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Chevardnadze: les dirigeants de l’URSS ont tout fait pour détruire l’Union

05/04/2011 21:33



Cet article ainsi que ceux de cette rubriques sont, aussi et actuellement, visibles sur "Wordpress - Aviseur international " (http://aviseurinternational.wordpress.com/ ) à la rubrique "Revue de Presse de l'Aviseur".

 

 

 

Chevardnadze: les dirigeants de l’URSS ont tout fait pour détruire l’Union

Dossier: 20 ans sans l'URSS

Edouard Chevardnadze
13:51 05/04/2011
Interview accordée par Edouard Chevardnadze

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La voie vers la formation d’un Etat-nation a été tragique. Etait-il possible de sauver l’URSS et pourquoi vingt ans plus tard la situation en Géorgie ne s’est-elle toujours pas apaisée? Edouard Chevardnadze (ministre des Affaires étrangères de l'Union soviétique de 1985 à 1990. Président de Géorgie de 1992 à 2003) répond aux questions au correspondant de Moskovskie novosti (Nouvelles de Moscou) Mikhaïl Vignanski.

Le 31 mars 1991, 89,9% des électeurs géorgiens se sont prononcés pour la sortie de la république de l’Union soviétique lors du référendum. Deux semaines auparavant, la Géorgie avait refusé de participer au plébiscite sur la préservation de l’URSS. Le 17 mars, le vote s’est tenu seulement en Ossétie du Sud qui à l’époque luttait depuis deux ans pour la sécession de la Géorgie. En Ossétie du Sud, seulement 9 personnes sur 44.000 ont voté contre l’URSS. Mais plus de 60% des électeurs en Abkhazie ont participé au référendum géorgien, et pratiquement tous ont soutenu l’idée de la souveraineté de la Géorgie. Cependant, l’année suivante le conflit entre la Géorgie et l’Abkhazie a éclaté, suite auquel Tbilissi a perdu le contrôle de cette république autonome également. Avant cela, en décembre 1991, des actions armées de l’opposition ont commencé dans la capitale géorgienne contre Zviad Gamsakhourdia (premier président de la Géorgie indépendante, du 26 mai 1991 au 6 janvier 1992) qui s’est enfui en Tchétchénie en janvier 1992. En mars 1992, l’ancien ministre soviétique des Affaires étrangères Edouard Chevardnadze est revenu de Tbilissi à Moscou. Il est resté à la tête de la Géorgie les onze années suivantes.

- Pouvait-on sauver l’Union Soviétique, ou cette idée était-elle condamnée?

- Les dirigeants de l’URSS de l’époque ont tout fait pour détruire l’Union au lieu de la sauver. Principalement en raison de la rivalité entre deux dirigeants: Mikhaïl Gorbatchev et Boris Eltsine. On a longtemps débattu pour décider s’il était possible de laisser Mikhaïl Gorbatchev au poste présidentiel avec des pouvoirs limités. On a négocié avec lui ce qu’il serait capable de faire ou non, comment restreindre ses compétences, et en fin de compte tout cela a provoqué l’effet inverse. J’étais déjà à la retraite, mais je pensais beaucoup à l’avenir éventuel de l’URSS, j’en parlais surtout avec Alexandre Iakovlev (l'un des principaux architectes de la perestroïka, ndlr). Quatre ans avant l’effondrement de l’Union soviétique, j’étais convaincu que cela arriverait, car tout empire est condamné à s’effondrer tôt ou tard, mais je me suis trompé dans les délais. Je pensais que l’Union soviétique demeurerait encore 11 ou 12 ans. En fait, toutes les conditions subjectives et objectives évoluaient de telle manière, qu’il était impossible de préserver l’URSS.

En dépit de tous ces événements survenus à une époque fatale pour la Géorgie du début des années 1990, le référendum de 1991 s’est déroulé sans complications, la majorité des électeurs d’Abkhazie y ont même participé. Et ce référendum, et ses résultats sont historiquement justifiés. A cette époque, la Géorgie visait l'indépendance et menait une politique ferme sur cet axe. Il a été donc possible de refléter la volonté du peuple. Mais il est difficile de dire comment la participation au référendum de toute l’Union aurait pu influer sur le sort de la Géorgie. Désormais, on ne peut que théoriser sur ce sujet.

- Quel a été le rôle de l’Occident dans l’effondrement de l’URSS?

- Je me souviens d’une rencontre dans ma maison à Moscou, j’avais invité Henry Kissinger. Il avait la parole la plupart du temps. Voici ce qu’il a dit: aux Etats-Unis on a toujours estimé que l’URSS était un Etat hostile, nous voulions contribuer à tout prix à son effondrement, mais aujourd’hui que c’est un fait accompli, nous ne savons pas quoi faire.

- Autrement dit, ils n’étaient pas prêts à des processus aussi rapides?

- Non.

- Pourrait-on dire qu’à partir d’une certaine période l’effondrement de l’URSS était inévitable?

- Avant Nikita Khrouchtchev, dans toute l’Union soviétique on vivait mieux qu’actuellement. Il a tout détruit. La population a commencé à souffrir de faim en Russie, en Géorgie et dans toutes les autres républiques. Voici le résultat de son travail "brillant." Si une personne normale avait été à sa place, l’URSS aurait encore certainement existé autant qu’avant Khrouchtchev. Prenons l’exemple de son interdiction frappant les lopins de terre privés, le bétail en propriété privée. Même les chèvres ont été interdites! Et c’était précisément le début de l’effondrement de l’URSS. Le dirigeant de l’époque du parti communiste géorgien Vassili Mjavanadze avait réussi à défendre le droit des paysans à la propriété. Car on vivait principalement grâce à la culture du lopin de terre situé près du domicile. Je sais ce que c’est, j’ai vécu moi-même à la campagne.

- Vous n’avez donc pas la nostalgie de l’Union soviétique?

- Non. Probablement Gorbatchev a la nostalgie. Mais je sentais de toute manière que cela se produirait.

- Gorbatchev dit que l’Occident lui a menti en promettant de ne pas élargir l’OTAN vers l’Est. La diplomatie soviétique s’est-elle trompée?

- Personne n’a dupé personne. Tout a résulté des négociations.

- Quelques jours après le référendum du 31 mars, le 9 avril 1991, la Géorgie a adopté l’Acte de l'Independance. Mais en août Zviad Gamsakhourdia a soutenu, en fait, les décisions du Comité d’Etat pour l’état d’urgence de l’URSS en abrogeant la Garde nationale, ce qui a conduit à des manifestations armées de l’opposition contre lui. Gamsakhourdia a-t-il eu tort?

- Oui. C’était une décision fatidique. Mais ce n’est sa principale erreur. En septembre 1993, lorsque nous défendions Soukhoumi, il y avait beaucoup de ses partisans parmi nous. C’était des gens bien qui savaient combattre. Chaque soir je me réunissais avec le commandement, on se concertait au sujet de la situation, et le matin je me levais à six heures et examinais les positions personnellement. Un soir, on me dit: rien de grave, on continue à se battre. Et le matin je m’aperçois qu’il n’y a aucun partisan de Gamsakhourdia sur les positions! Gamsakhourdia était revenu à cette époque de Tchétchénie en Géorgie occidentale, s’était installé dans la ville d’Otchamtchira et avait appelé ses partisans à le rejoindre. Nous avons perdu Soukhoumi, puis l’Abkhazie. Cela a été une tragédie aussi bien pour nous que pour lui.

- Quel est l’erreur du président géorgien actuel Mikhaïl Saakachvili?

- Je ne sais pas.

- Et quelle est votre principale erreur?

- D'avoir laissé Saakachvili devenir président (rire).

- Est-ce que le rêve d’Edouard Chevardnadze d’il y a 20 ans s’est réalisé?

- Le fait que la Géorgie soit aujourd’hui indépendante est une bonne chose. Malgré tous les défauts. Mais il est question de savoir comme le pays est dirigé, quelles erreurs et quelles questions sont réglées ou non.

- Au cours des dernières années, la situation n’a toujours pas été stabilisée dans le Caucase. Quel sort attend la région, disons, dans vingt ans?

- C'est très difficile à dire. D’autant plus qu’une partie importante de la Géorgie est occupée par la Russie. Je suis convaincu que tôt ou tard l’Abkhazie et l’Ossétie du Sud seront restituées à la Géorgie. Je ne peux pas dire quand cela se produira. Tout dépend de la Russie. En reconnaissant l’indépendance de l’Abkhazie et de l’Ossétie du Sud, la Russie a commis une grave erreur, en créant un dangereux précédent pour la Russie elle-même. Si l’Abkhazie et l’Ossétie du Sud ont ce droit, pourquoi la Tchétchénie, le Daguestan et le Tatarstan ne l’ont-ils pas? Ce sont pourtant des Etats.

- En Géorgie, les chansons russes ont été interdites. Est-ce également un moyen de lutter contre les "occupants"?

- C’est une idiotie.

- Comment est-on arrivé à la guerre entre la Russie et la Géorgie? Qui est le premier responsable?

- Il existe une déclaration officielle d’une commission mandatée par l’Union européenne et présidée par la diplomate suisse Heidi Tagliavini. Selon elle, les troupes géorgiennes étaient les premières à entrer à Tskhinvali et à ouvrir le feu, puis les Russes sont entrés en Ossétie du Sud via le tunnel de Roki et ont chassé les nôtres. Mais les actions ultérieures de la Russie n’étaient pas justifiées, à mon avis. En ce qui concerne l’avenir des relations avec Moscou, il faut absolument rétablir le dialogue. La Russie est notre voisin le plus grand et le plus puissant qui pourrait attaquer à tout moment, il faut donc apprendre à trouver un terrain d’entente. C’est la raison pour laquelle je salue les visites de certains politiques géorgiens à Moscou et le début des négociations, mais cela ne suffit pas pour régler le problème. En fait, j’avais des relations conviviales avec Vladimir Poutine. Lors que nous nous sommes rencontrés en 2003 à Sotchi, j’ai été d’accord pour remettre en fonction le chemin de fer de Sotchi à Samtredia, et à son tour il a accepté le retour des réfugiés géorgiens dans la région de Gali en Abkhazie. A l’époque beaucoup de personnes sont revenues, car la décision de Poutine leur assurait la sécurité du retour, qui avait porté jusqu’à alors un caractère spontané.

- Alors pourquoi êtes-vous contre l'arrivée des habitants du Caucase du Nord en Géorgie sans visas? Saakachvili a récemment rappelé les paroles de Poutine lors de la dernière rencontre avec lui en 2008. Il a déclaré qu’il "écraserait les opposants [armés] dans le Caucase du Nord comme des cafards." Or, le président géorgien a déclaré qu’au cours des cinq mois suivant l’abolition du régime des visas, 95.000 habitants du Caucase du Nord étaient arrivés en Géorgie, et tous se comportaient correctement et personne n’enfreignait la loi.

- Mais qui peut garantir qu’un groupe ne se formera pas en Tchétchénie, au Daguestan ou en Ingouchie et ne viendra pas en Géorgie avec un but précis?! La décision d’annuler les visas précisément pour ces régions de la Russie n’était pas très prudente.

- En tant qu’ancien ministre soviétique des Affaires étrangères, pouvez-vous dire quelle sera la conséquence de la série des manifestations dans le monde arabe?

- Pour l’instant, il est difficile faire des prévisions. Ces révolutions pourraient encore se poursuivre. Je crains le plus une révolution en Iran. C’est pratiquement notre voisin. Récemment, je me suis prononcé contre les projets de certains sénateurs américains de déployer des radars en Géorgie. Si un conflit éclatait entre l’Iran et les Etats-Unis, et que des radars soient déployés en Géorgie, cette dernière serait susceptible d’être attaquée.

- Vous avez récemment fêté vos 83 ans, mais vous travaillez toujours activement.

- Je prépare la sortie de mon sixième livre. Il s’agit d’un recueil d’interviews, les plus intéressantes depuis la seconde moitié du siècle dernier.

http://fr.rian.ru/discussion/20110405/189075369.html






Côte d'Ivoire: oui à la protection de la communauté française, non à une intervention militaire aux côtés des rebelles

05/04/2011 00:10



Côte d'Ivoire: oui à la protection de la communauté française, non à une intervention militaire aux côtés des rebelles

Face à la guerre civile qui s’installe en Côte d’Ivoire, le Front National soutient sans réserve les décisions visant à protéger la communauté des Français vivant en Côte d’Ivoire.

Le gouvernement français qui a pris le risque de s’ingérer dans les affaires intérieures d’un État souverain se retrouve désormais en première ligne. Sans prendre fait et cause pour l’une ou l’autre des parties dans le conflit qui les oppose, le FN s’interroge sur les conséquences de la politique du gouvernement français en Côte d’Ivoire.

Quelles interprétations pouvons-nous donner aux récents propos de Monsieur Juppé lorsqu’il annonce que « Monsieur Gbagbo vit ses derniers jours de chef d’État » et qu’il ajoute « nous faisons tous nos efforts pour que le président Ouattara puisse véritablement s’installer au pouvoir » ?

Ces propos viennent corroborer des informations de plus en plus persistantes qui tendent à prouver que les forces françaises interviendraient au soutien de l’armée rebelle favorable à Monsieur Ouattara.

Cette armée rebelle, composée de combattants étrangers et semble-t-il armée par des pays étrangers, s’est pourtant rendu coupable de crimes de masse dans la ville de Duékoué comme viennent de le révéler plusieurs organisations internationales ainsi que l’Onuci.

La France participe-t-elle militairement à la guerre civile qui sévit actuellement en Côte d’Ivoire ? Si oui, sous quel mandat ? Conformément à l’article 35 de la Constitution française, le parlement français s’est-il prononcé sur cette question d’une importance capitale pour la paix dans cette région ainsi que pour la préservation de nos intérêts stratégiques en Afrique ?

Le Front National demande au Président de la République de s’expliquer sur le soutien sans réserve qu’il apporte à Monsieur Ouattara dans ce conflit y compris contre les intérêts de la France et s’interroge sur la nature des relations qu’il entretient avec celui-ci.

Le FN enjoint l’ONU à prendre ses responsabilités et à privilégier la voie diplomatique dans la crise ivoirienne, seule à même de sortir ce pays du chaos.

Enfin, très inquiet de la situation explosive qui règne en Côte d’Ivoire, le Front National appelle à l’arrêt des combats, à la négociation et dans un futur proche au retour aux urnes conformément aux engagements pris et au respect des accords de Ouagadougou jamais appliqués jusqu’à présent (notamment dans l’exigence de l’article 5 du 4e accord complémentaire) !

La France intervient avec l'ONU contre Gbagbo pour une offensive finale

La France a autorisé, lundi, ses unités présentes en Côte d'Ivoire à intervenir aux côtés de la force de l'ONU dans le pays (Onuci) pour neutraliser des armes lourdes de l'armée du président sortant Laurent Gbagbo utilisées contre des populations civiles. Les hélicoptères de Licorne visent des armes lourdes et des détachements de blindés "utilisés contre la population civile", selon l'état-major des armées à Paris.

En fin d'après-midi, l'Onuci, la force des Nations-Unies en Côte d'Ivoire, a constaté "des actions de forces par armement lourd utilisé contre la population civile", a précisé le porte-parole de l'état-major, le colonel Thierry Burkhard.

 A la demande du secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, et après accord du président de la République, Nicolas Sarkozy, la force française Licorne a "engagé plusieurs hélicoptères en appui des opérations déclenchées par l'Onuci", a-t-il indiqué. Ces actions "visent à neutraliser des armes lourdes positionnées dans des casernes et des détachements de véhicules blindés équipés de canons et de lance-roquettes" dans différents quartiers de la ville, a déclaré le porte-parole.

Dans la soirée, des hélicoptères de l'Onuci, soutenus par les forces françaises, ont attaqué le palais présidentiel et la résidence de Laurent Gbagbo, ainsi que deux camps de l'armée favorable au président sortant. Deux hélicoptères de l'ONU ont tiré des missiles sur le camp d'Akouédo. Un journaliste a indiqué, par ailleurs, que quatre hélicoptères de la force Licorne avaient tiré sur le camp de gendarmerie d'Agban.

Cette action intervient alors que, lundi, les combattants d'Alassane Ouattara, reconnu internationalement comme le nouveau président de Côte d'Ivoire, sont passés de nouveau à l'offensive pour réduire les derniers bastions des troupes de Laurent Gbagbo, le chef d'État sortant qui refuse de quitter ses fonctions.

Le camp d'Alassane Ouattara avait réclamé durant le week-end une "forte implication de la France" et de l'ONU. "Il y a des accords de défense entre la Côte d'Ivoire et la France, nous pouvons invoquer ces accords. Alassane Ouattara pourrait demander que la France intervienne plus massivement", a ainsi déclaré Ally Coulibaly, son ambassadeur à Paris.

Lundi, l'état-major des armées a annoncé l'envoi de 150 soldats supplémentaires en Côte d'Ivoire pour protéger les civils, portant à quelque 1 650 hommes l'effectif de son dispositif Licorne sur place.

Source Le Point- 04/04/11






Le gouverneur de la Vénétie : « La Tunisie arrête ses clandestins, ou nous rompons les relations diplomatiques »"C’est nous qui payons le prix de la campagne électorale de Sarkozy. »"(& si on sucrait

03/04/2011 23:39



Le gouverneur de la Vénétie : « La Tunisie arrête ses clandestins, ou nous rompons les relations diplomatiques »

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3/4/2011 – 14h35

VENISE (NOVOPress) : A la veille de la visite de Silvio Berlusconi en Tunisie,  Luca Zaia (photo), le très populaire gouverneur de la Vénétie (Ligue du Nord), a appelé à la fermeté dans une interview au Corriere della Sera. « La Tunisie doit absolument s’engager à arrêter les clandestins. Ce n’est quand même pas la mission sur la Lune, il s’agit de bloquer deux ports. Sinon, nous devons rompre toutes les relations diplomatiques. »

Zaia a par ailleurs affirmé que la France « s’était comportée d’une manière incroyable, trouvant même le moyen d’ignorer Schengen. A la frontière, ils n’arrêtent pas seulement les Tuniiens, mais aussi les Italiens. C’est nous qui payons le prix de la campagne électorale de Sarkozy. » Quant à l’Europe, a dénoncé Zaia, « elle n’existe pas. Elle nous bourre de directives sur la longueur des concombres mais, quand il s’agit de faire face à une urgence comme celle-ci, elle nous laisse tout seuls ».

[cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine
[http://fr.novopress.info]






Flood in Thailand :730,000 rai of farms submerged

01/04/2011 06:06



730,000 rai of farms submerged

Related industries, tourism also hard hit

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Farmers will pay a heavy price for the floods now ravaging much of the South, as more than 730,000 rai of agricultural land are already inundated and the affected area is increasing.

Heavy storms, flooding and mudslides have blocked many roads in southern provinces, forcing temporary shutdowns for many seafood exporters that cannot get their products out or receive raw materials.

The tourism industry is also feeling a big pinch, with many hotels and beach resorts, especially in Krabi and Surat Thani provinces, only half full, very unusual for the hot season.

Agriculture Minister Theera Wongsamut said more than 166,000 rubber, oil palm, rice, livestock and fisheries farmers had been affected by the flooding caused by continuous heavy rainfall since last Friday.

"We estimate the impact will be greater, as the flood-hit areas are now expanding to include Phuket, Ranong, Phangnga and Satun provinces," he said.

That will increase the number of flood-hit provinces to 11 including Nakhon Si Thammarat, Phatthalung, Surat Thani, Trang, Chumphon, Krabi and Songkhla.

Vittayen Muttamara, the deputy director of the National Flood Relief Coordination Center, said it was too early to assess the damage costs, as the affected area is still increasing.

As well, officials still cannot reach all of the damaged sites due to poor transport conditions.

Mr Vittayen earlier asked the government to set aside 15 billion baht as a relief fund for farmers and residents suffering from the disaster.

The government has not yet approved the request, but the Agriculture Ministry plans to seek cabinet approval for relief packages similar to those distributed to victims of last November's floods.

The proposed relief plan would pay rubber planters 6,007 baht a rai if their plantations are completely damaged. That figure is based on 55% of rubber production costs from the seventh to 12th years.

Compensation would be 30 baht each for young trees aged up to two years, increasing to 50 baht for trees aged 2-3 years and 100 baht for 3-5 years.

Oil palm growers would receive 2.921 baht a rai, rice growers 2,098 baht and orchard growers 4,908 baht.

Luck Vajananawat, the president of the Bank for Agriculture and Agricultural Co-operatives (BAAC), said the state bank would write off debts of customers who die as a result of the disaster.

It will extend the debt-payment period and waive interest charges for three years for other affected farmers.

The BAAC said 51,500 customers on 500,000 rai in various farm businesses are in trouble and owe the bank a combined 4.1 billion baht.

The Bank of Thailand estimates most crops, orchards and tourism will be hit hard, but rubber will be spared, as planters normally do not do much tapping in the southern rainy season.

Suraphon Svetasreni, governor of the Tourism Authority of Thailand, said southern tourism will lose out in this year's hot season. Large numbers of cancellations are being seen in hotels in Surat Thani province, the site of popular Koh Samui, he said.

Occupancy at hotels in the province, normally 70-80% at this time of year, has dropped to only 50-55%, he added.

The Thai Trade Centre in Surat Thani also expects huge losses to the seafood industry.

Centre director Rawepan Changyencham said the floods have damaged shrimp farms and food processing factories, plus all means of transport have been cut off. Factories cannot deliver products to either domestic or international customers and at the same time cannot receive raw materials.

Their customers may demand compensation for opportunity loss since heavy flooding has occurred twice now within five months, said Ms Rawepan.

She said factories would likely shut down operations since only half their workers can reach their factories.

Hardest hit will be frozen foods and shrimp, as many shrimp farms in Surat Thani, Chumphon and Nakhon Si Thammarat have been destroyed.

As this is also the shrimp harvest season, a shortage is now predicted.

Rubber and derivative products have also been damaged by mudslides. Planters cannot collect latex, so quality will be reduced due to fungus growth.

The floods have almost completely covered all palm oil plantation areas as well as fruit orchards, so prices of these crops will rise.

The Department of Export Promotion (DEP) will soon consider measures to assist businesses such as low-interest rehabilitation loans at maximum annual interest of 4% and ways to address raw material shortages and epidemics.

The DEP's Hat Yai office reported an initial survey among foreign logistics firms showed the flooded areas are not along the main route for transport of many goods from the South to Bangkok, Laem Chabang port and Suvarnabhumi Airport.

http://www.bangkokpost.com/business/economics/229758/730000-rai-of-farms-submerged

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    There was no let up to the heavy rain and associated flooding across southern Thailand on Tuesday, disrupting transport, tourism and day-to-day business.

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    flood, south, military, army, Nakhon Si Thammarat

    Rescue workers begin to repair a bridge in the South, part of damaged communications that have isolated about 1,000 villagers in a remote area without electricity or aid. (Photo by Nucharee Rakrun)

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Estafa al Bundesbank con la ayuda de azafatas de Lufthansa

31/03/2011 15:41



Estafa al Bundesbank con la ayuda de azafatas de Lufthansa

El Bundesbank, el banco central alemán, ha sido víctima de una estafa con un coste mínimo de 20 millones de euros mediante la recompra de monedas que habían sido previamente sacadas de la circulación para reciclar su metal debido a su deficiente estado.


Estafa al Bundesbank con la ayuda de azafatas de Lufthansa
31 Marzo 11 - Berlín - Efe

Miembros del departamento de lucha contra el crimen organizado de la Oficina Federal de Investigación Criminal (BKA) han detenido a seis personas implicadas en la estafa, entre las que figura personal de la compañía aérea Lufthansa, confirmó hoy la fiscalía de Fráncfort.
      
Añadió que cuatro de los detenidos en la operación policial, de edades comprendidas entre los 28 y los 45 años, son de nacionalidad china a los que se acusa de haber manipulado entre 2007 y 2010 unas 29 toneladas de chatarra de monedas con un valor nominal de seis millones de euros.
      
La fiscalía redujo así apreciablemente el daño económico sufrido por el Bundesbank, que el rotativo Bild había cifrado en al menos 20 millones de euros.
      
La fiscalía explicó que agentes de la policía practicaron este miércoles las detenciones y realizaron numerosos registros en viviendas y oficinas de la región del Rin-Meno en torno a la ciudad de Fráncfort.
      
Aunque las monedas de uno y dos euros desechadas eran desmontadas por el Bundesbank, que separaba el aro exterior del núcleo interior, estas volvían a ser montadas en China, desde donde retornaban a Alemania en maletas de azafatas de Lufthansa, que luego las cambiaban en el banco central germano por billetes.
      
La fiscalía de Fráncfort señaló que en la red estaban implicados al menos cuatro miembros del personal de cabina de Lufthansa
que volaban regularmente a China y hacían de correos para el retorno del dinero a Alemania.
      
La compañía aérea señaló en un escueto comunicado "haber sido informada por las autoridades competentes sobre la investigación abierta contra distintos empleados" y que no tiene intención de pronunciarse mientras el caso este abierto.
      
La fiscalía encargada del caso subrayó igualmente que ni un solo empleado del Bundesbank es sospechoso de pertenecer a la trama y desmintió así informaciones en ese sentido divulgadas por el tabloide Bild.
      
La estafa comenzaba ya con la compra por parte de una banda organizada de la chatarra que el Bundesbank ponía a la venta para el reciclado del metal de las monedas desechadas
, que suponen varias toneladas al año.
      
Los compradores de las monedas desmontadas las enviaban seguidamente en cargamentos declarados como chatarra a China, donde se volvían a montar y se preparaban para su retorno a Alemania en envíos que no superaban los 10.000 euros, el máximo no declarable ante las aduanas germanas.
      
La investigación de la red se inició en 2010 cuando funcionarios de aduanas alemanes en el aeropuerto internacional de Fráncfort observaron a una azafata de Lufthansa que tenía dificultades, debido a su peso, para manipular su equipaje de cabina y que al ser inspeccionado resultó estar lleno de monedas de uno y dos euros.
      
En declaraciones al diario, la fiscal superior de Fráncfort, Doris Möller-Scheu, confirma que los sospechosos han sido acusados, entre otros, cargos, de "poner en circulación dinero falso", toda vez que las monedas habían perdido su legalidad en el momento en que fueron desmontadas por el Bundesbank.


 

http://www.larazon.es/noticia/6689-estafa-al-bundesbank-con-la-ayuda-de-azafatas-de-lufthansa






Chavez redoute de subir le même sort que Kadhafi

31/03/2011 00:07



RIA Novosti

Le président vénézuélien Hugo Chavez craint d’être la prochaine cible de l’« impérialisme américain » et qu’un sort similaire à celui du leader libyen Mouammar Kadhafi ne lui soit réservé, a-t-il annoncé lundi à la télévision nationale.

« Nous sommes en train de voir que l’impérialisme a jeté son masque. Il a mis de côté la morale et (…) s’est offert un prétexte pour bombarder les villes libyennes et tuer les civils. On tente de classer Chavez et Kadhafi dans la catégorie de dictateurs cruels », a déclaré le leader vénézuélien.

M. Chavez a en outre ajouté que le nom de plusieurs autres Etats latino-américains était inscrit sur la liste des pays « indésirables », mais que son nom « figurait en premier ».

Alors que la communauté internationale « assiste tranquillement » à la guerre en Libye, il existe selon lui une opportunité réelle de « neutraliser les projets militaires contre le Venezuela et d’autres pays de l’Amérique latine ».

« Nous devons serrer les rangs dans le cadre de l’Alliance bolivarienne et faire avancer notre projet de socialisme fondé sur la démocratie et la paix. (…) Notre but est d’éviter la guerre », a conclu Hugo Chavez.

Depuis la mi-février, la Libye est le théâtre d’une révolte dirigée contre le régime de Mouammar Kadhafi, au pouvoir depuis 42 ans. Pour réprimer la rébellion, le leader libyen a fait appel aux forces armées, ce qui a attisé le conflit, le transformant en guerre civile.

La résolution du 17 mars prévoit la mise en place d’une zone d’exclusion aérienne au-dessus de la Libye. Une coalition réunissant plusieurs pays occidentaux a profité de ce document pour intervenir aux côtés des rebelles. Les frappes aériennes contre les troupes du colonel Kadhafi ont débuté le 19 mars.

http://www.armees.com/info/actualites/chavez-redoute-de-subir-le-meme-sort-que-kadhafi,40311.html







Israël: projet d'île au large de Gaza .Tous les culots !

29/03/2011 23:20



Israël: projet d'île au large de Gaza

AFP
29/03/2011 | Mise à jour : 21:58
Réactions (10)

Israël étudie des plans pour la création d'une île artificielle au large de la bande de Gaza avec un port et un aéroport destinés aux Palestiniens, a indiqué aujourd'hui  la deuxième chaîne de télévision privée israélienne.

Ce projet, mis au point depuis trois mois par le ministre des Transports Yaakov Katz, avec le soutien du chef du gouvernement Benjamin Netanyahu, prévoit la construction d'une île artificielle de 4 km de long sur 2 km de large. Cette île accueillerait, outre un aéroport, un port, une zone touristique, une marina, des hôtels et une unité de dessalement de l'eau de mer. Elle serait reliée à la terre ferme à Gaza par un pont de quatre km de long. Son coût est estimé à 5 à 10 milliards de dollars selon les options choisies tandis que les travaux devraient durer de 6 à 10 ans, a ajouté la télévision.

Les responsables du projet, qui doivent encore obtenir le soutien final et officiel de Benjamin Netanyahu, estiment que cette île devrait être gérée par l'Autorité palestinienne de Mahmoud Abbas. Soumise à un strict embargo maritime par Israël, la bande de Gaza, un étroit territoire de sable parmi les zones les plus déshéritées au monde, est contrôlée depuis juin 2007 par le mouvement islamiste Hamas. Selon le projet de développement israélien, les contrôles de sécurité des personnes, mais aussi des marchandises, seraient assurés par une "force internationale", qui pourrait inclure des représentants de l'Otan, à la fois sur l'île ainsi que sur le pont "afin d'éviter des trafics".

Selon la télévision, ce projet, qui a également reçu le "soutien enthousiaste" du président Shimon Peres, permettrait à Israël de se débarrasser "définitivement de la bande de Gaza" en abandonnant sa tutelle sur les échanges commerciaux du territoire tout en maintenant son blocus en pleine mer pour empêcher la contrebande d'armes.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/03/29/97001-20110329FILWWW00792-israel-projet-d-ile-au-large-de-gaza.php




Les dessins de El Watan (Alger)

27/03/2011 01:21



Dessins du jours MAZ
 
20110118.jpg

Dessins du jours HIC
 
20110327.jpg
27/03/2011
http://www.elwatan.com/divers/dessins.php





Entre les Milliband & David Cameron ...Plus de 100.000 personnes manifestent à Londres (médias)

26/03/2011 14:35



Plus de 100.000 personnes manifestent à Londres (médias)

Plus de 100.000 personnes manifestent à Londres
16:03 26/03/2011
MOSCOU, 26 mars - RIA Novosti

Sur le même sujet

Plus de 100.000 personnes sont descendues samedi dans les rues de Londres pour une manifestation des syndicats britanniques contre le programme d'austérité budgétaire, annoncé en 2010 par le gouvernement britannique, rapporte la chaîne BBC.

En octobre 2010, le gouvernement britannique a dévoilé ses plans pour réduire les dépenses de l'Etat de plus de 80 milliards de livres au cours des cinq prochaines années. Cette mesure est destinée à freiner la croissance de la dette publique britannique.

Le programme pourrait notamment aboutir à une suppression d'environ 500.000 emplois dans le secteur public. Suite à l'annonce du plan gouvernemental, le Congrès des syndicats britanniques (TUC) a déclaré son intention d'organiser la plus importante manifestation nationale depuis 20 ans.

La manifestation intitulée Marche pour l'alternative a commencé à 11h00 heure locale sur le quai Victoria et se déroule de façon pacifique. Parmi les intervenants figure le leader du Parti travailliste, Ed Miliband.


 

http://fr.rian.ru/world/20110326/188989962.html






The quake in Thailand :2,700 city buildings at earthquake risk

26/03/2011 14:30



2,700 city buildings at earthquake risk

Even moderate tremor at fault lines poses danger

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Earthquake preparedness is a must for Bangkok as the capital is not far from active fault lines where even a moderate quake could send strong shock waves to the city, seismologists have warned.

City Hall has issued a warning that about 2,700 buildings in the capital could be damaged by an earthquake.

Bangkok is less than 200 kilometres from Kanchanaburi, home to the Chedi Sam Ong fault line, and about 800km from Chiang Mai, where the Mae Ta and Mae Chan fault lines are located.

The Chedi Sam Ong, Mae Ta, and Mae Chan are among 13 active fault lines in Thailand covering 22 provinces.

Studies showed there is a high possibility that a powerful earthquake of 6-7 magnitude will occur along the fault lines in Kanchanaburi and Chiang Mai provinces, Pennung Warnitchai, a seismologist from the Asian Institute of Technology, said yesterday.

His comment followed the 6.8-magnitude earthquake in northern Burma that killed at least 75 people, including a Thai villager in Chiang Rai, on Thursday.

The quake sent shock waves that could be felt in several parts of Thailand, including Bangkok.

Quakes in Kanchanaburi or Chiang Mai would not only cause severe damage to the two provinces but also to Bangkok, Mr Pennung said.

"We will see severe damage to buildings and other structures in Bangkok," the seismologist said.

He said most people only pay attention to the 13 main fault lines, but studies have confirmed that many sub-fault lines are also active and have the potential to produce mild earthquakes.

The Chedi Sam Ong fault line has eight sub-fault lines, while the Mae Chan fault line in Chiang Mai has up to 18 sub-fault lines, he said.

However, Lertsin Raksaskulwong, director of the Mineral Resources Department's environmental geology and geohazard bureau, disagreed.

He said earthquake damage in Bangkok would not be serious.

"There won't be total building collapse. People will only feel the buildings shaking, like many people in highrises felt on Thursday," he said.

Mr Lertsin also dismissed speculation that Thursday's quake, which had its epicentre at the Nam Ma fault line on the Burma-Laos border, would trigger a quake at the nearby Mae Chan fault line in Chiang Mai and Chiang Rai provinces.

The Nam Ma fault line runs parallel with the Mae Chan fault line, so it would not have any impact on the Thai fault line.

Surachai Ponpattarakul, a senior expert at the Department of Public Works and Town and Country Planning, said the issue of buildings' resistance to earthquakes had become a major concern following frequent natural disasters.

The agency has been drafting a regulation to help owners of buildings constructed before the enforcement of the 2007 Building Control Act improve their buildings' structures to ensure they are earthquake-resistant.

The Building Control Act stipulates that buildings 23 metres or higher and buildings covering more than 10,000 square metres must have structures that can resist an earthquake of at least 5 on the Richter scale.

Under the regulation, tax reductions would be offered to owners wanting to strengthen a building's foundations and structure, Mr Surachai said.

Prime Minister Abhisit Vejjajiva yesterday said that highrise buildings must be designed and built to ensure they can absorb the impact of earthquakes and measures must be put in place to prevent and mitigate disasters related to quakes.

Deputy Bangkok Governor Pornthep Techapaiboon said initial inspections of 12 highrise buildings in Bangkok after Thursday's earthquake found none had been damaged, but a close watch would be kept on the situation.

The buildings, which are located near communities, include Sermmitr Tower, First Tower, MBK Centre, the All Seasons building, Empire Tower, Chai Tower, the Benjinda building, Shinawatra Tower III, the Thai Military Bank building and the Sun Tower building.

Mr Pornthep said a fire that broke out at Platinum Mall at Pratunam had nothing to do with the earthquake.

He said more than 2,700 buildings in Bangkok that stand five metres or higher are still vulnerable to future earthquake tremors.

City Hall has written to ask owners of the buildings to check the strength and security of the structures. Mr Pornthep said 905 of the buildings were built before the Building Control Act came into force.

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  • Discussion 4 : 26/03/2011 at 11:11 AM4

    PM Abhisit said that "highrise buildings must be designed and built to ensure they can absorb the impact of earthquakes..." "Must"? By law? Or should?
    How does the PM want to ensure buildings can absorb the impact of strong earthquakes?

    The damage caused to buildings by earthquakes depends on a large number of factors, not least local soil conditions: soft soil tends to amplify vibrations.
    I have seen buildings in Thailand damaged by ground shaking, caused by bomb disposal training at a police academy within city limits. The soil those buildings are built on is soft - and the bombs used for controlled explosions heavy, causing strong vibrations.

  • bop

    Lao Peoples RepublicPost : 43

    Send message

    Discussion 3 : 26/03/2011 at 11:06 AM3

    The map above although detailed only show Thailand faults and doesnt show the full extent of them either. The Three Pagodas fault is not shown or at least only part of it is shown. It actaully extends all the way down to Ratchaburi. http://www.docstoc.com/docs/2815790/South-East-Asia-Seismic-Hazard-Maps

  • stekk

    Post : 19

    Send message

    Discussion 2 : 26/03/2011 at 10:59 AM2

    Somehow I doubt that all these so called experts know what they are talking About.






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