vies, et en aucun cas le pouvoir actuel, ce qui laisse supposer qu'il pourra rester en place. Sarkozy a tendu la main à Kadhafi (ce qui est passé inaperçu comme contradiction) paraissant de la magnanimité ou une dernière chance alors que le cessez le feu avait été violé. Cela a une forte signification : Kadhafi est encore le représentant légal de la Libye, même pour Sarkozy car on n'a pas a offrir une chance à celui qui ne serait plus le chef d'Etat, celui étant, selon la reconnaissance de Sarkozy, le président du CNT, ce qui par ricochet montre la position intenable de la France qui a deux interlocuteurs pour un seul pays. Peut-être les sanctions économiques ultérieures le chasseront-elles, et encore. Le blocus de Cuba n'a pas mis dehors Castro. Et les compagnies pétrolières vont faire pression. Quant à juger Kadhafi on peut toujours rêver. Certains Serbes ont longtemps couru

- cette résolution montre d'évidence qu'il y a deux poids deux mesures. Dans le même temps en Côte d'Ivoire, au Yemen, à Bahreïn ou en Syrie il y a des morts et il n'y aura pas d'intervention. Ceci démontre une belle hypocrisie et un choix des dictateurs à éliminer. N'oublions pas qu'El Assad a été lui aussi reçu les 13 et 14 juillet qu'il a manipulé Sarkozy et que celui-ci a voulu s'en servir pour les problèmes du Liban avec à la clef un échec patent.

La conclusion est qu'il ne faut pas oublier le passé à cause d'un présent douteux, que Nicolas Sarkozy n'a pas réussi ce coup de maître comme le claironne la presse, que les faits disent le contraire, la chronologie (exemple les 8 et 10 mars), les autres interventions, les missiles américains, que ce qui est présenté comme un très grand succès n'est qu'une action semi-humanitaire trop tardive qui ne renversera pas Kadhafi et donc qui ne sert pas la révolte ni les insurgés dans leur finalité politique et ce dans un contexte qui est loin d'être unanime au niveau international et qui commence déjà à se retourner contre nous (ce qui ne veut en aucun cas dire qu'il ne fallait pas intervenir).

Luttons pied à pied contre cette propagande qui va être utilisée ad nauseam en tout cynisme et tout mensonge pendant l'année qui vient.

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Si vous êtes intéressés par les textes ci-dessous, vous pouvez les retrouver en cliquant sur les liens et ce totalement gratuitement car il est hors de question que je touche un Kopek sur le dos de la Sarkozye qui, étant le règne du bling bling et de l’argent roi et corrupteur, sera combattue par son contraire : la gratuité (ou en compensation faire un don à Agoravox ou vous abonnez à Médiapart). Pour simple information, si vous êtes sur iPhone ou iPad, sans flash, en haut de la page dans le bandeau vous pouvez télécharger les textes en pdf, et pour tous les diffuser le plus possible autour de vous. Pour le télécharger il y a un onglet sous le texte. Il faut vous inscrire à Issuu ce qui permet aussi de télécharger tous les textes nombreux et intéressants de ce site. Sinon vous pouvez toujours vous désinscrire ensuite. Si tout cela vous gêne je pourrais vous les envoyer par e-mail (imhotep.forumlogos@free.fr). Le texte sur Woerth est régulièrement mis à jour (aujourd’hui 10é version du 18 janvier 2011) :
 N’oublions jamais :
  • l’affaire Karachi
  • l’affaire GDF
  • l’affaire Tapie
  • l’affaire Clearstream
  • l’affaire Bettencourt
  • les affaires Wildenstein
  • l'affaire César
  • l’affaire de Compiègne
  • l’affaire Peugeot
  • les discours de Dakar, Riyad, Latran et du Puy en Velay, la lettre de Guy Môquet, le parrainage d'un enfant de la Shoa
  • l'invitation des dictateurs pour le 14 juillet, celle de Kadhafi avec les ors, le tapis rouge, les petits plats dans les grands, le copinage avec Santos, les silences sur le Tibet, le Darfour, le prix Nobela de la paix, la présence l'ouverture des JO de Pékin et le fils Louis dans les bras de Poutine
  • la gestion catastrophique de la crise Géorgienne (le Russes y sont encore et ont implanté des bases de missiles)
  • l’affaire de la Jatte, du Fouquet's, du Paloma, de la villa mexicaine, de Wolfeboro, du voyage en Egypte …
  • l’affaire Pérol
  • l’affaire de l’Epad (et du scooter)
  • Gandrange
  • les vaccins du virus H1N1
  • les affaires Yade, Boutin, Joyandet, Blanc, Estrosi, Lefebvre, Santini, Proglio, Amara, Laporte, Péchenard, Ouart, Solly, Soubie, Richard, Marleix, Charron, Longuet …
  • l'utilisation du contre-espionnage pour des affaires privées
  • l'utilisation de l'Elysée pour recevoir les caciques de l'UMP et les satellites jusqu'à plusieurs fois par semaine, l'utilisation des moyens de l'Etat pour la propagande et pour préparer et faire la campagne du candidat Sarkozy
  • les légions d'honneur (Servier, Widenstein, Desmarais, Frère, Maistre, Peugeot etc.)
  • l'Air Sarko one, le cocktail de New York à 400 000 euros, le dîner pour l'UPM à 1 million d'euros
  • la proposition de loi sur la déchéance de la nationalité française et son extension, et le débat sur la nationalité
  • l’affaire de la rémunération illégale de septembre au 31 décembre 2007, le divorce, le mariage, l'inscription hors délai sur les listes électorales, la déclaration des impôts en retard, le tout illégal ou non pénalisé
  • la circulaire Hortefeux
  • la nomination à la têtes des chaînes audio et vidéo publiques par le pouvoir
  • la réforme constitutionnelle
  • l'irresponsabilité pénale du Président de la république
  • la position d'Hortefeux dans la condamnation des 7 policiers, et ses deux condamnations à lui
  • l’affaire des sondages
  • les classements du parquet
  • l’affaire de l’espionnage des journalistes par le contrespionnage
  • l’affaire de la validation des comptes de campagne de Balladur et de Chirac
  • l'affaire Servier
  • l'affaire Bongo
  • la proposition de MAM d'aide à Ben Ali et son pouvoir pendant la révolte tunisienne, les lacrymos et son voyage entre Noël et le jour de l'an et ses quatre mensonges fondamentaux, les petites affaires des parents, et Ollier (ses amitiés libyennes en plus)
  • les vacances de Fillon payées par Moubarak dont la clique a détourné plus de 45 milliards de $ et dont 3 ministres ont été arrêtés pour corruption et détournement de fonds publics, et sa justification, celles Sarkozy au Maroc. Et la Ferrari prêtée en 2009 en pleine crise à Fillon, ses voyages à 27 000 € pour retourner en Sarthe alors que le train met 1h20

Vignette tiré du NouvelObs

par Imhotep (son site) lundi 21 mars 2011 - 84 réactions





Cantonales : Le parti de Copé ,Sarközy & Co enregistre un recul historique

21/03/2011 09:56



Cantonales : l'UMP enregistre un recul historique

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Par Judith Waintraub
21/03/2011 | Mise à jour : 06:53
Réactions (90)

Le parti présidentiel perd quatre points par rapport à l'élection de 2004.

Avec 17 % des suffrages, l'UMP et ses alliés du centre qui se sont présentés sous leur étiquette nationale perdent presque quatre points par rapport à l'élection de 2004, où les mêmes cantons étaient en jeu. Ils avaient fait à l'époque 20,95 %. Claude Guéant, en annonçant les résultats encore partiels dont il disposait en milieu de soirée, a additionné d'office au score UMP-centre celui des candidats «majorité présidentielle» (autour de 5,5 %) et celui des divers droite (9,5 %). Ce qui lui a permis d'atteindre un résultat nettement plus flatteur, autour de 32,5 % des voix. D'autant plus flatteur que le nouveau ministre de l'Intérieur s'est bien gardé d'effectuer la même opération avec les voix de gauche. Mais malgré ces calculs savants, le premier tour des cantonales marque un recul historique du parti présidentiel.

Ses dirigeants pariaient sur l'abstention pour limiter les dégâts. Elle a effectivement atteint un niveau record, mais au bénéfice du PS et du Front national. D'où l'appel à la «mobilisation générale» lancé dimanche par Jean-François Copé. Le secrétaire général a assuré que le fort taux d'abstention prouvait l'existence d'«un réservoir de voix extrêmement important» au second tour pour la majorité. Un optimisme que sa mine sombre démentait.

L'essentiel de son message concernait le Front national. Le secrétaire général a confirmé sur un ton solennel la ligne arrêtée à l'Élysée : «Je demande à nos candidats de se maintenir partout où ils peuvent le faire, y compris en troisième position, pour l'emporter dimanche prochain.» Il a répété que dans les cantons où l'UMP a été éliminée dimanche soir, il n'y aurait «pas d'alliance avec le Front national» et «pas non plus de front républicain», pour ne pas nourrir dans l'électorat un «sentiment de connivence» entre l'UMP et le PS, alors qu'il n'y a «rien de commun entre eux». Mais s'il s'en est remis à «la liberté de choix» des électeurs, il n'a pu s'empêcher d'ajouter : «Chacun comprenant que nous ne voterons pas pour le FN.» Un peu plus tard, la ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, Valérie Pécresse, a annoncé que «personnellement», elle voterait pour un candidat de gauche face à un FN. «Je n'ai pas peur de prononcer le nom de “front républicain”», a déclaré de son côté la sénatrice UMP du Bas-Rhin Fabienne Keller. Le Nouveau Centre s'est prononcé dans le même sens. Son porte-parole, Jean-Marie Cavada, a affirmé : «En aucun cas, aucune voix, aucun siège ne doit aller au Front national.» Jean-Louis Borloo, lui, a appelé à « faire barrage au FN».

La consigne du «ni-ni» a donc connu ses premiers accrocs, ce qui promet des discussions acharnées d'ici à dimanche. En attendant, la majorité, qui détenait 44 départements, peut se flatter de quelques succès symboliques, comme la réélection au premier tour du ministre de la Justice, Michel Mercier, dans le Rhône, et celles du patron des députés Nouveau Centre, François Sauvadet, en Côte-d'Or, du président du NC, Hervé Morin, dans l'Eure, et d'Éric Ciotti, secrétaire national à la sécurité de l'UMP, dans les Alpes-Maritimes.

http://www.lefigaro.fr/politique/2011/03/20/01002-20110320ARTFIG00251-cantonales-l-ump-enregistre-un-recul-historique.php






"L'UMP invente la nationalité musulmane", dénoncent les Jeunes Socialistes(qui se garde bien dévoquer les nationalités ou passeports multiples)

21/03/2011 02:38



"L'UMP invente la nationalité musulmane", dénoncent les Jeunes Socialistes

Le Point.fr - Publié le 18/03/2011 à 19:49 - Modifié le 18/03/2011 à 19:59

L'UMP a publié sur son site web un appel à une Union des Français musulmans.

"L'UMP invente la nationalité musulmane", dénoncent les Jeunes Socialistes

Laurence Deniaud, présidente des Jeunes Socialistes, attaque la dernière initiative de l'UMP. © Bertrand Guay / AFP

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Source AFP

Le Mouvement des jeunes socialistes (MJS) a dénoncé, vendredi, les "provocations" de l'UMP qui "invente la nationalité musulmane", après l'annonce de la création d'une "Union des Français musulmans" favorables à la majorité présidentielle. "Le FN l'a rêvé, l'UMP l'a fait : l'invention de la nationalité musulmane", écrit le MJS dans un communiqué.

"Aujourd'hui, l'UMP a publié sur son site web un appel à une Union des Français musulmans, sous-entendant que les citoyens français de confession musulmane auraient plus d'efforts à faire pour s'intégrer à la République que les autres, allant même jusqu'à inventer la nationalité musulmane en parlant clairement de franco-musulmans. Jusqu'où ira Jean-François Copé ? Existe-t-il aussi des franco-chrétiens, des franco-juifs ou des franco-athées ?", poursuit le MJS.

"L'UMP se place aujourd'hui comme le nouveau parti d'extrême droite. Nous appelons l'ensemble des forces républicaines à faire face aux attaques répétées contre l'unité nationale", conclut le texte.


 

http://www.lepoint.fr/politique/l-ump-invente-la-nationalite-musulmane-denoncent-les-jeunes-socialistes-18-03-2011-1308544_20.php






Ambiance tendue à Toulon autour du "Charles de Gaulle" .Le sac de boulons a enfin des hélices?

21/03/2011 02:13



Ambiance tendue à Toulon autour du "Charles de Gaulle"

http://www.dailymotion.com/video/xhpzlj_libye-le-porte-avions-charles-de-gaulle-pret_news
Libye : le porte-avions Charles de Gaulle prêt par BFMTV

20 mars 2011

17:44 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (1) | Envoyer cette note



Vidéo:
http://www.dailymotion.com/video/xhpzlj_libye-le-porte-avions-charles-de-gaulle-pret_news#from=embed




Cécile Duflot nous apprend que le Japon est dans l'hémisphère su ;Ces "grünen" connaissent-ils la differénce entre un becfigue et un sansonet ?

17/03/2011 05:40



écile Duflot, géographe : "Le Japon est dans l’hémisphère sud"

Interrogée par Ruth Elkrief sur la catastrophe nucléaire que connaît le Japon, et sur les risques que nous pouvons encourir, Cécile Duflot nous apprend que le Japon est dans l’hémisphère sud...

 

Rappelons que Cécile Duflot est secrétaire nationale d’Europe Écologie - Les Verts depuis novembre 2010, après avoir été secrétaire nationale des Verts. Mais surtout, elle a étudié la géographie !!!

 

Je cite Le Monde : "Cécile Duflot se montre une étudiante brillante, diplômée de l’Essec et titulaire d’un DEA de géographie."

 

Parfois, notre classe politique me fait vraiment peur...

JPEG - 15.3 ko
En vert, l’hémisphère nord, en rouge, l’hémisphère sud

Tags : Japon

Vidéo:
http://www.youtube.com/watch?v=cWT0tgqzuY0&feature=player_embedded




Les risques de la clandestinité...Ils vivent dans la crainte de l'expulsion

16/03/2011 07:54



Ils vivent dans la crainte de l'expulsion

finde la trêve hivernale

Boubacar, avec sa femme et ses six enfants, dans son appartement du centre-ville. Jusqu'à quand ?/Photo DDM, Michel Labonne
Boubacar, avec sa femme et ses six enfants, dans son appartement du centre-ville. Jusqu'à quand ?/Photo DDM, Michel Labonne
Boubacar, avec sa femme et ses six enfants, dans son appartement du centre-ville. Jusqu'à quand ?/Photo DDM, Michel Labonne

La fin de la trêve hivernale des expulsions, c'est pour aujourd'hui. A Toulouse, ils sont nombreux à redouter cette période. Et le manque de logements n'arrange rien.

Boubacar en est conscient. Il a une véritable épée de Damoclès au-dessus de la tête. Il sait que dans les prochaines heures, il peut être expulsé de son appartement, situé dans le centre-ville de Toulouse. « Cette situation est insupportable. C'est un vrai stress ! C'est compliqué surtout lorsque vous avez six enfants », explique ce quadragénaire originaire de Guinée. Boubacar est arrivé en France en 1999 après avoir « traversé l'Afrique caché dans des camions ou des voitures ». Depuis qu'il est dans l'hexagone, Boubacar enchaîne les « petits boulots ou les missions d'intérim ». Actuellement, il est en CDD chez Paprec, un centre de tri des ordures. « En 2008, j'ai été confronté à des difficultés professionnelles. J'ai eu moins de contrats. Du coup, lorsque vous avez de petits revenus, vous avez du mal à joindre les deux bouts. Difficile de payer votre loyer. Et c'est l'engrenage. Les propriétaires vous appellent. Vous essayez de trouver une solution, mais c'est très difficile » ! Boubacar gagne 1 100 euros net par mois. « Et pas un euro de plus », confie-t-il. Depuis plus de trois ans, « je paie encore l'addition », explique Boubacar, « tous les mois, je rembourse les impayés à la Banque de France ». A cela, il faut ajouter le loyer de 332 euros pour son petit T3 avec seulement deux chambres, une cusine et un salon. Pour Boubacar, sa femme (sans-emploi) et ses six enfants, « c'est tous les jours le système D », confesse-t-il. Toute la famille vit entassée dans ce petit trois pièces « en attendant mieux ». Boubacar se lève tous les matins vers 6 heures pour se rendre à son travail. Il doit zigzaguer entre les matelas pour ne pas réveiller son épouse et ses six enfants, dont le plus petit est âgé de 2 ans à peine. « J'espère que ma situation professionnelle va évoluer. L'objectif est d'obtenir un appartement plus grand de manière à vivre dans des conditions plus acceptables. J'ai des papiers et un travail. Il faut qu'on en tienne compte » !


Il manque des logements sociaux

Depuis 2008, la loi sur le Droit au logement opposable (DALO) oblige l'état à offrir un logement décent à toute personne sans abri ou mal logée qui en est privée, sous peine d'être condamné par la justice à verser des astreintes. Les associations estiment donc « absurde » d'expulser des dizaines de familles pour des difficultés de paiement de loyer, que l'état sera ensuite obligé de reloger. « Boubacar, c'est l'illustration parfaite », explique Brigitte Dall'Ava, militante du Dal (Droit au logement) à Toulouse. « Cette loi Dalo n'a aucun sens. Pour preuve, nous avons fait un procès à la préfecture car la famille de Boubacar (voir au-dessus) n'avait pas un logement adapté à ses besoins. La justice a dû arbitrer. Nous avons gagné devant le tribunal administratif à Toulouse, mais cette famille attend toujours un logement plus grand ». La militante ajoute : « Les situations de précarité sont de plus en plus nombreuses. Nous demandons la construction massive de logements sociaux avec des grandes pièces pour accueillir les familles nombreuses ». Aujourd'hui, à Toulouse, entre 12 heures et 14 heures, les militants du droit au logement se rassembleront devant les grilles de la préfecture de région. Ils veulent « alerter les pouvoirs publics sur les conséquences de la trêve hivernale. Il faut maintenir la pression ». J.-W.F.


Le chiffre : 736

demandes de recours à la Force > en 2010. 470 dossiers ont été examinés au cours de l'année.

« Au final, il n'y a eu que 208 expulsions effectives », explique Françoise Souliman, secrétaire générale de la Préfecture de la Haute-Garonne.

« De plus en plus de gens connaissent des difficultés. C'est le cas notamment des personnes âgées ». Saïd Bessaïah, de l'association CLCV.

http://www.ladepeche.fr/article/2011/03/15/1034856-Ils-vivent-dans-la-crainte-de-l-expulsion.html






Moulinets .Immigration: l'Assemblée a voté le projet de loi en seconde lecture

16/03/2011 07:49



Immigration: l'Assemblée a voté le projet de loi en seconde lecture

AFP - Publié le 15/03/2011 à 19:30 - Modifié le 15/03/2011 à 19:31

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Immigration: l'Assemblée a voté le projet de loi en seconde lecture

A l'exception donc de l'extension de la déchéance de nationalité, directement inspirée par le discours de Grenoble du chef de l'Etat mais sur laquelle le gouvernement a dû reculer au grand dam de son aile droite, l'Assemblée n'a guère apporté de changement à la version qu'elle avait adoptée à l'automne en première lecture.

L'Assemblée nationale a adopté mardi en deuxième lecture le projet de loi sur l'immigration sans guère apporter de changements au premier vote du texte, à l'automne, à l'exception notable de l'extension de la déchéance de nationalité, retirée sous la pression des centristes.

Le projet a été voté par 305 voix contre 217, les députés de la majorité (UMP et Nouveau Centre) votant, sans surprise, "pour" tandis que les groupes de l'opposition, SRC et GDR, se sont prononcés "contre".

Quelques voix de droite ont rejoint la gauche pour s'opposer au texte, comme les UMP Etienne Pinte, Françoise Hostalier et Lionel Tardy. C'est également le cas de François Bayrou (MoDem) et du villepiniste Daniel Garrigue.

L'UMP Eric Diard a fait valoir que "notre pays a le droit, comme tous les pays du monde, de choisir qui il veut !". "La gauche continue à faire croire que nous pouvons accueillir tout le monde", a-t-il dit, saluant l'adoption d'"outils simples et efficaces pour faire face à la situation actuelle".

Sandrine Mazetier (PS), en revanche, a dénoncé un texte qui "déchire le pacte républicain", un texte "contraire à la vision que nous avons de la France, de l'Europe et même de la civilisation".

Remarquant qu'au cours de cette seconde lecture, la majorité a "instauré un concours d'entrée dans la nationalité" et "remis en cause le droit du sol", elle a pointé les risques supplémentaires d'inconstitutionnalité.

Michel Hunault (NC) a exprimé la satisfaction des centristes devant le retrait de la mesure d'extension de déchéance de la nationalité aux assassins de policiers et salué un texte "équilibré".

Enfin, Patrick Braouezec (app. PCF) a dénoncé une loi "qui ne fait qu'enfermer les migrants dans le statut de boucs émissaires alors qu'ils vivent ici et travaillent ici".

A l'exception donc de l'extension de la déchéance de nationalité, directement inspirée par le discours de Grenoble du chef de l'Etat mais sur laquelle le gouvernement a dû reculer au grand dam de son aile droite, l'Assemblée n'a guère apporté de changement à la version qu'elle avait adoptée à l'automne en première lecture.

Outre la transposition, dans le droit français, de trois directives européennes -carte "bleue" européenne, directive "sanctions" et directive "retour"-, le texte inclut une réforme du contentieux sur l'éloignement des sans-papiers.

Considérée comme "le coeur de la réforme", cette disposition prévoit de retarder l'intervention, en rétention, du juge des libertés et de la détention (JLD) à cinq jours (au lieu de deux jours actuellement).

Elle a été présentée par les trois ministres successifs en charge de l'immigration --Eric Besson, Brice Hortefeux, puis Claude Guéant-- comme nécessaire à une meilleure efficacité du système d'éloignement, le taux d'exécution des obligations à quitter le territoire n'étant que d'environ 20%.

Les sénateurs, lors du vote en première lecture du texte, avaient repoussé cette mesure-phare du texte.

Les députés ont également rétabli d'autres mesures retoquées par le Sénat comme la pénalisation des "mariages gris" et les mesures de restriction à l'Aide médicale d'Etat (AME) pour les sans-papiers malades. Selon les associations de défense des étrangers, 28.000 étrangers malades risqueraient ainsi aujourd'hui "l'expulsion et une interruption brutale de soins".


 

http://www.lepoint.fr/politique/immigration-l-assemblee-a-vote-le-projet-de-loi-en-seconde-lecture-15-03-2011-1306886_20.php






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