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La gloire à bon compte sauf le budget stratosphérique ,les badernes de bureau & le soldat qui gagne son statut .Les forces françaises engagées sur plusieurs fronts
08/04/2011 11:59
Cet article ainsi que ceux de cette rubriques sont, aussi et actuellement, visibles sur "Wordpress - Aviseur international " (http://aviseurinternational.wordpress.com/ ) à la rubrique "Revue de Presse de l'Aviseur".
Les forces françaises engagées sur plusieurs fronts
Actuellement, 22.000 militaires français interviennent à l'étranger selon le ministère de la Défense.
Sept mille marins sur l'eau, un porte-avions au maximum de ses capacités, un sans-faute réalisé par les Rafale au-dessus de la Libye et une force d'intervention rapide qui réagit au quart de tour à Abidjan quand l'ONU le lui demande. Les armées françaises n'avaient pas été engagées aussi visiblement dans des opérations extérieures depuis longtemps. Cette posture est-elle longtemps tenable avec la réforme qui depuis trois ans taille dans les effectifs et les équipements des forces armées? Oui, répondent les responsables de la défense, qui récusent l'idée que les armées françaises, tiraillées entre leurs différents fronts, soient d'ores et déjà obligées de travailler à «flux tendus».
22.000 hommes dehors
Selon le contrat opérationnel du livre blanc de la défense publié en 2008, les armées peuvent envoyer 30.000 hommes en opération pendant un an. Avec 4000 militaires en Afghanistan, 9700 en Afrique dont 1500 en Côte d'Ivoire, les dispositifs au-dessus de la Libye, au Kosovo et au Liban, 22.000 militaires sont actuellement à l'extérieur des frontières, selon le ministre de la Défense. «Nous ne sommes pas au taquet, nous sommes dans la phase supérieure de la mobilisation», affirmait jeudi le ministre de la Défense, Gérard Longuet, au Sénat. Les renforts envoyés en Côte d'Ivoire ont été prélevés sur les forces prépositionnées en Afrique, notamment à Libreville. Quant à l'opération aérienne déclenchée au-dessus de la Libye, de l'autre côté de la Méditerranée, elle consomme essentiellement des avions. «Même s'ils sont dispersés, les moyens engagés restent finalement assez modestes. Nous sommes loin d'une situation de rupture», assure un officier général.
La France pourrait selon lui maintenir ce type d'engagement, qui sollicite assez peu nos avions de transport à bout de souffle, pendant plusieurs mois. C'est d'ailleurs le pari qu'a fait la Royal Air Force britannique, dont le chef d'état-major a affirmé qu'il avait planifié pour ses avions un engagement de six mois.
Accords de défense
À long terme, la pression sur les coûts risque cependant de se faire ressentir, dans une période de restrictions budgétaires. «Si le conflit dure, nous serons obligés d'en tirer les leçons et de faire évoluer les moyens financiers de ces Opex», a reconnu le ministre de la Défense.
Si les interventions en Libye et en Côte d'Ivoire prouvent que Paris est toujours capable de mener trois fronts à la fois, elles posent en revanche la question des choix stratégiques à long terme de la France, qui a choisi de se désengager de l'Afrique au moment où le continent vit des changements importants. Gérard Longuet l'a rappelé jeudi : Paris reste «dans une logique de diminution de ses effectifs militaires en Afrique». Il a fermé des bases et revu à la baisse les accords de défense bilatéraux au moment où d'autres puissances, comme les États-Unis ou la Chine, s'intéressent de près au continent.
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Kosovo : l’État au bord de la faillite.10 contre 1 qu'on va casquer ?
07/04/2011 15:08
Kosovo : l’État au bord de la faillite
De notre correspondant
Mise en ligne : jeudi 7 avril 2011
La grande promesse de campagne du Premier ministre Hashim Thaçi d’augmenter de 30 à 50% les salaires des fonctionnaires a été adoptée par le Parlement le 31 mars, dans le cadre du budget annuel. Cette mesure spectaculaire est en totale contradiction avec le programme négocié en 2010 avec le FMI. Celui-ci a donc décidé de suspendre son aide au Kosovo. L’État kosovar est aujourd’hui menacé de banqueroute.
Par Pierre Bonifassi
En mai 2009, le Kosovo remportait une première étape dans son processus d’indépendance en adhérant conjointement au FMI et à la Banque mondiale. Un an plus tard, le FMI décidait d’accorder à Pristina un prêt de 109 millions d’euros sur trois ans, et la possibilité de l’étendre à 210 millions supplémentaires pour la période suivante. Une première tranche de 22 millions d’euros a été versée au cours de l’été 2010.
Retrouvez notre dossier : La destitution de Behxhet Pacolli plonge le Kosovo dans une nouvelle crise politique
Si l’adhésion aux instances économiques internationales constitue une certaine victoire diplomatique pour Pristina, elle doit surtout permettre à la très faible économie kosovare de se développer plus rapidement. Avec plus de 45% de chômage, selon les chiffres officiels, un PIB par habitant culminant à 1759€ (en 2009) et un salaire moyen d’à peine 300€ mensuels, le prêt du FMI offre au Kosovo une précieuse bouffée d’oxygène.
Un pays en pleine crise politique
Depuis l’automne 2010, le pays est plongé dans une crise politique aussi profonde qu’inattendue. La Cour constitutionnelle a jugé fin septembre, que le Président avait violé la Constitution en conservant la tête de la Ligue démocratique du Kosovo (LDK) après son élection à la tête de l’État. Contraint à la démission, Fatmir Sejdiu a emporté le gouvernement dirigé par Hashim Thaçi dans sa chute. Des élections législatives anticipées ont donc été convoquées pour le 12 décembre.
Deux axes contradictoires ont dominé la campagne électorale du Premier ministre sortant. D’un côté, la privatisation de la très lucrative entreprise de télécommunication PTK, mesure impopulaire imposée par le FMI dans l’objectif de restriction budgétaire. De l’autre, la promesse d’augmenter de manière substantielle les salaires de la fonction publique, afin de « relancer la machine économique ».
Après les nombreuses fraudes qui ont émaillé le scrutin du 12 décembre, deux nouvelles journées de vote ont dû être réorganisées les 9 et 23 janvier. Malgré les accusations de trafic d’organes pesant sur Hashim Thaçi, sa formation, le PDK, a finalement assez largement remporté les élections avec près d’un tiers des voix. Mais, isolé sur l’échiquier politique, le PDK a eu toutes les peines à former une coalition lui permettant de gouverner le pays.
Le ralliement âprement négocié de l’AKR du sulfureux homme d’affaires kosovaro-suisse Bexhet Pacolli a finalement permis la constitution d’un fragile gouvernement de coalition, également soutenu par les partis de la minorité serbe. C’est dans ce contexte très tendu que le 31 mars l’Assemblée a adopté le budget 2011, actant la privatisation de PTK comme la hausse des salaires de la fonction publique. Le vote a été pour le moins houleux et des échauffourées ont éclaté entre les députés.
Vendre les meubles pour sauver les salaires
Pour 2011, le budget du Kosovo atteindra 1,264 milliards d’euros dont 383 millions - 30 % - dévolus aux salaires des fonctionnaires, contre 311 millions l’année précédente. Au passage, le gouvernement mise sur un ambitieux taux de croissance, supérieur à 5%. Afin de financer cette mesure, la majorité a fait passer la privatisation de PTK dans les lignes budgétaires. Une mesure qui « n’est pas conforme à la Constitution et qui devrait être supprimée du budget », estime Arben Gashi, élu de la Ligue démocratique du Kosovo (LDK).
Au-delà de la question de la légalité de ce budget soulevée par l’opposition, le problème est qu’il est prévu de financer une promesse de campagne qui elle-même suspend le prêt accordé par le Fonds monétaire international par la vente d’un des symboles nationaux. Face au feu des critiques, le Premier ministre Hashim Thaçi ne s’est pas démonté. « Les discussions se poursuivent pour faire en sorte que le Kosovo continue de faire partie du programme du FMI et reçoive les subventions promises », a-t-il déclaré devant le Parlement.
Lors de sa visite en mars, le FMI avait publiquement fait part de son désaccord vis-à-vis de la hausse des salaires de la fonction publique. « Cette augmentation n’est pas conforme aux objectifs du programme », a précisé le bailleur de fonds international, qui conditionne ses prêts à la mise en œuvre de vigoureux programmes d’ajustements structurels visant justement à réduire le poids de l’État. En votant officiellement cette mesure, le Parlement kosovar a de facto rompu l’accord liant le FMI et le Kosovo. Du coup, l’Union européenne a elle aussi menacé de suspendre une donation de 120 millions d’euros décidée en 2008.
Quelles perspectives ?
Le dénouement de cette crise budgétaire et diplomatique dépend donc de la manière dont Hashim Thaçi saura négocier avec le FMI. Dans un contexte de fortes tensions politiques marquées par l’invalidation de l’élection de Bexhet Pacolli à la Présidence et l’incertitude quant au maintien du gouvernement, le Premier ministre se trouve aujourd’hui dans une situation très délicate. Faire machine arrière sur cette promesse de campagne pourrait précipiter sa chute.
La privatisation de l’entreprise publique de télécoms ne fait pas l’unanimité dans l’opinion, et encore moins chez les salariés. Au moment du vote du budget, plusieurs centaines d’entre eux ont violemment manifesté devant les portes du Parlement. La police a dû faire usage de gaz de poivre de Cayenne pour les disperser alors qu’ils tentaient de pénétrer dans l’enceinte du bâtiment.
En guise d’alternative au financement du budget, Hashim Thaçi a proposé la suspension de la construction de l’autoroute menant vers l’Albanie, autre projet extrêmement coûteux, symbolique et polémique. Fatmir Limaj, ministre des Transports jusqu’en décembre 2010 est notamment accusé d’avoir perçu de nombreuses commissions occultes liées au financement de ce chantier. Il est fort peu probable que cette proposition, faite à la va-vite, rassure les experts financiers internationaux. Aujourd’hui, ce qui est à peu près sûr, c’est que le Kosovo se trouve au bord de la faillite.
http://balkans.courriers.info/article17259.html
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transferts sur Wordpress----
07/04/2011 13:43
ATTENTION :
Nous transférons, petit à petit, l'ensemble des anciens articles sur le site "AVISEUR INTERNATIONAL" de Wordpress à l'adresse :
http://aviseurinternational.wordpress.com/
Merci de nous y suivre et de votre compréhension pour toute éventuelle gêne que cela pourrait vous créer
les articles transférés seront progressivement effacés de ce site sur Vip-blog.
En attendant, retrouvez vos articles dans la rubrique "Revus et étudiés par KEG"
l'équipe de Aviseur international
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Dans la série "yes we can..." mais jamais "how much?" :Renflouement de l’épave d’Air France aux frais de l’Etat : injuste, dangereux, scandaleux
05/04/2011 21:23
Renflouement de l’épave d’Air France aux frais de l’Etat : injuste, dangereux, scandaleux
Le gouvernement français annonce qu’il va renflouer, aux frais de l’État pour cinq millions de dollars, les morceaux d’épave de l’Airbus A330-220 du vol 447 Air France Rio-Paris, crashé dans l’Atlantique le 1er juin 2009 dans l’océan Atlantique.
C’est injuste, dangereux, et donc scandaleux.
1. 1. C’est une injustice sociale
Le transport aérien de passagers pour les vacances ou les affaires, ce n’est pas le métro : il ne concerne pas les plus pauvres, et pourtant le gouvernement décide de faire payer les plus pauvres. La mère de famille célibataire, caissière à mi-temps dans un supermarché de province, ne prendra pas l’avion pour Rio avec ses enfants, mais elle paie la TVA, et le carburant pour aller au travail et conduire ses enfants à l’école (deux activités obligatoires), taxé à environ 400 %. Pensons en plus au fait qu’à l’opposé des carburants pour voiture, le kérosène des avions est sous-taxé, encourageant ce mode de transport polluant et rapide (900 km/h) pour riches pressés, au détriment de transports moins polluants (train de nuit longue distance qui permettrait de faire 2000 km, bateau, dirigeable qui consomme six fois moins).
2. 2. C’est dangereux
En payant une partie des effets des accidents, l’État externalise une partie des coûts de sécurité, ce qui encourage les compagnies aériennes et par conséquent les constructeurs d’avions à anticiper des économies sur le budget de sécurité, puisque la prise de risque ne sera pas totalement à leurs frais. Ce n’est plus leur affaire, le gouvernement les dédouanant et l’État finançant une partie des effets de l’insécurité. Le gouvernement augmente donc la probabilité d’accidents futurs. Si Air France est obligé de payer le renflouage, les compagnies aériennes augmenteront les précautions sur la sécurité afin d’éviter de payer trop souvent ce genre de conséquences.
En conclusion, exigeons que la totalité des coûts des accidents et de la pollution de tout type de transport soit internalisé à ses bénéficiaires, c’est-à-dire aux compagnies aériennes, aux constructeurs d’avions et aux voyageurs dans le prix des billets. Pollueur tueur payeur.
Documents joints à cet article
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Lampedusa-Paris, le rêve en bout de ligne ?
02/04/2011 23:19
Lampedusa-Paris, le rêve en bout de ligne ?
Plus de 2000 immigrés ont été transférés de Lampedusa vers un centre d’accueil à Mandurian dans les Pouilles dans le sud de l’Italie. Plusieurs d’entre eux se sont déjà échappés du campement. Parmi eux, on trouve Youssef, Ahmed et Khaled qui rêvent d’atteindre Paris. Le train de l’espoir est flanqué du code « Le 562059...
Posté par Novopress dans Europe, Politique, Société le 2 avril 2011
Italie : des immigrés s’enfuient d’un camp, aidés par l’extrême gauche
2/4/2011 – 20h30 MANDURIA (NOVOPress) : Plusieurs centaines d’immigrés regroupés dans le camp de Manduria (dans les Pouilles) ont forcé en fin d’après-midi la clôture du camp, en hurlant « Liberté ! » et ont envahi la voie publique. Les forces de l’ordre sont entrées en action en tenue anti-émeutes. On compte plusieurs...
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Première action à Paris du Collectif Non à la guerre en Libye
02/04/2011 07:00
Posté par Novopress dans France, Monde, Politique le 1 avril 2011 |
< scrolling="no" frameborder="0" style="border: medium none ; overflow: hidden; width: 580px; height: 25px;" allowtransparency="true" src="http://www.facebook.com/plugins/like.php?href=http://fr.novopress.info/81606/premiere-action-a-paris-du-collectif-non-a-la-guerre-en-libye/&layout=standard&show_faces=false&width=580&action=recommend&font=verdana&colorscheme=light&locale=fr_FR">>
Avant-hier mercredi 30 mars, le Collectif Non à la guerre en Libye a organisé une manifestation rassemblant une trentaine de personnes à proximité du consulat de Libye, rue Chasseloup-Laubat dans le XVe arrondissement de Paris. Dénonçant les frappes aériennes sur la Libye, les participants ont déploré la collaboration active de l’armée française à ce qui ressemble, après les campagnes d’Irak et surtout d’Afghanistan, à une énième « croisade du Bien » orchestrée par les Etats-Unis contre les peuples libres.
Les participants, parmi lesquels le prince Sixte-Henri de Bourbon-Parme, venu en personne condamner l’intervention militaire française, ont ainsi écouté un discours leur rappelant : - qu’à l’heure où la France pleure 54 de ses soldats tombés pour l’Oncle Sam dans les montagnes afghanes, Nicolas Sarkozy a engagé notre pays dans un conflit qui ne sert une fois de plus que les intérêts économico-stratégiques des USA, certainement plus appâtés par les riches réserves pétrolières de la Libye que par la pseudo-protection des civils, ou bien mus par le « soutien aux insurgés ». - qu’à l’heure où l’Europe entière craint une vague d’immigration sans précédent, il est totalement suicidaire de bombarder ces zones sensibles et d’encourager ainsi une guerre civile qui aura pour conséquence directe d’inciter des millions de personnes à l’exil vers l’Europe et, disons-le clairement, vers la France. - qu’aujourd’hui les Français craignent pour leur pouvoir d’achat et leur avenir, et n’ont pas envie de soutenir avec leurs impôts une guerre très coûteuse au service d’intérêts américains.
Les manifestants se sont dispersés dans le calme, après avoir allumé des fumigènes et repris quelques slogans, pour finalement déposer une gerbe de fleurs en soutien au peuple libyen qui souffre aujourd’hui dans toutes ses composantes.
Appel militant du Collectif Non à la guerre en Libye
Pour l’arrêt immédiat des frappes aériennes et le retrait des troupes françaises, pour dire Stop aux guerres de l’Oncle Sam, soutenez le Collectif Non à la guerre en Libye, contactez-nous ! Contact : nonalaguerreenlibye@hotmail.fr
La vidéo de la manifestation est visible ici.

 [cc] Novopress.info, 2010, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine [http://fr.novopress.info]
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Rivolta a Lampedusa Berlusconi va a Tunisi: "Per fermare le partenze"
01/04/2011 06:30
Rivolta a Lampedusa Berlusconi va a Tunisi: "Per fermare le partenze"
Un gruppo di immigrati annuncia lo sciopero della fame e della sete per protestare contro le condizioni "disumane". Intanto prosegue lo "svuotamento" dell'isola. Il premier lunedì a Tunisi per fermare le partenze e favorire il rimpatrio. Ammassati al porto di Lampedusa: guarda il video
Lampedusa - Berluscno lunedì sarà a Tunisi. Chiederà al governo tunisino l'impegno per il pattugliamento delle coste, lo stop alle partenze degli immigrati verso l'Italia e favorirne il rimpatrio. Con lui il ministro dell'Interno Maroni. Queste le decisioni prese al vertice di stasera a Palazzo Grazioli. Tra l'altro è stato ricordato che per la legge tunisina l'espatrio senza autorizzazione è reato. Il governo italiano offrirà da parte sua l'impegno a fornire equipaggiamento e attrezzature alle forze dell'ordine tunisine come veicoli fuoristrada e motovedette, oltre ad aiuti per programmi a tutela dell'ambiente e di supporto economico. "E' stata una riunione preparatoria in vista di quella di domani mattina" ha detto il ministro per gli Affari regionali Raffaele Fitto lasciando Palazzo Grazioli, dove ha partecipato ad una riunione con il presidente del Consiglio. Contemporaneamente a lui, hanno lasciato la residenza del presidente del Consiglio, anche i ministri dell'Interno e della Difesa, Roberto Maroni e Ignazio La Russa.
Rivolta a Lampedusa È rimontata la protesta degli oltre cento tunisini che stanno sfilando lungo le vie di Lampedusa. Il gruppo di extracomunitari, dopo aver incontrato il vicequestore di Agrigento, Ferdinando Guarino, sembrava essersi calmato e aver cessato la manifestazione. Invece i nordafricani, dopo pochi minuti si sono ricompattati, dirigendosi verso la stazione marittima del porto di Lampedusa. Un gruppo di immigrati ha annunciato lo sciopero della fame e della sete per protestare contro le condizioni "disumane" in cui sono costretti a vivere sull’isola. "Non ci laviamo da dieci giorni - dicono - e dormiamo a terra al freddo". A parlare con loro è il commissario di Polizia Corrado Empoli, diventato punto di riferimento per migliaia di tunisini.
Berlusconi accusa la Tunisia Il governo tunisino non sta mettendo in atto gli accordi sull’immigrazione stipulati con l’Italia, e ancora: ci sono 5 mila cittadini tunisini che non sono "particolarmente accettabili" da parte dell’Italia e, quindi, vanno rimpatriati. Secondo l’Ue per procedere al rimpatrio degli immigrati clandestini è necessario l’accordo con i Paesi d’origine, lo ha ribadito il portavoce della commissaria Ue agli Affari interni, Cecilia Malmstrom: "Bisogna distinguere fra i rifugiati che hanno diritto alla protezione internazionale, che non rappresentano più del 15/20 per cento di chi è sbarcato a Lampedusa nelle ultime settimane, e quelli che invece sono immigrati irregolari senza titoli per restare in Europa".
Il ministro Maroni "C’era l’impegno della Tunisia per il contrasto dei flussi illegali, ma finora ciò non è avvenuto, così come non c’è disponibilità ad accettare i rimpatri degli 19mila tunisini identificati. Ho chiesto quindi a Berlusconi di sollecitare il primo ministro, se necessario andando a Tunisi". Lo ha detto il ministro dell’Interno, Roberto Maroni, la termine del Consiglio dei ministri. Intanto, i 50mila profughi previsti saranno equamente distribuiti nel territorio nazionale in ciascuna regione, escluso l’Abruzzo.
La giornata In giornata non si sono registrati nuovi sbarchi di migranti a Lampedusa, dove mercoledì erano giunti a più riprese 500 tunisini. Dopo il trasferimento di 1.700 tunisini, sull’isola restano comunque più di 4 mila immigrati che continuano a bivaccare sulla collinetta sovrastante il porto vecchio. Nel centro di accoglienza di contrada Imbriacola procedono le operazioni di fotosegnalamento e prelievo delle impronte digitali necessarie a identificare i migranti che devono essere trasferiti. C’è da registrare che un gruppo di tunisini ha inscenato questa mattina a Lampedusa una protesta per sollecitare trasferimento dall’isola. Gli immigrati hanno bloccato la circolazione in via Roma, nel centro del paese. La manifestazione è stata di breve durata, perché i tunisini sono stati dispersi dall’intervento dei carabinieri. Attrezzature mediche e altro materiale sanitario è stato rubato dalla tenda allestita dalla Regione siciliana nel porto di Lampedusa per prestare la prima assistenza all’arrivo dei migranti in banchina. Lo ha reso noto l’assessore regionale alla Salute, Massimo Russo, il quale ha sottolineato che era stata richiesta alle forze dell’ordine una vigilanza della struttura, ma che nessun servizio di tal genere è stato predisposto. A seguito del furto, la tenda della Regione è stata disattivata. ********************
Rivolta a Lampedusa Berlusconi va a Tunisi: "Per fermare le partenze"
Un gruppo di immigrati annuncia lo sciopero della fame e della sete per protestare contro le condizioni "disumane". Intanto prosegue lo "svuotamento" dell'isola. Il premier lunedì a Tunisi per fermare le partenze e favorire il rimpatrio. Ammassati al porto di Lampedusa: guarda il video
Riecco Berlusconi / A. Sallusti
Ventimiglia nel caos, la Francia sfida l'Italia: "Immigrati? Si arrangi"
Il Viminale chiede solidarietà a tutta Italia: "Questo piano consentirà di smaltire 10mila arrivi". Ma Errani già frena: "Scelta unilaterale". A Pisa scoppia la rivolta per la tendopoli di Coltano. Scoppia il caso Manduria: 150 tunisini sono già in fuga
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Lampedusa abandonnée aux sarrasins, à qui profite le crime ?
01/04/2011 06:11
Lampedusa abandonnée aux sarrasins, à qui profite le crime ?
Pendant qu’on se réunit à Londres entre pays riches de la communauté internationale, pendant qu’on dépense des millions d’euros par jour en bombardant la Libye, pendant ce temps, à Lampedusa, les autorités n’ont pas les moyens de servir des plats de survie aux 5000 africains qui débarquent par semaine avec tout ce que cela représente en terme « d’intendance ». Les conditions de vie sont devenues scandaleuses et pour les 5000 habitants de l’île et pour les arrivants. Une colline a été destinée aux besoins naturels de ce monde, le tout en plein d’air sans parler de tous les déchets : sachets, bouteilles en plastique et autres car depuis le début de la guerre en Libye c’est 20000 africains qui sont venus.
Pourquoi personne n’apporte le moindre soutien à Lampedusa ? Pourquoi l’Etat Italien a laissé faire ? Pourquoi les autres voisins, les européens, ni même tous les guerriers réunis à Londres n’ont-ils pas pensé à apporter le moindre soutien à Lampedusa ? Il n’y a qu’une réponse à cela ! Laisser pourrir la situation sur l’île pour alimenter la terreur des invasions barbares !
Les musulmans arrivent ! Les pauvres, les misérables ! à quand les voleurs, les violeurs ? Déjà on entend à Lampedusa la population excédée dire à la télé italienne : « ils sont malades, ils ont toutes sortes de maladies, on a dû envoyer nos enfants loin de l’île ! ». C’est sans doute vrai car c’est le lot de tout camp de réfugiés sans aucune assistance.
Kadhafi a donc mis sa menace à exécution même si on sait qu’à Lampedusa l’immigration inquiétante a commencé dans les années 90 avec moins de 300 migrants pour l’année 2000 pour atteindre les 36000 en 2008 ! Ce n’est donc pas une nouveauté ! Après 2008, les chiffres redescendent à moins de 10000 par an mais là c’est 5000 par semaine.
Sont-ils des immigrés ou des réfugiés ? Dans tous les cas, l’Europe, la communauté internationale a les moyens de renvoyer les arrivées venant de la Tunisie, quant à celles venant de la Libye, il y a bien un moyen de renvoyer tout le monde à Benghazi ou dans des camps de réfugiés à proximité. L’essentiel étant de lancer un message fort via les media pour dire qu’il n’y a pas d’issue en Europe et que quiconque viendrait par là se retrouvait ensuite en Libye ou en Tunisie en fonction du lieu de départ.
Si on peut faire une no fly-zone militaire, on peut bien faire une no boat-zone civile !
Recevoir les réfugiés, les soigner, les nourrir mais le tout suivant une dynamique de retour quasiment immédiat. C’est la guerre en face, il faut agir en conséquence mais laisser pourrir la situation ne peut qu’être pensé pour atteindre psychologiquement les européens et faire le jeu de l’extrême droite et de la droite dans leur propagande frénétique pour stigmatiser une frange de leur population respective ; elle-même gênée car personne ne peut cautionner un tel afflux sans aucun pouvoir pour gérer le phénomène.
On apprend à l’instant que le pouvoir italien va envoyer des bateaux de l’armée mais l’Italie seule ne peut pas faire face. Il faut aider l’Italie. Que fait l’Europe ? Et le reste de la communauté internationale, pays riches arabes compris car après tout cela est aussi un dommage collatéral de la guerre en face ?
C’est scandaleux ! de laisser la situation pourrir pour faire le jeu d’enjeux politiques lamentables sinon criminels… Une autre solution, d’humour douteux, serait de rendre l’île aux africains devenus plus nombreux et rentrer en Italie vu que l’île est d’ailleurs plus proche des uns que des autres…
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Italie : chaos et crise au gouvernement sur l’immigration.Les cladestins ,donc ,délinquants car sans visas,ruinent l'ITalie
31/03/2011 15:33
Posté par Novopress dans Europe, Politique, Société le 31 mars 2011 |
< scrolling="no" frameborder="0" style="border: medium none ; overflow: hidden; width: 580px; height: 25px;" allowtransparency="true" src="http://www.facebook.com/plugins/like.php?href=http://fr.novopress.info/81505/italie-chaos-et-crise-au-gouvernement-sur-limmigration/&layout=standard&show_faces=false&width=580&action=recommend&font=verdana&colorscheme=light&locale=fr_FR">>
30/3/2011 – 11h35 ROME (NOVOPress) : Après que le premier ministre Silvio Berlusconi a annoncé que 1 450 Tunisiens supplémentaires arriveraient aujourd’hui au camp de Manduria dans les Pouilles, le sous-secrétaire d’Etat à l’Intérieur, Alfredo Mantovano, a démissionné en signe de protestation, en même temps que le maire de la ville, Paolo Tommasino. Tous deux sont membres du Pdl (parti de Berlusconi). Tant le ministre de la Défense, Ignazio La Russa, que le maire de Rome, Gianni Alemanno, demandent qu’il y ait une « clarification » au gouvernement. « Il faut écouter Mantovano », avertit La Russa.
Pour les clandestins de Lampedusa, Umberto Bossi, le chef de la Ligue du Nord, a la solution : « Cassez-vous ! »
Mantovano, originaire des Pouilles, avait garanti aux habitants que le camp n’accueillerait pas plus de 1 500 immigrés au maximum. Avec les 1 450 embarqués aujourd’hui sur le navire Excelsior en partance de Lampedusa, on approche en réalité le chiffre de 3 000 persones. Ce n’est pas tout. Le camp de Manduria était prévu à l’origine pour accueillir des réfugiés venant de Libye. Jusqu’à présent, pourtant, la majorité des clandestins qui ont envahi Lampedusa est arrivée de Tunisie. Il s’agit donc de clandestins, qui devraient être retenus dans des centres d’identification pour être ensuite expulsés ou rapatriés. Un centre d’identification suppose de garantir la surveillance et la sécurité, absentes jusqu’à présent du camp de Manduria.
Il n’y a pas de chiffres officiels mais plus de 500 étrangers se sont déjà enfuis du camp. Et il est fort probable que les 1 500 Tunisiens supplémentaires qui vont arriver ont l’intention d’en faire autant. Les carabiniers ont dû intervenir la nuit dernière à la gare d’Orio, qui a été littéralement prise d’assaut par les Tunisiens, sortis du camp sans aucune difficulté avant de rejoindre le Nord. Hier, on en a arrêté 23 qui étaient déjà arrivés à Turin. Certains ont été transférés dans un centre d’identification, une dizaine ont été remis en liberté avec l’ordre de quitter l’Italie dans les cinq jours.
[cc] Novopress.info, 2010, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine [http://fr.novopress.info]
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Parlons Vrai :Mayotte, un Lampedusa français
31/03/2011 01:32
Un nouveau département au large de l’Afrique.
Mayotte, un Lampedusa français
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Ce 31 mars, l’île de Mayotte est devenue le cent unième département français. Un département qui vivra au rythme de l’islam, religion de la quasi-totalité d’une population dont plus de 60 % ne parlent que le malgache ou le swahili. Cette décision a pour origine une promesse électorale du candidat Sarkozy, appliquée par une loi organique et une loi ordinaire promulguées le 7 décembre 2010. À aucun moment, on n’a demandé aux Français s’ils voulaient de ce nouveau département peuplé de 200 000 musulmans et payer de leurs deniers le coût de cette insolite opération.
C’est d’ailleurs parce que l’issue d’une telle consultation risquait d’aller dans un sens contraire à la volonté présidentielle que l’opération a été faite en cachette. En 1962, quand il fut décidé de donner l’indépendance à l’Algérie et donc d’amputer le territoire français des départements algériens, un référendum sollicita l’accord du peuple français ; de même quand on changea le statut de la Nouvelle-Calédonie. Pour Mayotte, rien de semblable : seuls les Mahorais ont été consultés par référendum. Le 29 mars 2009, ils ont ainsi répondu à 95 % “oui” à la départementalisation, 39 % du corps électoral s’étant abstenu.
Les Français vont donc découvrir avec stupéfaction qu’à Mayotte, les fêtes musulmanes sont chômées, que les horaires de travail sont alignés sur ceux du ramadan et que leurs compatriotes mahorais qui le demanderont conserveront leur statut personnel, la justice devant alors leur être rendue par des magistrats français, non selon le droit français, mais conformément au droit coutumier ! Certes, celui-ci est appelé à disparaître, mais de manière progressive, et qui sait combien de temps le droit français devra composer avec un statut personnel dérogatoire au code civil et à la laïcité, très proche de la charia, qui prévoit la polygamie ainsi que la répudiation des femmes ? D’autant qu’à Mayotte, il n’y a ni état civil, ni cadastre ; noms et dates de naissance y sont incertains, ce qui va évidemment favoriser l’obtention de faux papiers et donc l’immigration-naturalisation.
Les Français vont rapidement constater que Mayotte est une pompe aspirante pour l’immigration régionale. L’immigration clandestine y est en effet considérable et incontrôlée, puisque, pour une population estimée à 200 000 personnes, on compte au moins 60 000 clandestins. En 2010, le nombre des reconduites à la frontière y a atteint le chiffre effarant de 26 405, dont 6 000 enfants qu’il ne sera plus possible d’expulser après la départementalisation. Durant les vingt premiers jours de janvier 2011, 40 bâteaux ont été interceptées avec au total 2 000 personnes à bord.
Les Comoriennes viennent accoucher à Mayotte d’enfants devenant automatiquement citoyens français, ce qui rend la famille inexpulsable. La maternité de Mamoudzou est ainsi la plus importante de France, avec 7 000 naissances annuelles, 65 à 75 % d’entre elles étant issues de l’immigration clandestine. Les avantages sociaux dont jouissent les Mahorais exercent déjà un attrait irrépressible pour les Comoriens ; or, la départementalisation, qui va progressivement aligner les droits sociaux des Mahorais sur ceux des métropolitains, ne fera qu’augmenter cette attirance.
À ces migrants de proximité s’ajoutent désormais ceux venant de la région des Grands Lacs et de toute l’Afrique orientale. Mayotte va donc servir de porte d’entrée vers la métropole, d’autant plus que les associations de soutien aux immigrés vont désormais y exiger le respect des procédures. Les expulsions de masse vont donc devenir impossibles. C’est donc un gigantesque Lampedusa que nos responsables politiques viennent de créer.
Parlons vrai : pour beaucoup, la départementalisation, c’est d’abord l’alignement sur les prestations sociales françaises, puis l’attente des retombées de la manne européenne dès que l’île sera devenue Rup (région ultrapériphérique). Déjà, les revendications se font jour parmi les fonctionnaires et les enseignants d’origine mahoraise, qui exigent la départementalisation du système éducatif au plus tard au mois d’avril, avec l’indexation des salaires, la prime de résidentialisation, comme pour leurs collègues métropolitains détachés, la titularisation des contractuels, la reconstitution des carrières pour l’intégration dans le corps des professeurs des écoles. À terme, le coût annuel de Mayotte pour la France est estimé à environ un milliard d’euros. Le seul budget de l’éducation dépasse les possibi-lités locales de financement. En 2010, 81 506 élèves, dont les clandestins, étaient ainsi scolarisés. Dans le seul domaine éducatif, l’effort annuel de l’État atteint déjà plus de 260 millions d’euros et les besoins ne feront que croître.
L’idée de faire de Mayotte un département français est donc totalement irresponsable. D’autres solutions existaient pourtant, qui permettaient de sauvegarder les spécificités mahoraises et de garantir l’appartenance de l’île à la France. Désormais, il est trop tard. Bernard Lugan, directeur de la revue “l’Afrique réelle”
L’Afrique réelle, consultable sur www.bernard-lugan.com
http://www.valeursactuelles.com/parlons-vrai/parlons-vrai/mayotte-un-lampedusa-fran%C3%A7ais20110331.html
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