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Créé le : 02/09/2007 21:02
Modifié : 10/06/2011 13:27

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Delanoë peut-il vraiment faire interdire Dieudonné à Paris ?

13/01/2009 22:05



Pour ses voeux à la presse, ce lundi, Bertrand Delanoë s'est choisi un cheval de bataille médiatiquement rentable: Dieudonné, assurant qu'il userait de "tous les moyens de droit" dont il dispose pour entraver le succès du comique dans la capitale, où il fait régulièrement le plein.

Après l'ode à l'historien négationniste Robert Faurisson, sur la scène du Zénith de Paris, le 26 décembre, plusieurs édiles avaient déjà décidé d'interdire à l'humoriste de se produire sur le territoire de leur commune, à Montpellier, Belfort ou en Auvergne.

Lundi, Bertrand Delanoë a parlé de procéder en deux temps: d'abord empêcher que son spectacle ne tourne dans la capitale "pour que, dans Paris, ce genre de choses n'existe plus". Puis, dans un deuxième temps: "Si je n'y arrive pas, je le ferai sanctionner."

Gesticulation d'un élu pour occuper un terrain favorable? Peut-être. Car après la dénonciation d'une "abjection" et d'une "faute contre l'humanité", reste la faisabilité juridique. Pour Rue89, Robert Le Goff, juge administratif à Orléans, a décrypté les trois scénarios envisagés à la Mairie de Paris.

Interdire le spectacle dans les théâtres publics parisiens

Ce qui apparait le plus étrange, ici, c'est la précision "théâtre public". En effet, un maire peut certes empêcher la tenue d'un événement. Mais pas parce qu'il s'agit d'un lieu de gestion publique (d'autant que la plupart des théâtres publics ne sont pas gérés par la municipalité).

C'est en réalité au nom des pouvoirs de police qui lui incombent en tant que garant du "maintien du bon ordre" que le maire peut prendre un arrêté interdisant la tenue d'un spectacle. Par exemple au nom du risque de manifestation.

Mais cette limite sera alors circonstanciée. Aucune chance, donc, pour le Maire de Paris, de réussir à faire interdire ad vitam eternam Dieudonné sur le territoire de sa commune. Robert Le Goff:

"Le juge administratif a une conception très large de la liberté d'entreprendre et plus encore de la liberté d'expression artistique. Il est très protecteur en la matière."

En 2004, à Lyon, la municipalité avait voulu faire interdire un précédent spectacle de l'humoriste. Peine perdue: le tribunal administratif avait estimé que, peu importe les propos que Dieudonné pouvait tenir sur scène, le spectacle n'entrainait pas forcément de trouble à l'ordre public.

Même si c'était seulement quelques jours après son célèbre passage chez Marc-Olivier Fogiel où il fit le salut hitlérien. Et malgré les 13 000 personnes qui avaient signé une pétition. Le spectacle eût bien lieu... malgré les heurts, comme le montrent ces images:

< width="355" height="450" frameborder="0" src="http://www.ina.fr/archivespourtous/popup.php?vue=partenaire&partenariat=be4ce3aa9189136516195c8819425e7e">
Porter plainte pour "incitation à la haine raciale"

C'est une autre solution envisagée par le maire de Paris pour empêcher l'humoriste de poursuivre dans la surenchère, provocation après provocation. En ce cas, la chose ne relèverait plus du droit administratif, mais du droit pénal. Et Bertrand Delanoë aurait a priori le statut de simple citoyen... "Même s'il est clair que le parquet se montre certainement plus attentif dans ces cas-là", précise Robert Le Goff.

Le magistrat d'Orléans rappelle de plus qu'une décision très récente, à Grenoble, a invalidé l'interdiction d'un concert de Capleton, chanteur ragga qui devait se produire fin novembre. Motif: aucune plainte n'avait été déposée pour homophobie. Mais la plainte ne peut être déposée à titre préventif, dans le seul but d'empêcher que l'artiste ne se produise à l'avenir.

Faire fermer le théâtre de la Main d'Or

Le plus souvent, l'humoriste qui se dit "boycotté", se produit non pas au Zénith, comme le 26 décembre, mais au théâtre de la Main d'Or (où Rue89 était allé cet été interviewer le public de Dieudonné), dont il est propriétaire.

Bertrand Delanoë a évoqué la possibilité de faire fermer ce lieu. Avec une grande prudence, toutefois: "Je n'ai aucune envie d'un théâtre fermé, en revanche qu'on y donne une représentation négationniste, cela m'importe."

Du point de vue du droit, la fermeture peut prendre deux chemins: fermeture judiciaire ou fermeture administrative. La première est à l'initiative du juge. Dans ce cas, c'est d'abord le parquet qui décide de l'opportunité de poursuivre, puis le juge correctionnel qui décide de prononcer la sanction. Mais attention, pas à titre conservatoire: les délais sont généralement longs. On notera cependant qu'une enquête a bien été ouverte par le parquet à l'issue du spectacle au Zénith.

Pour la fermeture administrative, Robert Le Goff se montre sceptique. D'abord parce que généralement, l'initiative revient au préfet (au préfet de police à Paris). Ensuite parce qu'il n'a souvenir d'aucune jurisprudence "dans la République" concernant des théâtres ou des lieux artistiques.

Au sein de sa juridiction, c'est lui qui gère justement les dossiers de fermeture administrative. Or il s'agit quasi systématiquement de bars ou de boîtes que les pouvoirs publics font fermer (souvent provisoirement, d'ailleurs) pour des faits avérés, de type bagarres, alcool au volant:

"Même si un humoriste tient des propos nauséabonds, il me parait peu probable qu'un juge décide de ne pas sanctionner une fermeture administrative car il est très sourcilleux dès lors que la liberté d'expression est en jeu. Il n'y a pas en la matière l'équivalent de la police des boissons. Ce serait un retour à Louis XIV!"

A lire aussi:
Dans le public de Dieudonné: "le seul qui nous fasse rire"

http://www.rue89.com/2009/01/12/delanoe-peut-il-vraiment-faire-interdire-dieudonne-a-paris




Israël-Palestine : les élus locaux doivent-ils prendre position ?

13/01/2009 21:57



A Marseille, des élus PS, UMP et Nouveau Centre ont manifesté leur soutien à la politique israélienne. Par intérêt électoral?

Manifestation à Marseille à l'appel du Crif le 11 janvier 2009 (Jean-Paul Pelissier/Reuters).

Les manifestations du week-end autour de la guerre de Gaza ont été marquées, à Marseille, par la présence dans les cortèges de nombreux élus locaux. Les uns soutenant les Palestiniens contre l'opération israélienne. Les autres répondant à l'appel des représentants des associations juives.

Samedi, entre 10 000 et 20 000 personnes, selon les sources, ont manifesté pour réclamer une cessez-le-feu et l'arrêt des bombardements israéliens sur la bande de Gaza.

Dimanche, entre 5000 personnes selon la police et 15 000 selon les organisateurs ont manifesté à l'appel du Conseil représentatif des institutions juives (Crif) Marseille-Provence "pour la paix" et "en soutien au peuple israélien bombardé par le Hamas".

"Israël veut la paix, le peuple palestinien veut la paix, le Hamas ne la veut pas"

De nombreux élus locaux ont participé à ces deux rendez-vous dans une répartition des rôles que l'on n'avait plus revue à Marseille ces dernières années. La gauche non-socialiste -PC et NPA principalement- manifestait samedi pour soutenir les Palestiniens, sans que cela n'apparaisse comme une nouveauté.

L'était beaucoup plus la présence le lendemain d'élus de premier plan du PS, de l'UMP et du Nouveau Centre -représentant chacune des collectivités locales-, au côté des responsables de la communauté juive. Alors que le président du Crif Marseille-Provence, Isidore Aragonès délivrait son message:

"Nous approuvons la réponse apportée contre les terroristes du Hamas. Israël n'est pas en guerre contre le peuple palestinien mais contre le Hamas. Israël veut la paix, le peuple Palestinien veut la paix, le Hamas ne la veut pas."

Roland Blum, premier adjoint au maire de Marseille Jean-Claude Gaudin (UMP); Sylvie Andrieux, pour la région Paca (PS); Janine Ecochard pour le conseil général des Bouches-du-Rhône (PS) et Antoine Rouzaud au nom du président de la communauté urbaine (PS) ont défilé entre la préfecture et le consulat d'Israël.

Il s'agissait là de l'une des toutes premières manifestations en soutien à la politique israélienne à laquelle participaient de nombreux élus de gauche comme de droite. Une présence dont se sont d'ailleurs félicités les représentants du Crif.

"Dans une vision communautaire du jeu politique marseillais"

Même si elle n'a pas surpris grand monde dans le fond, cette mobilisation témoigne cependant d'une réalité très marseillaise. Depuis toujours, les élus locaux, quelle que soit leur orientation politique, dénoncent ce qui pourrait ressembler, de près comme de loin, à toute forme de communautarisme.

Or, assure le sociologue et politologue aixois Vincent Geisser, "nous sommes, avec ce rassemblement du Crif, précisément dans la vision communautaire, voire communautariste du jeu politique marseillais":

"Il faut être là où les communautés, pense-t-on, comptent. Dans la tête des hommes politiques, ce jeu des communautés se traduit par une espèce de hiérarchie des influences qui n'est bien souvent que fantasmée."

Pour Philippe Isnard, de l'Observatoire permanent de la laïcité Paca, "l'engagement de ces élus dans une manifestation pro-israélienne organisée par une instance communautaire va à l'encontre de la laïcité et de la séparation des communautés (et religions) et des institutions républicaines."

"N'importons pas la violence, exportons le dialogue"

Des analyses que ne partage pas Janine Ecochard, conseillère générale PS présente dimanche à la manifestation du Crif. "J'y ai participé dans une démarche de dialogue et de paix, tout simplement":

"Israël ne peut pas admettre de vivre sous la pression constante des tirs de roquettes et les populations civiles de Gaza ont le droit à l'aide humanitaire et à une vie apaisée. Qu'ils appartiennent à l'une ou l'autre communauté, nous étions là pour dire: n'importons pas la violence et exportons le dialogue."

Un sentiment également exprimé par Daniel Sperling (UMP), adjoint au maire chargé du Mieux vivre ensemble, pour qui "tout a été fait à Marseille pour ne pas importer le conflit".

Pourquoi ne pas alors avoir délivré de tels messages de paix la veille, à l'occasion de la manifestation en soutien au peuple palestinien? "Nous sommes représentants de l'ensemble de la population, poursuit l'élue au conseil général, discriminants à l'égard de personne et nous sommes présents lorsque nous sommes sollicités."

Mais pour Vincent Geisser, le problème est plus profond: "La vérité, c'est que le mouvement pro-palestinien n'est pas suffisamment uni pour que les élus s'autorisent à manifester à ses côtés":

"Par contre, poursuit-il, ne pas être présent au rassemblement du Crif aurait été une faute politique. Nous ne parlons même pas là de la possibilité d'une faute morale. Tous, qu'ils soutiennent sincèrement la politique menée par Israël ou non, étaient présents parce qu'ils sont dans cette vision surcommunautaire des rapports sociaux."

"C'est un calcul à courte-vue, estime pour sa part Pierre Stambul, de l'Union juive française pour la Paix (UJFP), et les élus se gourent en agissant ainsi car ils auront à gérer des débats en interne, notamment au PS, et ça ne va pas être triste."

Surprenante également dans ce cadre, la présence de Sylvie Andrieux, qui représentait dimanche le Conseil régional Paca dont le président, Michel Vauzelle (PS) s'était pourtant bien gardé, quelques jours plus tôt à l'occasion de ses vœux à la presse, de prendre position pour un camp ou pour l'autre, dans sa tradition de prudence méditerranéenne.

Intérêts électoraliste, clientéliste?

Comment comprendre alors la présence de ces élus autrement que motivée par des intérêts politiques, électoralistes, clientélistes? "C'est encore plus profond que cela, poursuit Vincent Geisser, cela touche aux représentations mêmes de ce que serait la soi-disant puissance communautaire."

A l'image, estime-t-il, de Marseille Espérance, devenue "la vitrine" d'un communautarisme "qui n'est pas le reflet de la réalité sociale marseillaise".

L'institution, créée au début des années 1990 par le maire de l'époque, Robert Vigouroux, regroupe, sous l'égide du premier magistrat, les chefs religieux des principales communautés de Marseille "pour se concerter et réaffirmer, chaque fois que la situation l'exige, leur volonté de vivre ensemble en paix et dans le respect de la spécificité de chacun".

Une institution que Jean-Claude Gaudin a d'ailleurs convoquée la semaine dernière pour évoquer la situation au Proche-Orient et ses échos à Marseille.

Finalement, ces relations des élus politiques aux communautés, très "marseillaises" dans leur fonctionnement et assez exceptionnelles, Vincent Geisser les voit pourtant se développer ailleurs en France et notamment "dans certaines villes de banlieues" où, assure-t-il, le "néo-communautarisme" fonctionne en plein.

Photo: manifestation à Marseille à l'appel du Crif le 11 janvier 2009 (Jean-Paul Pelissier/Reuters).


http://www.rue89.com/marseille/2009/01/13/israel-palestine-les-elus-locaux-doivent-ils-prendre-position




Enrico Macias ne sera jamais le bienvenu en Algérie

12/01/2009 15:09





Enrico Macias ne sera jamais le bienvenu en Algérie

Belkhadem a bien des défauts et il participe à un gouvernement honni par une bonne partie de la population, mais il n'a jamais marchandé son soutien à la cause de la Palestine. Lisez donc comment est qualifié le CRIF dont les dîners en ville sont courus par toute la nomenklatura hexagonale. Ceci dit, j'espère qu'il veillera aussi à ce que d'autres sionistes comme BHL, l'ami des généraux, ne mettent plus les pieds en Algérie.

J'espère sincèrement qu'Enrico Macias ne remettra jamais les pieds sur la terre de ses ancêtres et je souhaite qu'il vive très vieux afin qu'il soit rongé par la nostalgie le plus longtemps possible.

Belkhadem à propos d'Enrico Macias : «nous n'acceptons pas un sioniste sur la terre des martyrs»

Par Sonia Lyes , Tout sur l'Algérie,10/01/2009

Le secrétaire général de l'instance exécutive du FLN [et ministre sans portefeuille, représentant personnel du chef de l'Etat], Abdelaziz Belkhadem, a indiqué samedi qu'il ne s'était pas trompé au sujet du chanteur Enrico Macias lorsqu'il s'était opposé à sa venue en Algérie en 2000 et en 2007.
«Nous ne sommes pas trompés sur Enrico Macias. Vous avez vu, Il a été parmi les premiers à la marche de soutien à Israël il y a quelques jours à Paris », a expliqué M.Belkhadem lors d'une rencontre avec les journalistes à l'issue du sommet de l'Alliance présidentielle consacré essentiellement à la cause Palestinienne. «Libre à lui de chanter, mais nous n'acceptons pas un sioniste sur la terre des martyrs », a ajouté M. Belkhadem, qui est également ministre d'Etat représentant personnel du Président de la République.
Invité en Algérie par le Président Bouteflika au lendemain de son élection en 1999, Enrico Macias, chanteur juif né à Constantine, a été empêché de venir après une forte mobilisation à travers le pays. En décembre 2007, le chanteur avait tenté en vain de figurer dans la délégation qui accompagnait Nicolas Sarkozy en Algérie lors de la visite d'Etat du président français. Mais là encore, les Algériens avaient refusé de le recevoir.
Enrico Macias est connu pour ses positions favorables à Israël et surtout à l'armée israélienne. Dimanche dernier, il avait pris part à une manifestation de soutien à l'agression israélienne contre Gaza. Une manifestation organisée par le Crif, une organisation communautaire juive extrémiste.

http://mounadil.blogspot.com/


Lundi 12 Janvier 2009

http://www.alterinfo.net/Enrico-Macias-ne-sera-jamais-le-bienvenu-en-Algerie_a28371.html?PHPSESSID=96bc3e8444e022071acc489186f7d88a




http://www.abc.es/20090112/economia-economia/fraude-madoff-escapa-hermana-200901120323.html

12/01/2009 14:53



Del fraude de Madoff no se escapa ni su hermana
Imagen de archivo de Bernard Madoff.
El inversionista de Wall Street, Bernard Madoff, acusado de presuntamente montar un fraude de 50.000 millones de dólares, estafó también a su hermana, que ahora intenta vender su casa en Florida (EE.UU.), según The New York Post.
El diario ha indicado en su versión digital que Madoff le robó "millones" a su propia hermana, Sondra Wiener, de 74 años, y que ahora ésta intenta "desesperadamente" vender la casa que tiene en Florida. "Ella perdió millones en todo esto", ha dicho una fuente anónima citada por el diario, que calculó la pérdida de Wiener en unos tres millones de dólares.
El hijo de Wiener, David, afirma que, en definitiva, "mi familia es una víctima, más que ninguna otra persona. Es muy doloroso". Un vecino de la familia asegura al diario que "parece que ella no vio venir esto. ¿Qué clase de persona estafa a su propia hermana?".
Weiner puso a la venta su casa, de 317 metros cuadrados y en un exclusivo sector de Palm Beach, y pidió entre 850.000 y 950.000 dólares por ella, según el diario. La casa incluye tres habitaciones, una piscina, un spa, y una "bella vista de la puesta del solo todas las tardes", indicó el anunció de venta de la empresa inmobiliaria Illustrated Properties.
Uno de los cinco familiares que recibieron paquetes de joyas
Al parecer Wiener fue una de los cinco familiares que recibieron paquetes llenos de bisutería de lujo por parte de Madoff y su esposa, Ruth, la víspera de Navidad. La hermana de Wiener, según The New York Post, recibió un paquete con joyas por un valor de un millón de dólares, que incluía relojes de las marcas Cartier y Tiffany.
Los abogados de la fiscalía en el caso contra Madoff recuperaron las joyas en las últimas semanas, tras alegar que el envió de esos paquetes violaba una orden judicial sobre el congelamiento de todos los bienes de Madoff .
Madoff , de 70 años, fue arrestado el pasado 11 de diciembre bajo cargos de violación de las leyes federales en materia de valores, en lo que se considera uno de los fraudes financieros más grandes de la historia de Estados Unidos.
Un juez federal en Manhattan tendrá que decidir hoy sobre una solicitud de la fiscalía de revocar la orden de arresto domiciliario de Madoff y dictaminar que el inversionista vaya a la cárcel mientras aguarda juicio


http://www.abc.es/20090112/economia-economia/fraude-madoff-escapa-hermana-200901120323.html




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